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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

October 16, 1944

Near Woensdrecht, a village in the Scheldt estuary of the Netherlands, a new private of The Royal Hamilton Light Infantry (RHLI) peers through a barn window and says to his chum, "Hey;, I didn't know the Americans were fighting here!" It is about 10 a.m., the battle for the Beveland peninsula has been going on for 12 days, and the Rileys have just spotted the beginning of a German counterattack.

Major Joe Pigott, in command of C Company, RHLI, is headquartered near the main road into Woensdrecht. His three platoons dug in during the night, mainly by feel, and he is moving them into better positions when German paratroops accompanied by tanks appear 50 m to his front.They have already over- run A Company.

As Maj Pigott watches in horror, his driver, Private Harry Gram, tries to start a bullet-riddled jeep while a German tank rolls up. The turret of the tank opens, an officer stands up and gestures to Pte Gram to get out of the way, and Pte Gram gets out of the jeep and walks off down the road. In seconds, the German is dead: the tank has taken a direct hit.

C Company is in desperate straits, and Maj Pigott decides on a desperate measure: he orders a "Victor; Target"-all; available artillery strength-on his own position. That done, he makes sure that every man in C Company is firmly stuffed into a slit trench. During the next few minutes, the Army's 312 field guns, firing 10 rounds per gun, pour about 50 tonnes of explosives into C Company headquarters, scattering the attacking paratroops and destroying the German tanks.

As the bombardment eases, Maj Pigott sees the last German self-propelled gun still in action and walks across 100 m of open ground to direct a Canadian anti- tank gun into position to destroy it.

For his actions at Woensdrecht, Maj Pigott later receives the Distinguished Service Order from the hand of Field Marshal Sir Bernard Montgomery.

16 octobre 1944

Près; de Woensdrecht, village de l'estuaire de l'Escaut, dans les Pays-Bas, un soldat de fraîche; date du Royal Hamilton Light Infantry (RHLI) regarde par une fenêtre; de grange et dit à son collègue; : « Tiens! je ne savais pas que les Américains; combattaient ici. » Il était; environ 10 h du matin et la bataille pour la péninsule; de Beveland durait depuis 12 jours. Les Rileys venaient d'apercevoir le début; d'une contre-attaque allemande.

Le major Joe Pigott, commandant de la Compagnie C du RHLI, avait son QG près; de la principale route d'accès; à Woensdrecht. Ses trois pelotons se sont prépar;és; au cours de la nuit, surtout d'instinct, et il leur fait prendre de meilleures positions lorsque les paras allemands, appuyés; par des chars, se pointent, à 50 m devant lui. Ils ont déj;à écras;é la Compagnie A.

Le maj Pigott ne peut qu'observer la scène; avec horreur. Son chauffeur, le soldat Harry Gram, s'efforce de faire démarrer; une jeep criblée; de balles tandis qu'un char allemand s'avance. La tourelle du char s'ouvre, un officier s'en extirpe et, par signes, enjoint au sdt Gram de s'enlever de là.; Le sdt Gram descend de la jeep et s'éloigne.; Quelques secondes plus tard, l'Allemand est mort. Le char vient d'être; frappé directement.

La situation de la Compagnie C est désesp;ér;ée; et le maj Pigott prend alors une décision; tout aussi désesp;ér;ée.; Il appelle une « Victor Target » - toute la puissance de feu de l'artillerie - sur sa position. Cela fait, il s'assure que tous les hommes de la Compagnie C sont bien à l'abri dans la tranchée.; Au cours des minutes qui suivent, les 312 canons de campagne de l'Armée;, qui tirent 10 coups par pièce;, déversent; 50 tonnes d'explosifs sur le QG de la Compagnie C, dispersent les paras et écrasent; les chars allemands.

Comme le bombardement diminue, le maj Pigott aperçoit; le dernier canon automoteur allemand toujours en action; il parcourt 100 m en terrain découvert; pour diriger un canon antichar canadien qui va anéantir; le canon allemand.

