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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

December 5, 1875

In Strathroy, Ont., Arthur William Curry is born. In 1887, his parents change their name to Currie, and in 1893, the young Arthur moves to Victoria, B.C., and joins the Non-Permanent Active Militia; by 1913, he has attained the rank of lieutenant-colonel and earned a reputation for efficiency. In 1914, soon after the declaration of war, LCol Currie reports to Valcartier Camp, where the Canadian Expeditionary Force is forming, and is appointed to command the 2nd Canadian Infantry Brigade by the Minister of Militia and Defence, Sir Sam Hughes.

To the officers of the British Army, Brigadier-General Currie is an anomaly, not only because he is a Militia officer and, therefore, an "amateur," but also

because he is shy and lacks their smart style-tall and pear-shaped, he always looks badly dressed and too big for his horse. He is, however, strikingly effective in the field: determined to minimize casualties, he insists on reconnaissance, careful preparation and applying lessons learned in battle. He takes his green brigade into battle at Ypres in the spring of 1915 and, by December 1915, he is commanding the 1st Canadian Division, which he leads through the dreadful Somme campaign of 1916. In 1917, after the success of the Canadian Corps at Vimy Ridge-BGen Currie is still in command of the 1st Canadian Division-he is promoted lieutenant-general, appointed Corps Commander (succeeding Lieutenant-General Sir Julian Byng of the British Army) and knighted.

As Corps Commander, LGen Sir Arthur Currie has the scope to exploit his own initiative and his troops' courage and skill. After the slaughter of Passchendaele, LGen Currie reaches his high point in the fall of 1918 with the "100 Days" campaign, in which the Canadian Corps helps bring the war to an end with a series of spectacular attacks. On November 11, 1918, LGen Currie enters Mons at the head of his troops as the Armistice comes into effect. He is by far the most successful Canadian general of the war.

Image: CANADIAN WAR MUSEUM / MUSÉE; CANADIEN DE LA GUERRE

5 décembre; 1875

À Strathroy (Ont.), Arthur William Curry vient au monde. En 1887, ses parents changent leur nom pour Currie, et en 1893, le jeune Arthur dém;énage; à Victoria  
(C.-B.) et se joint à la Milice active non permanente. En 1913, il a atteint le grade de lieutenant-colonel et acquis une réputation; d'efficacité.; En 1914, peu après; la déclaration; de guerre, le lcol Currie se présente; au camp de Valcartier, où le Corps expéditionnaire; canadien est en voie de formation, et il est nommé commandant de la 2e Brigade d'infanterie canadienne par le ministre de la Milice et de la Défense;, sir Sam Hughes.

Pour les officiers de l'Armée; britannique, le brigadier-gén;éral; Currie est une anomalie, non seulement parce que c'est un officier de la Milice et par conséquent; un « amateur », mais aussi parce qu'il est timide et qu'il n'a pas leur style él;égant; : de grande taille, bâti; comme une poire, il a toujours l'air mal habillé et trop gros pour son cheval. Cependant, il est extrêmement; efficace sur le terrain : détermin;é à réduire; les pertes, il insiste sur la reconnaissance, une préparation; minutieuse et l'application des leçons; apprises sur le

Official portrait of LGen Sir Arthur William Currie by Sir William Orpen.

Portrait officiel du lgén; sir Arthur William Currie par sir William Orpen.

champ de bataille. Au printemps 1915, il mène; sa brigade inexpériment;ée; au combat à Ypres, et en décembre; 1915, il commande la 1re Division du Canada, avec laquelle il entreprend, en 1916, la terrible campagne de la Somme. En 1917, après; le succès; remporté par le Corps d'armée; canadien à la crête; de Vimy (le bgén; Currie est toujours commandant de la 1re Division du Canada), il est promu lieutenant-gén;éral;, nommé commandant du Corps d'armée; canadien (il succède; au lieutenant-gén;éral; sir Julian Byng, de l'Armée; britannique) et fait chevalier.

