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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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History of Air Force colours, flags


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

August 7, 1944

In France, II Canadian Corps (commanded by Lieutenant-General Guy Simonds) is launching Operation TOTALISE, an attack designed to exploit a German strategic error.

Since June 6, the British and Canadians have been fighting armoured divisions while the Americans faced somewhat lighter opposition to the south. On July 25, when the Americans broke through at St-Lô, Hitler forbade his armies in Normandy to withdraw across the Seine-the common-sense choice in their situation-and instead ordered Operation LUTTICH, an all-out assault on the Americans. Op LUTTICH depends on control of a road junction at Falaise, just down the highway from Caen, the headquarters of II Canadian Corps. Falaise is the objective of Operation TOTALISE.

Op TOTALISE is ambitious and innovative. The Canadians have invented a new weapon, an armoured personnel carrier called the Kangaroo, and are moving at night in regiment-sized columns directed by searchlights and radio signals. They stall halfway between Caen and Falaise, but not before diverting enough German strength to wreck Operation LUTTICH. With the Wehrmacht concentrated at Falaise, LGen Simonds conceives Operation TRACTABLE, a plan to seize Falaise and trap the Germans between II Canadian Corps and the Americans.

Op TRACTABLE begins on August 14 with a massive assault by Bomber Command on German positions perilously close to the advancing British and Canadians. Thousands of bombers are engaged, and only 77 miss their targets. A quarry 8 km from target TRACTABLE 28 and 10 km from TRACTABLE 23 is hit by several aircraft. Unfortunately, the quarry is occupied by the 12th Field Regiment, Royal Canadian Artillery; the Royal Regiment of Canada; and several Free Polish armoured squadrons. Casualties total 65 dead, 241 wounded and 91 missing.

On August 17, II Canadian Corps takes Falaise, reducing the Falaise Gap to a mere 29 km. On August 18, as the Americans close the gap, thousands of Germans escape to the south and east; however, more than 50 percent of German soldiers who were in Normandy on August 7 are either dead or captured.

7 août; 1944

En France, le II Canadian Corps (commandé par le lieutenant-gén;éral; Guy Simonds) amorce l'Op Totalise, une attaque conçue; pour tirer profit d'une erreur stratégique; des Allemands.

Depuis le 6 juin, les Britanniques et les Canadiens affrontent des divisions blindées; pendant que les Américains; sont opposés; au sud à des forces lég;èrement; moins résistantes.; Le 25 juillet, alors que les Américains; réussissent; une percée; à St-Lô, Hitler empêche; ses armées; présentes; en Normandie de se replier de l'autre côt;é de la Seine - ce qui aurait ét;é le choix logique dans cette situation - et ordonne plutôt; l'exécution; de l'Op Luttich, un assaut total contre les Américains.; Le succès; de l'Op Luttich repose sur le contrôle; d'un carrefour à Falaise, un peu plus bas sur la grand-route de Caen, le quartier gén;éral; du II Canadian Corps. Falaise est l'objectif de l'Op Totalise.

L'Op Totalise est ambitieuse et nova- trice. Les Canadiens ont inventé une nouvelle arme, un véhicule; de transport de troupes blindé appelé le Kangourou, et ils se déplacent; la nuit en colonnes de la taille d'un régiment;, utilisant des projecteurs et des signaux radio pour se diriger. Leur progression est arrêt;ée; à michemin entre Caen et Falaise, mais ils ont déj;à réussi; à détourner; suffisamment de troupes allemandes pour faire échouer; l'Op Luttich. La Wehrmacht étant; concentrée; à Falaise, le lgén; Simonds a imaginé l'Op Tractable, un plan visant à s'emparer de Falaise et à piéger; les Allemands entre le II Canadian Corps et les Américains.;

L'Op Tractable débute; le 14 août; par une attaque massive menée; par le Bomber Command contre les positions allemandes, dangereusement proches des troupes britanniques et canadiennes en mouvement. Des milliers de bombardiers sont impliqués; et seuls 77 d'entre eux ratent leurs cibles. Une carrière; à 8 km de la position TRACTABLE 28 et à 10 km de TRACTABLE 23 est touchée; par plusieurs appareils. Malheureusement, elle est occupée; par le 12e Régiment; de campagne, Artillerie royale canadienne, par le Royal Regiment of Canada ainsi que par plusieurs escadrons blindés; des forces polonaises libres. Les pertes s'él;èvent; à 65 morts, 241 blessés; et 91 disparus.

