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Air Force Editor  
Holly Bridges (613) 392-2811
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SAR TECH trainee injured in parachuting accident


By Capt Jeff Manney

19 WING COMOX - A CF member training to become a search and rescue technician survived a fall of more than 1 000 metres in late June after his parachute malfunctioned.

Corporal Glenn Hood suffered fractured vertabra, a fractured heel and some soft- tissue damage after jumping from a circling CC-115 Buffalo aircraft into a wooded area near Jarvis Lake, sixteen kilometres west of Hinton, Alta. After his parachute malfunctioned, he could not gain enough air speed to maintain his descent, and he collided with another jumper, Cpl Shawn Harrison. For a time both men fell, with all three of their chutes becoming entangled. Cpl Harrison was able to cut away his main chute and open his reserve. The back-up chute deployed at approximately 200 metres and he landed without injury.

Trailing three tangled parachutes, Cpl Hood landed hard in dense under- growth. He was airlifted to the University of Alberta hospital in Edmonton via a CF CC-130 Hercules.

The head of the Comox-based CF School of Search and Rescue, Chief Warrant Officer Arnie Macauley, said the jumper's survival was nothing short of miraculous. "It; was surprising to all of us that he was alive," Macauley said. "None; of the three chutes was providing enough lift."

Macauley said the soft ground likely broke the student's fall. "He; hit some springy shrubs. They probably saved his life."

The injured student is one of 12 Air Force members hoping to become search and rescue technicians. Recognizable in their distinctive orange flying suits, military SAR TECHs are fully qualified paramedics trained in parachuting, scuba diving and mountain climbing.

The 12 students are in the last few weeks of an intensive 11-month course. The school operates from 19 Wing Comox on Vancouver Island, but the Jarvis Lake site is used for confined area jumps and other advanced training.

The jumps involved in the incident were intentional descents into trees in order to familiarize the students with one of the main hazards of pararescue.

All the students have more than 50 training jumps to their credit.

Capt Manney is the PAffO, 19 Wing.

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Un TECH SAR stagiaire blessé au cours d'un accident de parachutisme


par le capt Jeff Manney

19e ESCADRE COMOX - Un militaire des FC qui était; à l'entraînement; en vue de devenir technicien en recherche et sauvetage a survécu; à la fin de juin à une chute de plus de 1 000 mètres; à cause du mauvais fonctionnement de son parachute.

Le caporal Glenn Hood a subi une fracture d'une vertèbre; et d'un talon et des lésions; à des tissus mous, après; avoir sauté d'un CC-115 Buffalo qui volait en cercle au-dessus d'une région; boisée; située; près; du lac Jarvis, à 16 km à l'ouest de Hinton, en Alberta. Le cpl Hood a ouvert son parachute qui a mal fonctionné.; Le caporal n'a pas pu contrôler; sa descente pour continuer à descendre et il est entré en collision avec un autre parachutiste, le cpl Shawn Harrison. Les deux hommes ont descendu en chute libre pendant un certain temps, leurs parachutes s'étant; emmêl;és.; Le cpl Harrison a pu couper son parachute principal et ouvrir son parachute de secours. Celui-ci s'est déploy;é à environ 200 mètres; du sol et le caporal a atterri sans se blesser.

Le cpl Hood qui traînait; trois parachutes emmêl;és; a fait un atterrissage brutal dans un sous-bois dense. Il a ét;é transporté à l'hôpital; de l'Université de l'Alberta à bord d'un CC-130 Hercules des FC.