Pour sa conduite remarquable à Woensdrecht, le maj Pigott a reçu; l'Ordre du service distingué des mains du feld-maréchal; sir Bernard Montgomery.

Image: 1944: LCol Friedrich von der Heydte, left, commander of the German paratroops defending Woensdrecht.1944. Le lcol Friedrich von der Heydte, à gauche, commandant des paras allemands qui défendent; Woensdrecht.BUNDESARCHIV KOBLENZ / ARCHIVES FÉD;ÉRALES; DE COBLENCE

26 (North Bay) Service Battalion


By Scott Costen

Twenty-five years after it first stood up, 26 (North Bay) Service Battalion is returning to its roots.

"We;'re getting back to supplying real-time support," said Deputy Commanding Officer Major Bob Smith. "We; have some new staff on board and they are really switched on."

Living by the motto Unitate Fortior (Strength in Unity), battalion members in the Ontario cities of North Bay and Sault Ste. Marie provide vital support to fellow reservists and to CF operations at home and abroad.

"We; originated on September 13, 1976, and started out as a service support company to the Northern Ontario units," said Maj Smith. "Since; then our role has grown considerably."

The 26 Svc Bn headquarters element and Supply & Transport Company parade in North Bay, while Maintenance Company parades in Sault Ste. Marie. The unit's 90 members are split evenly between the two locations.

Members of 26 Svc Bn come from near and far. "We; have one individual who drives all the way from Wawa to Sault Ste. Marie [about 250 km]," said Maj Smith. "That;'s real dedication."

The unit is home to cooks, clerks, drivers, vehicle technicians, weapons technicians and those in other military occupations. "We; had a Military Police platoon that originated in the 1980s and had 12 to 15 members at its peak," said Maj Smith. "They; were a heavily tasked force and supported the Regular Force and Reserve Force very well." 26 Svc Bn has sent members on overseas operations in places such as Bosnia-Herzegovina, Kosovo and the Golan Heights. It supported domestic operations during the 1997 Manitoba flood and the 1998 ice storm.

The unit is committed to maintaining a "community; footprint" through events like the annual Santa Fund campaign. "We; get the community into the armoury and onto the parade square," said Maj Smith. Unit members and volunteers then fill baskets with non-perishable food items for distribution to less-fortunate residents. "At; the end of the night, you have a sea of baskets filled with foodstuffs."

A quarter century after it first stood up, 26 Svc Bn is looking forward to a bright future. "It;'s an exciting time," said Maj Smith. "We; are providing realistic training for the troops and our capabilities are expanding."

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Le 26

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Bataillon des services (North Bay)


par Scott Costen

Vingt-cinq ans après; avoir ét;é mis sur pied, le 26e Bataillon des services (North Bay) retourne à ses origines.

« Nous revenons à notre fonction de soutien en temps réel; », indique le commandant adjoint, le major Bob Smith. « De nouveaux membres se sont joints à nous; ils sont vraiment enthousiastes. »

Forts de leur devise Unitate Fortior (L'union fait la force), les membres du bataillon basés; dans les villes ontariennes de North Bay et Sault Ste. Marie offrent un appui indispensable à leurs collègues; réservistes; et aux opérations; des FC au pays et à l'étranger.;

« Le bataillon a ét;é créé le 13 septembre 1976 à titre de compagnie de service de soutien pour les unités; du Nord de l'Ontario, explique le maj Smith. Depuis, notre rôle; s'est considérablement; accru. »

L'él;ément; du quartier gén;éral; et la com

pagnie d'approvisionnement et de transport du 26 Bon Svc servent à North Bay, alors que la compagnie de maintenance est installée; à Sault Ste. Marie. Les 90 membres de l'unité sont divisés; également; entre ces deux endroits.

