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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Un défil;é haut en couleur


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

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Image: MCCORD MUSEUM / MUSÉE; MCCORD, MONTRÉAL;

September 13, 1759

Upstream of Québec;, the besieged capital of New France, the British invasion army commanded by Major-General James Wolfe is packed into flat-bottomed boats lying motionless in the St. Lawrence River. At 2 a.m., the tide begins to ebb, a lantern blinks at the masthead of HMS Sutherland, and every boat in the vast silent flotilla casts off to ride the tide downstream to the Anse-au-Foulon, a shallow cove with a narrow beach at the foot of the 50 m cliff  
that protects  
the west flank  
of the city.

With a b r e e z e from the west and the ebb tide running at three knots, the boats make good time. They cling to the south shore as long as possible, then veer across the river to make the final approach.

On the north shore, the sentries are observant, but trusting: when they challenge the lead boats-"Qui; vive?"-and; Captain Fraser of the 78th Regiment of Foot (Fraser's Highlanders) answers them in French-"La; France! Vive le roi!"-they; run along the shore in the dark, crying, "Laissez-les; passer; ils sont nos gens avec les provisions!" ("Let; them through, it's our people with the supplies!")

The racing tide rushes the boats into the Anse-au-Foulon, and the troops quickly hit the beach and start climbing.

The cliff is traversed by a path just wide enough for two men to walk abreast, and more than 4 000 soldiers use it to ascend in full fighting order, dragging light field guns and two six-pounder cannon borrowed from the Navy. At 9 a.m., eight battalions of line infantry, with grenadiers, light infantry and artillery, are arrayed on the Heights of Abraham, before the Porte St-Louis.

Only a few weeks ago, Lieutenant-General the Marquis de Montcalm, commander-in-chief of the French and Canadian forces defending Québec;, dismissed the idea of a British assault on the Anse-au-Foulon, saying,

"We; need not suppose that the enemy have wings."

Summer 1759: MGen James Wolfe, portrayed by one of his senior officers, Brigadier George

Townshend.

Ét;é 1759. Le mgén; James Wolfe, représent;é par l'un de ses officiers supérieurs;, le brigadier George Townshend.

13 septembre 1759

En amont de Québec;, la capitale assiég;ée; de la Nouvelle-France, l'armée; des envahisseurs britanniques sous le commandement du major-gén;éral; James Wolfe se tient coite dans des embarcations à fond plat ancrées; dans le fleuve Saint-Laurent. À deux heures du matin, la marée; commence à se retirer; un feu clignote à la tête; du mât; du HMS Sutherland. À ce signal, chaque embarcation de la vaste flottille silencieuse s'ébranle; pour profiter du jusant et descendre jusqu'à l'Anse-au-Foulon, petite crique à la plage étroite; sise au pied de la falaise de 50 m qui sert de rempart à la ville, sur son flanc ouest.

Profitant du vent d'ouest et du jusant qui permet d'avancer à une vitesse de trois noeuds, les bateaux progressent rapidement. Ils collent de près; à la rive sud le plus longtemps possible, puis met- tent le cap pour traverser le fleuve en approche finale. Sur la rive nord, les sentinelles sont à l'affût;, mais elles sont confiantes lorsqu'elles confrontent le premier navire au cri de « Qui vive? » et que le capitaine Fraser, du 78th Regiment of Foot (Fraser's Highlanders), leur répond; en français; : « La France! Vive le roi! » Les sentinelles courent le long du rivage, criant dans le noir : « Laissez- les passer; ce sont nos gens avec les provisions! »

La marée; propulse les bateaux dans l'Anse-au-Foulon. Les troupes débarquent; prestement sur la plage et se lan- cent à l'assaut de la falaise. Celle-ci est sillonnée; par un sentier à peine assez large pour que deux hommes puissent y marcher de front; plus de 4 000 soldats s'y engagent avec l'attirail de combat complet, traînant; avec eux des canons de campagne légers; et deux canons de six livres empruntés; à la Marine. À neuf heures, huit bataillons de l'infanterie de ligne, des grenadiers, l'infanterie lég;ère; et l'artillerie sont déploy;és; sur les hauteurs

des plaines d'Abraham, juste devant la porte Saint-Louis.

Quelques semaines plus tôt; à peine, le lieutenant-gén;éral; commandant en chef des forces canadiennes et françaises; en poste pour défendre; Québec;, le marquis de Montcalm, avait réfut;é l'éventualit;é d'une attaque des Britanniques à l'Anseau-Foulon en disant qu'il ne fallait tout de même; pas présumer; que l'ennemi avait des ailes.

Texte et photo de Buzz Bourdon

La cér;émonie; de la parade du drapeau est un défil;é militaire des plus complexes et des plus spectaculaires.