En tant que commandant du Corps d'armée;, le lgén; sir Arthur Currie est libre d'exploiter son propre esprit d'initiative ainsi que le courage et les compétences; de ses soldats. Après; le massacre de Passchendaele, le lgén; Currie connaît; son heure de gloire, à l'automne 1918, avec la campagne des « Cent jours », au cours de laquelle le Corps d'armée; canadien aide à mettre fin à la guerre grâce; à une série; d'attaques spectaculaires. Le 11 novembre 1918, le lgén; Currie entre à Mons à la tête; de ses troupes lorsque l'armistice est déclar;é.; Il est de loin le gén;éral; canadien qui a remporté le plus de succès; pendant la guerre.

18th Air Defence Regiment, RCA


By Scott Costen

About 75 Reserve and 37 Regular Force members serve side by side in 18th Air Defence Regiment, RCA. They do a job that is as important as it is unique.

"The role of air defence artillery is to prevent the enemy from interfering from the air with friendly force operations on the ground," said Warrant Officer Glenn Miller, the unit's training WO. Fewer than 300 CF members are employed as air defence artillery soldiers, he said.

The regiment has existed in Lethbridge, Alta., since 1908, but did not assume its current role until 1993. "We re-roled from field artillery to air defence."

18th Air Defence Regiment, RCA,

using Javelin missiles. "It's a big deal to fire them because they're very expensive," he said of the shoulder-launched surface-toair missiles, which give units a Very Short Range Air Defence capability.

Two electronic trainers help regiment members hone their skills with the missiles. "There is a large skill set required to ensure the proper target is effectively engaged," said WO Miller.

As the only CF unit in Lethbridge, 18th Air Defence Regiment, RCA, plays an important role in the community. Members visit schools for Remembrance Day ceremonies and support activities such as the local Royal Canadian

Legion tattoo.

The regiment's armoury was renamed Vimy Ridge Armoury November 9.WO Miller said this is a fitting tribute to artillery soldiers from Lethbridge who fought in one of the First

World War's most important and costly battles. "We did it to honour the service, sacrifice and commitment of the people who fought and died at  
Vimy Ridge." missiles, car ils coûtent; très; cher », fait-il remarquer au sujet des missiles sol-air tirés; à l'épaule;, qui donnent aux unités; une capacité de défense; antiaérienne; de très; courte portée.;

Deux simulateurs électroniques; aident les membres du régiment; à perfectionner leurs compétences; relatives aux missiles. « Il faut acquérir; un ensemble important de compétences; pour faire en sorte que le bon objectif soit engagé efficacement », indique l'adj Miller.

Seule unité des FC à Lethbridge, le 18e Régiment; d'artillerie antiaérienne;, ARC, joue un rôle; important dans la communauté.; Ses membres se rendent dans les écoles; lors des cér;émonies; du jour du Souvenir et participent à des activités; de soutien, comme le tattoo local de la Légion; royale canadienne.

Le manège; militaire du régiment; a ét;é rebaptisé Manège; militaire de la crête; de Vimy le 9 novembre dernier. Selon l'adj Miller, il s'agissait d'un bel hommage aux artilleurs de Lethbridge qui ont combattu dans une des batailles les plus importantes et meurtrières; de la Première; Guerre mondiale : « Nous avons rebaptisé le manège; militaire afin de rendre hommage au service, aux sacrifices et à l'engagement des personnes qui ont combattu sur la crête; de Vimy et qui y ont laissé la vie. »

Image: works with both 1 Canadian Mechanized Brigade Group (1 CMBG) and 41 Canadian Brigade Group. "Our job right now is to protect 1 CMBG if it goes anywhere," said WO Miller.

Members of the regiment enjoy a number of exciting training opportunities, including live- fire exercises

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Régiment; d'artillerie antiaérienne;, ARC


par Scott Costen

Quelque 75 réservistes; et 37 membres de la Force réguli;ère; travaillent de concert dans le 18e Régiment; d'artillerie anti- aérienne; de l'ARC. Ils exécutent; des tâches; aussi importantes qu'uniques.

