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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

November 4, 1956

In New York, Canada's Ambassador to the United Nations, Lester B. Pearson, and the other members of the UN General Assembly, have been up all night working on a way to carry out their November 2 resolution for a cease-fire in the growing conflict in the Suez Canal Zone. At Mr. Pearson's suggestion, they have come up with a radical solution: a body of troops armed only with light defensive weapons, who will place themselves under the UN flag between the belligerent armies so they cannot attack each other without going through the UN troops first.

This apparently deadly solution is firm- ly grounded in political reality.The primary belligerent powers-Israel and Egypt- are minority stakeholders in two opposing international systems, one led by the United States and the other led by the Soviet Union. The UN force will work if it is made up of the right mix of the right soldiers: professionals from countries that are not involved in the conflict and have no territorial ambitions, but are also junior members of the international alliances. The international principle already works well in the United Nations Truce Supervisory Organization, which fields international groups of unarmed military observers from many countries to monitor truce compliance in the Middle East and on the India-Pakistan border.

The next challenge is to design a force that is both acceptable to the belligerent powers and capable of carrying out the mission. At first, Egypt does not want Canadian troops because they look and sound too British, but this position is abandoned when Denmark announces that it will not participate without Canada. The United Nations Emergency Force (later called UNEF I) becomes a legal entity at 7 p.m. on November 7 by a General Assembly vote of 57 to 0, with 19 abstentions-including Canada, because Mr. Pearson considers himself too close to the issue. At its peak in 1957, UNEF I comprises almost 6 000 officers and men from 10 countries: Brazil, Canada, Colombia, Denmark, Finland, India, Indonesia, Norway, Sweden and Yugoslavia.

4 novembre 1956

À New York, l'ambassadeur du Canada aux Nations Unies, Lester B. Pearson, ainsi que les autres membres de l'Assemblée; gén;érale; des Nations Unies, ont passé la nuit à chercher une manière; de faire appliquer la résolution; du 2 novembre en vue d'un cessez-le-feu dans la zone du canal de Suez, où un conflit s'intensifie. Ils en sont arrivés; à une solution radicale, à la suggestion de M. Pearson : ils vont interposer entre les armées; belligérantes; une force dotée; uniquement d'armes défensives; lég;ères; qui se placera sous la bannière; des Nations Unies. Les belligérants; ne pourront ainsi s'affronter à moins de tirer d'abord sur les troupes de l'ONU.

Cette solution en apparence suicidaire est fermement enracinée; dans la réalit;é politique. Les principales puissances belligérantes;, Israël; et l'Égypte;, sont des acteurs secondaires de deux systèmes; internationaux opposés;,dont l'un a à sa tête; les États-Unis; et l'autre, l'URSS. L'initiative de l'ONU sera couronnée; de succès; dans la mesure où la force sera constituée; du mélange; approprié de soldats, c'est-à-dire; des professionnels de pays qui ne sont pas impliqués; dans le conflit et qui n'ont aucune velléit;é territoriale, mais qui sont également; des membres de second plan des alliances internationales. On sait déj;à que le principe de l'alliance internationale fonctionne bien dans le cas de l'Organisme des Nations Unies chargé de la surveillance de la trêve.; Ce dernier fournit des groupes d'observateurs militaires internationaux non armés;, à qui il incombe de surveiller le respect de la trêve; au Moyen-Orient et à la frontière; de l'Inde et du Pakistan.

Le prochain défi; consistera à mettre sur pied une force qui soit à la fois acceptable du point de vue des puissances belligérantes; et capable de s'acquitter de la mission. Au départ;, l'Égypte; ne veut pas des soldats canadiens, dont l'apparence et l'ac- cent font trop britanniques, mais elle renonce à cette position lorsque le Danemark annonce qu'il ne participera pas à la force sans la présence; du Canada. La Force d'urgence des Nations Unies (plus tard désign;ée; sous le nom de FUNU I) devient une entité juridique à 19 h, le 7 novembre, après; un vote majoritaire de l'Assemblée; gén;érale.; Les voix se répartissent; comme suit : 57 pour, 0 contre et 19 abstentions (dont le Canada, car M. Pearson se considère; trop proche du débat; pour se prononcer). Au sommet de son activité en 1957, la FUNU I se compose de près; de 6 000 officiers et soldats provenant de dix pays : le Brésil;, le Canada, la Colombie, le Danemark, la Finlande, l'Inde, l'Indonésie;, la Norvège;, la Suède; et la Yougoslavie.

November 28, 1956: Spr Ed Leathwood and Spr Brock Matthews of the Royal Canadian Engineers look for mines near the Suez Canal.

28 novembre 1956. Les sapeurs Ed Leathwood et Brock Matthews, du Corps royal du génie; canadien, sont à la recherche de mines près; du canal de Suez.

HUNT, DND / MDN

714

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Escadron des communications, Sherbrooke


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par Scott Costen

Les unités; de la Réserve; des communications sont parfois victimes de leur propre succès.; C'est notamment le cas du 714e Escadron des communications, Sherbrooke.

