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Maple Leaf


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Navy Editor  
Ruthanne Urquhart (613) 567-7643


Toronto

pulls off 'million-to-one' rescue


Image: PHOTOS: CPL PAZ QUILLÉ

HMCS Toronto crewmembers plucked three fishers from a life raft adrift about 55 km southeast of Halifax October 20.

The men, off Feltzen South, N.S., crab boat Ocean Sapphire, managed to scramble into the raft before their vessel sank. Toronto, in the area on a regular exercise, responded to their distress flares.

"I; think that was a million-to-one shot," said Leading Seaman Glen Bailey, one of the sailors who first reached the men. "They; just happened to be there. They weren't able to give any notice, send a mayday or anything. The boat went down that fast."

A fourth man, who remained on board Ocean Sapphire to retrieve life jackets, is missing and presumed drowned. HMCS Preserver, in the area en route to the Arabian Gulf region, took part in the early search for the missing man, and Toronto crewmembers searched through the night. HMC Ships St. John's and Kingston, Labrador helicopters from 14 Wing Greenwood, and CCGS Sambro extended the search through October 21, to no avail.

A


Le

Toronto

sauve trois pêcheurs; grâce; à beaucoup de chance


L'équipage; du NCSM Toronto a secouru trois pêcheurs; de crabe qui dérivaient; dans un petit radeau de sauvetage à environ 55 km au sud-est de Halifax, le 20 octobre dernier.

Les trois hommes avaient réussi; à grimper à bord du radeau avant que leur caseyeur, l'Ocean Sapphire, de Feltzen South (N.-É.;), ne coule. Le NCSM Toronto, qui se trouvait dans la région; dans le cadre d'un exercice régulier;, a répondu; à leurs fusées; de détresse.;

« Je crois que la chance a eu beaucoup à voir dans ce sauvetage », a reconnu le matelot de 1re classe Glen Bailey, un des premiers à venir en aide aux hommes. « C'est par hasard que nous les avons aperçus.; Ils n'avaient pu appeler à l'aide, ni envoyer un signal de détresse; ou un quelconque autre signal tellement leur bateau a coulé rapidement. »

Un quatrième; membre d'équipage; de l'Ocean Sapphire, resté à bord afin de récup;érer; des gilets de sauvetage, est porté disparu et présum;é noyé.; Le NCSM Preserver, qui se trouvait dans les environs tandis qu'il faisait route vers la région; du golfe Arabo-Persique, a pris part aux premières; recherches pour retrouver l'homme disparu, et les membres d'équipage; du Toronto l'ont cherché toute la nuit. Les NCSM St. John's et Kingston, les hélicopt;ères; Labrador de la 14e Escadre Greenwood, ainsi que le navire de la garde côti;ère; canadienne Sambro ont poursuivi vainement les recherches toute la journée; du 21 octobre.

Image

B


Image

Toronto crewmembers secure the orange- canopied life raft sheltering three men who escaped their sinking crab boat.

Les membres d'équipage; du Toronto fixent solidement le radeau de sauvetage pourvu d'un taud orangé qui abritait les trois hommes ayant échapp;é au naufrage de leur caseyeur.

An exhausted fisher is hoisted on board HMCS Toronto.

Un pêcheur; épuis;é est hissé à bord du NCSM Toronto.

Toronto crewmembers provide medical treatment to the rescued men.

Des membres d'équipage; du Toronto prodiguent des soins aux hommes rescapés.;

A


"They just happened to be there. They weren't able to give any notice, send a mayday or anything. The boat went down that fast."

LS Glen Bailey


« Ils n'avaient pu appeler à l'aide, ni envoyer un signal de détresse; ou un quelconque autre signal tellement leur bateau a coulé rapidement. »

Le m 1 Glen Bailey

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C


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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Rédactrice; de la Marine  
Ruthanne Urquhart navyeditor@ottawa.com


Halifax

families face long separation


By Ruthanne Urquhart

The news that HMCS Halifax would join other Canadian warships on Operation APOLLO hit some Halifax families especially hard.

The frigate and her crew of 225 (including a Helicopter Air Detachment from 423 Maritime Helicopter Squadron, 12 Wing Shearwater) had been serving with NATO's Standing Naval Force Atlantic (SNFL) since the end of August, and were scheduled to arrive home around the end of November.

Crewmembers and their families must now adjust to a change in Halifax's deployment.

Bela is a Navy spouse in Halifax; her husband, Phil, is a Naval Weapons Tech on board HMCS Halifax.

"He;'s tired," she said. "They;'re doing practices and retraining and safety things. And they've been restocking the ship as well-extra stores and whatnot. He says he'll get time to rest later on."

Bela and the couple's two children received a 15-minute telephone call from Dad, letting them know he's okay, and so far they've been exchanging daily e-mail.

"We; do have that contact, thank God," she said. "I; don't know how wives in past years managed without that. My main concern is that my husband knows I'm okay and the girls are okay, and things here are normal-as much as I can keep things normal. If he knows we're okay, then he can do the job that much better."

Everyone ashore is sensitive to the effects of the deployment. Bela's daughter's teacher has spoken to the class, letting them know in general terms what's going on, and requesting a bit of special treatment and leeway for the two students whose fathers are deployed.

"She; came home all happy with herself," Bela said. "She; said, 'I'm special, Mom.' The teacher has dealt with it so adequately that I'm having an easy time of it, compared to some other parents who might not be having such as easy time."

