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Un officier canadien coprésident; de l'enquête; américaine;


par Najwa A. Karam

Le brigadier-gén;éral; Marc Dumais coprésidera; la commission américaine; chargée; d'enquêter; sur l'accident survenu le 17 avril en Afghanistan et cosignera son rapport final. Une collaboration « sans préc;édent; », s'est félicit;é le côt;é canadien, qui contribuera à élucider; les circonstances du drame et à éviter; sa rép;étition; à  
l'avenir.

À ce titre, le bgén; aura accès; à toutes les informations recueillies par les  
Américains; et pourra interroger toute personne dont le témoignage; lui paraîtrait; utile, y compris le pilote qui a largué la bombe, tuant quatre soldats canadiens et en blessant huit autres.

Quelques heures après; la conférence; de presse tenue le 23 avril au QGDN pour annoncer sa participation à l'enquête; américaine;, le bgén; Dumais s'est envolé pour la région; du golfe Persique. Il devrait y rencontrer son homologue américain; pour discuter de la procédure; à suivre avant d'entamer l'enquête; en tant que telle.

« À égalit;é »

Il s'agit d'un effort « commun et combiné » a insisté le bgén; Dumais au cours de sa rencontre avec la presse, ajoutant qu'il participera à part entière; au processus de décision; « à égalit;é » avec son homologue américain.;

« Le but est que nous soyons, moi-même; et mon homologue, les coprésidents; de cette procédure;, et les titres que nous avons sont (respectivement) officier d'enquête; canadien et officier d'enquête; américain...; Nous serons à égalit;é dans la commission et nous cosigneront son rapport final. »

Le bgén; Dumais est le directeur gén;éral; du Développement; de la force interarmées;, ayant 30 années; de service dans la Force réguli;ère; au cours desquelles il a commandé différentes; unités; de la Force aérienne.;

En réponse; à une question, le bgén; a confirmé que son mandat au sein de la commission américaine; lui « permettra de poser des questions et d'avoir accès; à tous les témoins; requis ».; « Il va falloir établir; les ententes entre moi et mon homologue américain;, mais si j'ai l'intention de vouloir faire une entrevue avec un témoin; en particulier, je présume; qu'il sera d'accord », a-t-il toutefois précis;é.;

Le bgén; Dumais a aussi indiqué qu'interroger le pilote américain; qui a largué la bombe sera, à son avis, « une des priorités; du conseil binational ».;

Il s'est abstenu de donner de plus amples détails; sur les procédures; d'interrogation des témoins; et les possibilités; légales; offertes aux enquêteurs;, en attendant de mettre toutes ces questions au point avec son homologue.

Le gén;éral; Maurice Baril, président; de la Commission d'enquête; canadienne, a précis;é de son côt;é que trois militaires canadiens assisteront le bgén; Dumais lors de sa mission. Il a ajouté que celui-ci ne pourra plus être; membre à part entière; de l'enquête; canadienne mais continuera de lui servir de « conseiller spécialiste; ».;

Exprimant sa grande satisfaction du niveau de la participation canadienne à l'enquête; aux États-Unis;, le gén; Baril a dit « je suis personnellement très; agréablement; surpris de la réponse; américaine...; C'est une marque de confiance entre amis, alliés; et membres d'une seule coalition ».;

Il a encore une fois promis une enquête; « transparente et rapide » avec des « mises à jour » réguli;ères; destinées; au public et surtout aux familles des soldats morts et blessés.;

Il a indiqué aussi que les membres de la commission canadienne passeront deux semaines environ dans la région; du golfe Persique et en Afghanistan à partir du 24 avril. Durant leur séjour;, les enquêteurs; visiteront notamment le lieu de l'accident dans le sud de Kandahar et s'emploieront à reconstituer, du côt;é canadien, l'enchaînement; des év;énements; qui a conduit à cet accident tragique.

Au cours de la conférence; de presse le gén; Baril a aussi présent;é les membres de la commission canadienne : le colonel Mark Hodgson (officier de liaison des FC au camp Doha au Koweït;), le col Greg Matte (directeur de l'Analyse de défense; au sein de la Direction gén;érale; de

la planification stratégique; au QGDN), l'adjudant-chef Denis Levesque (du Système; de la doctrine et de l'instruction de la Force terrestre à Kingston) et,

finalement, le conseiller juridique, le lieutenant-colonel Roger Strum.