Les membres du 26 Bon Svc viennent parfois d'assez loin. « Un des membres doit même; parcourir environ 250 km de Wawa jusqu'à Sault Ste. Marie, précise; le maj Smith. C'est ce qu'on appelle du vrai dévouement.; »

L'unité compte des cuisiniers, des commis, des conducteurs, des techniciens de véhicules;, des techniciens d'armement et d'autres groupes professionnels militaires. « Un peloton de police militaire a déj;à fait partie de l'unité, indique le maj Smith. Il avait ét;é mis sur pied dans les années; 1980 et a compté de 12 à 15 membres au plus fort de ses activités.; Le peloton avait une charge de travail considérable; et soutenait très; bien la Force réguli;ère; et la Réserve.; »

Des membres du 26 Bon Svc ont participé à des opérations; à l'étranger;, notamment en Bosnie-Herzégovine;, au Kosovo et sur le plateau du Golan. Le bataillon a appuyé des opérations; intérieures; pendant l'inondation de 1997 au Manitoba et la tempête; de verglas de 1998.

L'unité participe à la vie de la commu

nauté grâce; à des activités; comme la campagne annuelle du fonds de Noël.; « Nous amenons des gens de la communauté dans le manège; militaire, puis sur le terrain de parade », précise; le maj Smith. Des membres de l'unité et des bén;évoles; remplis- sent des paniers de denrées; non périssables; qui seront ensuite distribuées; aux moins favorisés.; « À la fin de la soirée;, le sol est couvert de paniers de victuailles. »

Un quart de siècle; après; sa création;, l'avenir est prometteur pour le 26 Bon Svc.

« C'est une période; très; excitante, estime le maj Smith. Nous offrons une instruction réaliste; à nos soldats, et nos capacités; augmentent. »

To suggest a unit portrait, call Scott Costen at (613) 996-9283.

Pour suggérer; un portrait d'unité, communiquez avec Scott Costen au (613) 996-9283.


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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



National Defence Charitable Campaign


Campagne de charité de la Défense; nationale


Give for a good cause


Soyons gén;éreux;!


By Scott Costen

Your donation is needed for those who are less fortunate.

"We; live in this community and are part of it," said Colonel Chuck Davies, leader of the National Defence Charitable Campaign (NDCC) in the National Capital Region. "It;'s important that we make our collective investments in our community."

Across Canada this fall, CF units are launching the NDCC, in which volunteer canvassers will collect donations.

"Ask; questions of the canvassers," said Lieutenant(N) Nathalie Garcia, co-chair of the campaign in Victoria, B.C. "If; people learn more about United Way and Healthpartners, I think they'll find they are very worthy causes." Donations benefit the 125 agencies and organizations funded by the United Way and Healthpartners.

Col Davies expressed his gratitude for the tireless efforts of the canvassers. "This; is the International Year of the Volunteer, and our canvassers are the linchpins of this campaign. I admire their commitment."

Lt(N) Garcia agreed canvassers are extraordinary volunteers. "I; am amazed by the level of dedication shown by the canvassers," she said. "They; put so much time and imagination into the campaign."

Donations support initiatives such as after-school programs for children, assistance for people with disabilities, social services for the elderly, and transportation for cancer patients.

The National Defence campaign is part of the Government of Canada Workplace Charitable Campaign.

par Scott Costen

Nous avons besoin de vos dons pour venir en aide aux moins fortunés.; « Nous demeurons dans cette communauté et nous en faisons partie », déclare; le colonel Chuck Davies, chef de la Campagne de charité de la Défense; nationale (CDN) dans la région; de la capitale du Canada. « Il est important que nous investissions tous dans notre communauté.; »

Cet automne, les unités; des FC de partout au pays lancent la CCDN, durant laquelle des solliciteurs bén;évoles; recueilleront vos dons.

