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National Defence / Défense Nationale



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1 Canadian Field Hospital


By Scott Costen

Medical science has advanced dramatically since 1885, but the role of the military field hospital remains the same.

"Conceptually;, it really hasn't changed," says Commander Ron Wojcik, commanding officer of 1 Canadian Field Hospital, a unit that traces its origins to the time of the Northwest Rebellion. "It; is still about providing care to battlefield soldiers."

Located at CFB Petawawa, 1 Cdn Fd Hosp employs about 140 personnel from six military occupations. When in garrison, unit personnel are responsible for maintaining the operational readiness of themselves and their equipment. They also conduct collective and predeployment training of CF Medical Group personnel from other units.

In a deployment scenario, 1 Cdn Fd Hosp is capable of providing different levels of in-theatre support, including a Role 3 Health Services Support hospital that can provide initial life-saving surgery, limited specialty care, dental care and medical care.

"We; can tailor things to meet operational needs," says Cdr Wojcik. "If; asked, we are ready to go."

The key to maintaining the unit's operational readiness is having dedicated personnel, says Cdr Wojcik. "Our; people are well-motivated and highly trained. They are skilled professionals who can adapt to a field setting."

The unit recently opened a new $10-million facility named after the late Captain Marion S. Barr, a nursing officer who volunteered and served with distinction during the Second World War. The new building was designed to enhance the ability of 1 Cdn Fd Hosp to meet operational, training and administrative demands.

"The; new facility has really improved our ability to train and remain prepared," says Cdr Wojcik. "We; used to be spread out between several buildings. Now we are all under one roof and working more closely as a team. It's been great for unit cohesion and esprit de corps."

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Le 1

er

Hôpital; de campagne du Canada


par Scott Costen

La médecine; a fait des pas de géants; depuis 1885, mais le rôle; de l'hôpital; de campagne, lui, est demeuré le même.;

« Le concept, en fait, n'a pas vraiment changé », a dit le capitaine de frégate; Ron Wojcik, commandant du 1er Hôpital; de campagne du Canada (1 H Camp C), une unité dont les origines remontent à l'époque; de la Rébellion; du Nord-Ouest.

« Il s'agit encore de prodiguer des soins aux soldats sur le champ de bataille », a-t-il ajouté.;

L'hôpital; se trouve à la BFC Petawawa

et compte un effectif de quelque 140 personnes appartenant à six catégories; d'emploi militaires. Lorsqu'elle est en garnison, l'unité a pour mandat d'assurer la prépara;

tion opérationnelle; de son personnel et de son matériel.; On assure aussi la formation collective du personnel du Groupe médical; des FC des autres unités; ainsi que la préparation; avant le déploiement.;

En cas de déploiement;, le personnel de l'hôpital; est en mesure d'apporter son

appui sur le théâtre; à différents; niveaux, notamment celui de soutien aux services de santé de rôle; 3, et est capable de faire des chirurgies él;émentaires; de survie, d'assurer des soins spécialis;és; limités; et des soins médicaux; et dentaires.

« Nous sommes à même; d'organiser les choses en fonction des besoins opérationnels; », a dit le capf Wojcik. « Si on nous appelle, nous sommes prêts; à partir », a-t-il poursuivi.

Pour maintenir la préparation; opérationnelle; de l'unité, rien de tel que de pouvoir compter sur du personnel dévou;é, dit le capf Wojcik. « Nos gens sont motivés; et très; bien formés.; Ce sont des professionnels compétents; qui savent s'adapter à un contexte de campagne. »

L'unité a inauguré récemment; un

nouveau centre de 10 millions de dollars nommé en l'honneur de feu le capt Marion S. Barr, infirmière; militaire qui s'est enrôl;ée; volontairement et a servi avec distinction au cours de la Seconde Guerre mondiale. Le nouveau centre a pour objet d'accroître; la capacité du 1 H Camp C de répondre; aux exigences sur le plan des opérations;, de l'entraînement; et de l'administration.

