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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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CFSAL Music Training Company


By Scott Costen

CF musicians enhance esprit de corps and act as military ambassadors across Canada and around the world.

"The; bands are the public face of the Canadian Forces," says Lieutenant Tom Loney, Officer Commanding, Music Training Company of the CF School of Administration and Logistics. "To; get the support and interest of the public, it's very important to have the bands front and centre."

Music Trg Coy provides musical instruction and support to all Reserve Force musicians and to Regular Force pipe and drum musicians. Its facilities at CFB Borden include 47 practice rooms, nine teaching studios, five classrooms and a rehearsal concert hall.

Music Trg Coy awards about 200 qualifications each year to CF musicians and directors of music. Instructors teach musical theory, instrumental proficiency and band administration. They also help senior musicians develop into pipe and drum majors capable of leading bands on parade.

"It;'s up to us to ensure everyone receives the training they require to do their job effectively," says Lt Loney. "A; musician is a highly specialized tradesperson, and it takes years to achieve a high level of proficiency."

Candidates at Music Trg Coy may not dig a lot of trenches or go on many ruck- sack marches, but that does not mean they avoid all the fun of being on course. "Just; like at any other school, there are regular inspections, and candidates are marched to and from class. They have to know how to operate on a parade square. They learn special drill move- ments...and have to know how to play and march simultaneously."

Regardless of what unit they represent or what instrument they play, the candidates who pass through Music Trg Coy are part of a military community that prides itself on professionalism and proficiency, says Lt Loney.

"They; realize the importance of presenting the Canadian Forces to the public, of supporting other elements, and of building morale and esprit de corps."

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La Compagnie d'instruction en musique de l'EALFC


par Scott Costen

Les musiciens des FC contribuent au maintien de l'esprit de corps et servent d'ambassadeurs militaires partout au Canada et à l'étranger.;

« Les musiques font connaître; les Forces canadiennes au public », dit le commandant de la Compagnie d'instruction en musique de l'École; d'administration et de logistique des Forces canadiennes (EALFC), le lieutenant Tom Loney. « Pour favoriser et susciter l'intér;êt; des Canadiens, il est important d'utiliser au maximum les musiques en tant qu'outil de relations publiques. »

La Compagnie d'instruction en musique offre de la formation musicale et du soutien à tous les musiciens de la Force de réserve; et des corps de cornemuses et tambours de la Force réguli;ère.; Ses installations, qui sont situées; à la BFC Borden, comprennent 47 salles de rép;étition;, neuf studios d'instruction, cinq salles de classe et une salle de rép;étition.;

La Compagnie d'instruction en musique accorde chaque année; environ 200 qualifications aux musiciens et aux directeurs de musique des FC. Les instructeurs enseignent la théorie; musicale, la maîtrise; des instruments et l'administration des musiques. Ils aident également; les musiciens chevronnés; à devenir des cornemuseurs-majors et des tambours-majors capables de diriger des musiques lors des parades.

« Il n'en tient qu'à nous de veiller à ce que tous reçoivent; la formation dont ils ont besoin pour accomplir leur travail efficacement », dit le lt Loney. « Un musicien est un artiste très; spécialis;é qui doit travailler pendant des années; avant d'atteindre un niveau d'expertise élev;é.; »

Les candidats de la Compagnie d'instruction en musique ne creusent peutêtre; pas de tranchées;, pas plus qu'ils ne partent en randonnée; avec havresac, mais cela ne signifie pas qu'ils sont privés; des plaisirs de l'entraînement.; « Comme dans toute autre école;, il y a des inspections réguli;ères; et les candidats marchent en formation pour aller en classe et pour en revenir. Ils doivent apprendre comment fonctionner sur un terrain de parade. Ils doivent apprendre des mouvements réglementaires; spéciaux...; et ils doivent pouvoir jouer de leur instrument tout en marchant. »

Quelle que soit leur unité ou leur instrument, les candidats qui sont formés; par la Compagnie d'instruction en musique font partie d'une collectivité militaire qui est fière; de son profession- nalisme et de son expertise, affirme le lt Loney.

« Ils sont très; conscients de l'importance de représenter; les FC auprès; du public, d'appuyer les autres él;éments; et d'améliorer; le moral et l'esprit de corps. »

To suggest a unit portrait, call Scott Costen at (613) 996-9283.

Pour suggérer; un portrait d'unité, communiquez avec Scott Costen au (613) 996-9283.