Pour obtenir des informations à jour sur la Commission d'enquête;, rendez-vous à www.vcds.forces.gc.ca/boi.

« Le but est que nous soyons, moi-même; et mon homologue, les coprésidents; de cette procédure;, et les titres que nous avons sont (respectivement) officier d'enquête; canadien et officier d'enquête; américain...; Nous serons à égalit;é dans la commission et nous cosigneront son rapport final. »

Bgén; Dumais

Image: MCPL / CPLC DANIELLE BERNIER, COMBAT CAMERA

A Canadian officer co-chairs the American inquiry


By Najwa A. Karam

Brigadier-General Marc Dumais will serve as co-chair of the American Board of Inquiry (BIO) into the accident that occurred in Afghanistan on April 17 and will co-sign the final report. The Canadians were pleased with this unprecedented level of co-operation, which will help shed light on the circumstances of the incident and prevent any future recurrence.

As co-chair, BGen Dumais will have access to all information gathered by the Americans and will have the right to address questions to any person whose testimony he deems valuable, including the pilot who dropped the bomb that killed four Canadian soldiers and wounded eight others.

A few hours after the April 23 press conference held at NDHQ to announce his participation in the American inquiry, BGen Dumais flew to the Persian Gulf, where he was to meet with his American counterpart to discuss proper procedures before the inquiry begins.

"On; an Equal Footing"

This investigation is a "joint; and combined effort," insisted BGen Dumais during the press conference, adding he would be participating as a full partner in the decisionmaking process "on; an equal footing," with his American counterpart.

"The; intent is for myself and my American counterpart to be co-heads of this process, so the title we have is Canadian Investigating Officer and American Investigating Officer and the intent is for both of us to be, as I say, co-equals on the American board and to co-sign the report at the end."

BGen Dumais is the Director General Force Development; he has a record of 30 years' service in the Regular Force, during which time he commanded a variety  
of Air Force units.

Responding to a question,  
BGen Dumais confirmed that his mandate as a member of the American BOI would "allow; him to ask questions and have access to all necessary witnesses." "Some; agreements will have to be reached between myself and my American counterpart, but I would assume that if I wanted to interview a particular witness he would be amenable to that," he pointed out.

BGen Dumais also indicated that, in his opinion, questioning the American pilot who dropped the bomb would be "one; of the priorities of the bi-national BOI."

He declined to provide further details regarding the procedures for interviewing witnesses and the legal options open to investigators, wanting to clarify these issues in collaboration with his American counterpart.

General Maurice Baril, Chair of the Canadian BOI, indicated that three CF members would be assisting BGen Dumais during his mission. He added that BGen Dumais was unable to be a full member of the Canadian BOI, but would continue to serve it as a "specialist; advisor."

Voicing his immense satisfaction at the level of Canadian participation in the American inquiry, Gen Baril noted: "I; am very very pleasantly surprised... It's a mark of trust between friends and allies and coalition members."

He once again pledged to conduct a "quick; and open" inquiry and to issue regular  
"updates;" to the public and, more particularly, to the families of the dead and wounded soldiers.

He pointed out that members of the Canadian BOI would be spending roughly two weeks in the Persian  
Gulf region and Afghanistan starting April 24. During their stay, the investigators will make special visits to the accident site south of Kandahar and will try to reconstruct, from the Canadian perspective, the chain of events that led to this tragic accident.

During the press conference, Gen Baril also introduced the members of the Canadian BOI: Colonel Mark Hodgson (CF Liaison Officer at Camp Doha, Kuwait), Col Greg Matte (Director Defence Analysis at Director General Strategic Planning, NDHQ), Chief Warrant Officer Denis Levesque (Land Force Doctrine and Training System, Kingston) and, finally, the legal advisor, Lieutenant-Colonel Roger Strum.

For regularly updated information on the BOI go to www.vcds.forces.gc.ca/boi.