« Le rôle; de la défense; antiaérienne; est d'empêcher; l'ennemi de perturber les opérations; terrestres depuis les airs grâce; aux opérations; des forces amies au sol », explique l'adjudant Glenn Miller, l'adjudant responsable de l'instruction de l'unité.; Moins de 300 membres des FC sont employés; comme soldats de l'artillerie antiaérienne.;

Le régiment; est présent; à Lethbridge (Alb.) depuis 1908, mais n'a ét;é affecté à sa nouvelle mission qu'en 1993. « Notre ancienne mission était; l'artillerie de campagne. »

Le 18e Régiment; d'artillerie anti- aérienne;, ARC, collabore à la fois avec le 1er Groupe-brigade mécanis;é du Canada (1 GBMC) et le 41e Groupe-brigade du Canada. « Notre tâche;, à l'heure actuelle, c'est de protéger; le 1 GBMC en cas de déploiement; », précise; l'adj Miller.

Les membres du régiment; participent à un certain nombre d'activités; d'entraînement; intéressantes;, notamment des exercices de tir réel; faisant appel aux missiles Javelin. « Ce n'est pas rien de les tirer, ces

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Sus aux parasites!


Keeping pests at bay


par Aline Dubois

Des techniciens en médecine; préventive; des FC mieux formés; dans le domaine de la désinfection;, notamment, et dotés; d'un équipement; adéquat;, des insectifuges mieux adaptés; aux conditions des zones de déploiement;, le nettoyage méticuleux; de l'équipement; militaire avant le retour au

Canada, telles sont en substance les principales modifications que le Comité consul- tatif de lutte antiparasitaire intégr;ée; (CCLAI) du MDN souhaite voir apporter au sein de l'institution.

Le CCLAI, qui tenait sa réunion; annuelle à Winnipeg du 1er au 3 octobre dernier, a dégag;é une série; de recommandations qui seront portées; sous peu à l'attention du Directeur gén;éral; - Environnement et du Directeur - Politique médicale.; Parmi cellesci, le CCLAI souhaite des améliorations; du côt;é des techniciens en médecine; préventive;, comme le précise; Robert Cretain, secrétaire; de la CCLAI : « Ils devraient recevoir un équipement; standardisé adéquat; lorsqu'ils obtiennent leur certificat de qualification de niveau 5A. Par équipement; standardisé, on entend un équipement; personnel de protection destiné à l'épandage; des pesticides, dont un respirateur, des gants en néop;ène;, une loupe d'entomologiste permettant l'identifi- cation d'animaux nuisibles et du matériel; de réf;érence;, entre autres. »

Les techniciens en médecine; préventive;, qui sont responsables de la désinfection; du matériel; après; les déploiements;, y compris celle des conteneurs de transport maritime, devraient se familiariser avec les Normes pour l'éducation;, la formation et la certification en matière; de pesticides au Canada conformes aux directives féd;érales.;

Le CCLAI souhaite également; que les insectifuges utilisés; par les FC conservent un taux de diéthyltoluamide; de 31,5 p. 100, au lieu des 30 p. 100 préconis;és; par Santé Canada, et ce, en raison notamment du risque croissant d'exposition du personnel déploy;é aux maladies à transmission vectorielle. Le Canada resterait ainsi aligné sur les autres pays des Nations-Unies. Selon  
M. Cretain, la limite suggér;ée; par Santé Canada serait basée; sur l'efficacité du produit et non sur son risque de toxicité et un écart; de 1, 5 p. 100 ne présenterait; aucun danger pour la santé de nos soldats.

