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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

November 8, 1942

In the Mediterranean Sea off Oran, Algeria, a Royal Navy task force prepares to carry out a hare-brained scheme called Operation RESERVIST, in which the lightly armed cutters HMS Hartland and HMS Walney are to break into Oran harbour and unload assault teams that will seize the 14 Vichy French warships in the anchorage. The expedition is led by Captain Frederick Thornton Peters, a 53-year-old Canadian with 37 years of Royal Navy service and four decorations for valour.

Op RESERVIST is part of Operation TORCH, the British-American amphibious invasion of northwest Africa. Op TORCH begins at midnight, with American landings around Casablanca, American and British landings in the Oran area, and British landings at Algiers. One of its planning assumptions is that the Vichy French will offer only token resistance, and Op RESERVIST is intended as camouflage for an eager capitulation; should the French fight back, it is supposed to be cancelled. Despite this arrangement, at 2:45 a.m., with the Vichy French forces fully engaged in an effort to repel the invasion, Capt Peters receives the order to proceed.

Everything goes wrong. As Walney and Hartland approach the boom, the harbour-defence batteries locate them with searchlights and start shooting; when Walney breaks the boom and charges into the harbour, the French warships join in at point-blank range. Capt Peters keeps Walney on course until a shell strikes her boiler and the explosion kills most of the crew, leaving only 17 survivors. With his ship burning from stem to stern and shellfire pouring in from all sides, Capt Peters abandons his mission and gets his survivors into the water, then swims for shore himself.The French police pick him up and put him in jail, where American soldiers find him on November 10.

On November 11, the Sunderland flying boat taking Capt Peters back to England crashes off Plymouth, killing all the passengers. Capt Peters' body is never found. Later, his posthumous Victoria Cross is delivered to his mother in Nelson, B.C., by mail.

Image: F. H. P. DEWDNEY, PUBLISHED IN / PUBLIÉ DANS VALIANT MEN BY / DE JOHN SWETTENHAM (TORONTO: HAKKERT, 1973), P. 174.

Summer 1942: Capt Frederick Thornton Peters, DSO, DSC and Bar, RN.

Ét;é 1942. Le capt Frederick Thornton Peters, DSO, DSC et barrette, RN.

8 novembre 1942

Dans la mer Méditerran;ée;, au large d'Oran, en Algérie;, une force opérationnelle; de la Marine royale se prépare; à effectuer une manoeuvre insensée; appelée; Op Reservist, au cours de laquelle le HMS Hartland et le HMS Walney, des garde-côtes; lég;èrement; armés;, doivent prendre d'assaut le port d'Oran et laisser débarquer; des équipes; d'attaque qui saisiront les 14 navires de guerre du gouvernement de Vichy dans l'aire de mouillage. L'expédition; est dirigée; par le capitaine Frederick Thornton Peters, un Canadien de 53 ans avec 37 ans d'expérience; dans la Marine royale et récipiendaire; de quatre décorations; pour bravoure.

L'Op Reservist fait partie de l'Op Torch,le débarquement; amphibie britanno-américain; dans le Nord-Ouest de l'Afrique. L'Op Torch commence à minuit, avec des débarquements; américains; autour de Casablanca, des débarquements; américains; et britanniques dans la région; d'Oran et des débarquements; britanniques à Alger. Une des hypothèses; de planification, c'est que les navires vichystes ne résisteront; que de manière; symbolique. L'Op Reservist doit servir de leurre pour une capitulation qu'on attend avec impatience; si les forces de Vichy se défendent;, l'opération; doit être; annulée.; À 2 h 45 du matin, les forces vichystes sont pleinement engagées; dans un effort visant à repousser l'invasion; néanmoins;, le capt Peters reçoit; l'ordre de poursuivre l'attaque.

