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Army Editor  
Susan Turcotte (613) 945-0419


Création; d'un fonds commémoratif; pour les opérations; de déminage;


Texte et photo par Buzz Bourdon

Des Bosniaques pourront bientôt; rentrer chez eux, dans leur village de Kula, grâce; aux fonds recueillis en mémoire; d'un gén;éral; canadien à la retraite qui a consacré une partie de sa vie à débarrasser; l'Europe de l'Est du fléau; des mines terrestres antipersonnel.

Le Projet commémoratif; de déminage; gén;éral; Gordon Reay financera cette année; la dépollution; d'un champ de mines de 19 000 m2 contenant des munitions non explosées; et des mines antipersonnel.

Le projet, qui a permis de recueillir 48 312 $, honore la mémoire; du lieutenant- gén;éral; Reay, lequel a succombé à ses blessures à la suite d'un accident de voiture survenu en décembre; 2000. Il voyageait en Croatie à titre de conseiller spécial; de l'ambassadeur canadien en déminage.; Le lgén; Reay est entré en service dans le Princess Patricia's Canadian Light Infantry (PPCLI) en 1965. Il a agi en qualité de chef d'état-major; de l'Armée; de terre de 1993 à 1995.

Le PPCLI et le Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians) ont puisé dans leur fonds régimentaire; pour contribuer au fonds du gén;éral; Reay; certains condisciples du Collège; militaire royal et collègues; du Collège; de la Défense; nationale y ont également; contribué.;

La Fondation des mines terrestres du Canada a rendu hommage au lgén; Reay à l'occasion de l'inauguration du Fonds des

soldats de la paix pour le déminage; qui a eu lieu au Musée; canadien de la guerre d'Ottawa, en avril dernier. Pour la première; fois, le Fonds souligne l'apport d'un Canadien, le lgén; Reay. Le Fonds a ét;é créé pour appuyer l'action antimines et pour perpétuer; le souvenir des réalisations; des soldats de la paix canadiens.

Quelque 60 personnes ont assisté à la cér;émonie; d'inauguration, dont certains membres de la famille du lgén; Reay. Le major-gén;éral; (ret) J.A. MacInnis a parlé des discussions qu'il avait eues avec le lgén; Reay au cours des années; 1990, au sujet des mines terrestres antipersonnel. « En tant que militaires professionnels, nous reconnaissions l'importance tactique de ces armes lorsqu'elles étaient; convenablement utilisées.; Par contre, les conséquences; de leur usage indifférenci;é nous horrifiaient. Des soldats de la paix canadiens ont ét;é blessés; et même; tués; à cause de telles mines et cela nous bouleversaient. »

Le fonds de déminage; assurera le soutien d'une foule d'activités; relatives aux mines terrestres, dont les opérations; de déminage; et le dressage de chiens détecteurs; de mines, tout cela à la mémoire; des casques bleus qui se sont distingués; sur le terrain.

Image: Le lgén; Reay est le premier canadien à être; honoré par le Fonds des soldats de la paix pour le déminage;, inauguré récemment.; Sa femme, Lesley, et son fils, Brendan, étaient; présents; aux cér;émonies; de lancement.LGen Reay is the first Canadian to be honoured by the recently launched Peacekeepers Demining Fund. His widow, Lesley, and his son, Brendan, attended the launch ceremonies.

Une collecte de fonds bat maintenant son plein en l'honneur du caporal-chef Mark Isfeld, du 1er Régiment; du génie; de combat. Cette somme servira à la dépollution; d'un secteur de 27 000 m2 en Croatie où le cplc Isfeld a ét;é tué par une mine terrestre en 1994.

Selon les données; de la Fondation des mines terrestres du Canada, une personne est tuée; ou mutilée; par une mine anti- personnel toutes les 20 minutes, soit 24 000 victimes par année;, dont 8 000 enfants.

Memorial fund to clear minefields


Pour de plus amples renseignements, visitez le site www.canadianlandmine.com ou www.clearlandmines.com.

For more information, visit www.canadianlandmine.com or www.clearlandmines.com.


Text and photo by Buzz Bourdon

Some Bosnians will soon return home to their village of Kula thanks to money raised in memory of a retired Canadian general who died while working to rid Eastern Europe of anti-personnel land mines.

The General Gordon Reay Memorial Demining Project will fund the clearing of a 19 000 m2 minefield containing unexploded ordnance and antipersonnel mines this year.

