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National Defence / Défense Nationale



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Les objectifs du Comité des griefs : impartialité, justice et transparence


par Scott Costen

Le Comité des griefs des Forces canadiennes (CGFC) gagne crédibilit;é et respect auprès; des militaires, selon son président;, Paul- André Massé.;

M. Massé a déclar;é : « Nous traitons les griefs en toute indépendance; ».; Il ajoute : « Notre organisation est perçue; comme étant; beaucoup plus impartiale. »

Le CGFC a ét;é créé en juin 2000. Son mandat consiste à réviser; les griefs des militaires en toute impartialité, justice et transparence. Le Comité ne se penche que sur les griefs pour lesquels le militaire plaignant est insatisfait de la décision; rendue au premier niveau.

« Parce que notre organisme est de nature quasi judiciaire, ses conclusions et recommandations s'appuient sur la législation; », poursuit M. Massé.; « Si les plaignants sentent que leur grief est examiné à la lumière; de tout le droit canadien du travail, ils sont plus confiants que leur plainte est traitée; de façon; juste, équitable; et impartiale. »

Le CGFC est indépendant; du MDN et des FC. Le 9 mai dernier, il a dépos;é son deuxième; rapport annuel devant le Parlement. En 2001, le Comité a révis;é 282 griefs, dont 136 portaient sur des sujets financiers; 91 sur des cas de harcèlement; ou de discrimination, 44 sur des libérations; des FC et 11 sur des sujets de nature gén;érale;, tel que le droit de recevoir des soins médicaux; ou dentaires.

Le Comité a formulé 204 recommandations et plus de 300 conclusions portant sur 100 de ces 282 plaintes. « Nous établissons; des préc;édents;, nous devons donc être; très; prudents », déclare; M. Massé.; « Nos recommandations et nos conclusions envoient un message aux plaignants et aux FC. »

Une des difficultés; que doit surmonter notre nouveau comité consiste à trouver des agents des griefs qualifiés; dans la gestion des cas. « Nous développons; vraiment une nouvelle tâche;, l'analyse des griefs », ajoute  
M. Massé.; « Le défi; consiste à trouver des personnes qui possèdent; l'expertise nécessaire.; »

La diversité des sujets dont doit traiter le CGFC fait en sorte que les membres du Comité doivent posséder; toutes les compétences.; Les agents des griefs et autres responsables proviennent de tous les secteurs d'activité.; Il s'agit notamment de militaires et d'experts - dans les domaines des relations de travail, des finances et du droit - offrant toute l'expertise nécessaire.;

By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

Le 12 juin 1944

Dans le Nord-Ouest de l'Europe, des escadrons de bombardiers alliés; détruisent; systématiquement; chemins de fer, routes et ponts pour empêcher; les Allemands d'aller appuyer leurs armées; en poste en Normandie. C'est une tâche; dangereuse, car les gros bombardiers doivent voler lentement et à basse altitude pour atteindre leur cible sans anéantir; la collectivité qui l'entoure. Ces bombardiers sont une cible de choix pour les unités; de défense; aérienne; allemandes.

Ce soir-là, les équipages; du 419e Escadron (Moose) se lancent à l'assaut de la gare de triage de Cambrai. À bord du Lancaster KB726 (indicatif d'appel VR-A), le lieutenant d'aviation Art de Breyne et son équipage; en sont à leur treizième; mission opérationnelle.; À 1 500 mètres; de l'objectif, ils amorcent leur piqué sur la cible lorsque l'artilleur de la tourelle arrière;, le lt avn Pat Brophy, lance l'alerte : un chasseur de nuit est à leurs trousses. Le lt avn de Breyne commence à voler en tire-bouchon tandis que le lt avn Brophy se met à tirer. Le Ju-88 émerge; d'en dessous, ses canons crachent du feu et le Lancaster est touché.; Le lt avn de Breyne ordonne à son équipage; de sauter.