Tout va mal. Lorsque le Walney et le Hartland approchent de l'estacade, les batteries de défense; du port les repèrent; avec des projecteurs et ouvrent le feu; quand le Walney franchit l'estacade et fonce dans le port, les navires de guerre de Vichy se mettent à tirer à bout portant. Le capt Peters maintient son cap jusqu'à ce qu'un obus percute la chaudière; du Walney, provoquant une explosion qui tue presque tous les membres d'équipage;, sauf 17. Avec son navire en flammes de la proue jusqu'à la poupe et pilonné à l'artillerie de tous les côt;és;, le capt Peters abandonne sa mission et met les survivants à l'eau avant de nager lui-même; jusqu'à la côte.; La police vichyste le cueille et le met en prison, où des soldats américains; le retrouvent le 10 novembre.

Le 11 novembre, l'hydravion à coque Sunderland qui transporte le capt Peters jusqu'en Angleterre s'écrase; au large de Plymouth, tuant tous les passagers. Le corps du capitaine n'a jamais ét;é retrouvé.; Plus tard, sa Croix de Victoria posthume sera livrée; à sa mère; à Nelson (C.-B.) par la poste.

17 (Winnipeg) Medical Company


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Compagnie médicale; (Winnipeg)


By Scott Costen

17 (Winnipeg) Medical Company is part of a proud military tradition.

The unit sent personnel overseas during the First World War and Second World War. Today it sends members on peace support operations all over the world.

"We;'ve had six members serve in Bosnia over the last few years," said Lieutenant Jason English, medical platoon commander. "And; we have members with medals from the Golan Heights, Cyprus and Kuwait."

The role of 17 Med Coy is simple but vital: provide support to CF units, particularly other Reserve Force units within 38 Canadian Brigade Group. "We; serve as the medical base for all other Reserve units in our area," said Lt English.

17 Med Coy draws many of its members from medical professions. "We; employ people who in civilian life are physicians, nurses, medical students, or working in allied sciences" he said. "However;, we also have people who enjoy this in a military setting but work in other environments in their civilian lives."

Medical personnel work in every environment and are vital to all CF operations, exercises and community events. "There; are so many employment opportunities," said Lt English. "If; you want employment, it's there."

Members of 17 Med Coy get a lot of satisfaction out of applying their skills in a military setting. "We; employ our skill base all the time," he said. "When; someone gets hurt-on an operation or during an exercise-our training ends and it becomes operational for us."

The unit parades at Minto Armoury and currently has more than 60 members. In a new approach to training, some 17 Med Coy personnel are taking courses in a civilian setting.

"We;'re really pushing this forward to improve our skill sets," said Lt English. Unit members have attended Basic Trauma Life Support and Advanced Cardiac Life Support courses at civilian institutions.

17 Med Coy participates in community life by participating in local parades and by supporting annual fundraising initiatives that benefit the Children's Hospital of Winnipeg.

par Scott Costen

La 17e Compagnie médicale; (Winnipeg) (17 Cie Méd;) fait partie d'une longue tradition militaire. L'unité a envoyé du personnel outre-mer pendant la Première; et la Deuxième; Guerre mondiale. Aujourd'hui, ses membres servent partout dans le monde dans le cadre d'opérations; de maintien de la paix.

« Six de nos collègues; ont servi en Bosnie au cours des dernières; années; », indique le lieutenant Jason English, commandant de peloton médical.; « Et certains de nos membres ont mérit;é une médaille; pour les opérations; sur le plateau du Golan, à Chypre et au Koweït.; »

Le rôle; de la 17 Cie Méd; est à la fois simple et indispensable : fournir du soutien aux unités; des FC, en particulier aux autres unités; de la Réserve; dans le 38e Groupe-brigade du Canada. « Nous sommes la base médicale; pour toutes les autres unités; de la Réserve; de notre zone », explique le lt English.

