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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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This page contains both English and French articles.

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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

October 26, 1917

In Flanders, the Canadian Corps under Lieutenant-General Sir Arthur Currie joins the long struggle to drive the Germans away from Ypres. Since July, Allied troops have been floundering through fields of mud to attack the Germans' higher, drier positions, and the Canadians are replacing the exhausted Australian Corps. The current objective is to shove the Germans off a ridge about 10 km northeast of Ypres. On top of that ridge is a smear of brick dust that used to be a village called Passchendaele.

Field conditions around Ypres are unspeakable. The battlefield consists of 5 km2 of slimy, yellow mud so deep and so liquid that vehicles cannot move, wounded men sink without trace, and exhausted soldiers risk drowning if they slip off the duckboards. Food and ammunition reach the trenches on the backs of men also burdened with up to 30 kg of mud and water in their clothing. Everyone is exhausted, but no one can rest, let alone sleep: German

artillery and Gotha bombers strafe right back to the reserve trenches.

During the last two weeks, 21 Canadian engineer companies and 9 Canadian pioneer battalions have been in the battlefield under fire building roads, drainage ditches and firing platforms for the artillery. Almost 1 500 combat engineers are already dead or wounded. The infantry advance is timed and phased to conserve the men's strength and to keep them behind the supporting artillery barrage. Movements are co-ordinated by wireless, a technique the Canadians learned last summer during the successful campaign against Hill 70.

The German forward positions are concrete pillbox machine-gun posts, sited for mutual support and backed by well-built trenches with barbed-wire barricades. To get past them, the Canadians have to survive the withering fire they lay down, and get up close enough to lob grenades directly at the occupants: skilled soldiers who do not run away or surrender under any other circumstances.

On November 7,  
Passchendaele falls to the Canadian Corps, which has lost more than 15 000 casualties. Seven Canadians have earned the Victoria Cross since October 26.

Depuis deux semaines, 21 compagnies de sapeurs canadiens et 9 bataillons de pionniers sont actifs sur le champ de bataille. Malgré des tirs nourris, ils bâtissent; des chemins, creusent des tranchées; de drainage et installent des plates-formes de tir pour l'artillerie. Tout près; de 1 500 sapeurs sont déj;à morts ou blessés.; L'avancée; de l'infanterie est régl;ée; par

étapes;, de façon; que les hommes puissent ménager; leurs forces et se tenir à l'abri, derrière; le barrage d'artillerie de soutien. Les déplacements; des soldats sont coordonnés; grâce; au tél;égraphe; sans fil. Il s'agit d'une technique que les Canadiens ont apprise l'ét;é préc;édent;, au cours de l'assaut réussi; contre la côte; 70.

Sur les positions avancées; des Allemands sont construites des casemates en béton; qui servent de postes de tir à la mitrailleuse. Ces casemates sont placées; de manière; à profiter d'un appui-feu, et elles s'appuient sur des tranchées; bien construites et protég;ées; par des barricades de barbelés.; Pour les contourner, les Canadiens doivent affronter un barrage de tirs et s'approcher suffisamment pour lancer des grenades directement sur les occupants, c'est-à-dire; sur des soldats aguerris qui ne s'enfuient pas et qui ne se rendent jamais.

Le 7 novembre, le Corps d'armée; canadien s'empare de Passchendaele après; avoir perdu 15 000 hommes. Depuis le 26 octobre, sept Canadiens ont mérit;é la Croix de Victoria.

Image: October 1917: A wounded Canadian and a German prisoner light each other's cigarettes near Passchendaele, in Flanders. Octobre 1917. Près; de Passchendaele, en Flandre, un Canadien blessé et un prisonnier allemand s'allument mutuellement une cigarette.NATIONAL ARCHIVES OF CANADA / ARCHIVES NATIONALES DU CANADA

26 octobre 1917

En Flandre, le Corps d'armée; canadien, placé sous les ordres du lieutenant-gén;éral; sir Arthur Currie, se joint à la lutte entreprise depuis longtemps pour bouter les Allemands hors d'Ypres. En effet, les troupes alliées;, qui pataugent depuis juillet dans des champs de boue, tentent de repousser les Allemands, qui occupent des positions élev;ées; et asséch;ées.; Les Canadiens sont appelés; à prendre la relève; des hommes épuis;és; du Corps d'armée; australien. Ils ont comme objectif de déloger; les Allemands d'un plateau situé à une dizaine de kilomètres; d'Ypres. Sur ce plateau se trouvait un village appelé Passchendaele, dont il ne reste que des amas de briques fumantes.

