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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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La musique corps et âme;


par l'adj René Champigny

Après; cinq années; couronnées; de brillants succès;, le major Denis Bernier a quitté la direction de la Musique, Royal 22e Régiment; (M/R22eR) le 22 mars.

Fermée; en 1994 en raison de coupures budgétaires;, la M/R22eR avait ét;é reconstituée; le 22 octobre 1997 sous la baguette de son dernier directeur musical et officier commandant le maj Bernier.

On découvrait; alors avec bonheur que la M/R22eR jouissait encore d'une grande renommée.; En effet, ni l'institution militaire ni les instances civiles n'avaient oublié cette cél;èbre; formation québ;écoise.;

Opération; Récup;ération;

Dès; sa prise en charge de la Musique, le maj Bernier en a entrepris la réorganisation.; Très; vite, la bande est appelée; à se produire en public à la suite d'une tempête; de neige violente en 1998. L'opération; Récup;ération; est alors lancée; : le maj Bernier et sa troupe partent en tournée; pour tenter d'égayer; les pensionnaires des centres d'hébergement; temporaires.

En août; 1999, sous l'impulsion du maj Bernier, un rêve; inespér;é se concrétise; : le Festival international des Musiques militaires de Québec; voit le jour. Forts de l'appui du Secteur du Québec; de la Force terrestre et des nombreux collaborateurs et bén;évoles;, les directeurs administratif et musical, respectivement  
M. Jacques Du Sault et le maj Bernier, réussissent; un véritable; tour de force. Alors que l'exemple européen; démontre; l'énorme; difficulté d'organiser un tel

év;énement; et d'en garder l'intér;êt; aux yeux du public, le festival connaît;, dès; la première; année;, un énorme; succès; populaire.

Cél;ébrer; le millénaire;

En juin 2000, conjointement avec l'Orchestre symphonique de Montréal;, la Sociét;é de musique contemporaine du Québec; et de nombreux autres organismes musicaux, la M/R22eR participe à un happening artistique majeur au Canada : la Symphonie du Millénaire.; L'automne suivant, la Musique participe successivement au Festival de Musique militaire de Nice (sud de la France) et au Jubilé de l'an 2000 à Rome. Là, sur la Place Saint-Pierre, devant une foule immense réunie; sous une pluie battante, la M/R22eR participe à la messe cél;ébr;ée; par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II.

De nombreux év;énements; suivront : la Musique participe à la Cér;émonie; du rapatriement de la tombe du soldat inconnu à Ottawa en mai 2000 et au Grand Prix de Montréal; le mois suivant. À la fin de juin, perpétuant; la tradition, le Concert sous les Étoiles; est organisé.; Parallèlement;, la Musique anime parades, changements de commandements, déjeuners; régimentaires; et cér;émonies; protocolaires. Un autre grand moment sera le Sommet des Amériques; : la M/R22eR accueille les chefs d'États; des 34 nations participantes à l'aéroport; et joue à la cér;émonie; d'ouver

ture tél;édiffus;ée; en direct du Centre des congrès; de Québec.;

Le maj Bernier quitte une organisation qu'il a profondément; marquée; et enrichie, aussi bien grâce; à son dévouement; et fidélit;é au régiment;, qu'à la ferveur qu'il mettait à répondre; aux exigences du service, tout en veillant au bien-être; de ses subordonnés.;

Son successeur, le maj Jacques Destrempes, est un homme dynamique fort appréci;é pour ses grandes qualités; humaines et professionnelles. Il est bien connu des membres de la M/R22eR puisqu'il est issu de ses rangs. Tiré d'un article paru dans le journal Servir.