The project - which raised $48 312 - commemorates Lieutenant-General Reay, who died from injuries suffered in a car accident in December 2000. He had been travelling in Croatia as a special advisor to Canada's ambassador for mine action. LGen Reay was commissioned into Princess Patricia's Canadian Light Infantry (PPCLI) in 1965. He served as Chief of the Land Staff 1993-95.

The PPCLI and the Lord Strathcona's Horse (Royal Canadians) Regimental Fund contributed to the fund, as well as some of his Royal Military College classmates and colleagues from the National Defence College.

The Canadian Landmine Foundation honoured LGen Reay during the launching of its Peacekeepers Demining Fund at Ottawa's Canadian War Museum in April.

LGen Reay is the first Canadian to be honoured by the fund, which supports mine action and commemorates the achievements of Canadian peacekeepers.

About sixty people attended the launch, including members of LGen Reay's family. Major-General (Ret) J.A. MacInnis spoke of discussions he had with LGen Reay in the 1990s about anti-personnel landmines. "As; professional military men, we realized the tactical importance of these weapons when properly used; but the effects of their indiscriminate use appalled us. The injury and death of several Canadian peacekeepers caused by these mines shook us."

The demining fund will support a variety of land mine-related activities, including minefield clearance and mine detection dog training, all in the name of peacekeepers who have distinguished themselves in the field.

A fundraising campaign is now underway in honour of Master Corporal Mark Isfeld, 1 Combat Engineer Regiment. The goal is to clear a 27 000 m2 field in Crotia near the site where he was killed by a land mine in 1994.

The Canadian Landmine Foundation estimates that someone is killed or mutilated by an anti-personnel landmine every 20 minutes - 24 000 people a year, 8 000 of them children.

Gagnants du concours de rédaction;


BFC KINGSTON - Pour la deuxième; année; consécutive;, le sous-lieutenant Mark Gaillard, des Stormont, Dundas and Glengarry Highlanders, a remporté le premier prix du concours de rédaction; sur l'art du combat organisé par le Bulletin de doctrine et d'instruction de l'Armée; de terre. Sa dissertation intitulée; « Some Terrible Surprises: Chemical Weapons and Manoeuvre Warfare » lui a valu un prix de 250 $.

L'évaluation; des dissertations pour le concours de 2001 s'est terminée; en avril, et le sergent Arthur Majoor, du quartier gén;éral; du 31e Groupe-brigade du Canada, a gagné le deuxième; prix pour sa dissertation intitulée; « Prepare for Battle: Training for 21st Century War ».; Il a reçu; un chèque-cadeau; d'une valeur de 100 $ pour l'achat de livres.

Les dissertations gagnantes seront publiées; dans le numéro; d'ét;é du Bulletin, puis le concours de 2002 sera annoncé dans le numéro; d'automne.

Prizewinning writers


CFB KINGSTON - For the second year in a row, Second-Lieutenant Mark Gaillard, of the Stormont, Dundas and Glengarry Highlanders, took top prize in the Army Doctrine and Training Bulletin Warfighting Essay Competition. His paper, "Some; Terrible Surprises: Chemical Weapons and Manoeuvre Warfare," earned him $250.

Judging of the 2001 competition wrapped up in April, with Sergeant Arthur Majoor, 31 Canadian Brigade Group HQ, winning second prize for his paper, "Prepare; for Battle: Training for 21st Century War." He received $100 gift certificate for books.

The winning essays will be published in the summer issue of the Bulletin. The 2002 contest will be announced in the fall issue.


Vol. 5 No. 19 * 2002



Rédactrice; de l'Armée; de terre Susan Turcotte turcotte.sk@forces.ca


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L'Armée; de terre va acquérir; un simulateur d'effets d'armes


par Paul Mooney

L'Armée; de terre a franchi une nouvelle étape; vers la créa;

tion du Centre canadien d'entraînement; aux manoeuvres (CCEM) à Wainwright, en Alberta. À la fin mars, une demande de propositions pour un simulateur d'effets d'armes (WES) à laser a ét;é transmise à l'industrie.