L'état; des lieux est épouvantable.; Le champ de bataille est en fait un terrain de 5 km2 de boue jaune et grasse. Les camions y restent pris, les blessés; s'y noient sans laisser de traces et les soldats épuis;és; risquent aussi de s'y noyer si, en perdant pied, ils tombent en bas de planches appelées; caillebotis. Les rations et les munitions doivent être; portées; par des hommes déj;à ralentis par leurs uniformes, qui pèsent; jusqu'à une trentaine de kilos à cause de la boue et de l'eau.Tout le monde est exténu;é, et personne ne peut se reposer ni même; dormir. C'est que l'artillerie allemande et les bombardiers Gotha mitraillent jusqu'aux tranchées; de réserve.;

HMCS / NCSM

Queen Charlotte


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By Scott Costen

The sailors of HMCS  
Queen Charlotte do the Navy proud on Prince Edward Island.

"There; is a sense of commitment to the CF, to the community and to the unit," said  
Lieutenant(N)  
Paul Pendergast, administration officer with the  
Charlottetownbased Naval Reserve unit.

"We; have an experienced ship's company who are always ready to put their training to the test," he said. "We; all pitch in and work together."

Named after a corvette that fought in the War of 1812, Queen Charlotte was commissioned in 1923 as part of the newly formed Royal Canadian Naval Volunteer Reserve. During the Second World War, she housed and trained recruits from across Canada. Later she served as a demobilization site.

Paid off December 15, 1964, Queen Charlotte was recommissioned on September 17, 1994. She moved into a new, state-of-the-art facility three years later.

"We; have this gleaming jewel of a building, which is a great asset to us," said Lt(N) Pendergast. "It;'s great for morale. People love to work here."

The building is named after Captain(N) Frederick Thornton Peters, a native of Charlottetown who was awarded the Victoria Cross for conspicuous bravery during the Second World War and the Distinguished Service Order and Distinguished Service Cross for gallantry during the First World War.

The ship's new home has enhanced her training capabilities,

par Scott Costen

Les marins du NCSM Queen Charlotte font la fierté de la Marine à l'Île-du-;

Prince-Édouard.; « On sent un réel; engagement à l'égard; des FC, de la communauté et de l'unité », constate le lieutenant de vaisseau Paul Pendergast, officier d'administration au sein de l'unité de la Réserve; navale stationnée; à Charlottetown.

« Nous avons un équipage; expériment;é, toujours prêt; à mettre son instruction à l'épreuve;, ajoute-t-il. Nous mettons tous la main à la pâte; et nous travaillons en collaboration. »

Nommé d'après; une corvette qui a participé à la guerre de 1812, le Queen Charlotte a ét;é mis en service en 1923 lors de la création; de la Réserve; des Volontaires de la Marine royale canadienne. Au cours de la Deuxième; Guerre mondiale, des recrues de partout au Canada y suivaient leur instruction et y étaient; logés.; Par la suite, le navire a servi de site de démobilisation.;

Retiré du service le 15 décembre; 1964, le Queen Charlotte a ét;é de nouveau mis en service le 17 septembre 1994. Trois ans plus tard, il occupait une nouvelle installation ultramoderne.

« Ce grand bâtiment; étincelant; constitue un puissant atout, souligne le ltv Pendergast. C'est bon pour le moral. Les gens aiment travailler ici. »

L'édifice; a ét;é nommé en l'honneur du

capitaine de vaisseau Frederick Thornton Peters, originaire de Charlottetown, qui a reçu; l'Ordre du service distingué et la Croix du service distingué pour sa bravoure devant l'ennemi pendant la Première; Guerre mondiale, ainsi que la Croix de Victoria pour son courage remarquable durant la Deuxième; Guerre.