« Posez des questions aux solliciteurs bén;évoles; », insiste le lieutenant de vaisseau Nathalie Garcia, coprésidente; de la campagne à Victoria (C.-B.). « Si les gens en connaissent davantage sur Centraide et PartenaireSanté, je crois qu'ils découvriront; qu'il s'agit de très; nobles causes. » Les dons sont versés; aux 125 organismes subventionnés; par Centraide et PartenaireSanté.;

Le col Davies exprime sa gratitude envers les solliciteurs qui travaillent sans relâche; : « C'est l'Année; internationale des bén;évoles;, et nos solliciteurs sont les piliers de la Campagne. J'admire leur dévouement.; »

Le ltv Garcia convient que les solliciteurs sont des bén;évoles; extraordinaires : « Le degré d'engagement des solliciteurs m'épate.; Ils mettent tellement de temps et d'imagination dans la Campagne. »

Les dons appuient des initiatives telles que des programmes parascolaires pour enfants, des services d'aide pour les personnes handicapées;, des services sociaux destinés; aux personnes âg;ées; et des services de transport pour des patients cancéreux.;

La Campagne de la Défense; nationale s'inscrit dans le cadre de la Campagne de charité en milieu de travail du gouvernement du Canada.

Image: SGT DENNIS MAH, COMBAT CAMERA

The annual United Way campaign in DND kicked off with a range of events across the country. In Ottawa, military police member Cpl Sébastien; Paradis had the task of "arresting;" ADM (HR-Mil) LGen Christian Couture as part of the Jail and Bail fund-raiser, which raised more than $3 000.

La campagne annuelle de Centraide au MDN a début;é par une gamme d'activités; dans tout le pays. À Ottawa, le cpl Sébastien; Paradis, policier militaire, avait le mandat d'« arrêter; » le lgén; Christian Couture, SMA(RH-Mil), dans le cadre de la levée; de fonds « incarcération; et caution », qui a rapporté plus de 3 000 $.

Un instructeur de la réserve; aérienne; spécialiste; du coaching

par le capt Jeff Manney

Le major Paul Weed, instructeur bén;évole; de hockey amateur et membre de la Réserve; aérienne;, est censé se tenir derrière; le banc, pourtant il passe beaucoup de temps au centre de la patinoire.

En effet, le maj Weed, militaire depuis 35 ans et instructeur depuis plus de 25 ans, a reçu; le Hockey Development Award de la British Columbia Amateur Hockey Association (BCAHA). Ce prix souligne les services exceptionnels de bén;évoles; qui contribuent au coaching dans la BCAHA.

C'est la troisième; fois qu'il mérite; une distinction d'importance et pourtant, il précise; que ça; ne veut pas dire qu'il sait tout : « Après; ma première; séance; d'instructeur, je suis rentré chez moi et j'ai dit à ma femme que je ne connaissais rien au hockey. Depuis ce temps-là, j'apprends. »

Le maj Weed, autrefois de la Police militaire et maintenant membre de la 19e Escadrille de la réserve; aérienne; à la 9e Escadre Comox, est amateur de hockey depuis toujours. La série; du siècle; de 1972 entre le Canada et l'Union soviétique; l'a poussé à devenir instructeur : « Après; avoir vu les Soviétiques;, je me suis dit que si nous étions; pour jouer au hockey, nous devions nous y appliquer et vraiment apprendre à l'enseigner. »

Depuis, le maj Weed a ét;é instructeur de nombreuses équipes; d'amateurs, les menant à la victoire. Il a mérit;é à deux reprises le prix d'instructeur de l'année.; Son c.v. d'instructeur tient en trois pages et pourtant, son troisième; prix a plus à voir avec les parents et les autres instructeurs qu'avec les joueurs eux-mêmes.; « Les adultes vont ficher le bordel s'ils en ont l'occasion, blâme-t-il.; Ils ont accaparé le sport et oublié les enfants. »

Le maj Weed a ét;é au nombre des promoteurs de plusieurs programmes de l'Association canadienne de hockey visant

Maj Paul Maj Weed, centre, accepts the BCAHA Hockey Development Award from past-president Bob Woodward, left, and Brian Burke, the general manager of the Vancouver Canucks.

Le maj Paul Weed, au centre, accepte le Hockey Development Award de la BCAHA des mains du président; sortant, Bob Woodward, à gauche, et de Brian Burke, directeur gén;éral; des Canucks de Vancouver.

