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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Army Editor  
Susan Turcotte (613) 945-0419


Projet de formation pour perpétuer; une glorieuse tradition


par le capt Shawna Bruce

Les finissants du Projet de formation de l'Armée; Sergeant Tommy Prince se sont

Ljoints au Princess Patricia's Canadian Light Infantry pendant une cér;émonie; de remise d'insignes, en août; dernier.

« Nous faisons maintenant partie d'une grande famille, une famille aux traditions très; honorables », a expliqué le soldat Doug Tizya, 24 ans, de Winnipeg, en montrant sa nouvelle pièce; régimentaire.;

La cér;émonie; a eu lieu au Manège; militaire Sergeant Tommy Prince, à Wainwright (Alb.). Le sgt Prince a ét;é le soldat autochtone le plus décor;é de l'histoire de l'Armée; de terre canadienne.

Vingt recrues ont participé au premier projet pilote de l'Armée; de terre visant à recruter des Autochtones dans les FC. Les recrues ont commencé leur entraînement; d'infanterie de niveau 2 et 3 à Wainwright, en janvier, et ils ont terminé en août.;

Pendant l'entraînement;, ils ont regroupé leurs pelotons d'entraînement; et ceux d'autres cours pour finir en tant que Korea Platoon. Deux finissants se sont joints au 1 PPCLI, à Edmonton, les autres ont intégr;é le 2 PPCLI, à Winnipeg.

« L'entraînement; était; difficile et stimulant à la fois, a reconnu le sdt Tizya. Les instructeurs étaient; professionnels, et l'entraînement;, intense. C'est ce que j'ai le mieux aimé de cette expérience.; »

Le sdt Tizya avait déj;à pris goût; à la vie militaire l'ét;é dernier, quand il a participé au Programme de développement; des jeunes Bold Eagle. « Ça; m'a incontestablement aidé à me préparer; mentalement à l'autodiscipline nécessaire; pour réussir; au sein de la Force réguli;ère; », a-t-il affirmé.; Le capt Bruce est l'officier des affaires publiques du 38e Groupe-brigade du Canada.

Training initiative builds on proud tradition


By Capt Shawna Bruce

Graduates of the Sergeant Tommy Prince Army Training Initiative were inducted into Princess Patricia's Canadian Light Infantry during a badging ceremony in August.

"It;'s like being part of a big family-a family with very honourable traditions," said Private Doug Tizya, 24, of Winnipeg, producing his new regimental coin.

The ceremony took place in the Sergeant Tommy Prince Drill Hall at Wainwright, Alta. Sgt Prince is the most decorated Aboriginal person in the history of the Canadian Army.

Twenty recruits participated in the Army's first pilot project designed to attract Aboriginal people into the CF. The recruits began their Qualification Level 2 and 3 infantry training at Wainwright in January and graduated in August.

Graduating as the Korea Platoon, they were amalgamated with other courses during training.

Two of the graduates were posted to 1 PPCLI in Edmonton; the remainder

joined 2 PPCLI in Winnipeg.

"It; was challenging and rewarding at the same time," said Pte Tizya. "The; instructors were professional and the training intense. That's what I liked most about it."

Pte Tizya had a taste of the military last summer when he graduated from the Bold Eagle youth development program. "It; definitely helped me mentally prepare myself for the self-discipline required to succeed in the Regular Force," he said. Capt Bruce is the Public Affairs Officer, 38 Canadian Brigade Group.

G


Le camp culturel du programme Bold Eagle permet de s'ouvrir aux autres


Bold Eagle's culture camp bridges gap


Graduates of the Bold Eagle program conduct their final march past during their graduation parade.

Les finissants du programme Bold Eagle exécutent; un dernier défil;é pendant le rassemblement de fin de cours.

Image: ROBERTSCHWARTZ

par le capt Shawna Bruce

La toile blanchie du tipi contrastait brillamment avec le ciel bleu des Prairies pendant le défil;é qui avait lieu en août; en l'honneur des 91 finissants du Programme de développement; des jeunes Bold Eagle.