Le 17 août;, le II Canadian Corps s'em- pare de Falaise, réduisant; ainsi l'étendue; occupée; de la passe de Falaise à une simple distance de 29 km. Le 18 août;, alors que les Américains; ferment la passe, des milliers d'Allemands prennent la fuite vers le sud et l'est; toutefois, plus de cinquante pour cent des soldats allemands qui se trouvaient en Normandie le 7 août; ont ét;é capturés; ou tués.;

Image: National Archives of Canada / Archives nationales du Canada

Summer 1944: LGen Guy Simonds confers with Gen Sir Bernard Montgomery.

Ét;é 1944 : le lgén; Guy Simonds s'entretient avec le gén; sir Bernard Montgomery.

By Buzz Bourdon

Canada's air force has been using colours and flags a relatively short time compared with the regiments of Land Force Command.

After the Second World War, the Royal Canadian Air Force decided to adopt the King's Colour and the Colour of the RCAF, comparable to the two colours carried by infantry battalions.

Presented by the governor general, Field Marshal Viscount Alexander of Tunis, on Parliament Hill June 5, 1950, these colours meant the RCAF was the first Commonwealth air force to be granted, as a service, the honour of carrying a King's Colour.

The colours presented earlier to the Royal Air Force were given to particular components, wrote E. C. Russell in his Customs and Traditions of the Canadian Armed Forces.

In January 1977, two years after Air Command was created, Queen Elizabeth II approved a Queen's Colour of Air Command along with a Colour of Air Command.

Squadron standards were introduced in the RCAF in 1958 for operational squadrons with 25 years of cumulative service. These light blue standards feature the floral emblems of Canada's 10 provinces along with the squadron's badge and battle honours.

The first RCAF squadron to qualify for its standard was 400 Squadron, which received it June 10, 1961, from Ontario Lieutenant-Governor J. K. MacKay at RCAF Station Downsview.

In 1924 the newly formed RCAF was authorized by King George V to adopt the Royal Air Force's ensign as its own. Authorized in 1920, the RAF ensign of light blue features the Union Flag at the hoist and the traditional red-white-blue roundel in the fly. In 1940, the RCAF was authorized to replace the centre of the ensign's roundel with a red maple leaf; however, that was delayed until the end of the war. In 1965 the RCAF lost its venerable ensign when the National Flag of Canada was adopted.

Air Command also has a command camp flag. Based on the RCAF ensign, it features the national flag at the hoist and the post-1965 roundel in the fly.

Image: CF / FC

The Colour of the RCAF is dipped to Defence Minister Paul Hellyer, on September 15, 1963, during the Battle of Britain parade in Ottawa.

Le drapeau de l'ARC est hissé à mi-drisse en l'honneur du ministre de la Défense; Paul Hellyer, le 15 septembre 1963, pendant la parade pour la Bataille d'Angleterre, à Ottawa.

L'historique des couleurs et drapeaux de la Force aérienne;


par Buzz Bourdon

La Force aérienne; du Canada n'utilise ses couleurs et drapeaux que depuis peu, comparativement aux régiments; du Commandement de la Force terrestre.

Après; la Seconde Guerre mondiale, l'Aviation royale du Canada a décid;é

d'adopter un drapeau du Roi et un drapeau de l'ARC, semblables aux deux drapeaux des bataillons d'infanterie.

Présent;ées; par le Gouverneur gén;éral;, le maréchal; vicomte Alexander de Tunis, le 5 juin 1950, sur la colline du Parlement, ces couleurs faisaient de l'ARC les premières; forces aériennes; du Commonwealth à qui l'on accordait l'honneur, à titre de service, de porter le drapeau du Roi.

« Les couleurs présent;ées; plus tôt; à la Royal Air Force ont ét;é données; à des composantes particulières; », écrivait;  
E. C. Russell dans son ouvrage, Coutumes et traditions dans les forces armées; canadiennes.