Image: Proposal for new Book of RemembranceProjet pour un nouveau Livre du Souvenir
Image: Le maj Bernier en concert Maj Bernier in concert

par Scott Costen

Un nouveau Livre du Souvenir pourrait être; créé pour le Canada afin de rendre hommage au personnel militaire mort à l'étranger; depuis la guerre de Corée.;

« Une proposition a ét;é prépar;ée; », a expliqué Janice Summerby, porte-parole d'Anciens Combattants Canada. « Ce projet de création; d'un nouveau livre pour les casques bleus découle; d'un partenariat entre le MDN et ACC. »

Les Livres du Souvenir sont exposés; dans la chambre du Souvenir de la tour de la Paix sur la colline du Parlement. Les six livres contiennent 114 710 noms de Canadiens qui ont perdu la vie dans des conflits outre-mer, de l'époque; de l'Expédition; du Nil (1884-1885) jusqu'à la

guerre de Corée; (1950-1953).

« On discute du projet en réunion; depuis janvier », a précis;é Mme Summerby. La perte récente; de quatre membres des FC tués; par un tir ami en Afghanistan est « un triste et très; important rappel que ces projets souvenirs sont essentiels », a-t-elle ajouté.;

Aucune décision; n'a ét;é prise au sujet de la création; du nouveau livre, et certaines questions sont encore en suspens. « Par exemple : Quels sont les enjeux, les coûts; et les critères;? »

Plus de 500 000 visiteurs consultent les Livres du Souvenir chaque année.; Tous les matins, à 11 h, un membre du Service de sécurit;é de la Chambre des communes tourne les pages des livres.

« Les livres sont un sombre souvenir de la guerre, et nous espérons; que, dans l'avenir, ils représenteront; celui du main- tien de la paix », a ajouté Mme Summerby.

By WO René Champigny

On March 22, after five years of glorious triumphs, Major Denis Bernier is leaving as director of the Royal 22e Régiment; (R22eR) Band.

Disbanded in 1994 following a series of budget cuts, the R22eR Band was reborn on October 22, 1997 under the baton of music director and CO, Maj Bernier.

They were delighted to discover the R22eR Band continued to enjoy a splendid reputation. In fact, this celebrated Quebec unit had not been forgotten in either military or civilian circles.

Operation Récup;ération;

From the moment he assumed command, Maj Bernier was involved in restructuring the Band. Following a severe snowstorm in 1998, the Band was asked almost immediately to perform in Operation Récup;ération;, which was launched to lift the spirits of people forced to remain in temporary accommodations.

In August 1999, thanks to the efforts of Maj Bernier, an incredible dream came true-the Quebec City International Festival of Military Bands was launched. With the support of Land Force Quebec Area and a multitude of collaborators and volunteers, Jacques Du Sault and Maj Bernier, the administrative and musical directors, managed to bring about a veritable tour de force. While the Europeans experienced enormous difficulty staging such an event and sustaining public interest, the Quebec festival achieved resounding success from the very start.

Celebrating the Millennium

In June 2000, in collaboration with the Montréal; Symphony Orchestra, the Sociét;é de musique contemporaine du Québec; and several other musical organizations, the R22eR Band took part in a major Canadian artistic event: the Millennium Symphony. The following autumn, the Band travelled to the Festival de Musique militaire de Nice (Southern France) and the Year 2000 Jubilee in Rome. They performed, in Saint Peter's Square, before an immense crowd that had gathered in the driving rain, and helped Pope John-Paul II celebrate mass.

A whole series of engagements followed: in May 2000, the Band played during the Repatriation Ceremony at the Tomb of the Unknown Soldier in Ottawa and during the Grand Prix de Montréal; the following month. In keeping with tradition, the "Concert; under the Stars" was staged at the end of June. During the same period, they spiced up parades, change of command ceremonies, regimental dinners and awards ceremonies. Another highlight occurred during the Summit of the Americas when the R22eR Band welcomed participating nations at the airport and performed during the opening ceremonies, which was broadcast live from the Centre des congrès; de Québec.;

Maj Bernier is leaving the organization in which he made such a positive and lasting impression, a legacy stemming from his dedication and loyalty to the regiment, his unflagging determination to fulfil the requirements of service.

His successor, Maj Jacques Destrempes, is a dynamic man deeply appreciated for his personal and professional qualities. Having risen from the ranks of the R22eR Band, he is well known to members of that unit.