Depuis douze ans, le Secteur de l'Ouest de la Force terrestre mène; ce programme de la Réserve; de l'Armée; de terre d'une durée; de sept semaines.

L'une des clés; du succès; du programme

consiste en un camp culturel de cinq jours mené par la Federation of Saskatchewan Indian Nations avant les activités; militaires. Le camp vise à combler le fossé culturel qui existe entre le milieu de vie des candidats et la vie militaire. La construction de tipis permet d'acquérir; des compétences; de travail en équipe;, alors que les cercles spirituels et les sueries favorisent la réflexion; personnelle.

« Ça; nous permet de communiquer avec nos jeunes et de leur parler des choix qu'ils devront faire relativement à leur avenir. Notre culture nous inculque des valeurs très; semblables à celle des militaires », explique Alma Kytwayhat, qui participe au programme depuis sa conception. « Je les traite comme mes propres enfants, et parfois, il faut être; dur avec eux pour les empêcher; de choisir la voie de la facilité.; »

Mme Kytwayhat et Simon, son mari, accompagnent les participants à partir du camp culturel jusqu'à la fin du programme. Ils ont le statut équivalent; d'aumôniers; militaires et travaillent en étroite; collaboration avec les instructeurs relativement aux questions culturelles touchant les candidats. Ils sont également; chargés; d'encourager les candidats et de leur offrir un soutien émotionnel; au besoin.

Certains candidats proviennent de communautés; nordiques très; éloign;ées; et ne sont jamais sortis de leur milieu. D'autres ont vécu; une tragédie; à un très; jeune âge; et tentent maintenant de reprendre leur vie en main.

« Leurs communautés; sont très; fières; de leurs réalisations; et appuient leur décision; de participer à Bold Eagle », déclare; Winston Walking Bear, coordonnateur du camp. « Bien des personnes ici servent de modèles; positifs. Notre peuple a des racines militaires profondes; nombreux, en effet, sont les candidats dont un membre de la famille est un ancien combattant. C'est pourquoi nous invitons les anciens combattants à participer au programme. Ils peuvent comprendre les défis; que doivent affronter ces jeunes, même; s'ils ont affronté les leurs il y a bien des années.; »

Le programme Bold Eagle a ét;é conçu; pour engendrer et cultiver l'esprit d'équipe;, pour promouvoir et développer; la confiance en soi et la discipline personnelle, ainsi que pour mettre en valeur l'importance de la forme physique. Après; avoir terminé le cours d'infanterie (Réserve;) de niveau de qualification 2, les finissants de cette année; peuvent continuer auprès; de la Réserve; de l'Armée; de terre, joindre la Force réguli;ère; ou retourner dans leur communauté enrichis de cette expérience.;

Le projet est la réalisation; d'un partenariat entre le MDN, le ministère; des Affaires indiennes et du Nord canadien et les communautés; des Premières; Nations du Nord-Ouest de l'Ontario, du Manitoba, de la Saskatchewan, de l'Alberta et de la Colombie-Britannique. Le capt Bruce est l'officier des affaires publiques du 38e Groupe-brigade du Canada.

CPLC

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MCPL

By Capt Shawna Bruce

The bleached white canvas of a teepee provided a unique contrast to the blue sky of the Prairies at the graduation parade held in August for the 91 graduates of the Bold Eagle Youth Development Program.

Land Force Western Area has conducted the seven-week Army Reserve program for the past 12 years.

A key component to the program's success is the five-day culture camp conducted by the Federation of Saskatchewan Indian Nations before the military portion. The camp's aim is to bridge the culture gap between the candidates' home environment and life in the military. The construction of teepees offered team-building skills, while spiritual circles and sweat lodges offered opportunities for personal reflection.

"It; is a way to connect to our youth and to teach about the choices they have for their futures," said Alma Kytwayhat, who has been with the program since its inception. "Our; culture instils very similar values [to those in] the military. I think of all of them as my children, and sometimes you have to be tough with your children and not let them take the easy way out."