« La Réserve; des communications fournit beaucoup de gens avec une solide formation pour accroître; l'effectif de la Force réguli;ère; », explique le capitaine David Roberge, capitaine-adjudant du 714 E Comm. « Treize de nos membres travaillent à l'extérieur; de l'unité en service de classe B ou font partie de rotations outre-mer. La Force réguli;ère; sait que notre personnel est très; compétent; et tient à y puiser des renforts. »

Il faut évidemment; s'assurer de garder un nombre suffisant de gens d'expérience; à l'intérieur; de l'escadron. « Nous manquons parfois d'effectifs ici parce que beaucoup de nos membres travaillent pour la Force réguli;ère; », souligne le capt Roberge.

Selon lui, le grand nombre de membres du 714 E Comm qui travaillent pour la Force réguli;ère; en dit long sur la formation que reçoivent; les réservistes; : « Nous formons notre personnel conformément; aux normes de la Force réguli;ère;, qui sait qu'elle peut compter sur la Réserve; des communications. »

L'escadron, créé le 1er mars 1963 sous le nom de 14e Escadron indépendant; de transmissions, a adopté son nom actuel

11 ans plus tard. C'est l'une des trois unités; du 71e Groupe des communications du Québec.;

Les membres du 714e E Comm occupent diverses fonctions, dont la plupart exigent une grande expertise technique. Les militaires du rang travaillent comme opérateurs;, poseurs de lignes, techniciens en approvisionnement, techniciens de véhicules; et commis. Les officiers sont habituellement officiers des transmissions ou du génie; électronique.; « Plusieurs de nos membres sont des stagiaires qui ont une expertise dans le domaine des sciences et de l'informatique, explique le capt Roberge. Nous avons aussi beaucoup de techniciens qui travaillent pour Bombardier. »

La plupart des membres de l'escadron habitent dans la grande région; de Sherbrooke, précise-t-il.; Mais certains d'entre eux partent, par exemple, de Granby ou d'Asbestos pour venir à l'unité.;

Pour compenser l'affectation d'un grand nombre de membres à la Force réguli;ère;, l'escadron organise une importante cam

pagne de recrutement. On espère; ainsi recruter 20 nouveaux membres.

« Nous nous rendons dans les écoles; secondaires, les collèges; et les universités; afin d'attirer des recrues, indique le capt Roberge. Notre objectif actuel est de rester viables grâce; au recrutement et au maintien de l'effectif. »

714 (Sherbrooke) Communication Squadron


By Scott Costen

Communication Reserve units sometimes become victims of their own success. 714 (Sherbrooke) Communication Squadron is a good example.

"The; Communication Reserve provides a lot of well-trained people to augment the Regular Force," said Captain David Roberge, 714 Comm Sqn adjutant. "We; have 13 members working outside the unit on Class B contracts or on rotations over- seas. The Regular Force knows how good our people are and wants them for augmentation purposes."

The challenge, of course, is keeping enough experienced people at the squadron level. "We; sometimes find we don't have enough people available here because there are so many working with the Regular Force."

To Capt Roberge, the number of 714 Comm Sqn members working with the Regular Force speaks volumes about the training the Reservists receive. "We; train according to Regular Force standards," he said. "The; Regular Force knows it can count on the Communication Reserve."

The squadron stood up March 1, 1963, as the 14th Independent Signal Squadron and assumed its present name 11 years later. It is one of three units within Quebec's 71 Communication Group.

Members of 714 Comm Sqn are employed in a variety of trades, most of which require a high degree of technical expertise. Non-commissioned members work as signal operators, linemen, supply technicians, vehicle technicians and clerks. Officers are generally employed as communication and electronics engineering officers.

"A; lot of our members are students who have expertise in science and computers," said Capt Roberge. "We; also have a lot of technicians who work at Bombardier."

Most squadron members are from the immediate Sherbrooke area, he said. However, some travel from places such as Granby and Asbestos to parade with the unit.

To compensate for the high number of squadron members working with the Regular Force, the squadron is mounting a major recruiting drive to bring in at least 20 new members.

"We; are going into the high schools, colleges and universities to attract recruits," said Capt Roberge. "Our; unit goal right now is to remain viable through recruiting and retention."

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Just don't call him Sergeant-Major


Text and photo by Scott Costen

Dana Gidlow is a sergeant and a major.

During the day, Sgt Gidlow is a training sergeant with the Toronto Police Service; on parade nights and weekend exercises, he is Maj Gidlow, deputy commanding officer of The Royal Regiment of Canada.

"There; are many common elements between policing and the military," he said. "I; love doing both-I always have."

Maj Gidlow served nine months on a United Nations Civilian Police (UNCIVPOL) deployment to Kosovo. He shared his expertise recently with students of a Military Observer Course serial at the Peace Support Training Centre in Kingston, Ont.

"I; will never be able to give back to the Canadian Forces what I've taken out in terms of friendship and experience," he said. "The; military offers outstanding lead- ership lessons that can apply to all civilian pursuits."

Maj Gidlow says his UNCIVPOL assignment was the highlight of his double-hatted career. "I; have never been so proud to be a Canadian," he said. "Canadians; are the most respected people in theatre."

Ne l'appelez surtout pas sergent-major!