Article taken from the Servir.

By Scott Costen

Canada may get a new Book of Remembrance to commemorate military personnel killed overseas since the Korean War.

"A; proposal has been prepared," said Veterans Affairs Canada spokesperson Janice Summerby. "This; project, to create a new book for peacekeepers, is a partner- ship (between DND and VAC)."

The Books of Remembrance are displayed in the Memorial Chamber in the Peace Tower on Parliament Hill. The six books hold the names of 114 710 Canadians who lost their lives fighting overseas from the time of the Nile Expedition (1884-85) to the Korean War (1950-53).

"There; have been meetings on this since January," said Ms. Summerby. The recent loss of four CF members to friendly fire in Afghanistan provided "a; sad and very key reminder of why these commemorative projects are necessary," she added.

No decision has been made to create a new book, and a number of questions still need to be answered. "For; example, what would be involved, what would it cost, what would be the criteria?"

More than 500 000 visitors view the Books of Remembrance each year. Everyday at 11:00 a.m., a member of the House of Commons Protective Service Staff conducts a "turning; of the page" ceremony.

"The; books are a very sad legacy of war and, hopefully in the future, peacekeeping," said Ms. Summerby.

Leader of the Band



Vol. 5 No. 19 * 2002



Winged Warfare

By William Avery "Billy;" Bishop McArthur & Company Publishing $24.95

Reviewed by Scott Costen

When Billy Bishop prepared for his first solo training flight in late 1916, winning the Victoria Cross (VC) was the furthest thing from his mind.

"An; ambulance stood on the aerodrome," he wrote two years later in Winged Warfare, his account of the First World War. "I; noticed with a shiver that the ambulance had its engine running.Were the doctors at the hospital expectantly fondling their knives?"

By the end of the war, Bishop had won the VC, the Distinguished Service Order and Bar, the Military Cross and the Distinguished Flying Cross. One of the country's most celebrated war heroes, he would later become its most controversial.

First published in 1918, Winged Warfare is an engaging and revealing portrait of a young Canadian who entered the war as an obscure cavalry officer and ended it as a legendary flying ace.With the self-assured swagger one would expect from a military pilot, Bishop puts his readers in the cockpit as the Royal Flying Corps (RFC) goes on the offensive.

"It; made my heart leap to see my smoking bullets hitting the machine just where the closely hooded pilot was sitting," writes Bishop, recalling the first time he engaged the enemy. "The; Hun went into a dive and shot away from me vertically toward the earth."

Bishop's war did not consist solely of dogfights with enemy planes. In addition to patrolling for German aircraft, he and his RFC colleagues hunted enemy observation balloons, performed escort duties and conducted low-level contact patrols along trench lines.

By his own admission, Bishop was an ambitious, record-seeking pilot. He saw himself in a competition with his colleagues, particularly Captain Albert Ball, to amass the most victories against the enemy.

Bishop's account of the war is a unique and important contribution to Canadian military writing. It provides insight into the making of a hero and a snapshot of aerial combat in its infancy.With a new foreword by the author's grandson and the inclusion of previously unpublished photographs, Winged Warfare would be a valuable addition to the book collection of any CF member or military enthusiast.

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Winged Warfare

par William Avery « Billy » Bishop McArthur & Company Publishing 24,95 $

par Scott Costen

En se préparant; à son premier vol d'entraînement; en solo, à la fin de 1916, Billy Bishop était; bien loin de s'imaginer qu'il recevrait la Croix de Victoria.