« Le nouveau centre nous a vraiment permis de nous entraîner; et de demeurer prêts; », a dit le capf Wojcik. « Jusque-là, nous étions; éparpill;és; dans plusieurs édifices.; Maintenant, nous sommes tous sous le même; toit et nous travaillons plus étroitement; en équipe.; C'est excellent pour la cohésion; de l'unité et l'esprit de corps », a-t-il mentionné.;

To suggest a unit portrait, call Scott Costen at (613) 996-9283.

Pour suggérer; un portrait d'unité, communiquez avec Scott Costen au (613) 996-9283.


Image: English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAPBy / par Charmion Chaplin-Thomas
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May 29, 1916

In the trenches east of Ypres, Belgium, the Canadian Corps is recovering from the battle of the Saint-Éloi; craters, a horror of mud and bombardment that proved the Ross rifle is the wrong weapon for these troops in this war. The Canadians had a very bad time at Saint-Éloi;, not only because the Germans had the high ground and better artillery, but also because the weather was dreadful, reconnaissance was impossible, and the Corps staff could not keep track of the Canadian battalions. The net results were 1 373 casualties, no ground gained, and the Corps Commander abruptly posted to a staff job in England. Today, his successor arrives: Lieutenant-General the Honourable Sir Julian Byng-"Bungo;" to his friends, a select group that includes the King.

Sir Julian is a cheerfully unintellectual cavalry officer descended from an important military family of great honour, much talent and little money. At 20, he was commissioned into a fashionable regiment, the 10th Hussars (Prince of Wales's Own), which he joined because the Prince of Wales asked him to. At 21, Sir Julian was a famously able and effective Adjutant, and at 22, he was in the Sudan fighting the Dervishes. His career since then has been hard soldiering in India and Africa, punctuated by equally demanding training and staff appointments. Shy in his youth, he is more polished now but still reticent; he hates publicity, and when he talks at all about his war experiences, he tells funny stories. He loves amateur theatricals, and he plays the banjo and writes rather good comic songs.

The Canadians need not fear LGen Byng's command skills: he recently accomplished the evacuation of Gallipoli, a withdrawal in the face of the enemy, without losing a single man, animal or gun. As for Sir Julian, he sees his new command as the chance of a lifetime, and he will immediately start building the Canadian Corps into one of the Allies' finest fighting organizations. In fact, he has already spotted a certain promising division commander-an awkward-looking fellow named Arthur Currie.

Image: LGen the Honourable Sir Julian Byng L'honorable lgén; sir Julian ByngNATIONAL ARCHIVES OF CANADA / ARCHIVES NATIONALES DU CANADA

Le 29 mai 1916

Dans les tranchées; à l'est d'Ypres, en Belgique, le Corps d'armée; canadien se remet de la bataille des cratères; de Saint- Éloi;, une scène; d'horreur, de boue et de bombardements qui a prouvé que le fusil Ross n'était; pas l'arme adéquate; pour les soldats dans cette guerre. Les Canadiens ont ét;é malmenés; à Saint-Éloi;, non seulement parce que les Allemands occupaient le terrain dominant et qu'ils disposaient des meilleures pièces; d'artillerie mais également; à cause du fait que le temps était; exécrable;, la reconnaissance impossible et l'état-major; du corps incapable de suivre la trace des bataillons canadiens. Résultat; : 1 373 victimes, aucun terrain gagné et le commandant de corps abruptement affecté à un poste d'état-; major en Angleterre. C'est alors qu'arrive son successeur : l'honorable lieutenant- gén;éral; sir Julian Byng ou « Bungo », comme le surnomment ses amis, un cercle fermé dont fait partie le roi.

Sir Julian est un officier de cavalerie dynamique qui est issu d'une importante famille de militaires de grande distinction, très; talentueuse et peu fortunée.; À 20 ans, il s'enrôle; dans un régiment; en vue, le 10th Hussars (Prince of Wales's Own), car le prince de Galles le lui a demandé.; À 21 ans, sir Julian est un adjudant efficace et bien connu pour sa compétence; et, à 22 ans, il se retrouve au Soudan à combattre les derviches. Dès; lors, sa carrière; est remplie de rudes missions en Inde et en Afrique, ponctuée; de nominations tout aussi exigeantes à des postes d'instruction et d'état-major.; Timide dans sa jeunesse, il est plus raffiné maintenant mais toujours aussi réserv;é il déteste; la publicité et lorsqu'il parle de ses expériences; de guerre, il raconte des histoires drôles.; Il aime le théâtre; amateur, joue du banjo et écrit; des chansons plutôt; amusantes.