Une autre recommandation porte sur les procédures; de nettoyage des véhicules; et de l'équipement; ramené au Canada après;

les déploiements.; L'introduction au pays d'espèces; invasives d'insectes étrangers; par l'entremise d'équipement; mal nettoyé, peut avoir des conséquences; imprévisibles; et désastreuses;, sur le plan de la santé et de l'économie;, notamment. Le CCLAI propose donc de renforcer les procédures; visant à éviter; tout risque de contamination du genre, en collaboration avec l'Agence canadienne d'inspection des aliments, organisme régulateur; en la matière;,le 3e Groupe de soutien du Canada et J3 Opérations.;

Le CCLAI recommande également; qu'un rapport d'enquête; à mi-parcours soit dressé à propos de questions relatives à la lutte antiparasitaire dans les théâtres; d'opérations.; Ce document permettrait de mieux préparer; les techniciens en médecine; préventive; en vue des déploiements; futurs.

Le Comité affichera sous peu sur l'intranet le rapport complet des activités; reliées; à sa réunion; annuelle : http://admie.dndhq.dnd.ca/dge/KeyDocs/Keydocs_f.htm

By Aline Dubois

Preventive medicine technicians who are better trained primarily in the area of disinfection and having adequate equipment to work with, insect repellents better adapted to the conditions found in areas of deployment, and the meticulous cleaning of military equipment before it is returned to Canada-these are the principal changes the DND Pest Management Advisory Committee (PMAC) would like to see implemented.

At its annual meeting, held October 1-3 in Winnipeg, the PMAC issued a series of recommendations that will soon be submitted to the Director General Environment and the Director Medical Policy.

One recommendation is for preventive medicine technicians to be given better support. "They should receive the appropriate standardized equipment after earning their level 5A qualification certificate," said Robert Cretain, secretary of the PMAC. "By standardized equipment, we mean personal protective equipment used in spreading pesticides, including respirators, neoprene gloves, entomologists' magnifying glasses used to identify pests, reference material, and other things."

Another recommendation is for preventive medicine technicians, who are responsible for disinfecting materiel following deployments, including marine transport containers, should acquire a knowledge of the Standard for Pesticide Education, Training and Certification in Canada to comply with federal regulations.

The PMAC also wants insect repellents used by the CF to contain 31.5 percent diethyltoluamide, rather than the 30 percent advocated by Health Canada, prima- rily because of the growing risk of personal exposure to vector-borne diseases. This would bring Canada back into line with other countries in the United Nations. According to Mr. Cretain, the limit suggested by Health Canada is based not on the toxic hazard involved, but on the product's effectiveness, so a difference of 1.5 percent would pose no risk to the health of CF members.

Another recommendation concerns the procedures for cleaning vehicles and equipment shipped back to Canada following deployments. Foreign insect species that hitch rides to Canada on poorly cleaned equipment may have unforeseen and disastrous consequences, particularly in the areas of public health and the economy. The PMAC, along with the Canadian Food Inspection Agency, a regulatory body working on these issues, 3 Canadian Support Group and J3 Operations, plans to strengthen procedures designed to eliminate the risk of such contamination.

The PMAC also recommends that a mid-term report on the group's work be drafted dealing with questions relating to pest control in theatres of operation. Such a document would help ensure that preventive medicine technicians are better prepared for future deployments.

The PMAC plans to post a full report on its annual meeting on the Intranet at http://admie.d-ndhq.dnd.ca/dge/KeyDocs/ Keydocs_e.htm

Beavering away


Quand on s'affaire comme un castor


By Susan Turcotte

It could be said that Master Warrant Officer Eileen Longney is as busy as a beaver-or at least as busy as the Beavers she meets every Wednesday at a community centre in Regina.

Known as "Rainbow" to the 29 five- and-six-year-old boys and girls of the 68th Uplands Beaver Colony, MWO Longney moved into a leader's position this fall after three years as a parent volunteer. Scouting has become a family affair this year: her daughter became a Beaver, and her husband and son moved up to Cubs.