L'adjudant-chef Arnie Macauley, responsable de l'École; de recherche et de sauvetage des FC située; à Comox, a dit que la survie du parachutiste tenait du miracle. « Nous avons tous ét;é surpris de constater qu'il était; en vie », a-t-elle affirmé.; « Aucun des trois parachutes n'avait suffisamment de portance. »

L'adjuc a précis;é que le sol mou avait

amorti la chute du stagiaire. « Il est tombé sur des arbustes moelleux. C'est ce qui lui a probablement sauvé la vie. »

Le stagiaire blessé est l'un des militaires de la 12e Force aérienne; qui espèrent; devenir techniciens en recherche et sauvetage. Reconnaissables à leurs combinaisons de saut orange distinctives, les TECH SAR sont des travailleurs paramédicaux; pleinement qualifiés; ayant reçu; l'entraînement; nécessaire; en parachutisme, plongée; autonome et alpinisme.

Les 12 stagiaires en sont aux dernières; semaines d'un cours intensif de 11 mois. L'instruction se donne à la 19e Escadre située; à Comox dans l'île; de Vancouver, mais les sauts dans des zones à accès; difficile et les autres types d'entraînement; avancé se donnent dans le secteur du lac Jarvis.

Les sauts auxquels les stagiaires s'exerçaient; étaient; des descentes intentionnelles dans des arbres afin de les familiariser avec l'un des principaux dangers du sauvetage au

cours des opérations; de parachutisme.

Tous les stagiaires ont plus de 50 sauts à leur actif.

Le capt Manney est OAP à la 19e Escadre.

Image: L'astronaute canadien, le col 16e Escadre Borden à son retCanadian Astronaut Col Chris Hadfield addresses personnel at 16 Wing Borden, during his recent return to Canada.

Col Chris Hadfield comes ho


First Canadian space walker visits Ot


"It;'s a spectacular, amazing event to step outside the space shuttle. You become this one-person spaceship, completely self- sustained, with your own power, your purification system, your communication system and a sort of a fishing line to reel yourself back in. It's just incredible to be able to see the whole world around you. It's just a spectacular view; it takes your breath away."

Canadian Astronaut Colonel Chris Hadfield, during a presentation at 16 Wing Borden on June 14.

By Holly Bridges and MWO Normand Marion

It was July 20, 1969 that Chris Hadfield, the boy, decided to become Chris Hadfield, the astronaut. He had just finished watching a bunny-eared, black and white TV set at a southern Ontario cottage as Buzz Aldrin and Neil Armstrong walked on the moon, becoming the first humans ever to do so, and it was then that his dream was set.

"We; went outside and looked at the moon and I thought to myself, "That;'s the coolest thing people have ever done - leave earth and go walk on another planet. I want to do that. So I decided on July 20, 1969 that I wanted to be an astronaut when I grew up." And now, 33 years and much hard work later, Col Chris Hadfield can say he, too, has left earth and walked in space.

The 42-year-old former fighter pilot is now living in Russia as NASA's Director of Operations at Star City, assisting other astronauts and maintaining his own currency as an active astronaut. Col Hadfield came home in June to visit 16 Wing Borden and NDHQ in Ottawa. In Borden, he spoke with staff and students at 16 Wing about the international space programme.

"Canada; was not the first country in space, but we have been heavily involved in the space exploration programme since the very beginning. In fact, we were the third nation to have a satellite in space, after the Soviet Union and the United States." He explained that today, there are 17 countries involved in the new space station programme, each one building a part of it.

"Because; Canada had already built the arm on the shuttle, we were asked to contribute the robotic arm for the space station. The international space station is currently only big enough for three people, however, the station needs to get a little bigger before we can support a bigger crew. Not too long in the future, in about a year and a half, maybe two years, the other international partners will be sending crews to live up there-Canadians, Japanese, Europeans.When we go to Mars,


July 10 juillet 2002



Rédactrice; de la Force aérienne; Holly Bridges Bridges.HM@forces.ca


Image: Chris Hadfield, fait une présentation; aux membres de la our au Canada.SGT DENNIS MAH, COMBAT CAMERA

Le col Chris Hadfield en visite au Canada


Le premier Canadien à marcher dans l'espace en visite à Ottawa et à Borden


Image

par Holly Bridges et l'adjum Normand Marion

Le 20 juillet 1969, alors qu'il n'était; encore qu'un gamin, Chris Hadfield a décid;é qu'il deviendrait astronaute. Il venait de voir à la tél;é, sur un vieil appareil noir et blanc affublé d'oreilles de lapin, Buzz Aldrin et Neil Armstrong, les premiers hommes à marcher sur la lune.