La nouvelle installation, selon le ltv Pendergast, a amélior;é les capacités; d'instruction du navire : « Nous avons un simulateur de mécanique; diesel qui permet à l'instructeur de présenter; des problèmes; aux ingénieurs; navals. Il s'agit d'un outil d'apprentissage très; utile. »

L'esprit de solidarité sur le navire est

mis en évidence; par de nombreuses initiatives de bienfaisance, telles que le récent; bal des Services Trafalgar, où l'on a recueilli des dons en argent pour la Hospice Palliative Care Association de l'Î.-P.-;É.; C'était; la première; fois depuis une quarantaine d'années; que l'équipage; du Queen Charlotte cél;ébrait; la Journée; Trafalgar, qui souligne la défaite; qu'a fait subir l'amiral Horatio Nelson à la flotte de Napoléon;, le 21 octobre 1805.

Grâce; à leurs services communautaires et à leurs affectations en mer, les matelots du NCSM Queen Charlotte ont gagné l'appréciation; des gens de la région.; « Les gens d'ici respectent quiconque gagne sa vie en mer », affirme le ltv Pendergast.

said Lt(N)

Pendergast. "We; have a diesel trainer that allows the instructor to introduce simulated problems to the marine engineers. It's a very valuable learning tool."

The ship's community spirit is demonstrated through a number of charity initiatives, such as the recent Trafalgar Services Ball, which raised money for the Hospice Palliative Care Association of P.E.I. The ball represented the first time in nearly forty years the ship's company of Queen Charlotte celebrated Trafalgar Day, the defeat of Napoleon's fleet by Admiral Horatio Nelson on October 21, 1805.

Through their community service and seagoing duties, the sailors of HMCS Queen Charlotte have earned the appreciation of local residents. "The; public here has respect for anyone who makes their living on the sea," said Lt(N) Pendergast.

To suggest a unit portrait, call Scott Costen at (613) 996-9283.

Pour suggérer; un portrait d'unité, communiquez avec Scott Costen au (613) 996-9283.


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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



In the footsteps of the Famous Five


Image: Members of the NDHQ Employment Equity Working Group visit the statues of the "Famous; Five" on Parliament Hill.Les membres du Groupe de travail sur l'équit;é en matière; d'emploi du QGDN se sont rendues sur la colline du Parlement pour voir les statues des « Cél;èbres; cinq ».MCpl; / cplc Danielle Bernier, Combat Camera

By Lynne Corkum

October is Women's History Month, and to celebrate the accomplishments of women, the NDHQ Employment Equity Working Group (NDHQ EE WG) visited Parliament Hill to honour the "Famous; Five."

Statues of the Famous Five, situated in a garden,capture the moment on October 18, 1929, when Nellie McClung, Irene Parlby, Henrietta Muir Edward, Louise McKinney and Emily Murphy learn they have been declared "persons;" under Canadian law.

In the 1920s, the five women petitioned the Supreme Court of Canada to declare that women could be appointed to the Senate. The court's negative response was appealed to the British Privy Council, which overturned the Supreme Court's decision, declaring that women were persons and therefore eligible for appointment.

The NDHQ EE WG, which includes representatives from environmental commands and group principals, is tasked with ensuring that the appropriate acknowledgement of commemorative events occurs in recognizing the culture, achievements and contributions of members of four designated groups: women, Aboriginals, persons with disabilities, and visible minorities. The NDHQ EE WG organizes and hosts events in the concourse of NDHQ, where one can enjoy eating foods associated with other cultures, viewing artwork depicting different lifestyles, and learning more about diversity within DND and the CF.

There are a large number of commemorative events during the year, and the NDHQ EE WG attempts to choose at least one for each of the four designated groups. Consultation with the applicable advisory group before each event ensures the appropriate recognition is given to the celebration and special diversity issues are considered.

During Women's History Month this year, the International Year of Volunteers 2001, celebrations focus on the many women who influenced the evolution of Canadian society through volunteering. Information on suggested reading and Web sites related to Canadian women's history can be obtained from the Status of Women Canada site at: www.swc-cfc.gc.ca.