"The; intent is for myself and my American counterpart to be co-heads of this process, so the title we have is Canadian Investigating Officer and American Investigating Officer and the intent is for both of us to be, as I say, co-equals on the American board and to co-sign the report at the end." BGen Dumais


Vol. 5 No. 17 * 2002



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Medal raises many questions

After reading the April 3 edition of The Maple Leaf, Golden Jubilee Medal, I got that "oh; no, here we go again" feeling after seeing what happened with the issue of the Canada 125 Medal. With approximately 53 000 all ranks presently serving and plans to issue this medal to approximately 8 000 it raises the question, what have the other 45 000 done not to deserve it? The issue of the Canada 125 Medal is still a sore point with many CF members and I fear we are following the same path with the Queens Golden Jubilee Medal.

The Queens Golden Jubilee  
Medal has been implemented to recognize the Queen's 50 years of loyal and dedicated service to the Commonwealth, and more specifically as the Constitutional Monarch of Canada. As a proud member of Her Majesties Canadian Forces I, and many of my colleagues, feel that all serving members should be recipients of this Medal.

The exact criteria to award, is not important.What is important is that all who serve during this historic period are receiving a tangible reminder of both the Queen's and their own dedicated service.

If there is to be no general issue to members of the CF, then I propose the following criteria for issue of the Queen's Golden Jubilee Medal based on dedicated and honorable service...

Governor General of Canada as  
Commander-in-Chief of the CF. Chief of the Defence Staff as Head of the CF. Serving Members of the CF who in this year of the Queen's Golden Jubilee meet the following: Holders of all Bravery and Heroism Decorations as they have already put service above themselves in the truest sense; Holders of all Meritorious Service Decorations as they have been identified as serving in many different ways with distinction; Holders of the Chief of the Defence Staff, Chief of the Maritime Staff,

La médaille; soulève; de nombreuses questions

Après; avoir lu l'article sur la  
Médaille; du jubilé de la reine à la du numéro; du 3 avril de La Feuille d'érable;, je me suis souvenu du débat; entourant la remise de la Médaille; Canada 125. Comme les FC comptent en ce moment environ 53 000 militaires de tous grades et que le gouvernement a l'intention de remettre la médaille; à 8 000 d'entre eux à peu près;, on peut se demander ce qu'ont fait les 45 000 autres membres des FC pour ne pas la mériter.; De nombreux militaires n'ont pas encore accepté la façon; dont la Médaille; Canada 125 avait ét;é décern;ée;, et je crains que l'histoire ne se rép;ète; dans le cas de la Médaille; du jubilé de la reine Elizabeth.

La Médaille; du jubilé a ét;é créée; pour marquer le 50e anniversaire de dévouement; et de service loyal de la reine auprès; du Commonwealth, et plus précis;ément; son service en tant que monarque du Canada. En notre qualité de membres des FC de Sa Majesté, un grand nombre de mes collègues; et moi-même; estimons que tous les militaires qui servent actuellement devraient recevoir cette médaille.;

Les critères; précis; qui régissent; la remise de la médaille; importent peu. Ce qui compte c'est que tous ceux qui servent durant cette période; historique reçoivent; un témoignage; concret du dévouement; de la reine et de leur propre contribution.

Si la Médaille; du jubilé de la reine n'est pas décern;ée; à l'ensemble des membres des FC, je propose qu'on l'attribue, en se basant sur les critères; du dévouement; et du service honorable, aux personnes suivantes :

La gouverneure gén;érale; du  
Canada, en tant que commandante en chef des FC; le chef d'état-major; de la Défense;, en sa qualité de dirigeant des Forces canadiennes; les membres actuels des Forces canadiennes récipiendaires; de toutes les décorations; pour la bravoure et l'héro;ïsme;, puisqu'ils incarnent véritablement; l'idéal; de servir; les récipiendaires; de toutes les décorations; pour service méritoire;, étant; donné qu'on a déj;à détermin;é qu'ils avaient servi avec distinction de nombreuses façons; les récipiendaires; de la Mention élogieuse; du chef d'état-major; de la Défense;, du chef d'état-major; des Forces maritimes, du chef d'état-major; de l'Armée; de terre et du chef d'état-major; de la Force aérienne;, vu que leur service spécial; de nature diverse a déj;à ét;é reconnu; les récipiendaires; de la Médaille; canadienne du maintien de la paix, parce qu'ils ont servi là où le Canada leur a demandé de le faire, avec honneur et sans hésitation;, dans des conditions difficiles et dangereuses; les récipiendaires; de la Médaille; du service spécial;, étant; donné qu'ils ont aussi servi avec distinction dans de nombreuses régions; et de diverses façons; ayant impliqué des difficultés; et des sacrifices.