Les Canadiens n'ont pas besoin de douter des compétences; de commandement du lgén; Byng. Il a récemment; réussi; l'évacuation; de Gallipoli, un repli au vu et au su de l'ennemi, sans perdre ni homme ni cheval ni fusil. Pour sa part, sir Julian perçoit; son nouveau poste de commandement comme l'occasion de toute une vie et il commencera immédiatement; à faire du Corps d'armée; canadien l'une des meilleures organisations de combat des Alliés.; De fait, il a déj;à aperçu; un certain commandant de division prometteur, un militaire d'allure maladroite, appelé Arthur Currie.


Vol. 5 No. 20 * 2002



Le 4 GPRC : Honneur et dévouement;


par Najwa Asmar

Gardien de la souveraineté dans une vaste région; du Nord et de la côte; du Pacifique, le 4e Groupe de patrouilles de Rangers canadiens (4 GPRC) se considère; aussi comme le fier dépositaire; de l'histoire des Rangers canadiens qui a commencé avec lui il y 60 ans.

Les membres du 4 GPRC sont, en effet, les dignes héritiers; des Rangers de la Milice sur la côte; du Pacifique, créée; en 1942 et considér;ée; comme l'ébauche; du programme actuel des Rangers canadiens qui s'est étendu; depuis à différentes; régions; du pays.

Selon le major Ian Hay, commandant du 4 GPRC, son organisation « est constituée; de personnes ordinaires, de citoyens fiers et très; heureux de servir leur pays. Ils forment un groupe uni et très; dévou;é au programme et à l'entraînement.; En fait, ce sont des citoyens ordinaires qui se sont hât;és; de saisir la chance de servir leur pays ».;

Le 4 GPRC connaît; une belle expansion. « Nous comptons en ce moment 34 patrouilles et 723 Rangers, mais ce dernier chiffre atteindra bientôt; 750 avec le lancement de trois nouvelles patrouilles en Alberta et trois autres au Manitoba durant l'année; financière; en cours », explique le maj Hay. « En octobre prochain, des patrouilles seront également; constituées; en Sakatchewan », ajoute-t-il.

À cela s'ajoutent 226 Rangers juniors canadiens (âg;és; de 12 à 18 ans) qui forment 12 patrouilles en Colombie- Britannique. Trois autres sont prévues; prochainement au Manitoba.

Depuis 1994, le 4 GPRC est placé sous le commandement du Secteur de l'Ouest de la Force terrestre. Son quartier gén;éral; se trouve à la BFC Esquimalt à Victoria  
(C.-B.) De là partent les instructeurs militaires chargés; de l'entraînement; de base des nouvelles recrues.

L'entraînement; des Rangers canadiens s'étale; sur un an

et inclut essentiellement la manipulation d'une arme à feu, les communications, la cartographie, les opérations; de recherche et de sauvetage ainsi que les premiers soins.

Mais le plus important reste l'entraînement; à la survie, et souvent ce sont les Rangers canadiens les plus anciens qui s'en chargent.

« Les Rangers connaissent leur terrain d'action à la perfection et sont une mine d'informations sur la sociét;é locale et le climat », note le maj Hay. « Ils cherchent en permanence à améliorer; leurs performances, et le degré de maîtrise; dont ils font preuve dans l'accomplissement d'une mission peut parfois faire la différence; entre la vie et la mort », affirme-t-il.

En effet, les membres du 4 GPRC participent souvent à titre de volontaires aux opérations; de recherche et de sauvetage. Ils ont déj;à sauvé la vie de plusieurs personnes égar;ées;, dont des membres des FC, en réussissant; à les localiser et à les faire évacuer.;

Plus récemment;, le 4 GPRC a participé, aux côt;és; des FC, à un entraînement; de coopération; civilo-militaire le long de la côte; du Pacifique. Ses membres ont également; servi de guides durant le dernier exercice militaire du 11e Bataillon des services qui a eu lieu au nord de Vancouver.