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Texte et photo de Scott Costen

Dana Gidlow est sergent et major. Durant la journée;, il est le sgt Gidlow, sergent d'instruction dans le Service de police de Toronto; les soirs de défil;é et pendant les exercices de fin de semaine, il est le maj Gidlow, commandant adjoint du Royal Regiment of Canada.

« Il existe de nombreux points communs entre le service de police et la vie militaire, indique-t-il. J'adore les deux, depuis toujours. »

Le maj Gidlow a servi pendant neuf mois dans la Police civile de la Force des Nations Unies au Kosovo. Il a récemment; partagé son expertise avec les étudiants; du Cours d'observateur militaire, qui se donnait au Centre de formation pour le soutien de la paix, à Kingston (Ont.).

« Je ne pourrai jamais rendre aux Forces canadiennes tout ce que j'en ai retiré sur les plans de l'amitié et de l'expérience;, estime-t-il. La vie militaire offre des leçons; de leadership exceptionnelles qui peuvent s'appliquer à toutes les activités; civiles. »

Le maj Gidlow affirme que son affectation dans la Police civile de la Force des Nations Unies a ét;é le point marquant de sa double carrière; : « Jamais je n'ai ét;é aussi fier d'être; Canadien. Ce sont les Canadiens qu'on respecte le plus dans un théâtre; d'opérations.; »

Sgt Dana Gidlow of the Toronto Police Service is also Maj Dana Gidlow of the Royal Regiment of Canada.

Le sgt Dana Gidlow du Service de police de Toronto est également; le maj Dana Gidlow du Royal Regiment of Canada.

He channelled his love of competitive sports into his passion as a hockey volunteer. A former broomball player and all-round sports enthusiast, he also realized he was getting older and needed a change of direction.

Fortunately, he gets a lot of understanding from home, despite the time he devotes as a volunteer: his three children play sports and his wife manages a ringette team.

A CF member since 1974, he has begun to consider life after the military. "There; would be nothing better in my second life than to work in sports," he said. But for now, he plans to stay awhile on the executive: "There;'s always work to do."

n'était; plus aussi jeune et qu'il avait besoin d'un changement d'orientation. Il a canalisé son amour des sports de compétition; dans la passion qu'il met dans son bén;évolat; au hockey.

Il bén;éficie; heureusement d'une grande compréhension; à la maison, en dépit; du temps qu'il consacre à son bén;évolat; : ses trois enfants pratiquent des sports et sa femme dirige une équipe; de ringuette.

Membre des FC depuis 1974, il a commencé à envisager sa vie après; la carrière; militaire : « Pour ma seconde carrière;, il n'y aurait rien de mieux que de travailler dans le domaine du sport. » Mais pour le moment, il prévoit; faire partie encore un certain temps du comité de direction de l'association de hockey mineur : « Il y a toujours du travail à faire! »

Image: MARG ZENS

The way of Zens


By Susan Turcotte

The ice is ready, the skates are laced and Lieutenant-Colonel Lorne Zens is back in some arena or another every night of the week.

A trainer for his son's team, he attends as many as 50 practices and 70 games a season. If he's not on the ice or behind the bench as a trainer, he is organizing volunteers at a tournament or attending meetings as an executive with the Gloucester Rangers Minor Hockey Association of Ottawa.

His volunteer work begins in August, wraps up in April, and could be "a; full-time, unpaid job," said LCol Zens. "I; took a bunch of leave this year to work on hockey stuff. That was a bonus."

The deputy comptroller for the Army, he applies his professional skills to his volunteer executive position so "the; kids have a well-organized association."

Like many hockey parents, he first became a volunteer when his son began playing hockey while posted to Halifax. "It; was a natural starting point to get involved," he said.

La méthode; Zens


par Susan Turcotte

La glace est prête;, les patins sont lacés; et le lieutenant-colonel Lorne Zens se retrouve dans une aréna; tous les soirs de la semaine.

En tant qu'entraîneur; de l'équipe; de son fils, il peut assister à 50 séances; d'entraînement; et 70 parties par saison. S'il n'est pas sur la glace ou derrière; le banc comme entraîneur;, il coordonne les activités; des bén;évoles; pendant un tournoi ou assiste aux réunions; du comité de direction de l'Association de hockey mineur des

Gloucester Rangers d'Ottawa.

Son travail de bén;évole; commence en août;, prend fin en avril et pourrait être; « un emploi à plein temps non rémun;ér;é », indique le lcol Zens. « J'ai pris beaucoup de congés; cette année; pour me consacrer au hockey. C'était; une prime. »

Le lcol Zens, sous-contrôleur; dans l'Armée; de terre, met en pratique ses compétences; professionnelles dans son poste de cadre bén;évole;, afin que « les enfants aient une association bien organisée; ».;

Comme de nombreux parents de joueurs, il est devenu bén;évole; quand son fils a commencé à jouer au hockey pendant une affectation à Halifax : « Je me suis impliqué tout naturellement. »

L'ancien joueur de ballon-balai et

grand amateur de sports a constaté qu'il

LCol / lcol Lorne Zens


Vol. 4 No. 39 * 2001


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