Chris, qui se trouvait alors dans un chalet du sud de l'Ontario, venait de trouver sa voie. « Nous sommes allés; dehors regarder la lune et je me suis dit que c'était; sans doute la chose la plus extraordinaire que l'homme ait jamais fait : quitter la terre et marcher sur une autre planète.; Le 20 juillet 1969, j'ai décid;é que, quand je serais grand, je serais astronaute! » Trentetrois ans plus tard et après; des années; de travail acharné, le col Hadfield peut désormais; dire qu'il a lui aussi quitté la terre et qu'il est allé marcher dans l'espace.

L'ancien pilote de chasse de 42 ans

habite maintenant en Russie. Directeur des opérations; de la NASA à Star City, il travaille à maintenir à jour ses propres qualifications d'astronaute actif tout en aidant d'autres astronautes. Le col Hadfield est revenu au pays en juin afin de visiter la 16e Escadre Borden et le QGDN à Ottawa. À Borden, il a parlé du programme spatial international au personnel et aux étudiants; de la 16e Escadre.

« Le Canada n'a peut-être; pas ét;é le premier pays à conquérir; l'espace, mais nous avons beaucoup participé au programme d'exploration spatial depuis les débuts.; En fait, après; l'Union soviétique; et les États-Unis;, nous sommes le troisième; pays à avoir eu un satellite dans l'espace. » Il a expliqué qu'aujourd'hui, 17 pays travaillent au nouveau programme de la station spatiale.

« Étant; donné que le Canada avait déj;à à son actif le bras de la navette spatiale, on nous a confié l'élaboration; du bras robotique de la station. À l'heure actuelle, la station spatiale internationale ne peut contenir que trois personnes, mais elle devra être; agrandie pour accueillir une plus grosse équipe.; D'ici un an et demi ou deux, les autres partenaires internationaux enverront des équipes; vivre dans la station - des Canadiens, des Japonais et des Européens.; Quand nous irons sur Mars, ce ne sera plus des pays individuels qui seront en lice pour hisser leur drapeau national mais la planète; tout entière;! »

Le col Hadfield, pour sa part, ne se perçoit; ni comme un héros; ni comme un symbole national, mais simplement comme un gars ordinaire qui a eu la chance de rencontrer plein de Canadiens de toutes les couches de la sociét;é.; Bien entendu, il espère; avoir à nouveau l'occasion de marcher dans l'espace, mais il espère; que plus de Canadiens auront l'occasion de travailler au programme spatial.

« Les possibilités; sont très; rares et il faut que plus de gens du Canada puissent vivre cette expérience.; Certes, j'adorerais avoir l'occasion d'y retourner, mais je voudrais que d'autres aient la même; chance que moi! »

La présentation; du col Hadfield a touché tout l'auditoire, quel que soit leur niveau de connaissance dans le domaine de la technologie. Le cpl Melissa Webb, une commis à la salle d'administration de la 16e Escadre, a trouvé la présentation; formidable, à la fois facile à comprendre et très; évocatrice.; « Il a su présenter; des percées; technologiques très; compliquées; dans un langage très; simple. »

Le commandant de la 16e Escadre, le col Jerry Gillis, a également; trouvé que la présentation; était; des plus informatives et qu'elle portait à réflexion.; « Dans tous les sens du terme, j'estime que le col Chris Hadfield est un modèle; », a-t-il conclu. « Les Forces canadiennes et le pays tout entier peuvent être; fiers de lui! »