Le simulateur WES permettra aux soldats d'effectuer des simulations réelles; dans le cadre d'engagements de type force contre force. Les armes, allant des fusils C-7 aux Leopard C2, seront équip;ées; de lasers, et les coups seront détect;és; par des capteurs portés; par les soldats. Toutes les activités; des exercices, y compris celles des communications, seront retransmises à un centre de contrôle;, qui surveillera et enregistrera chaque intervention. Un bilan des opérations; effectuées; sera établi; tant pour les soldats que pour les commandants. En plus des avantages évidents; sur le plan de l'entraînement;, le simulateur WES donnera aux commandants supérieurs; une idée; précise; de l'état; de préparation; des unités; avant leur déploiement; dans un théâtre; d'opérations.;

« Tous les véhicules; seront pré-positionn;és;, et les unités; n'auront qu'à se présenter; prêtes; à l'entraînement; », a expliqué le directeur de projet, le major Greg Burton. « Chaque soldat recevra une veste et un couvre-casque tactiques contenant l'équipement; WES. Cela augmentera le poids, mais rien d'important, et il est probable que les militaires ne le sentiront même; pas. L'objectif est de s'entraîner; de la même; façon; qu'on combat. »

Les bilans pour les commandants et les commandants adjoints seront établis; à la fin de chaque phase importante d'un exercice dans un théâtre; d'opérations; aménag;é à cet effet. « Puisque nous aurons désormais; la capacité de simuler des pertes en temps réel;, il est prévu; que la plupart des commandants deviendront des victimes au cours de la bataille, ce qui obligera les commandants adjoints à prendre la relève; », a expliqué le maj Burton. « Pour la première; fois, nous aurons les moyens d'observer le rendement des adjoints qui ont ét;é formés; pour remplacer leurs commandants au besoin. »

Une fois que le simulateur WES sera totalement opérationnel; en 2006, le CCEM sera à l'oeuvre huit mois sur douze et aura la capacité d'entraîner; l'équivalent; de quatre groupements tactiques de soldats par an. Il y accueillera une concentration spéciale; de réservistes; pendant l'ét;é.; Nos alliés; ont trouvé que les simulateurs tels que le WES permettent aux soldats de s'entraîner; plus rapidement et à un niveau plus élev;é que dans les exercices traditionnels.

L'Armée; de terre fera l'acquisition d'une version commer

ciale du simulateur WES, c'est-à-dire; un produit déj;à construit et actuellement utilisé par d'autres armées.; Le simulateur sera, toutefois, adapté aux armes et aux véhicules; de l'Armée; canadienne, ainsi qu'à la zone d'entraînement; de Wainwright. L'Armée; de terre signera également; un contrat pour des

services de soutien pour les dix prochaines années; il incombera au soumissionnaire retenu de fournir, de distribuer, de nettoyer tout l'équipement; WES et d'assurer son entretien. Un personnel formé de quelques officiers aideront à préparer;, à superviser et à contrôler; les engagements, alors que des observateurs-contrôleurs; travailleront sur le terrain lors des engagements. Il y aura également; une force ennemie, qui devra s'opposer à toutes les unités; s'entraînant; au CCEM dans le courant d'une année.;

L'Armée; devrait dépenser; environ 210 millions de dollars

sur le projet du simulateur WES au cours des dix prochaines années.; Cela comprend les biens d'équipement;, l'infrastructure et le soutien. Des améliorations; pourraient éventuellement; être; apportées; au système; WES, notamment un lieu d'entraînement; pour les opérations; en zone urbaine et l'équipement; de l'aviation de l'Armée; de terre et des armes de

défense; antiaérienne.; Une quantité plus réduite; d'équipement; WES sera également; acquise pour certains cours dans les trois écoles; principales de la BFC Gagetown. Le contrat prévoira; également; la possibilité d'acheter des ensembles d'équipement; WES de base destinés; au niveau de compagnie et pouvant être; utilisés; pour l'entraînement; dans les garnisons.

Éch;éancier; du projet du simulateur WES


Printemps - ét;é 2004

Essais de réception; du système; par les soldats et instruction de perfectionnement du CCEM à Wainwright (niveau compagnie et équipe; de combat)

Fin de l'ét;é 2005

Essais d'acceptation finale et instruction de perfectionnement du CCEM pour un module de groupement tactique à Wainwright

Décembre; 2005

Livraison d'équipement;  
WES à Gagetown

Avril - novembre 2006

Première; année; complète; d'entraînement; avec le simulateur WES

Army to buy Weapons Effect Simulation system


By Paul Mooney

The Army recently moved a step closer to the creation of the Canadian Manoeuvre Training Centre (CMTC) in Wainwright, Alta. In late March, a request for proposals for a laser-based Weapons Effect Simulation system (WES) was released to industry.