Cette cér;émonie;, dont les origines remontent à une version de la relève; de la garde datant du milieu du XVIIIe siècle;, consiste à faire parader, ou défiler;, le drapeau de la Reine ou celui d'un bataillon d'infanterie devant les soldats afin qu'ils apprennent à le reconnaître.;

Jusqu'en1881, les régiments; britanniques apportaient leurs drapeaux au combat afin de s'en servir comme point de ralliement au milieu du chaos du champ de bataille. Chaque soldat devait absolument apprendre à reconnaître; ces précieux; symboles dans le feu de l'action.

Après; le défil;é de la fanfare de gauche à droite sur le terrain de parade, au son de marches lentes et de marches rapides, l'escorte du drapeau s'avance pour le

récup;érer.; Jusqu'à ce moment-là, la garde du drapeau était; assurée; par trois militaires du rang comme marque de confiance dans les compétences; des militaires de grades subalternes.

Portant son ép;ée; dans la main droite, la seule fois où elle est dégain;ée; durant le défil;é, le sergent-major régimentaire; remet alors le drapeau à un subalterne.

Après; avoir présent;é les armes au drapeau, l'escorte le fait défiler; le long des rangs des soldats rassemblés; au garde-àvous;, présentant; leurs fusils C-7 en hommage au drapeau.

Pour clôturer; cette impressionnante cér;émonie; qui se déroule; sur le terrain de parade, les soldats défilent; au pas ralenti et au pas cadencé.;

Le 26 août;, la Garde de cér;émonie; d'Ottawa a fait parader le drapeau pour marquer de façon; spectaculaire la fin de la saison des services d'honneur 2001. Le major John Redmon agissait comme commandant lors de la cér;émonie.;

Deux cents soldats des Governor General's Foot Guards (GGFG) d'Ottawa et des Canadian Grenadier Guards de Montréal; étaient; rassemblés; pour l'occasion. Depuis 1969, les deux unités; fournissent des soldats pour la cér;émonie; de la relève; de la garde sur la colline du Parlement. La Musique de la Garde de cér;émonie; était; également; présente.;

L'escorte du drapeau s'est avancée; pour

le récup;érer;, l'adjudant-chef D. R. Bradley a remis le drapeau régimentaire; des GGFG au sous-lieutenant J. R. Palframan, puis on a fait parader le drapeau.

Au terme de la cér;émonie;, les soldats ont défil;é devant le colonel honoraire des GGFG, Ray Hnatyshyn, récemment; nommé à ce poste pour la seconde fois.

Image: L'adjuc D. R. Bradley, à gauche, se pré-; pare à accepter le drapeau régimentaire; des GGFG présent;é par l'escorte formée; demilitaires du rang.CWO D. R. Bradley, left, prepares to accept the GGFG Regimental Colour from its escort of non-commissioned members.

A regiment's true colours are trooped


Text and photo by Buzz Bourdon

The Trooping the Colour ceremony is one of the world's most intricate and visually splendid of military parades.

Tracing its ancestry back to an old guard mounting ceremony from the mid- 18th century, the ceremony involves having the Queen's Colour or Regimental Colour of an infantry battalion trooped, or marched, in front of the soldiers so they learn to recognize it.

Until 1881, British regiments carried their colours into battle to serve as a rallying point amid the chaos of the battlefield. It was vital that each soldier learn to recognize these symbolically precious symbols during the heat of battle.

After the band marches across the parade square playing both slow and quick marches, the escort for the colour marches out to retrieve the colour. Up to this point, it is guarded by three non-commissioned members as a token of confidence in the abilities of the junior ranks.

Carrying his sword in his right hand, the only time he parades with it drawn, the regimental sergeant-major then transfers the colour to a subaltern.

After presenting arms to the colour, the escort to the colour marches it down the long ranks of the soldiers on parade, standing rock steady with their C-7 rifles at the present in tribute to the colour.

To finish this impressive display of parade square ceremony, the troops march past in slow and quick time.

On August 26, Ottawa's Ceremonial Guard trooped the colour as a splendid finale to the 2001 public duties season. Major John Redmon commanded the ceremony.

On parade were 200 soldiers from Ottawa's Governor General's Foot Guards (GGFG) and Montreal's Canadian Grenadier Guards. Both units have been contributing troops to the changing of the guard ceremony on Parliament Hill since 1969. The Band of the Ceremonial Guard was also present.

After the escort to the colour marched out to retrieve it, Chief Warrant Officer  
D. R. Bradley transferred the GGFG's Regimental Colour to Second-Lieutenant  
J. R. Palframan before it was trooped. As a finale, the troops marched past GGFG Honorary Colonel Ray Hnatyshyn, recently appointed to this post for the second time.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Extraordinary seamen


Deux matelots extraordinaires


By Buzz Bourdon

Crawling through mud and humping heavy rucksacks on route marches might seem like a strange for a mother and her son to bond, but that's how Ordinary Seaman Josée; Tessier and OS Gabriel Tessier spent two long months this summer.