La 17 Cie Méd; recrute la plupart de ses membres dans les professions médicales.; « Nous employons des personnes qui, dans le civil, sont médecins;, infirmiers, étudiants; en médecine;, ou qui travaillent dans les sciences appliquées;, précise; le lt English. Cependant, nous avons également; des gens qui aiment exercer ces fonctions dans l'environnement militaire, mais qui travaillent dans d'autres milieux dans le civil. »

Le personnel médical; évolue; dans chaque él;ément; des FC et est essentiel à l'ensemble des opérations;, exercices et activités; communautaires. « Il existe une panoplie de possibilités; d'emploi dans le domaine, souligne le lt English. Si vous cherchez du travail, il y en a. »

Les membres de la 17 Cie Méd; éprou-; vent beaucoup de satisfaction lorsqu'ils mettent leurs compétences; en pratique dans un environnement militaire. « Nous utilisons nos compétences;, indique le lt English. Lorsque quelqu'un se blesse, dans le cadre d'une opération; ou d'un exercice, par exemple, nous ne sommes plus en formation, nous sommes en situation opérationnelle.; »

L'unité défile; au manège; militaire de

Minto et compte à l'heure actuelle plus de 60 membres. Dans le cadre d'une nouvelle approche à l'entraînement;, quelques membres de la 17 Cie Méd; suivent des cours en milieu civil.

« Nous allons de l'avant avec ces cours afin d'améliorer; nos compétences; », conclut le lt English. Des membres de l'unité ont suivi le cours de base en traumatologie et le cours sur la technique spécialis;ée; de réanimation; cardio-respiratoire dans des établissements; civils.

La 17 Cie Méd; s'intègre; à la vie de la communauté en participant aux défil;és; locaux et en appuyant les activités; annuelles de collecte de fonds au profit de l'hôpital; pour enfants de Winnipeg.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



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est bien plus souvent au rendez-vous que la vérit;é.;

[traduction]

Capt Richard E. Gower  
Ottawa

En principe, je m'oppose fermement à toute forme de censure. Pourtant, je crois que des entorses se justifient pour ce qui est de la diffusion rapide d'information au public dans le cas d'aspects stratégiques; et opérationnels; de guerre. Dans une démocratie;, il est vrai, « le public a le droit de savoir », mais ce droit doit parfois souffrir des retards pour protéger; des vies. Censurer les images de guerre ne tombe pas dans cette catégorie;, une explication additionnelle s'impose donc.

Le gouvernement est naturellement réticent; à diffuser au public quoi que ce soit qui pourrait miner sa stabilité.; Par le passé, censurer les images de guerre était; une réaction; naturelle pour garder l'appui du public à l'endroit de l'effort de guerre. Ce point de vue se défend; bien, selon moi, car dans notre système;, les images sont présent;ées; au public par les médias;, un médium; qui n'est pas parfait, c'est le moins qu'on puisse dire.

S'agissant de la censure des images de guerre, la plupart des gens semblent oublier que ce que le public voit, lit et entend dans les médias; est la vérit;é comme elle est vue par les médias.;

De plus, même; si les médias; se disent la voix de la population, leur point de vue ne rend pas nécessairement; compte de la véritable; opinion du public. Le meilleur exemple au Canada en est sans doute le

débat; sur la peine de mort : il a ét;é démontr;é que la majorité de la population est en faveur de la peine de mort, mais la plupart des médias; y sont fermement opposés.;

J'avance qu'il en est de même; pour la présentation; des images de guerre. La guerre et tout ce qu'il faut pour la faire sont sujets à controverse. La majorité des gens, dans les pays occidentaux, n'y ont personnellement pas ét;é exposés; et l'idée; même; de la guerre répugne; à la plupart des êtres; humains civilisés.;

Quoi qu'il en soit, je crois que la crainte des gouvernements de perdre l'appui de la population si des images de guerre étaient; diffusées; sans censure ne serait pas fondée; si le public pouvait les voir sans qu'elles soient biaisées; par les médias.;

Le meilleur exemple de médias; sans censure est peut-être; le suivant : les premières; heures de reportage après; les attaques terroristes du 11 septembre. Immédiatement; après; les attaques, le public a vu ce qu'il y avait réellement; : des images en direct, sans traitement, certaines en temps réel.;

Les images elles-mêmes; étaient; horrifiantes, mais il s'agissait de nouvelles dans leur forme la plus brute. L'information était; servie au public sans traitement, avant même; que les bonzes de l'explication à l'écran; et les gén;éraux; de canapés; de la

presse écrite; n'aient eu l'occasion de donner leur avis et d'imposer leur point de vue biaisé.;

Devrait-on censurer les images de guerre? Je suis d'accord avec le capt Beauregard (vol. 4, no 37, p. 15) et je dis que non, bien sûr;, sauf par empathie à l'endroit des familles des victimes.