En janvier 1977, deux ans après; la création; du Commandement aérien;, la reine Elizabeth II sanctionnait le drapeau de la Reine du Commandement aérien; et le drapeau du Commandement aérien.;

En 1958, les étendards; des escadrons ont ét;é créés; dans l'ARC à l'intention des escadrons opérationnels; qui avaient 25 ans de service cumulatif. On retrouvait sur ces étendards; bleu ciel, l'emblème; floral des 10 provinces canadiennes, ainsi que l'insigne et les honneurs de bataille de l'escadron.

Le premier escadron de l'ARC à avoir droit à son étendard; fut le 400e Escadron; il l'a reçu; le 10 juin 1961 des mains du lieutenant-gouverneur de l'Ontario, J.K. MacKay, à la base de l'ARC Downsview.

En 1924, l'ARC, nouvellement créée;, a reçu; la permission du roi George V pour faire sien l'emblème; de la Royal Air Force. Sanctionné en 1920, l'emblème; bleu pâle; de la RAF affichait le drapeau de l'Union royale du côt;é guindant et la cocarde bleu-blanc- rouge traditionnelle du côt;é battant. En 1940, l'ARC a obtenu l'autorisation de remplacer le centre de la cocarde de l'emblème; par une feuille d'érable; rouge, mais le changement a dû attendre la fin de la guerre. En 1965, l'ARC a perdu son vén;érable; emblème; à cause de l'adoption du drapeau national du Canada.

Le Commandement aérien; détient; également; un drapeau de camp. Comme il s'inspire de l'emblème; de l'ARC, on y retrouve le drapeau national du côt;é guindant et la cocarde d'après; 1965 du côt;é battant.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Preschoolers are 'pet project' in Bosnia


By Lt(N) Kris Phillips

BANJA LUKA, Bosnia-Herzegovina - Normally when he puts on his uniform, Captain Mike Teeple, a communications and electronics engineering officer based out of CFB Borden, deals with tedious computer print-outs, little time for rest and the commands of senior officers.

Recently, however, his papers came colourfully painted, there was a scheduled nap time and around him were five-yearolds brimming with smiles.

Capt Teeple was visiting a kindergarten in Bosnia to deliver a box of toys and candies donated by students and staff of Little Prairie Elementary, in Capt Teeple's home- town of Chetwynd, B.C. The box was mailed to Capt Teeple by his mother, Lexie, the secretary of Little Prairie.

"This; is one of my pet projects," said Capt Teeple. "A; chance to help kids is one of the benefits of being a CIMIC (civil-military co-operation) officer. It really gives me a chance to see the tangible benefits of my work. It's my way of doing something for the future of the country by helping the kids today. "

The kindergarten, Ju Obdeniste Dom Ucenika, was opened in 1975 in Bosanska Krupa, and has about 150 preschoolers. It was one of the top kindergartens in the area until 1996, when it was forced to close as conflict swept through the area.

Following the war, all that was left of the facility was bullet-riddled walls and a fire-

Aide aux enfants d'âge; préscolaire; de Bosnie


par le ltv Kris Phillips

BANJA LUKA (Bosnie-Herzégovine;) - Habituellement, lorsqu'il revêt; son uniforme, le capt Mike Teeple, officier du génie; des communications et de l'électronique; basé à la BFC Borden, s'occupe d'imprimés; d'ordinateurs ennuyeux et a affaire à des officiers supérieurs; qui lui laissent rarement le temps de faire la sieste.

Or, récemment;, il s'est retrouvé dans un milieu bien différent;, avec des murs couverts de dessins aux couleurs vives, une période; prévue; pour la sieste et une ribam- belle d'enfants de cinq ans aux sourires radieux.