Ms. Kytwayhat and her husband, Simon, accompany the Bold Eagle candidates through their training from culture camp to graduation. They are given the equivalent status of a military chaplain and work closely with staff in cultural matters as they pertain to the candidates. They are also there to encourage the candidates and provide emotional support when required.

Some of the candidates come from very northern communities and have never been outside their culture. Others have seen tragedy in their lives at very early ages and now are trying to get on with their lives.

"Their; communities are very proud of their accomplishments and support their decision to come to Bold Eagle," said Winston Walking Bear, the camp's coordinator. "There; are a lot of people here to provide positive role models. Our people have deep traditions in the military: many of these candidates have family members who are veterans. This is why we invite veterans to be part of our program: they can relate to the challenges these young people are facing-only they faced theirs a long time ago."

Bold Eagle is designed to develop and foster team spirit; promote and develop self-confidence; personal discipline and emphasizes the importance of physical fitness. This year's graduates completed a Qualification Level 2 Infantry (Reserve) course and have the option of continuing with the Army Reserves, joining the Regular Force or returning to their civilian communities, taking their experience with them.

The initiative is a partnership between DND, the Department of Indian and Northern Affairs, and First Nations communities across northwestern Ontario, Manitoba, Saskatchewan, Alberta and British Columbia. Capt Bruce is the Public Affairs Officer for 38 Canadian Brigade Group.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de l'Armée; de terre Susan Turcotte turcotte.sk@forces.ca


LAV III undergoes aMAISing trials


By Sue Knight

CTC GAGETOWN - A giant game of laser tag is underway in the training area.

Some 830 soldiers, instructors, technicians and analysts are are re-evaluating current Combat Team Tactics, Techniques and Procedures (TTTPs) for the LAV III, and new tactics are being developed with the help of the Mobile Automated Instrumentation Suite (MAIS).

"I; like to think of the MAIS system as a MILES (Multiple Integrated Laser Engagement System) on steroids," said Captain Brent Kerr, Chief Data Collector for the trials. "The; problem with MILES is you don't record the data; MAIS is the pinnacle of data, as it gives not only the direct and indirect fire capability, but also has the ability to organize the information. While MILES essentially sends a laser beam to someone to say you have been hit, MAIS sends a lot more information in that laser beam."

The laser replicates the actual firing of live ammunition, and signals are picked up on a receiver vehicle. Onboard computers calculate the probability of a hit or miss by different weapons, the angle and area of a hit, and the vulnerability of the vehicle. The computers then calculate the damage and provide results: a hit but no kill, a hit that killed firepower, a hit that killed mobility, or a catastrophic "K;" kill. In the latter case, soldiers in the vehicle hear the following message over their radio, "You;'re dead; you have to traverse the turret of your vehicle rearward." A yellow strobe light on the vehicle's exterior is triggered and a smoke grenade is thrown to simulate actual battlefield damage.

"What; you have here is the closest thing you will get in training to firing a live round," said Major Bill Beaudoin, OPI of the Trial Planning Cell. "It;'s realistic. When the light comes on and the audio signal in the vehicle says 'You are now dead,' it has quite an impact on the soldiers."

"What;'s important is that the soldiers are extremely impressed with the system ... [they] love it because it makes you pay a penalty. So if you don't do your tactics right and put yourself on the top of a bald hill, you will die. One guy said that, in all his career, this is the best training he has ever had."

All vehicles and players are equipped with a Global Positioning System (GPS) sender. Their locations are updated at least every six seconds.

The data collected is sent to the Command Control Communications Centre at Camp Petersville, where personnel watch the "battle;" live.

The trials are scheduled to continue until the end of November.

Image: Members of 2 RCR, platoon commander 2Lt David Hill and LAV III turret gunner Cpl Stephen Lotherington, take a break after being "neutralized;" by MAIS- equipped weaponry.PHOTOS: CPL BRIAN WATTERS

Le slt David Hill, commandant de peloton, et le cpl Stephen Lotherington, tireur à bord d'un VBL III, tous deux membres du 2 RCR, font une pause après; avoir ét;é neutralisés; par le système; MAIS.