The pair may have made CF history when they graduated together August 24 from an eight-week course in the Naval Reserve Training Division at CFB Borden. Both reservists are members of HMCS Radisson, in Trois-Rivières;, Que.

The Tessiers, who trained in the course's Shawinigan Platoon, said they were motivated to excel by the memory of the late Corporal Léo; Tessier, OS Josée; Tessier's father. Cpl Tessier fought in Korea with the Royal 22e Régiment.;

Before arriving at CFB Borden, OS Josée; Tessier, 37, thought she was in for one hard course. Reality was a bit different. "It; was less hard than I thought, but it wasn't a vacation," she said. "The; lack of sleep made it harder physically and emotionally."

On the go from 5:30 a.m. to lights out at 11 p.m., there was practically no time to think because life was so busy. "I; planned my life personally, but [the instructors] wanted us to help each other," she said. "There; was always someone to help. I learned not to ignore problems, but to solve them."

For OS Gabriel Tessier, 17, the best part of the course was the field training, including rappelling, map and compass work, and shooting on the range.

"I; really liked it. We learned a lot of things," he said. "People; told me it would be hell, but I didn't have time to think it was hard [because] they kept us so busy."

Now in college to study electronic design, he plans to become a Navy diver. His mother, a welder by trade, wants to qualify as a supply technician. She hopes to back at CFB Borden in October for her trade course.

par Buzz Bourdon

Il peut sembler étrange; qu'une mère; et son fils choisissent de ramper dans la boue, de lourds havresacs au dos, au cours de longues marches forcées;, mais c'est ce qu'ont fait le matelot de troisième; classe Josée; Tessier et le mat 3 Gabriel Tessier pendant deux longs mois cet ét;é.;

La mère; et le fils passeront peut-être; à l'histoire des FC car, le 24 août; dernier, ils ont terminé ensemble avec succès; un cours de huit semaines à la Division d'entraînement; de la Réserve; navale, à la BFC Borden. Les deux réservistes; font partie de l'équipage; du NCSM Radisson, à Trois-Rivières; (Qc.).

Les Tessier, qui ont fait leur instruction dans le Peloton Shawinigan du cours, ont ét;é selon eux poussés; à la réussite; par le souvenir du caporal Léo; Tessier, aujourd'hui déc;éd;é, qui a pris part à la guerre de Corée; dans le Royal 22e Régiment.; C'était; le père; du mat 3 Josée; Tessier.

Avant d'arriver à la BFC Borden, le mat 3 Josée; Tessier, 37 ans, s'attendait à ce que le cours soit particulièrement; difficile, mais la réalit;é s'est avér;ée; un peu différente.; « C'était; moins difficile que je le croyais, mais ce n'était; pas une sinécure;, a-t-elle affirmé.; Le manque de sommeil rendait tout plus difficile physiquement et émotionnellement.; »

De 5 h 30 du matin jusqu'à l'extinction des feux, à 23 h, il y avait tant de choses à faire qu'il était; presque impossible de trouver du temps pour penser. « Je planifiais mes propres activités;, mais les instructeurs voulaient qu'on aide les autres, a-t-elle déclar;é.; Il y avait toujours quelqu'un qui avait besoin d'aide. J'ai appris à régler; les problèmes; plutôt; qu'à les ignorer. »

Quant au mat 3 Gabriel Tessier, 17 ans, la partie du cours qu'il a le plus appréci;ée; a ét;é l'entraînement; en campagne, y compris la descente en rappel, le travail avec carte et boussole, ainsi que le tir.

« J'ai beaucoup aimé le cours. Nous avons appris toutes sortes de choses, a-t-il souligné.; On m'avait prévenu; que ce serait l'enfer, mais j'étais; tellement occupé que je n'avais pas le temps d'y penser. »

Maintenant étudiant; au collège; en conception électronique;, il veut devenir plongeur dans la Marine. Sa mère;, soudeuse professionnelle, désire; être; admise comme technicienne en approvisionnement. Elle espère; revenir à la BFC Borden en octobre pour effectuer son cours de formation professionnelle.

Image: CPL K. C. PAUL

OS Josée; Tessier and her son OS Gabriel Tessier graduated together from a naval training course.

Le mat 3 Josée; Tessier et son fils, le mat 3 Gabriel Tessier, terminent ensemble le cours d'instruction navale.

A journey of hope


Pagayer pour la vie


By Gloria Kelly

Corporal Melanie Mahood's urge to support breast cancer research took her on a voyage of discovery this summer in northern Ontario.