Entre la tourelle arrière; où se trouve le lt avn Brophy et la tourelle centre supérieure; où est posté son camarade, le slt avn Andy Mynarski, le fuselage est en flammes. Lorsque le slt avn Mynarski se glisse hors de sa tourelle, son premier réflexe; est de prêter; secours au slt Brophy. La tourelle arrière; est en effet la position la plus vulnérable; de l'aéronef.; Le slt Brophy est emprisonné dans sa tourelle, le feu ayant détruit; le système; hydraulique. Pendant que son camarade lutte pour se dép;êtrer;, le slt avn Mynarski s'efforce de venir à bout de l'ouverture par sa seule force musculaire. Le slt Brophy lui fait désesp;ér;ément; signe de ficher le camp et de sauver sa peau. Mais parachute et vêtements; en flammes, le slt Mynarski rampe jusqu'à la porte arrière; du Lancaster, salue et plonge vers le sol. Quelques secondes plus tard, le Lancaster explose.

Quelques heures plus tard, Pat Brophy reprend conscience. Il est miraculeusement indemne, dans un champ quelque part en France. Andy Mynarski gît; plus loin; il est tellement brûl;é qu'il ne lui reste plus que quelques heures à vivre. Lorsque le slt avn Brophy retourne en Angleterre, il signale l'exploit héro;ïque; de son fidèle; camarade. Le 11 octobre 1946, la Gazette de Londres publie la citation octroyant à titre posthume la Croix de Victoria au sous-lieutenant d'aviation Mynarski.

Image: Pilot Officer Andrew Charles Mynarski, VC, ca. 1944 Slt avn Andrew Charles Mynarski, VC, vers 1944NATIONAL ARCHIVES OF CANADA / ARCHIVES NATIONALES DU CANADA
Image: On the quarterdeck of  
HMCS Algonquin, a sentry and the crew of a.50-calibre machine-gun stand to their duty stations while the ship's boarding party investigates a passing vessel.Sur la plage arrière; du NCSM Algonquin, une sentinelle et les membres de l'équipe; du canon de calibre 0.5, se tiennent à leurs lieux d'affectation tandis que l'équipe; d'arraisonnement du navire examine un navire passant.

Board strives to be impartial, fair and transparent


CPL CHARLES BARBER, COMBAT CAMERA

By Scott Costen

The CF Grievance Board (CFBG) is gaining the trust and respect of military personnel, says chairperson Paul-André Massé.;

"We; take an independent, outside look at grievances," he said. "We; are perceived as a much more impartial organization."

Established in June 2000, the CFGB is mandated to ensure the provision of impartial, fair and transparent reviews of military grievances. The board reviews only those grievances where the member seeking redress was not satisfied with the initial decision.

"As; a quasi-judicial body, our findings and recommendations are based on law," said Mr. Massé.; "If; grievors (grievants) see that the full weight of Canadian labour law has been brought to bear in treating their grievances, they will be more confident that their grievances were treated in a truly just, fair and impartial manner."

The CFGB, which operates independent of DND/CF, tabled its second annual report in Parliament on May 9. The board received 282 grievance cases in 2001. Of these 136 dealt with financial matters; 91 with harassment and/or discrimination; 44 with release from the CF; and 11 with general matters such as entitlements to medical and dental care.

Board members completed 204 recommendations and more than 300 findings in relation to 100's of the cases. "Because; we are setting precedents, we have to be very careful," said Mr. Massé.; "Our; recommendations and findings send a message to both the grievor (grievant) and the CF."

One of the hurdles facing the new board is finding qualified grievance officers to manage cases. "We;'re really developing a new type of job-grievance analysis," he said. "The; challenge has been to find people with the necessary expertise."

The diversity of cases reviewed by the CFGB demands a diversity of skills within the organization. Grievance officers and other officials come from all walks of life - including military, labour relations, finance and legal experts - to provide the necessary expertise.

June 12, 1944

In northwest Europe, Allied bomber squadrons are systematically destroying railways, roads and bridges to prevent the Germans from supporting their armies in Normandy. This is dangerous work: a big bomber must fly low and slow if it is to hit a bridge, a crossroad or a rail yard without flattening the community surrounding the target. Low, slow bombers are very vulnerable to German air defence.

Tonight, the crews of 419 (Moose) Squadron are attacking the railway marshalling yards at Cambrai. In Lancaster KB726 (call-sign VR-A), Flying Officer Art de Breyne and his crew are making their thirteenth operational sortie. They are at 1 500 metres and starting their run to the target when the rear gunner, F/O Pat Brophy, yells a warning: a night-fighter is on their tail. F/O de Breyne starts corkscrewing and F/O Brophy starts shooting, but the Ju-88 streaks up from below with its cannons blazing, and leaves the Lancaster crippled and burning. F/O de Breyne orders the crew to jump.