Image: 19 WING / 19e ESCADRE COMOX

à rendre le hockey aux enfants. Il a aidé à coordonner le programme Team First, qui veut réduire; la violence non pas sur la patinoire, mais dans les gradins. Le programme a pour but de signaler aux parents les changements survenus dans le hockey depuis leur enfance.

Le maj Weed voyage dans l'île; de Vancouver pour parler du programme Speak Out, qui a pour but d'éliminer; les agressions physiques, sexuelles et verbales sur la patinoire et à l'extérieur.; Il a aussi ét;é l'un des cinq instructeurs de la Colombie-Britannique choisis pour organiser l'an dernier un programme national de mentorat qui permettra de donner aux enfants les instructeurs les mieux formés; possible.

Le maj Weed assure que son engagement à l'endroit du hockey lui vient de son service militaire : « J'estime que mon devoir de militaire est de participer à la vie de ma communauté.; Il y a tant de parallèles; avec les FC.Vous apprenez à travailler en équipe;, pas seulement à compter des buts.Vous les préparez; aussi. »

Le maj Weed dit espérer; continuer à faire office d'instructeur et à concevoir des programmes qui permettront au hockey de demeurer un sport sûr; et amusant. Il continue à consacrer son énergie; aux enfants : « Rendons le hockey aux enfants. C'est à eux, pas à nous. »  
Le capt Manney est l'officier d'affaires publiques de la 19e Escadre Comox.

Air Reservist nets third coaching award

By Capt Jeff Manney

For someone who is supposed to be standing behind the bench, volunteer amateur hockey coach and Air Reservist Major Paul Weed is spending a lot of time at centre ice these days.

Maj Weed, who has been in the CF for 35 years and a coach for more than 25 years, received the Hockey Development Award from the British Columbia Amateur Hockey Association (BCAHA) The award recognizes outstanding service by volunteers who assist coaching in the BCAHA.

Although it is his third major coaching award, Maj Weed says even scoring this hat trick doesn't mean he knows it all. "After; I took my first coaching clinic, I came home and told my wife, 'You know, I don't know anything about the sport,' " said Maj Weed. "I;'ve been learning ever since."

Maj Weed, a former member of the Military Police and now the commander of 19 Air Reserve Flight at 19 Wing Comox, has been a lifelong hockey fan; but he says it was the classic 1972 series between Canada and the Soviet Union that spurred him into coaching. "After; watching the Russians, I thought, boy, if we're going to play this game, we should do our best at it and really learn to teach it."

Since then, Maj Weed has coached a variety of amateur teams to victory, picking up two awards for coach of the year along the way. But while his coaching résum;é spans three pages, Maj Weed says his latest award has more to do with coaching parents and other coaches than players themselves. "Adults; will screw something up if you give them the chance," said Maj Weed. "They;'ve taken over the sport and forgotten about the children."

Maj Weed has had a guiding hand in several Canadian Hockey Association programs designed to give the game back to children. He's helped co-ordinate the Team First program, which seeks to reduce violence not on the ice, but in the stands: its goal is to educate parents about how the game has changed since they were kids.

Maj Weed travels Vancouver Island to give clinics on the Speak Out program, aimed at eliminating physical, sexual and verbal abuse on and off the ice. He was also one of five coaches selected from British Columbia last year to organize a nationwide coach mentorship program, which will give kids the best-trained coaches possible.

Maj Weed says his commitment to the game is rooted in his military service. "I; consider it my duty as a military person to be involved in my community," he said. "And; there are so many parallels with the [CF]. You learn to work as a team, and not just score goals, but set them as well."

Maj Weed says he hopes to continue with coaching and designing programs that will keep hockey both safe and fun. His energies, as always, are focussed on the children. "Let;'s get the game back to the kids," he said. "After; all, it's their game, not ours." Capt Manney is the Public Affairs Officer at 19 Wing Comox.

Vol. 4 No. 36 * 2001


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