Ms. Corkum is chair of the NDHQ Employment Equity Working Group.

Sur les traces des Cél;èbres; cinq


par Aline Dubois

Octobre, Mois de l'histoire des femmes. Pour souligner leurs réalisations;, le Groupe de travail sur l'équit;é en matière; d'emploi du QGDN s'est rendu sur la colline du Parlement pour rendre hommage aux « Cél;èbres; cinq ».;

Les cinq statues, érig;ées; dans un jardin, évoquent; le moment où Nellie McClung, Irene Parlby, Henrietta Muir Edward, Louise McKinney et Emily Murphy ont appris, le 18 octobre 1929, qu'elles avaient ét;é déclar;ées; des « personnes » en vertu de la législation; canadienne.

Dans les années; 1920, elles avaient présent;é une pétition; à la Cour suprême; du Canada afin que les femmes soient nommées; au Sénat.; La Cour ayant refusé, elles étaient; allées; en appel devant le Conseil privé britannique,qui avait infirmé la décision;

de la Cour suprême; et déclar;é que les femmes étaient; des « personnes » et par conséquent; qu'elles étaient; admissibles à la nomination.

Le Groupe de travail sur l'équit;é en matière; d'emploi du QGDN, qui comprend des représentants; des commandements et des chefs de groupe, est chargé de s'assurer que l'on commémore; dûment; la culture, les réalisations; et les contributions de quatre groupes désign;és; : les femmes, les Autochtones, les personnes handicapées; et les minorités; visibles. Le groupe de travail organise des activités; dans le grand hall du QGDN, pendant lesquelles on peut goûter; des mets de diverses cultures, admirer des oeuvres d'art évoquant; différents; modes de vie et en apprendre davantage sur la diversité au sein du MDN et des FC.

Il y a de nombreux év;énements; commémoratifs; tout au long de l'année; et le Groupe de travail sur l'équit;é en matière; d'emploi du QGDN essaie de choisir au moins un év;énement; pour chacun des quatre groupes désign;és.; En discutant avec le groupe consultatif pertinent avant chaque év;énement;, on a la certitude que l'év;énement; recevra l'attention qu'il mérite; et qu'on tiendra compte des questions liées; à la diversité.;

En 2001, Année; internationale des bén;évoles;, les cél;ébrations; entourant le Mois de l'histoire des femmes étaient; axées; sur les

nombreuses femmes qui ont influencé l'évolution; de la sociét;é canadienne par leur travail bén;évole.; Pour des suggestions de lectures et des sites Web concernant l'histoire des femmes au Canada, on peut consulter le site de Condition féminine; Canada à l'adresse www.swc-cfc.gc.ca

Mme Corkum est présidente; du Groupe de travail sur l'équit;é en matière; d'emploi du QGDN.

Ensuring families get 'the very best service'


By Gloria Kelly

When the crews of east coast Navy ships were told earlier this month they were about to deploy in support of the U.S.led international fight against terrorism, the vast majority were well aware one of the things they did not have to worry about was support for their families during the deployment.

Over the past few years, a volunteer team from the MARLANT Military Family Resource Centre (MFRC) has visited ships and units on a regular basis, providing crews with valuable information, strengthening contacts and basically making sure units are comfortable with the services the MFRC provides.

"We; have made it a priority to keep in touch with the units and CF members, as well as family members,'' said Allison Baker, chair of the MFRC board of directors and a volunteer with the centre for more than five years. "We; are at the point now that when something like this happens, we can swing into action immediately. Best of all, our families know we are on the fast track, and many spouses come in to lend a hand as well.''

Deploying five ships for an extended period of time puts a lot of pressure on resources at the MFRC so the support of volunteers is vital, said Mrs. Baker. Within each ship's network, there are always people who step forward to make sure things run as smoothly as possible while the ship is deployed.

The demand for services beyond what is mandated nationally continues to grow, she said. The MARLANT MFRC offers more than seventy different programs and is continually adding more to meet demand. In many cases, volunteers take the lead in making sure events, activities and programs are successful.