Le capt Teeple était; en visite dans une école; maternelle en Bosnie, pour livrer une caisse de jouets et de bonbons donnée; par les él;èves; et le personnel de l'école; primaire Little Prairie, à Chetwynd (C.-B.), ville natale du capt Teeple. Cette caisse lui a ét;é envoyée; par sa mère; Lexie, secrétaire; de l'école.;

« C'est un des projets qui me tiennent à coeur, a expliqué le capt Teeple. L'un des avantages de ma fonction d'officier chargé de la coopération; civilo-militaire (COCIM), c'est que j'ai l'occasion d'aider les enfants. Et je peux voir les résultats; concrets de mon travail. En aidant les enfants aujourd'hui, je contribue à l'avenir de ce pays. »

L'école; maternelle, qui porte le nom de Ju Obdeniste Dom Ucenika, a ouvert ses portes en 1975 à Bosanska Krupa, et elle accueille environ 150 enfants d'âge; préscolaire.; C'était; une des meilleures écoles; maternelles de la région; jusqu'en 1996, mais elle a dû fermer à cause du conflit.

Après; la guerre, tout ce qui restait de l'école;, c'était; des murs criblés; d'impacts de balles et un toit endommagé par le feu.Tous les meubles, les jouets, les appareils électriques; et les matériaux; utilisables avaient ét;é enlevés; ou détruits; pendant les combats.

L'école; a ét;é en grande partie recons

truite grâce; à un effort international; des églises;, divers paliers de gouvernement, des organismes d'aide internationale et la Force de stabilisation de l'OTAN (SFOR) ont fourni des matériaux; et du personnel pour cet effort de reconstruction. Mais, étant; donné le grand nombre de cas similaires dans la région;, il n'y a jamais eu suffisamment de ressources pour terminer le travail.

« La restauration des portes et des fenêtres; est sûrement; la prochaine tâche; à laquelle nous devrons nous attaquer », nous a déclar;é le directeur de l'école;,  
M. Kikosmaeil Mesic. « Des portes et des damaged roof. All the furniture, toys, appliances, and useable building materials had been removed or destroyed during the fighting.

The facility was largely reconstructed with a multinational effort: churches, various levels of government, international aid agencies and the NATO Stabilization Force (SFOR) all donated materials and time to the effort. But with so many similar cases in the region, there have never been enough resources to completely finish what was begun at the kindergarten.

"Windows; and doors are definitely the next things we have to think about," said the school's director, Mr. Kikosmaeil Mesic. "Properly; fitted doors and windows would help us save a lot of money during the winter months. The money saved could be used to complete other damaged classrooms. This was a great facility, and it will be again."

Although the school needs work, the efforts of Mr. Mesic and his tireless staff of 13 seem to be paying off: the children seem happy and are kept busy for most of the day with fun activities and class outings.

Mr. Mesic hopes this first contact with the students and staff of the Chetwynd school, thanks to Capt Teeple, will not be the last: he wants to maintain contact by sending pictures and notes created by the children in his school to the Little Prairie schoolchildren.

Lt(N) Phillips is a Public Affairs Officer with MND (SW) HQ.

Capt Mike Teeple hands out candies and toys from a school in his B.C. hometown to preschoolers in a Bosian kindergarten.

Le capt Mike Teeple distribue aux enfants d'une école; maternelle de la Bosnie des bonbons et des jouets donnés; par une école; de sa ville natale en Colombie- Britannique.

Image: Cpl Doug Desrochers

fenêtres; bien ajustées; nous permettraient d'économiser; beaucoup d'argent pendant les mois d'hiver. Cet argent pourrait être; consacré à la restauration d'autres salles de classe endommagées.; C'était; une splendide installation, et elle le redeviendra. »

Bien qu'il y ait encore beaucoup de travail à faire, les efforts de M. Mesic et des 13 membres de son personnel infatigable semblent produire des résultats; : les enfants ont l'air heureux, et des activités; et des sorties intéressantes; les tiennent occupés; pendant la plus grande partie de la journée.;

M. Mesic espère; que ce premier contact avec les él;èves; et le personnel de l'école; primaire de Chetwynd, grâce; au capt Teeple, ne sera pas le dernier : il veut maintenir le contact en envoyant des dessins et des textes créés; par les enfants de son école; aux él;èves; de Little Prairie.

Le ltv Phillips est OAP au QG de la DMN (SO).