J'espère; que tous les membres des  
FC seront d'avis que cette médaille; doit être; décern;ée; selon le critère; du service, puisqu'il s'agit du sens véritable; du jubilé de la reine.

Adj Paul Peters QG SOFT, G3 Instr Col 4

Chief of the Land

Staff and Chief of the Air Staff Commendations as they have received notice for special service of varying types; Holders of the Canadian Peacekeeping Medal as they have served where and when Canada has needed them, without question and with honor under difficult and dangerous conditions; and Holders of the Special Service Medal as they also have served with distinction in many areas and in many different ways facing hardship and sacrifice.

I hope all members of the CF agree this Medal should be awarded based on service, as this is what the Queen's Golden Jubilee represents.

WO Paul Peters LFWA HQ G3 Col Trg 4

Lead in DND buildings


By Randy Kampman

The recent discovery of elevated levels of lead dust in certain DND buildings at the Uplands and Rockcliffe sites in Ottawa, and CFBs Toronto and Petawawa, has drawn national media coverage. This article summarizes the information currently available and the actions that are being taken.

Lead is a naturally occurring heavy metal that comes from a variety of sources. Most of the lead detected in soil, water and dust in buildings comes from atmospheric particles falling out of the air that originated from industry and leaded fuels. The majority of buildings and houses built prior to 1980, which includes the vast majority of DND buildings and married quarters, likely contain some measurable level of lead dust.The good news is that environmental background lead levels have dropped significantly over the past 20 years with unleaded gasoline, the elimination of lead-based paints, and improved industrial processes.

Individuals are exposed to varying amounts of lead every day. Our bodies can process lead and eventually pass it out of the body without harming us. However, if we take in too much lead over an extended period of time, it can begin to build up and cause damage. Lead poisoning can affect the organ systems in our bodies, particularly developing nerves and brain cells, so pregnant women and children are more at risk. For this reason, the acceptable blood lead level for children and pregnant women is one-third the level considered acceptable for normal adults.

The first step to reduce the risk of exposure, is to restrict access to those areas where the lead dust has likely accumulated. The highest levels have been detected on flat surfaces in usually inaccessible areas, behind furnaces, under hot-water heaters and in ventilation ductwork. The lead dust is not however being dispersed from ventilation ducts into the air breathed by occupants. It is also recommended, that you more frequently wash the toys and hands of children who play on the floor.Wet mopping and wiping affected areas with TSP or similar cleaning compounds is considered the most effective method of reducing the lead dust, rather than vacuuming or sweeping which tends to further distribute it.

No specific source for the lead contamination has been identified, but indications are that the lead dust has likely been collecting undisturbed for many years. All soil testing conducted to date around DND buildings including MQs, shows lead levels within acceptable limits. And levels detected in MQ multi-layer paint chip samples were still within acceptable limits. Based on the evidence to date, the CF Health Services and the City of Ottawa Public Health Branch have concluded, that no significant health risk exists for occupants of DND buildings including MQs. Although a wide-scale blood-testing program is not considered necessary at this time, CF medical authorities will continue to work with public health officials to further refine medical and environmental data. Results will be compared to provincial and national health databases of blood lead levels and distributed when available.

Randy Kampman is the Accommodation Team Leader at DQOL

For more information, refer to CANFORGEN 035/02 ADMHRMIL 021 152045Z APR 02, call the CF health information line at 1-877-633-3368, or visit these internet websites: www.city.ottawa.on.ca/city_services/yourhealth/environmental/lead_en.shtml www.cdc.gov/nceh/lead/faq/cdc97a.htm, and www.epa.gov/lead/leadpdfe.pdf

Le plomb dans les bâtiments; du MDN


par Randy Kampman

La découverte; récente; de concentrations élev;ées; de poussière; de plomb dans certains bâtiments; du MDN sur les sites d'Uplands et de Rockcliffe à Ottawa, ainsi que dans les bases de Toronto et de Petawawa, a reçu; une large couverture médiatique; dans tout le pays. Le présent; article résume; l'information disponible à l'heure actuelle sur la situation et les mesures mises en oeuvre pour y remédier.;