À ce propos, les médias; ont bien mal présent;é les images de ce genre par le passé.; Ils font dans le sensationnalisme et sont, intuitivement, contre le gouvernement. Lorsqu'on présente; des images de guerre dans ce type de milieu, la distorsion

I would make the case that the same thing applies when it comes to the public's viewing of war images. War and the machinery necessary to wage it are controversial subjects. The majority of people in the Western world have never been personally exposed to it, and even the idea of war is abhorrent to most civilized human beings.

That notwithstanding, I would suggest the fear by government that it would lose public support if images of war were viewed uncensored by the public would be groundless if the public could view those images without an associated media bias

The best case for an unfiltered media can be made by considering the first few hours of media coverage after the September 11 terrorist attacks. In the immediate aftermath of the attacks, what the public saw on television was live, unedited images-some of it in real time.

The images themselves were horrifying, but they represented the purest form of news: information was delivered to the public unadulterated, before the talking heads on television and wannabe "generals;" in the print media had a chance to apply their opinions and biases to the mix.

In a perfect world, there would be no wars. That, however is not our reality, nor is it likely to be in the immediate future.

Should images of war be censored? I agree with Captain Beauregard (Vol. 4, No. 37, p. 15) and say of course not, except to be sensitive to the families of the victims.

In this regard, the media have been a poor conduit for such material in the past: it is their business to be sensational, and they are intuitively antagonistic to govern- ment.When images of war are presented in this type of milieu, the result is often distortion rather than truth.

Capt Richard E. Gower  
Ottawa

Show unfiltered images of war


I strongly decry all forms of censorship on general principle; however, I believe that allowances must be made with regard to the premature release of information to the public when it comes to the strategic and operational aspects of war. Although in a democracy "the; public has a right to know," that right must sometimes be delayed to protect lives. The censorship of images of war, however, does not fall under this category, so the issue brooks further explanation.

There is a natural reticence within government to release any information to the public that would undermine its stability, and censoring the images of war in the past has been a natural reaction to attempt to sustain public support for a war effort. I would suggest that there is probably some merit to this argument, because in the system that we currently use, the images are distributed to the public via the media, a medium that is imperfect at best.

When it comes to the debate over censoring images of war, most people seem to forget that what the public sees, reads and hears in the media is "the; truth" as the media sees it.

Also, although the media profess to be the voice of the people, their views do not necessarily reflect true public opinion. The best example of this in Canada is probably the debate over capital punishment in which it has been shown that a public majority favours the death penalty but most media opinions are solidly lined up against it.

Le vrai visage de la guerre


Un coup de main pour loger une famille de Trenton

par Jody Peloquin

8e ESCADRE TRENTON - La vision de trois enfants courant joyeusement un peu partout dans leur nouvelle maison sous l'oeil attentif de leurs parents remplis

d'une assurance nouvelle, voilà ce qui a motivé trois membres du personnel de la 8e Escadre à travailler d'arrache-pied au cours des journées; les plus chaudes de l'ét;é.;

« Après; avoir passé huit heures ici, on est éreint;és.; C'est un travail épuisant; mais combien valorisant », affirme le caporal- chef Mark Bumstead, du 8e Escadron de maintenance (Air) (8 EMA). « L'effort en vaut la peine. »

En août; dernier, le cplc Bumstead a participé à la mission d'Habitat for Humanity International, qui vise à éliminer; la pauvreté en matière; de logement et à loger les sans-abri un peu partout dans le monde. Cet organisme oecuménique; chrétien; du logement, à but non lucratif, invite les gens de toutes origines, races et religions à bâtir; des maisons pour les familles nécessiteuses; dont il s'occupe.