The positive working relationship between staff, volunteers and the CF is a major factor in the success of the centre and its programs, said Mrs. Baker. "Everyone; works to make sure we can provide the very best service possible to families when members are away or when they are home."

Offrir aux familles le « meilleur service possible »


par Gloria Kelly

Lorsque les membres d'équipage; des navires de la côte; Est ont ét;é informés; au début; du mois qu'ils seraient bientôt; envoyés; en mission d'appui à la coalition internationale contre le terrorisme menée; par les États-Unis;, la majorité savaient qu'ils n'avaient pas à s'inquiéter;, que leurs familles allaient recevoir du soutien durant leur déploiement.;

Au cours des dernières; années;, une équipe; de bén;évoles; du Centre de ressources pour les familles des militaires (CRFM) de la FMAR(A) a visité les navires et les unités; de façon; réguli;ère;, afin de donner aux membres d'équipage; de précieux; renseignements, de renforcer les échanges; et, essentiellement, de s'assurer que les membres des unités; sont satisfaits des services que le CRFM met à leur dis- position.

« Rester en contact avec les unités; et les membres des FC de même; qu'avec leurs familles est prioritaire pour nous », affirme Allison Baker, présidente; du conseil d'administration du CRFM et bén;évole; au centre depuis plus de cinq ans. « Nous sommes présentement; à l'étape; où, lorsqu'une situation comme celle-ci survient, nous sommes en mesure de passer à l'action immédiatement.; Qui plus est, nos familles savent que nous travail- lons actuellement à un rythme accél;ér;é et plusieurs conjointes et conjoints viennent donner un coup de main. »

Comme le déploiement; de cinq navires pour une période; prolongée; taxe lourdement les ressources du CRFM, le soutien des bén;évoles; est essentiel, souligne Mme Baker. À l'intérieur; du réseau; de chaque navire, il y a toujours des gens qui prennent les choses en main afin de s'assurer que tout se déroule; le mieux possible lors du déploiement.;

Le nombre de demandes de services dépasse; la portée; du mandat national et continue d'augmenter, ajoute-t-elle. Le CRFM de la FMAR(A) offre plus de soixante-dix programmes et de nouveaux s'ajoutent continuellement afin de satisfaire à la demande. Dans de nombreux cas, les bén;évoles; prennent l'initiative de s'assurer que les év;énements;, les activités; et les programmes atteignent leurs buts.

La relation de travail positive qui existe entre le personnel, les bén;évoles; et les FC est un facteur important du succès; du centre et de ses programmes, selon Mme Baker, qui conclut : « Chacun travaille afin que nous puissions offrir le meilleur service possible aux familles, que les militaires soient en mission ou à la maison. »

Vol. 4 No. 38 * 2001


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Facts and figures Fiche technique


22.8 m  
18.5 m


Length:  
Rotorspan:

Height:  
Weight:

Power:  
Speed:  
Range:  
Equipment:

Years Procured:

Quantity in CF:

Locations:

 
6.5 m 14 600 kg (maximum at takeoff) Three General Electric T700-T6A1 turbines 278 km/h  
1 018 km  
Two 273 kg rescue hoists 4 536 kg cargo hook with frame, storage racks for SAR equipment and 12 stretchers 2001-2003

Longueur :  
Disque rotor :

Hauteur :

Masse :  
Motorisation :

Vitesse :  
Distance franchissable :

Équipement; :

Années; d'acquisition : Quantité dans les FC :

Affectations :

22,8 m 18,5 m 6,5 m 14 600 kg (maximum au décollage;) trois turbomoteurs General Electric T700-T6A1 278 km/h  
1 018 km deux treuils de sauvetage de 273 kg, un crochet délesteur; de fret avec bâti; d'une capacité de 4 536 kg, des compartiments de rangement pour l'équipement; SAR et 12 civières; 2001-2003

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8 Wing Trenton, Ont. 9 Wing Gander, Nfld. 14 Wing Greenwood, N.S. 19 Wing Comox, B.C.


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8e Escadre Trenton (Ont.) 9e Escadre Gander (T.-N.) 14e Escadre Greenwood (N.-É.;) 19e Escadre Comox (C.-B.)


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