Essais avec VBL III équip;és; du système; MAIS


par Sue Knight

CIC GAGETOWN - Un gigantesque jeu de guerre au laser est en cours dans la zone d'exercice. Environ 830 soldats, instructeurs, techniciens et analystes réévaluent; les tactiques, techniques et procédures; actuelles des équipes; de combat utilisant les VBL III et élaborent; de nouvelles tactiques au moyen d'une méthodologie; de mesure, le Mobile Automated Instrumentation Suite (MAIS).

« Le système; MAIS me fait penser à un système; MILES (système; intégr;é de prises à parties multiples au laser) qui serait gonflé aux stéro;ïdes; », indique le capitaine Brent Kerr, responsable de la collecte des données; pour les essais. « Le problème; du MILES, c'est que les données; ne sont pas enregistrées.; Par contre, le système; MAIS est le summum en matière; de collecte de données;, car il permet non seulement de visualiser les capacités; de tir direct et indirect, mais également; d'organiser l'information. Le système; MILES ne fait qu'envoyer un faisceau laser vers quelqu'un pour l'informer que vous avez ét;é atteint, alors que le système; MAIS envoie beaucoup plus d'information par laser. »

Le laser reproduit le tir de munitions réelles.; Les signaux sont récup;ér;és; sur un véhicule; récepteur.; Les ordinateurs calculent la probabilité d'atteinte des objectifs pour les différentes; armes, de même; que l'angle et l'aire d'atteinte du tir et la vul

nérabilit;é du véhicule.; Les ordinateurs calculent ensuite les dommages et donnent les résultats; : objectif atteint mais non détruit;, objectif atteint avec destruction de la capacité de tir, objectif atteint avec destruction de la mobilité ou objectif atteint avec destruction « k », c'est-à-dire; catastrophique. Lorsque c'est le cas, les soldats occupant le véhicule; atteint enten- dent le message suivant dans leur radio : « Véhicule; hors combat. Placez la tourelle vers l'arrière.; » Un stroboscope jaune s'allume à l'extérieur; du véhicule; et une grenade fumigène; simule la mise hors combat.

« C'est ce qui s'apparente le plus au tir de munitions réelles; », souligne le major Bill Beaudoin, BPR de la Cellule de planification des essais. « C'est réaliste.; Lorsque la lumière; s'allume et que le signal audio dans le véhicule; annonce "Véhicule; hors combat", l'impact sur les soldats est grand.

« L'important, c'est que les soldats soient très; impressionnés; par le système...; ils l'apprécient; parce qu'il leur inflige une pénalit;é.; Ainsi, si vous adoptez une mauvaise tactique et que vous vous retrouvez au sommet d'une crête; dénud;ée;, par exemple, vous allez mourir. J'ai entendu quelqu'un affirmer que c'était; le meilleur entraînement; de sa carrière.; »

Les véhicules; et les participants sont tous munis d'un émetteur; GPS. Leur position est mise à jour toutes les six secondes.

Les données; recueillies sont envoyées; au Centre de commandement, de contrôle; et de communication du camp Petersville, dont le personnel assiste au « combat » en direct. Les essais se termineront fin novembre.

Image: Vol. 4 No. 40 * 2001 13

More than 800 soldiers from 2 RCR and the RCD, American instructors and technicians, as well as DND and U.S. analysts, are taking part in a series of trials designed to evaluate current and develop new Combat Team TTTPs for the LAV III.

Plus de 800 soldats du 2 RCR et du RCD, des instructeurs et des techniciens américains;, de même; que des analystes du MDN et des États-Unis;, prennent part à une série; d'essais conçus; pour évaluer; les tactiques, techniques et procédures; actuelles des équipes; de combat utilisant le VBL III et pour en développer; de nouvelles.

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