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

May 13, 1943

In the northeast Atlantic Ocean, convoy HX-237 is heading for England with a mighty defence force. The close escort group comprises three Canadian corvettes and a couple of British frigates, and the support group includes HMS Biter carrying 811 Squadron of the Fleet Air Arm and a full complement of Grumman F4F Martlet fighters. Today, the convoy is also accompanied by a Short-Sunderland flying boat from 423 (Eagle) Squadron, a Canadian unit serving with RAF Coastal Command. All this firepower and ingenuity is focussed on a spot in the water identifiable only as 48.37°N;, 22.39°W;, where the 47 men in the German submarine U-753 are fighting for their lives.

The Sunderland is flying low, hunting for survivors of a torpedoed merchant ship, when one of the crew spots U-753 as it surfaces. As the pilot circles the flying boat over the submarine, the wireless operator makes a signal to HMCS Drumheller (commanded by Lieutenant L.P. Denny of the Royal Canadian Navy Reserve), which has just finished plucking 15 merchant sailors from the freezing water below. With Drumheller in hot pursuit, U-753 starts a fire- fight with the Sunderland and a Martlet from Biter. When Drumheller gets close enough to start shooting, the submarine finally dives, but too late; Drumheller stops directly overhead, dropping depth charges and tracking its every move by asdic.

If the submarine can stay still, it may survive the depth charges, but the escort ships have a new weapon it will not escape. The destroyer HMS Lagan has just been fitted with a "hedgehog; mortar", a device that flings 24 bombs 210 m ahead of the ship, where they enter the water in a 30 m spread. Each bomb contains 14 kg of Torpex and a contact fuse that fires when it touches a submarine. Directed by Drumheller, which manoeuvres smartly out of the way, Lagan charges in and fires a hedgehog spread that makes a neat circle of splashes over U-753. After a few tense seconds, a massive explosion churns the sea, throwing up oil, debris and, finally, a bubble of air 20 m in diameter-the contents of the doomed submarine's shattered pressure tanks.

Image: HMCS Drumheller, a Flower-class corvette operating with convoy escort group C2.Le NCSM Drumheller, une corvette de classe Flower, croise avec le groupe d'escorte de convoi C2.

RCN / MRC

Le 13 mai 1943

Dans le nord-est de l'océan; Atlantique, le convoi HX-237 se dirige vers l'Angleterre, protég;é par une puissante force de défense.; Le groupe d'escorte rapproché comprend trois corvettes canadiennes et deux frégates; britanniques. Le groupe d'appui, quant à lui, est formé du HMS Biter ayant à son bord le 811e Escadron de l'aéronavale; et les chasseurs Grumman F4F Martlet avec équipage; complet. Aujourd'hui, le convoi est également; accompagné d'un hydravion Short- Sunderland du 423e Escadron (Eagle), une unité canadienne servant aux côt;és; du Commandement de l'aviation côti;ère; de la RAF. Toute cette puissance de feu, dont le déploiement; a ét;é si soigneusement planifié, est concentrée; sur un point de la mer désign;é seulement par ses coordonnées; : 48° 37' N, 22° 39' O. À cet endroit, 47 hommes à bord du sous-marin allemand U-753 luttent pour leur survie.

Le Sunderland vole à basse altitude à la recherche des survivants d'un navire marchand torpillé.; Soudain, un membre de l'équipage; aperçoit; le U-753 qui fait surface. Tandis que le pilote décrit; des cercles au-dessus du sous-marin, le tél;égraphiste; envoie un signal au NCSM Drumheller (commandé par le lieutenant L.P. Denny de la Réserve; de la Marine royale du Canada), qui vient tout juste de retirer 15 marins marchands des eaux glaciales. Le Drumheller à ses trousses, le U-753 déclenche; un échange; de feu avec le Sunderland et un Martlet du Biter. Quand le Drumheller est assez proche pour ouvrir le feu, le sous-marin plonge, mais trop tard. Le Drumheller s'immobilise directement au-dessus du sous-marin, largue des grenades sous-marines et le poursuit dans ses moindres mouvements grâce; à son équipement; ASDIC.

Le sous-marin peut éviter; les grenades sous-marines s'il réussit; à rester immobile. Mais les navires d'escorte disposent d'une nouvelle arme qui viendra finalement à bout du sous-marin : un mortier « hérisson; » dont vient d'être; doté le destroyer HMS Lagan. Ce dispositif peut lancer 24 bombes qui parcourent 210 m avant de frapper l'eau en une gerbe de 30 m. Contenant 14 kg de Torpex, chaque bombe est munie d'une fusée; de contact qui explose dès; qu'elle percute une cible. Guidé par le Drumheller, qui intelligemment se tient à l'écart;, le Lagan fonce et tire une gerbe de bombes « hérisson; » juste au-dessus du U-753. Les éclaboussements; font un cercle bien visible. Quelques secondes s'écoulent; pendant lesquelles chacun retient son souffle, puis une gigantesque explosion fait bouillonner la mer et projette dans les airs de l'huile, des débris; et, finalement, une grosse bulle de 20 m de diamètre;, soit le contenu des réservoirs; sous pression fracassés; de l'infortuné sous-marin.