« Une ambulance attendait à l'aérodrome; », écrit-il; deux ans plus tard dans Winged Warfare, son compte-rendu de la Première; Guerre mondiale. « Je constatai, avec un frisson, que l'ambulance avait le moteur en marche. À l'hôpital;, les médecins; caressaient-ils déj;à leurs couteaux? »

À la fin de la guerre, Bishop recevait la Croix de Victoria, l'Ordre du service distingué avec agrafe, la Croix militaire, ainsi que la Croix du service distingué dans l'Aviation. Considér;é comme l'un des plus cél;èbres; héros; de guerre du pays, il devait par la suite en devenir le plus controversé.;

Publié pour la première; fois en 1918, Winged Warfare trace le portrait attrayant et rév;élateur; d'un jeune Canadien qui est devenu un as légendaire; de l'aviation à la fin de la guerre après; avoir ét;é un obscur officier de cavalerie à son début.; Très; sûr; de lui-même; comme on peut s'y attendre de la part d'un pilote militaire, Bishop met carrément; ses lecteurs dans le poste de pilotage au moment où le Royal Flying Corps (RFC) passe à l'attaque.

« Mon coeur faisait des bonds dans ma poitrine lorsque je voyais mes balles fumantes toucher l'appareil juste à l'endroit où le pilote était; assis », écrit; Bishop en racontant son premier combat aérien.; « Le Boche a piqué du nez et s'est éloign;é de moi en plongeant à la verticale vers le sol. »

Mais les combats de Bishop ne se limitaient pas aux avions ennemis. Le pilote et ses collègues; du RFC effectuaient des patrouilles à la recherche d'appareils allemands, traquaient les ballons d'observation ennemis, assumaient des fonctions d'escorte et menaient des patrouilles de contact à basse altitude le long des tranchées.;

De son propre aveu, Bishop était; un pilote ambitieux, avide d'établir; des records. Il rivalisait avec ses collègues;, en particulier le capitaine Albert Ball, et c'était; à qui accumulerait le plus de victoires.

Le récit; de la guerre rédig;é par Bishop est une contribution unique et importante aux écrits; militaires canadiens. Il donne un aperçu; de la façon; dont se constitue un héros; et nous fait vivre ses premiers combats aériens.; Avec une nouvelle préface; rédig;ée; par le petit-fils de l'auteur et des photos inédites;, Winged Warfare serait un ajout précieux; à la bibliothèque; personnelle de tout membre des FC ou passionné de questions militaires.

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One of the hats an Ombudsman wears is to be a "mechanism; of voice".; When I act as a mechanism of voice, I am expected to channel into one voice, mine, what I am hearing among the people I serve on matters that affect them. This allows people the opportunity to vent and air thoughts or concerns outside their conventional circles, free of any concerns of retaliation for speaking out. When I act as a mechanism of voice, it also provides managers and leaders with an important source of information on what is on people's minds within the organization. Armed with this additional information, they are better informed when they make important decisions.

I attended the very moving memorial on April 28 for Sergeant Marc Léger;, Corporal Ainsworth Dyer, Private Richard Green and Private Nathan Smith in Edmonton and also had occasion when I was there to speak to many concerned members of PPCLI and their family members. Our office, and I personally, have had many other contacts with members of the CF and their families concerning this tragedy.

What then, am I hearing about the aftermath of the tragic circumstances following the death of four soldiers and the wounding of eight others in Afghanistan on April 17?

In two words, there are mixed feelings. On the one hand, CF members and their families feel an enormous sense of gratitude toward the leadership of the CF, all levels of government and the Canadian public for coming together to mourn the loss of our soldiers. On the other hand, they feel they deserve answers and they expect the system to "come; clean" on what happened 13 km away from Kandahar, when  
Canadian soldiers were bombed and killed. Coming clean means they want straight answers. To get there, the methodology and process of the investigations must be beyond reproach. CF members do not want investigations embroiled in politics that hang anyone out to dry, but they also do not want a white wash. They want an unbiased, impartial, neutral inquiry that calls it the way it sees it and gives the much-needed answers to what happened. They have also come to expect what the system always promises them-complete openness and transparency of process. Closure will only happen, if at the end of the fact-finding stage, members have faith in the processes of the investigation and have answers to these and other questions: When did the investigation begin? When did it end? What happened during the course of the investigation? Was every important piece of evidence accessed in a timely fashion? Did the investigation get the co-operation of everybody?