Le plomb, métal; lourd d'origine naturelle, a des sources variées.; Le plomb décel;é dans le sol, l'eau et la poussière; des bâtiments; provient en grande partie de particules atmosphériques; libér;ées; dans l'air par les émissions; des industries et de l'essence au plomb. La plupart des maisons et des immeubles construits avant 1980, y compris la grande majorité des bâtiments; et des logements familiaux (LF) du MDN, présentent; vraisemblablement des concentrations mesurables de poussière; de plomb. Fort heureusement, les concentrations de plomb dans l'environnement ont chuté de façon; importante

depuis 20 ans, en raison de l'utilisation de l'essence sans plomb, de l'élimination; des peintures à base de plomb et de l'amélioration; des procéd;és; industriels.

Chaque individu absorbe des quantités; variables de plomb tous les jours. Normalement, l'organisme peut métaboliser; le plomb et l'éliminer; progressivement sans qu'il nous nuise. Cependant, si nous en absorbons trop sur une période; prolongée;, il peut commencer à s'accumuler et causer des dommages. L'empoisonnement par le plomb peut avoir des effets sur le fonctionnement des organes et aussi sur les cellules nerveuses et cér;ébrales; en croissance, c'est pourquoi les femmes enceintes et les enfants constituent un groupe particulièrement; vulnérable.; La concentration acceptable de plomb dans le sang des enfants et des femmes enceintes est trois fois inférieure; au niveau acceptable chez les autres adultes.

La façon; la plus simple de réduire; le risque d'ex- position consiste à restreindre l'accès; aux endroits où la poussière; de plomb s'est vraisemblablement

accumulée.; On a détect;é les concentrations les plus élev;ées; sur les surfaces planes dans des lieux sou- vent peu accessibles, soit derrière; les appareils de chauffage, sous les chauffe-eau et dans les conduits d'aération.; La poussière; de plomb de ces conduits n'est toutefois pas dispersée; dans l'air que respirent les occupants. Il est aussi recommandé aux parents de laver plus souvent les jouets et les mains des enfants qui s'amusent par terre. Le moyen le plus efficace de combattre la poussière; de plomb est de laver les endroits contaminés; et de les essuyer avec du phosphate trisodique, ou tout composé chimique semblable. Le fait de passer l'aspirateur ou le balai contribuera plutôt; à la dispersion de la poussière; de plomb.

La source précise; de la contamination au plomb n'a pas encore ét;é décel;ée;, mais certaines indications nous portent à croire que la poussière; de plomb s'est accumulée; progressivement pendant de nombreuses années.; À ce jour, les analyses de sol menées; autour des bâtiments; du MDN, y compris les logements familiaux, nous indiquent que les concentrations de plomb sont dans les limites acceptables. Il en est de même; pour les échantillons; de couches superposées; de peinture prélev;és; dans les LF. À partir des données; disponibles à ce jour, le Service de santé des FC et la Direction de la santé publique de la Ville d'Ottawa ont conclu que les bâtiments; du MDN, incluant les LF, ne présentaient; pas de risque significatif pour la santé de leurs occupants. Bien qu'un programme gén;éralis;é d'analyses sanguines n'est pas jugé nécessaire; à l'heure actuelle, les autorités; médicales; des FC entendent continuer de collaborer avec les représentants; de la santé publique en vue de préciser; davantage les données; de nature médicale; et environnementale. Les résultats; seront comparés; aux bases de données; relatives à la concentration de plomb dans le sang à l'échelle; nationale et provinciale, et seront distribués; dès; qu'ils seront disponibles.

M. Kampman est le chef d'équipe; du module Logement à la DQV.

Pour de plus amples informations, consultez le CANFORGEN 035/02 du SMA (RH-Mil) 021 152045Z avril 2002. Appelez au Centre d'information sur la santé des FC au 1 (877) 633-3368 ou visitez les sites WEB suivants : www.city.ottawa.on.ca/city_services/yourhealth/environmental/lead_fr.shtml www.cdc.gov/nceh/lead/faq/cdc97a.htm et www.epa.gov/lead/leadpdfe.pdf

Vol. 5 No. 17 * 2002



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