« C'est une expérience; spectaculaire et prodigieuse que de s'aventurer hors de la navette spatiale. On est en quelque sorte un vaisseau spatial, complètement; autonome, doté de sa propre source d'alimentation et de son propre système; de purification et de communication. En prime, il y a comme une ligne à pêche; pour vous ramener à bord de la navette. C'est tout à fait incroyable de voir le monde entier autour de soi. Le paysage est spectaculaire, à en couper le souffle. »

C'est ainsi que s'exprimait l'astronaute canadien, le col Chris Hadfield, au cours d'un exposé qu'il donnait à la 16e Escadre Borden le 14 juin dernier.

me to Canada


awa, Borden


it won't be just one nation that will race to plant its flag. It will be as a planet."

As for Col Hadfield, he doesn't view himself as an icon or hero of any kind, just "very; fortunate for having been introduced on very good terms to lots and lots of Canadians and it is very pleasant." Of course he hopes to walk in space again, however, he hopes more Canadians get the opportunity to join the space programme.

"The; opportunities are extremely rare and we need more Canadians to share that experience. I would love to have a chance to go again, yes, but at the same time, more Canadians need to experience it."

Col Hadfield's presentation touched everyone in the audience, regardless of their technological background. Corporal Melissa Webb, a clerk at the 16 Wing Orderly Room, found the presentation "truly; awesome. The presentation was very understandable, very enjoyable and very real," she said. "He; presented very complicated technological advances in an every day perspective."

Col Jerry Gillis, the 16 Wing Commander, also found the briefing both informative and inspirational. "Col; Chris Hadfield is in every sense of the word a role-model," he concluded. "The; Canadian Forces and our whole country should be proud of him."

Hadfield's travel claim out of this world


L'astronaute Hadfield et ses

frais de voyage « sidéraux; »


By Holly Bridges

It was a travel claim that was out of this world. Literally. When Colonel Chris Hadfield returned from his last walk in space, he had to put something down on his travel claim. So as the good Colonel says, the claim read, "Houston-Florida-; Lower Earth Orbit-California-Houston. Rations and Quarters were provided."

And in true CF style, what is a travel claim without per diem and incidentals? "Last; time I was up there I got per diem. And incidentals. I think I got $6 a day. It's kind of a funny travel claim. I mean, you have to fill out a travel claim. What else would you do?"

The Canadian Astronaut's travel claims may get even more complicated in the future if he should be selected to live on the international space station for six months, something Col Hadfield would definitely like to do.

"Sure; I would love to not just visit, but have it as my postal code for a while and go live up there for six months. I would really like that. But we'll see."

par Holly Bridges

Elle sort de l'ordinaire, la demande de remboursement des frais de voyage du colonel Chris Hadfield. En effet, lorsqu'il est revenu de sa dernière; marche dans l'espace, il a bien fallu qu'il inscrive quelque chose sur le formulaire de demande. Alors le brave colonel a écrit; : « Houston-Floride- Orbite terrestre basse-Californie-Houston. Les repas et le logement étaient; fournis. »

Et dans les FC, qu'est-ce qu'une demande de remboursement des frais de voyage sans indemnité journalière; et faux frais? « La dernière; fois que je suis allé dans l'espace, j'ai obtenu une indemnité journalière; et le remboursement de mes faux frais. Je crois qu'on m'a accordé 6 $ par jour. C'est un peu bizarre, mais quelle que soit la destination, il faut remplir une demande de remboursement des frais de voyage. Alors que pouvais-je faire d'autre? »

La demande de remboursement de l'astronaute canadien deviendra peut être; encore plus compliquée; à l'avenir, s'il est choisi pour vivre dans la station spatiale internationale pendant six mois, ce qui est une de ses ambitions.

« Ce qui est sûr;, c'est que j'aimerais non seulement visiter la station, mais y vivre pendant six mois et y avoir mon code postal. Cela me plairait beaucoup. Mais nous verrons », nous a confié le col Hadfield.

July 10 juillet 2002



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