I called General (Ret) Baril, the head of the Canadian Board of Inquiry, as he was preparing to leave for Afghanistan to wish him the best in his investigation. His knowledge and experience will definitely come in handy. He sure has his work cut out for him.

Have soldiers and their families raised the bar too high in expecting straight answers as to what happened leading to deaths and injuries to twelve of their own? Not from my perspective.When you consider all the sacrifices that soldiers and their families make every day on our behalf, providing them with straight answers when tragedy strikes should be a priority.

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Un ombudsman a notamment pour rôle; d'être; un porte-parole. Lorsque je remplis ce rôle;, je dois me faire l'écho; des opinions de ceux que je sers sur les questions importantes à leurs yeux. Grâce; à moi, ces person- nes peuvent transmettre leurs réflexions; ou leurs préoccupations; en dehors de leur cercle habituel sans crainte de représailles.; Lorsque je joue le rôle; de porte-parole, je deviens une source d'information cruciale pour les gestionnaires et les leaders sur l'état; d'esprit du personnel de l'organisation. Ils sont ainsi mieux renseignés; pour prendre des décisions; importantes.

J'ai assisté à la cér;émonie; très; touchante qui a eu lieu le 28 avril, à Edmonton, à la mémoire; du sergent Marc Léger;, du caporal Ainsworth Dyer et des soldats Richard Green et Nathan Smith. J'ai eu l'occasion de parler à de nombreux militaires du PPCLI et aux membres de leurs familles. Notre bureau et moi-même; avons eu de nombreux autres contacts avec des militaires des FC et leurs familles relativement à cette tragédie.;

Qu'ai-je entendu sur les suites des év;énements; tragiques au cours desquels quatre soldats ont trouvé la mort et huit autres ont ét;é blessés; en Afghanistan le 17 avril?

En deux mots, les sentiments sont partagés.; D'un côt;é, les militaires des FC et leurs familles sont très; reconnaissants envers les leaders des FC, tous les paliers de gouvernement et les citoyens canadiens qui ont déplor;é la mort de nos soldats. D'un autre côt;é, ils croient qu'ils ont droit à des réponses; et ils s'attendent à ce que toute la vérit;é soit dite sur ce qui s'est passé à 13 km de Kandahar et qu'on explique pourquoi des bombes ont ét;é larguées; sur des soldats canadiens. Ils veulent des réponses; franches. Pour ce faire, la méthode; et le processus de l'enquête; doivent être; irréprochables.; Les militaires des FC ne veulent pas que les coupables soient mis au pilori, mais ils ne veulent pas non plus que tout le monde soit exonér;é.; Ils veulent une enquête; impartiale et objective, qu'on dise les choses sans détour; et qu'on fournisse les réponses; qui s'imposent. Ils s'attendent à ce que les promesses faites soient tenues, c'est-à-dire; que le processus soit véritablement; transparent. L'affaire sera considér;ée; comme close si, une fois les faits établis;, le déroulement; de l'enquête; leur inspire con- fiance et que l'on répond;, entre autres, aux questions suivantes : Quand l'enquête; a-t-elle commencé? Quand s'est-elle terminée;? Comment s'est-elle déroul;ée;? A-t-on eu accès; en temps voulu à chaque él;ément; de preuve important? Tous ont-ils coopér;é?

J'ai appelé le gén;éral; (ret) Baril, qui est à la tête; de la Commission d'enquête; canadienne, au moment où il se préparait; à partir pour l'Afghanistan afin de lui souhaiter bonne

chance. Ses connaissances et son expérience; seront assurément; très; utiles. Il est la personne toute désign;ée; pour accomplir cette tâche.;

Les soldats et leurs familles ont-ils des attentes irréalistes; lorsqu'ils souhaitent que l'on réponde; franchement aux questions qu'ils

se posent sur le sort tragique de douze des leurs? Je ne crois pas. Si l'on pense à tous les sacrifices que les soldats et leurs familles font tous les jours pour nous, il est prioritaire de leur répondre; franchement quand survient une tragédie.;

Vol. 5 No. 19 * 2002



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