Le cplc Bumstead a obtenu une permission spéciale; de trois jours pour collaborer au projet de logement d'Habitat for Humanity du comté de Hastings-Prince Edward, sur la rue Stanley, donnant aussi un coup de main après; le travail dans la mesure du possible. La maison était; prête; à recevoir la famille de Don et Tracy Buchanan le 15 août.;

Le 3 août;, des bén;évoles; d'Habitat for Humanity de la région; ont organisé une fête; pour pendre la crémaill;ère; à l'intention de la famille. Le cplc Daniele De Luca, du 8 EMA, président; du comité des bén;évoles; d'Habitat for Humanity de Hastings-Prince Edward, raconte que les Buchanan étaient; renversés; de voir les bén;évoles; leur témoigner; autant de bienveillance : « On pouvait lire dans leurs yeux à quel point ils étaient; reconnaissants de ce qu'on avait fait pour eux et combien ils en étaient; émus.; »

Au dire de Mike Cassidy, contremaître; du projet de l'Escadron de génie; construction de la 8e Escadre, 25 travailleurs en moyenne ont apporté leur aide tous les jours au cours des deux premières; semaines de la construction. Le groupe se composait de militaires à la retraite et de travailleurs de diverses entreprises de Belleville, la ville voisine.

M. Cassidy est contremaître; de tous les projets de logement d'Habitat for Humanity de Hastings-Prince Edward depuis la mise sur pied de l'organisme en 1992.

Mme Peloquin est rédactrice; à The Contact, à la 8e Escadre Trenton.

Le cplc Mark Bumstead, du 8e Escadron de maintenance (Air), aide à construire une maison d'Habitat for Humanity à Trenton.

MCpl Mark Bumstead of 8 Air Maintenance Squadron works on a Habitat for Humanity home in Trenton.

Image: CPL TIM JORDAN,8 WING IMAGING / IMAGERIE,

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Helping hands house Trenton family

By Jody Peloquin

8 WING TRENTON - The vision of three children running merrily through their new house with their parents watching with a new sense of confidence is what motivated three 8 Wing personnel to work arduously during some of the hottest days this summer.

"You; spend eight hours here, and you're burnt out. It's very labour intensive, but it's very rewarding," said Master Corporal Mark Bumstead of 8 Air Maintenance Squadron (8 AMS). "It;'s worth the effort."

MCpl Bumstead poured his effort this past August into Habitat for Humanity International's mission to eliminate poverty housing and homelessness from the world.

This non-profit, ecumenical Christian housing ministry invites people of all backgrounds, races and religions to build houses with the needy families they are helping.

MCpl Bumstead received a special three-day leave pass to help with the Prince Edward-Hastings Habitat for Humanity housing project on Stanley Street, and also helped after work whenever possible. The house was ready for Don and Tracy Buchanan to move in on August 15.

On August 3 local Habitat for Humanity volunteers held a dedication ceremony for the family. 8 AMS MCpl Daniele De Luca, the chair of the Prince Edward-Hastings Habitat for Humanity Volunteer Committee, said the Buchanans were over- whelmed by the goodwill of the volunteers. "You; could see a look of thanks in their eyes, that you've done something for them and touched them in some way," he said.

Project foreman Mike Cassidy of 8 Wing Construction and Engineering Squadron said that, on average, 25 work- ers helped each day during the two weeks the basic construction was done. The group included retired military personnel and workers from various Belleville businesses.

Mr. Cassidy has been foreman of each housing project of the Prince Edward- Hastings Habitat for Humanity since the organization was established in 1992.

Ms. Peloquin is a writer with The Contact newspaper at 8 Wing Trenton.

Vol. 4 No. 40 * 2001


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