Between the rear turret, where F/O Brophy is, and the mid-upper turret, where his buddy Pilot Officer Andy Mynarski is, the fuselage is burning.When Pilot Officer Mynarski slides out of his own turret, his first thought is to check on Pilot Officer Brophy-the rear turret is the most dangerous position in the aircraft. Pilot Officer Brophy is trapped: the fire has destroyed the hydraulic system of the turret, so Pilot Officer Mynarski tries to swing it open by brute force. As his friend struggles, Pilot Officer Brophy frantically motions him away; finally, his parachute and clothing on fire, Pilot Officer Mynarski crawls to Lancaster's aft door, salutes, and bails out. Then the Lancaster explodes.

Hours later, Pilot Officer Brophy regains consciousness, miraculously unhurt, free of the turret and lying in a field somewhere in France. Mynarski is nearby, so badly burned that he has only hours to live. When Pilot Officer Brophy returns to England, he reports the actions of his faithful friend and, on October 11, 1946, the London Gazette publishes the citation for Pilot Officer Mynarski's posthumous Victoria Cross.


Vol. 5 No. 21 * 2002



Image: SGT DENNIS MAH, COMBAT CAMERA

Un symbole d'appui

Le major Serge Pelletier tient le jeton de commerce spécial; frappé avec les drapeaux du Canada et des États-Unis; et conçu; pour une activité municipale de collecte de fonds à Manitoulin (Ont.). Le jeton a ét;é présent;é au major-gén;éral; Kenneth L. Privratsky, commandant du US Military Traffic Management Command, à Alexandria (Virginie) tôt; en avril, comme symbole de l'appui canadien dans la foulée; des attaques terroristes du 11 septembre. Le concepteur du jeton est le maj Pelletier, commandant du Détachement; des lignes de communications intégr;ées; du Canada et des États-Unis; (base aérienne; Dover).

Showing support

Major Serge Pelletier is shown with the special coin, bearing the flags of Canada and the US, designed as a municipal trade token fundraiser in Manitoulin, Ont., the coin was presented to Major-General Kenneth L. Privratsky, commander of the US Military Traffic Management Command, Alexandria, Virginia in early April, as a symbol of Canadian support in the wake of the September 11 terrorist attacks. The coin was designed by Maj Pelletier, CO of the Canadian-US Integrated Lines of Communication Detachment, Dover AFB.

Niveaux acceptables de plomb


À la suite de rapports faisant état; de niveaux de plomb anormalement élev;és; dans certains bâtiments; et logements familiaux (LF) du MDN dans la région; d'Ottawa, le MDN a mis en oeuvre un programme exhaustif visant à cerner la situation réelle; et tout risque potentiel pour la santé.;

On continue à effectuer des tests afin de déterminer; les niveaux de plomb dans le sang des résidents; et dans les bâtiments; du MDN à Uplands et à Rockcliffe et leur environnement. Ces tests sont menés; conjointement par le MDN et le service de santé publique de la Ville d'Ottawa. Au terme d'un certain nombre d'analyses, il semble que les premiers tests aient pu rév;éler; des niveaux de plomb anormalement élev;és; uniquement dans les secteurs où la poussière; a pu s'accumuler pendant un certain temps. Jusqu'à présent;, les prél;èvements; de sol, d'air, d'eau, de peinture et de ciment sur les planchers ont tous indiqués; que les niveaux de plomb étaient; dans les limites acceptables. En outre, tous les prél;èvements; visant à vérifier; les niveaux de plomb dans le sang effectués; auprès; de résidents; de LF à Ottawa ont rév;él;é des taux normaux de faible niveau. Parmi les personnes qui ont subi des tests, il y avait 50 résidents; des LF, y compris des militaires et des techniciens de munitions ainsi que des membres de leurs familles.