Cpl Mahood, a Medical Assistant with the CFSU Ottawa Health Care Centre, was part of a 10-member team of sea kayakers who paddled across Georgian Bay.

The team members began the 100 km crossing August 13 at Sturgeon Bay, finishing three days later at Parry Sound. They completed one of eight legs in the annual "Paddle; to a Cure: Journeys of Hope" event in which teams paddle parts of Georgian Bay and Lake Superior.

Each team member raised a minimum of $2,500 for the Canadian Breast Cancer Foundation, with an overall goal for the eight-week event of $500,000.

"Paddling; that distance over three days was a challenge, but it was worth all the effort,'' said Cpl Mahood. "To; get through this event took teamwork and endurance as it can be windy in the middle of Georgian Bay-even on the nicest of days.''

To raise the $2,500, Cpl Mahood received a great deal of support from her family, friends and colleagues at work. "Everyone; has been really supportive because they are aware of breast cancer and how important it is to continue to do research looking for a cure.''

As Paddle to a Cure is still relatively new, it is limited to its current location; however, Cpl Mahood said she would like to see a similar event in eastern Ontario, where a lot more paddlers might be interested in taking part; she and her husband drove eight hours to Sturgeon Bay so she could participate.

Having done the paddle once, she said she will make every effort to do so again. Next summer she expects to be posted to CFS Alert, but she is planning her vacation around the paddling schedule for Paddle to a Cure. She has been asked to come back next year as a guide for one of the legs of the event.

Research on breast cancer will always need support until a cure is found, she said. Information about breast cancer and ongoing research can be obtained from the Canadian Cancer Society or Canadian Breast Cancer Foundation.

par Gloria Kelly

La volonté du caporal Melanie Mahood d'appuyer la recherche sur le cancer du sein l'a amenée; à faire un voyage de découverte;,

cet ét;é, dans le Nord de l'Ontario.

Le cpl Mahood, adjointe médicale; au Centre de santé de l'USFC Ottawa, faisait partie d'une équipe; de 10 kayakistes de mer qui a traversé la baie Georgienne.

L'équipe; a entamé le trajet de 100 km le

13 août;, à Sturgeon Bay, et l'a terminé trois jours plus tard dans le détroit; de Parry. Les kayakistes ont parcouru l'un des huit tronçons; de la traversée; annuelle « Paddle to a Cure: Journeys of Hope », pendant laquelle des équipes; se déplacent; en kayak sur la baie Georgienne et le lac Supérieur.;

Chaque membre de l'équipe; a recueilli un minimum de 2 500 $ qui seront remis à la Fondation canadienne pour le cancer du sein. L'objectif total pour les huit semaines de la traversée; se monte à 500 000 $.

« Parcourir cette distance en trois jours constituait tout un défi;, mais ça; en valait la peine, a déclar;é le cpl Mahood. Pour réussir;, il fallait travailler en équipe; et avoir de l'en- durance, car le vent souffle sur la baie Georgienne même; lorsqu'il fait beau. »

Grâce; à l'appui de sa famille, de ses amis et de ses collègues;, le cpl Mahood a pu recueillir les 2 500 $ nécessaires; : « Tout le monde m'a appuyée;, car ils connaissent les dangers du cancer du sein et savent à quel point il est important de poursuivre la recherche pour trouver un remède.; »

Puisque « Paddle to a Cure » en est à ses débuts;, les organisateurs doivent s'en tenir à l'emplacement actuel, mais le cpl Mahood aimerait qu'une activité semblable se tienne dans l'Est de l'Ontario, où beaucoup plus de kayakistes pourraient participer. Son mari et elle ont fait huit heures de route pour se rendre à Sturgeon Bay!

Maintenant que le cpl Mahood a fait la traversée; une fois, elle ne pense qu'à recommencer. Comme elle s'attend à être; affectée; à la SFC Alert l'ét;é prochain, elle compte faire coïncider; ses vacances avec « Paddle to a Cure ».; On lui a demandé de revenir l'an prochain à titre de guide pour l'un des tronçons; du trajet.

D'après; le cpl Mahood, il faut continuer à appuyer la recherche sur le cancer du sein jusqu'à ce qu'on trouve un remède.; Il est possible d'obtenir de l'information au sujet du cancer du sein et de la recherche sur cette maladie auprès; de la Sociét;é canadienne du cancer ou de la Fondation canadienne pour le cancer du sein.

Image: Cpl Melanie Mahood, a Medical Assistant at the CFSU Ottawa Health Care Centre, paddled 100 km across Georgian Bay this summer to support breast cancer research.Le cpl Melanie Mahood, adjointe médicale; au Centre de santé de l'USFC Ottawa, a pagayé sur une distance de 100 km sur la baie Georgienne cet ét;é pour appuyer la recherche sur le cancer du sein.

Vol. 4 No. 22 * 2001


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