Vol. 5 No. 17 * 2002



CF establishes new centre of excellence


By Gloria Kelly

The CF has established the Canadian Defence Academy (CDA), a centre of excellence for the professional development and education of all CF officers and non-commissioned members.

Based in Kingston, Ont. the new CDA will consolidate the Royal Military College of Canada (RMC), the Canadian Forces College (CFC) and the education and professional development responsibilities of the Canadian Forces Recruiting, Education and Training System (CFRETS) under one organization.

The Commander of the CDA is Rear- Admiral David Morse and the first CDA Chief Warrant Officer is CWO Michel Guay.

The CDA will be governed by an education advisory board reporting directly to the Defence Minister and by the professional development council reporting to the Chief of the Defence Staff.

Senior management of the CF/DND believe ensuring the development of all CF personnel is an important part of their responsibility for providing Canada with sustainable defence and security. Professional development is at the heart of the profession of arms. The CDA will play a vital role in the reform and transformation of our professional standards and competencies.

This new organization will be focussed on the four pillars of professional development (training, education, experience and self- development) common to all military occupational classifications. It will be structured to ensure the direct engagement of senior CF and DND leaders in the strategic direction of professional development and education in particular. Moreover, it will be organized with corporate accounts to ensure that resources are channelled efficiently and professional development and education outcomes are regularly monitored and adjusted when necessary.

The CDA headquarters will control common professional development programmes conducted by the CFC and RMC. It will also take on the co-ordination of common NCM professional development. The CDA mandate includes: championing and tracking lifelong learning for both officers and NCMs within the overall CF professional development system, supervision of the Canadian Military Journal, and the creation and supervision of centres of excellence pertinent to the development of our profession (commencing with the CF Leadership Institute).

Image: RADM / CAM DAVID MORSE

Création; d'un nouveau centre d'excellence dans les FC


par Gloria Kelly

Les FC viennent de créer; l'École; supérieure; de défense; canadienne (ESDC), un centre d'excellence visant le perfectionnement professionnel et l'éducation; des officiers et des militaires du rang des FC.

Située; à Kingston, en Ontario, la nouvelle ESDC regroupera sous une même; direction le Collège; militaire royal du Canada (CMR), le Collège; des Forces canadiennes (CFC) et les activités; de formation et de perfectionnement professionnel du Service du recrutement, de l'éducation; et de l'instruction des Forces

canadiennes (SREIFC).

Le commandant de l'ESDC est le contreamiral David Morse, et l'adjuc Michel Guay en sera le premier adjudant-chef.

L'ESDC sera dirigée; par un conseil

consultatif de l'éducation; relevant directement du ministre de la Défense; et par le conseil de perfectionnement professionnel relevant du chef d'état-major; de la Défense.;

La haute direction des FC et du MDN juge important d'assurer le perfectionnement du personnel des FC afin que la défense; et la sécurit;é au Canada soient des réalit;és; durables. Le perfectionnement professionnel est au coeur du métier; des armes. L'ESDC jouera un rôle; essentiel dans la réforme; et dans l'actualisation des normes et des compétences; professionnelles dans les FC.

Ce nouvel organisme reposera sur les quatre piliers du perfectionnement professionnel - la formation, l'éducation;, l'expérience; et l'autoperfectionnement -, qui sont communs à toutes les classifications professionnelles militaires. Il sera structuré de manière; à assurer la participation directe des cadres supérieurs; des FC et du MDN à l'orientation stratégique; du perfectionnement professionnel et de l'éducation; en particulier. De plus, il sera organisé selon des comptes de services de façon; à ce que les ressources soient orientées; efficacement et à ce que les résultats; du perfectionnement professionnel et de l'éducation; soient suivis réguli;èrement; et

rajustés; au besoin.

Le quartier gén;éral; de l'ESDC administrera les programmes communs de perfectionnement professionnel offerts par le CFC et le CMR. Il se chargera aussi de la coordination des programmes communs de perfectionnement professionnel des militaires du rang. Le mandat de l'ESDC comprend les él;éments; suivants :

agir comme défenseur; de l'apprentissage continu pour les officiers et les militaires du rang au sein du système; de perfectionnement professionnel des FC et suivre les progrès; accomplis en ce sens; superviser la Revue militaire canadienne; et voir à la création; et à la supervision de centres d'excellence appuyant le développement; de notre profession (à commencer par l'Institut de leadership des FC).