Le 4 GPRC compte 120 femmes et un vét;éran;, le Ranger John Hannam, né en 1921. Ses membres sont très; attachés; à leur collectivité et participent de manière; réguli;ère; aux parades et festivals locaux, dont le festival du saumon à Prince Rupert. Ils transmettent aux jeunes gén;érations; les traditions locales, allant de la musique à la pêche.;

Les Rangers juniors canadiens, quant à eux, fournissent de l'aide dans des activités; communautaires comme la peinture de bâtiments; publics, le nettoyage des parcs publics ou l'aménagement; de nouveaux sentiers pour les randonneurs.

« Nos Rangers jouissent d'un très; grand respect dans leur collectivité et offrent l'image du citoyen exemplaire », affirme le maj Hay. « Ils représentent; une carte gagnante qui profite tout aussi bien aux FC qu'aux collectivités; locales », conclut-il.

Image: Un membre du 4 GPRC fait une descente en rappel lors d'une séance; d'entraînement; au camp Albert Head, BFC Esquimalt.A Ranger from 4 CRPG rope bridging during a training exercise at Camp Albert Head, CFB Esquimalt.

4 CRPG: Honour and Dedication


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Image: Simulation d'une opération; SAR et transport d'une victime au-dessus d'un précipice.Members; of 4 CRPG simulate a Search and Rescue operation and transport a casualty.

By Najwa Asmar

The guardian of sovereignty in the vast expanses of the North and Pacific Coast regions, 4 Canadian Ranger Patrol Group (4 CRPG) also considers itself the proud custodian of the history of the Canadian Rangers, which began with their creation 60 years ago.

The members of 4 CRPG are, in fact, the worthy successors of the Pacific Coast Militia Rangers, formed in 1942 and considered the model for the modern Canadian Rangers program that has since expanded to other parts of Canada.

According to Major Ian Hay, commander of 4 CRPG, his organization "is; made up of ordinary people who are proud citizens thoroughly happy to serve their country. They are a proud bunch and extremely dedicated to the program and the training. They are, in fact, just ordinary citizens jumping at the chance to serve the country they love so much."

Right now, 4 CRPG is in a period of rapid growth. "There; are currently 34 patrols and 723 Rangers. The ceiling is 750 Rangers, and the difference in numbers is due to the opening of three new patrols in Alberta and Manitoba this coming fiscal year," explains Maj Hay. "And; patrols will also be instituted in Saskatchewan this October," he adds.

This does not include the 226 Junior Canadian Rangers (12-18 years old) formed into 12 patrols in British Columbia. And three more are planned for Manitoba.

Since 1994, 4 CRPG has been under the command of Land Force Western Area. It is headquartered at CFB Esquimalt, which is also the home base for the military instructors entrusted with giving the new recruits basic training.

The training of Canadian Rangers is spaced out over one year and basically comprises firearms handling, communications, map reading, search and rescue operations and first- aid. Survival training, however, continues to be the most important course, and the older Rangers are often assigned to teach this material.

"The; Rangers are experts in their own locations and provide units working in their area with expertise on population, logistics, weather and terrain," notes Maj Hay. "They; are constantly striving to improve their performance; mastering their skills and how they approach a task just might mean the difference between life and death for a person," he points out.

In fact, the members of 4 CRPG often volunteer their services on search and rescue operations. They have already saved the lives of a number of missing persons, including some CF members, by successfully locating and evacuating them.

More recently, 4 CRPG collaborated with the CF in a civil-military co-operation training program on the Pacific coast. Its members also served as guides on 11 (Victoria)

Service Battalion's most recent military exercise, which was held north of Vancouver, B.C.

There are 120 women and one veteran, Ranger John Hannam (born in 1921), on the roster of 4 CRPG. Its members have a close attachment to their community and regularly participate in parades and local festivals, including the Prince Rupert Salmon Festival. They pass on local traditions ranging from music to fishing onto the younger generations.

The Junior Canadian Rangers, on the other hand, contribute to their community through activities like painting public buildings, cleaning parks and preparing new hiking paths.

"The; Rangers are highly respected within their communities and in turn provide excellent examples of good citizenship", notes Maj Hay. "It; is a win-win situation for both the Canadian Forces and the communities in which they reside."

Vol. 5 No. 20 * 2002



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