Bien que ces résultats; soient très; encourageants, le MDN est détermin;é à effectuer une évaluation; complète; de toutes situations qui auraient pu entraîner; une exposition à des niveaux de plomb nocifs pour la santé.; À cette fin, on poursuit les tests. On s'attend à ce que l'analyse et l'interprétation; des prél;èvements; sanguins soient ter

minées; d'ici la mi-juin; les résultats; seront examinés; par Santé Canada. Entre-temps, on mesurera les niveaux de plomb dans 50 logements où habitent des résidents; qui ont subi des prél;èvements; sanguins et qui accepteront que ces tests soient effectués; dans leurs résidences.;

Les résultats; de ces analyses très; complètes; permettront au MDN de déterminer; les niveaux de plomb qui présentent; des risques réels; pour la santé à Ottawa et s'il est possible que de tels risques existent dans d'autres bases ou propriét;és; du MDN au Canada.

Le CANFORGEN 035/02 ADMHRMIL 021 donne de l'information sur le plomb en tant que produit présentant;

un risque pour la santé et sur le plan gén;éral; pour la région; d'Ottawa. Comme il est mentionné dans ce message, il y a du plomb partout, et la présence; potentielle de plomb dans les bâtiments; du MDN ne constitue en soi ni un danger immédiat; pour la santé, ni une situation d'urgence. Les risques pour la santé provenant de l'exposition au plomb présent; dans l'environnement

sont liés; à l'effet cumulatif de l'ingestion du produit. On adopte actuellement une méthode; d'analyse systématique; afin d'étudier; la question et de déterminer; si du personnel est effectivement exposé à des niveaux de plomb élev;és; présentant; de ce fait des dangers pour la santé.;

De plus amples renseignements seront donnés; après; que les résultats; des tests effectués; à Ottawa seront connus. On évaluera; également; les risques pour la santé dans d'autres secteurs en se fondant sur le programme de tests mis au point à Ottawa.

Dans l'intervalle, les militaires inquiets des effets potentiels du plomb sur leur santé peuvent obtenir de plus amples renseignements en appelant le service tél;éphonique; d'assistance-santé des FC au 1 877 633-3368, en visitant les sites Web mentionnés; dans le CANFORGEN ou en consultant leur médecin.;

Lead levels within acceptable limits


Following reports of higher than normal lead levels in some DND buildings and PMQs in the Ottawa area, DND is carrying out a comprehensive program to verify the actual situation and any potential health risk

Testing of blood lead levels and testing for lead in the environment in and around DND buildings at Uplands and Rockcliffe is still being carried out. These tests are being conducted jointly by DND and the City of Ottawa Public Health Department. After some analysis it appears that early testing may have shown higher lead levels only in areas where dust can accumulate over an extended period. To date, testing of soil, air, water, paint and concrete floors have all shown lead levels within acceptable limits. In addition, all completed testing for lead in blood samples taken from Ottawa PMQ residents have shown low-level normal results. Among those tested were 50 PMQ residents including military members, their families, and ammunition technicians and their families.

While these results are very encouraging DND is determined to complete a thorough assessment of any possibility of exposure to harmful levels of lead. To this end testing is continuing. Analysis and interpretation of the blood testing is expected to be completed by mid June and will be reviewed by Health Canada. At the same time 50 homes will have lead level measurements taken. These will be selected on a voluntary basis from among the people whose blood has been sampled for lead.

The results of this very comprehensive testing will enable DND to assess whether a potential health concern actually exists in Ottawa and also to evaluate the likelihood of any lead-related health risk at other DND locations in Canada.

CANFORGEN 035/02 ADMHRMIL 021 provides background information on lead as a potential health risk and the general plan for the Ottawa area. As discussed in that CANFORGEN lead is everywhere, and the potential presence of lead in DND buildings does not in itself constitute either an immediate health risk or an immediate health emergency. The health risk from environmental lead exposure is the cumulative result of ingesting it. A systematic analytical approach is being undertaken to investigate the issue and to determine whether any personnel are actually experiencing high lead levels and thus lead-related health risks.

Further information will be made available after the results of the Ottawa tests are known. The possible health risk in other areas will also be evaluated using the Ottawa testing program as a basis.

In the interim, personnel concerned about potential health effects of lead can get more information by calling the CF Health Information Line 1-877-633-3368, by referring to the web sites noted in the CANFORGEN or by contacting their attending physician.

Vol. 5 No. 21 * 2002



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