Pour l'amour du sport


For the Love of the Game


par Elisabeth Mills

Le caporal-chef Jean-Guy Poitras a échang;é son uniforme de la Force aérienne; pour un chandail à l'effigie des Territoires du Nord- Ouest pour les Jeux d'hiver de l'Arctique, qui ont eu lieu à la mi-mars. Le cplc Poitras, qui est mécanicien; de bord au sein du 440e Escadron de transport, à Yellowknife, s'est rendu à Iqaluit à titre d'entraîneur; de l'équipe; bantam aux Jeux d'hiver de l'Arctique.

« Je le fais parce que j'aime les jeunes et que j'adore le hockey. Il n'y a pas d'autres raisons que celles-là », dit le cplc Poitras qui compte plus de 14 ans d'expérience; comme entraîneur; au hockey.

Même; s'il a utilisé presque toutes ses vacances pour travailler avec l'équipe;, il admet qu'il n'aurait pu participer aux jeux avec son groupe de jeunes sans le soutien de son escadron et du Secteur du Nord des FC et les absences qui lui ont ét;é consenties pour participer aux séances; d'entraînement; de son équipe.;

« C'est presque un emploi à temps plein que de prendre soin d'ados de 14 et 15 ans. Vous devez presque assumer à la fois le rôle; de père; et celui d'entraîneur; », affirme-t-il.

Il dit qu'il est important de montrer aux jeunes que le hockey est plus qu'un sport; c'est avant tout une question de respect de l'autre, d'esprit d'équipe; et de travailler ensemble en s'amusant. « La vie militaire m'a initié à la vie structurée; et au travail en équipe.; Elle m'a enseigné à faire abstraction de la langue, de la couleur de la peau ou de l'ethnie - elle m'a rendu réceptif; face à

toutes les cultures. »

« Il nous a appris des tas de choses sur le hockey. Il nous a montré à jouer en équipe; et à nous protéger; mutuellement », dit le joueur de défense; Ryan Archer. « Il est tout simplement génial.; »

Dès; le premier jour des jeux, l'équipe; des T.N.-O. a défait; l'Alberta pour la première; fois dans l'histoire des jeux, et l'entraîneur; débordait; de joie. Malgré tout, pour le cplc Poitras la vie d'un entraîneur; ne se mesure pas au nombre de victoires.

« Mon but est de leur montrer quelque chose qu'ils ne vont jamais oublier, et si je peux les amener à me donner 100 pour cent d'eux-mêmes; à chaque match, j'aurai atteint mon but », conclut-il. « Si vous aimez ce sport, vous pourrez accomplir l'impossible. » Mme Mills est officier d'information de l'unité à l'URSC(Nord).

By Elisabeth Mills

Master Corporal Jean-Guy Poitras traded in his Air Force uniform for a Team Northwest Territories jacket during the Arctic Winter Games held in mid-March. MCpl Poitras, a flight engineer with 440 (Transport) Squadron, Yellowknife, travelled to Iqaluit as the coach of the Bantam Arctic Winter Games hockey team.

"I; do it because I love the kids and I'm very much in love with this game - hockey. There's no reason other than that," says MCpl Poitras, who brings more than 14 years of coaching experience to the game.

Although he has used much of his vacation to work with the team, he says he would not have been able to be at the Games with his team without the additional support and time off to attend team practices offered by his Squadron and CF Northern Area.

"It;'s almost a full-time job to take care of 14 and 15 year olds. You almost have to be a father, at the same time as a coach," says MCpl Poitras of the 17 teenagers on the team.

He says it is important for him to show the team that hockey is more than just a game; it's about respect, teamwork, and working to have fun together. "The; military has given me a good knowledge of structure and teamwork. It has taught me to never mind the language, colour or ethnicity - the military has shown me to be open to all cultures."

"He;'s taught us a lot about the game. He's taught us how to play as a team and protect each other," says defenceman Ryan Archer. "He;'s awesome."

On the first day of the Games, NWT beat an Alberta team for the first time in the history of the Games, and the coach was ecstatic. Nevertheless, being a coach means more than just winning to MCpl Poitras.

"My; goal is to teach them something that they will never forget, and if I can get these guys to give me 100 percent during the game, I have reached my goal," he said. "If; you have the love of the game, you can accomplish anything."

Ms. Mills is the unit information officer RCSU(N)

Vol. 5 No. 17 * 2002



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