La croisade de Brenda


Brenda's crusade


par Aline Dubois

Lorsqu'en 1999, Brenda Carlson-Needham, d'Edmonton (Alb.) a su que le parc de l'école; primaire Belmont où vont ses

enfants allait devenir une aire de stationnement, elle a alerté son mari, un autre parent et un professeur de l'école;, et ensemble, ils ont décid;é que le parc conserverait sa vocation première.;

La croisade de Brenda a duré une année.; Une année; de manches retroussées; et de vents contraires. Première; difficulté : convaincre une communauté parfois récalcitrante; à un projet selon elle trop ambitieux. Deuxième; difficulté : trouver les 150 000 $ nécessaires; à la construction du nouveau parc.

La cavalcade des levées; de fonds a commencé, avec son cortège; de demandes de subventions et de dons. Les él;èves; de l'école; eux-mêmes; ont recueilli 4500 $ dans un marathon de saut à la corde. Des bingos ont ét;é organisés.; Parallèlement;, il a fallu choisir les entrepreneurs qui implanteraient le nouveau parc. Il fallait aussi déterminer; l'équipement; de terrain de jeu qui serait mis

à la disposition des jeunes, balançoires;, glissoires et autres, choisir les arbres, les lumières;, les couleurs, s'assurer que le parc serait accessible aux handicapés;, le tout conformément; aux règles; de sécurit;é.;

Brenda et son équipe; n'ont jamais perdu espoir. Même; lorsqu'ils ont appris que le coût; réel; des travaux s'él;èverait; à 202 000 $ au lieu des 150 000 $ initialement prévus; et qu'il faudrait redoubler d'efforts pour trouver la somme nécessaire.; Parce qu'au fur et à mesure que les choses semblaient se concrétiser;, d'autres parents, d'autres enseignants se sont joints à la petite équipe; du départ.; À tel point que lorsque le grand jour est arrivé, les bras ne manquaient pas et le parc a ét;é construit en trois jours.

Le stationnement a ét;é relégu;é aux oubliettes. Lorsque Brenda passe devant « son » projet, qu'elle y voit jouer des enfants de tous âges;, des béb;és; y faire leurs premiers pas, des personnes âg;ées; s'y reposer à l'ombre encore timide des arbres, elle est heureuse et fière.;

« Que le parc Belmont profite aujourd'hui à la communauté entière; suffit à mon bonheur », déclare-t-elle; simplement.

Brenda Carlson-Needham travaille depuis environ six ans pour le Bureau des ressources humaines civiles du MDN.

By Aline Dubois

When Brenda Carlson-Needham, an Edmonton DND employee, learned that the park where children from Belmont Elementary School played was slated to become a parking lot, she told her husband, another parent and a school teacher. They decided the park should retain its orginal purpose.

Brenda's crusade, which began in 1999, would take a year of rolled-up sleeves and pushing on despite a string of bad news.The first problem was convincing a sometimes reluctant community to support a project some perceived as overly ambitious. The second hurdle was finding the $150,000 needed to build a new park.

The roller-coaster fund-raising ride included an unending series of request for grants and loans. Students from the school managed to raise $4,500 from a skipping marathon. Bingos were held. At the same time, contractors had to be selected to build the new park.

Brenda's group also had to select the type of playground equipment to be used by the children, such as teeter-totters and slides; decide on the trees, lights, and colour scheme; make the park accessible to the handicapped; and finally, ensure that everything adhered to safety regulations.

Brenda and her team never lost hope, even when they learned that the actual cost of the job would be $202,000, rather than the initial estimate of $150,000, and that they would have to redouble their efforts to find the necessary funds.

As the pieces seemed to start falling into place, other parents and teachers decided to join the pioneers who had started the ball rolling. They volunteered in such numbers that when the big day finally dawned, there was no lack of helping hands, and the park was completed in three days.

The parking lot project is finished-and forgotten by many. But when Brenda walks in front of "her;" project and sees children of all ages playing there-babies taking their first steps and senior citizens resting in the still-sparse shade of young trees-she is proud and happy:

"All; I need to make me happy is for the entire community to benefit from Belmont Park," she said simply.

Brenda Carlson-Needham has worked for the past six years for the Civilian Human Resources Office.

Vol. 4 No. 29 * 2001


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