Ashore spouses in past years also had to manage without the help of the Military Family Resource Centres (MFRCs).With their dispersal of accurate, up-to-date information, and their many pre-, during- and post-deployment services, MFRCs are a vital member of the CF family.

"The MFRC makes sure we have information as soon as they have it-and they do pass it along that quickly," said Bela."They're great about that. It's a place to get together and talk about what's going on, our worries and stuff like that, with other families.

"And it's not just for spouses: brothers and sisters and parents can call the MFRC, and they'll get information, too. We're all in the same boat, figuratively and literally."

"The ship's company has been working hard to get the ship ready for the deployment," Halifax CO Commander Peter Ellis said in August, when the frigate first deployed to SNFL."We're confident we're prepared to face the challenges ahead."

Cdr Ellis, his officers and his crew are prepared; a well- planned deployment and SNFL's usual state of high readiness guarantee that. They can rest easy that their families at home are being well taken care of by the Navy and the CF.

Image: WWW.HMCSHALIFAX.COM

During SNFL deployments, Action Stations is a regular drill on board HMCS Halifax.

Pendant les déploiements; de la Force navale permanente de l'Atlantique, le branle-bas de combat est un exercice régulier; à bord du NCSM Halifax.

Les familles du

Halifax

face à une longue séparation;


par Ruthanne Urquhart

Certaines familles du Halifax ont trouvé particulièrement; difficile d'apprendre que le NCSM Halifax se joindrait aux autres navires de combat canadiens pour l'Op Apollo.

Les 225 membres d'équipage; de la frégate; (y compris un détachement; d'hélicopt;ères; du Groupe aérien; maritime, 423e Escadron d'hélicopt;ères; maritimes) en service auprès; de la Force navale permanente de l'Atlantique (OTAN) depuis la fin d'août;, devaient rentrer au port vers la fin de novembre.

Les membres d'équipage; et leurs familles doivent maintenant s'ajuster au changement de déploiement; du Halifax.

Bela est femme de marin à Halifax. Phil, son mari, est technicien d'armes navales à bord du NCSM Halifax. « Il est fatigué, affirme sa femme. Ils font des exercices, reçoivent; de l'instruction et prennent des mesures relatives à la sécurit;é.; Ils reconstituent également; les stocks du navire et chargent les articles additionnels dont ils auront besoin. Il dit qu'il aura du temps pour se reposer plus tard. »

Bela et ses deux enfants ont pu parler à papa au tél;é-; phone pendant quinze minutes : il leur a dit qu'il allait bien. Jusqu'à maintenant, la famille s'échange; des courriels tous les jours.

« Dieu merci, le courriel nous permet de communiquer, constate-t-elle. Je me demande comment les femmes faisaient avant. Ce qui m'importe le plus, c'est que mon mari sache que les filles et moi allons bien et que la vie ici continue de façon; normale, aussi normale que possible. S'il ne s'inquiète; pas pour nous, il peut travailler bien mieux. »

Tout le monde à terre est sensible aux effets du déploiement.; Le professeur d'une des filles de Bela a expliqué en gros à la classe ce qui se passe et a demandé qu'on accorde une attention spéciale; et une certaine latitude aux deux él;èves; dont le père; est déploy;é.;

« Elle est revenue à la maison très; fière; d'elle, raconte Bela. Elle m'a dit : "Maman, je suis spéciale;". Le professeur a si bien abordé la situation que j'ai eu peu de problèmes;, comparativement à d'autres parents pour qui c'est peutêtre; plus difficile. »

Par le passé, les conjointes et les conjoints à terre devaient également; se débrouiller; sans l'aide des Centres de ressources pour les familles des militaires (CRFM). Comme ces centres diffusent de l'information exacte et à jour et offrent de nombreux services avant, pendant et après; les déploiements;, ils forment un él;ément; essentiel de la famille des FC.

« Les CRFM s'assurent que nous recevons l'information aussitôt; qu'elle leur parvient. Ils la diffusent vraiment rapidement, explique Bela. C'est une de leurs qualités.; Ce sont aussi des endroits où on peut se regrouper et discuter des év;énements; et de nos préoccupations; avec d'autres familles. Leurs services ne sont pas seulement offerts aux conjoints : les frères;, soeurs et parents peuvent eux aussi tél;éphoner; et obtenir de l'information. Nous sommes littéralement; tous dans le même; bateau. »

« L'équipage; travaille fort pour préparer; le navire au déploiement; », constatait le capf Peter Ellis, commandant du Halifax, quand la frégate; a ét;é déploy;ée; au sein de la Force navale permanente de l'Atlantique. « Nous sommes prêts; à affronter les défis.; »

Un déploiement; bien planifié et l'état; de préparation; habituel de la Force navale permanente de l'Atlantique font en sorte que le capf Ellis, ses officiers et son équipage; sont prêts.; Ils peuvent avoir l'esprit tranquille : la Marine et les FC prennent bien soin de leurs familles.

Image: Members of the MARPAC Masters swim team were the first to dive into the Naden Athletic Centre's pool November 1 after the facility's opening ceremonies. Renovations are still being done, and the pool should be open by the end of November. CARMEL ECKER, LOOKOUT

Les membres de l'équipe; des maîtres; nageurs des FMAR(P) ont ét;é les premiers à étrenner; la piscine du centre athlétique; Naden, après; la cér;émonie; d'ouverture du centre, le 1er novembre. Les rénovations; se poursuivent et la piscine devrait être; officiellement ouverte d'ici la fin de novembre.

Vol. 4 No. 42 * 2001 13


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