Being a leader comes naturally for MWO Longney, the Regimental Sergeant Major of 10 Field Regiment, Royal Canadian Artillery. Until recently, she ran her own day care centre, but now she works as a full-time staff officer for the regiment. A member of the Army Reserve for the past 22 years, she has found ways to combine her military career with her work with children.

MWO Longney helped organize an evening of remembrance November 7, when 90 members of the scouting organization turned out to hear veterans speak, visit the Saskatchewan

par Susan Turcotte

On pourrait dire de l'adjudant-maître; Eileen Longney qu'elle s'active autant qu'un castor, ou du moins autant que les beavers (castors) qu'elle rencontre tous les mercredis dans un centre communautaire de Regina.

Surnommée; « Arc-en-ciel » par les 29 filles et garçons; de cinq et six ans de la 68e Colonie de beavers d'Uplands, l'adjum Longney a accepté un poste de

leader cet automne après; avoir ét;é parent bén;évole; pendant trois ans. Les scouts sont devenus une affaire de famille cette année; : sa fille est beaver tandis que son mari et son fils ont ét;é promus chez les louveteaux.

L'adjum Longney, sergent-major régimentaire; du 10e Régiment; d'artillerie de campagne, Artillerie royale canadienne, a un don

pour le leadership. Jusqu'à tout récemment;, elle exploitait une garderie, mais elle travaille maintenant à temps plein comme officier d'état-major; pour le régiment.; Membre de la Réserve; de la Force terrestre depuis 22 ans, elle a trouvé moyen de conjuguer sa carrière; militaire et son travail auprès; des enfants.

L'adjum Longney a participé à l'organi

sation d'une soirée; commémorative; le 7 novembre dernier. Quatre-vingt-dix membres de l'organisation des scouts sont venus entendre les récits; d'anciens combattants, visiter le Musée; militaire de la Saskatchewan et examiner les canons du régiment.;

« J'ai l'impression de consacrer aux beavers presque autant de temps qu'à mon emploi à temps plein », a-t-elle confié.; Mais elle trouve enrichissant le fait de travailler avec autant d'enfants et de planifier autant d'activités.; « Je pense à leurs visages qui s'illuminent lorsqu'ils voient des choses qu'ils n'ont jamais vues ou qu'ils se rendent compte qu'ils sont capables de faire quelque chose qu'ils n'ont jamais fait auparavant. »

D'autres jeunes profitent de l'énergie; et de l'attention de l'adjum Longney. Il y a six ans, elle est devenue bén;évole; auprès; de l'Ambulance Saint-Jean. Elle consacre la plupart de ses heures de bén;évolat; à enseigner les premiers soins aux cadets de sa région.;

Depuis deux ans, elle coordonne des activités; sociales, des soirées; de danse et des séances; de cinéma; pour les adolescents au centre communautaire. « Je tiens à ce que les adolescents aient quelque chose à faire, a-t-elle expliqué.; Tôt; ou tard, mes enfants seront adolescents eux aussi. »

Image: KIM "TIC; TAC" DIGNEY

MWO Eileen Longey of Regina leads a Beaver colony, instructs Cadets in first aid, and co-ordinates dances and movie nights for teens.

Military Museum and look over the regiment's guns.

"I find the time I dedicate to the Beavers is almost as much as the time I have for my full-time job," she said. But she finds it rewarding working with so many children and planning so many activities. "I think of their faces lighting up when they see things they've never seen before or realize they can do something they've never done before."

Other children benefit from MWO Longney's energy and care: six years ago, she became a volunteer with St. John Ambulance. She likes to use most of her time as a volunteer first-aid instructor working with local cadets.

For the past two years, she has been coordinating social functions, dances and movie nights as a co-ordinator for teens at the community centre. "I want the teenagers to have something to do," she said."Sooner or later, my kids will be teens."

L'adjum Eileen Longney, de Regina, dirige les activités; d'une colonie de beavers, enseigne les premiers soins aux cadets et coordonne des soirées; de danse et des séances; de cinéma; pour les adolescents.

Vol. 4 No. 43 * 2001


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