WES will allow soldiers to conduct live simulation during force-on-force engagements. Weapons from C-7s up to Leopard C2s will be fitted with lasers and hits will be detected by sensors on the players. All exercise activity, including communications traffic will be transmitted back to an exercise control centre, which will monitor and record each engagement. After-action reviews will be conducted for both soldiers and commanders. Along with the obvious training benefits, the WES system will provide senior commanders with an accurate view of the readiness of units before they deploy on operations.

"All; vehicles will be pre-positioned, so units will simply have to show up ready to train," explained the Project Director, Major Greg Burton. "Each; soldier will be issued with a WES tactical vest and helmet cover into which all WES equipment has been integrated. There will be a little additional weight, but not significantly more - they probably won't even notice it's there. The aim is to train the way we fight."

Reviews for commanders and 2 i/cs will be conducted at the end of each major phase of an exercise in a theatre built for that purpose. "Now; that we will actually have the ability to simulate real-time casualties, it's anticipated that most commanders will become casualties at sometime during the battle and their 2 i/cs will have to take over," Maj Burton said. "It; will be the first time we have the ability to observe the performance of 2 i/cs who have been trained to take over from their commanders."

Once WES is fully operational by 2006, CMTC will operate eight months a year and will have the capacity to train up to four battle groups worth of soldiers annually. There will be a special Reserve concentration in the summer. Allies have found that simulation systems such as WES allow soldiers to train faster and to a higher level than traditional exercises allow.

The Army will buy an off-the-shelf WES system, that is a product that has already been built and is in use with other armies. The system, however, will be adapted to Canadian Army weapons and vehicles, and the Wainwright training area. The Army will also purchase support services for 10 years; the winning bidder will supply, issue, clean and maintain all WES equipment. CMTC will have a small staff of officers to help prepare, oversee and monitor engagements, as well as a number of observer controllers in the field during engagements. There will also be an enemy force, which will fight all units training at CMTC in the course of a year.

It is expected that over the next decade, the Army will spend about $210 million on WES for capital equipment, infrastructure and support. Possible WES upgrades might include an urban operations training site and equipping Army aviation and Air defence weapons. A smaller amount of WES equipment will also be purchased for support to selected courses at the three main schools at CFB Gagetown. There will also be an option to purchase company-sized suites of basic WES equipment to be used for training in garrison.

WES time-line


Spring - Summer 2004

Soldiers conduct system acceptance tests and CMTC development training at Wainwright (Company level and combat team)

Late summer 2005

Final acceptance testing and CMTC development training for a battle group suite at Wainwright

December 2005

Delivery of WES equipment to Gagetown

April - November 2006

First full year of WES training

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LONDON (Ont.) - Le 13 avril, la précision; était; à l'ordre du jour pour les membres des équipes; du Royal Canadian Regiment (RCR), qui ont participé à leurs compétitions; semestrielles de drill et de mesure-pas. L'équipe; du 1 RCR, composée; d'un caporal-chef et de neuf caporaux et soldats, a remporté le premier prix, ainsi que le trophée; du mgén; Rowley pour le drill d'équipe.; L'équipe; du 2 RCR, de son côt;é, a gagné la coupe Boyle, qui est décern;ée; à la meilleure équipe; pour le mesure-pas. Les membres de l'équipe; de la coupe Boyle sont (de gauche à droite), l'adj Sean Butt (capitaine de l'équipe;), l'adj Walter Tobin, l'adj James Young, le sgt Steve Currie, le sgt Dave Hughes, l'adj Steve Jeans, le sgt Lorne Dalton et le sgt Harvey Flowers.

LONDON, Ont. - Precision was the order of the day for teams from The Royal Canadian Regiment (RCR) who participated in its semi-annual drill and pace stick competitions April 13. 1 RCR's team made up of one MCpl and nine Cpls and Ptes took top honours, and the MGen Rowley Trophy for team drill. While 2 RCR's team came away as winners of the Boyle Cup, which is awarded to the winning pace stick competition team. The Boyle Cup team members are (left to right) WO Sean Butt (Team Captain), WO Walter Tobin, WO James Young, Sgt Steve Currie, Sgt Dave Hughes, WO Steve Jeans, Sgt Lorne Dalton, and Sgt Harvey Flowers.

Vol. 5 No. 19 * 2002



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