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Navy Editor  
Ruthanne Urquhart (613) 567-7643


Image: FDU(A) personnel deploy a data cable across the beach and the surf zone. The cable carries detonation effects data from in-water and ocean-floor sensors to monitoring equipment ashore. Because of the conditions, only three cables and the firing line were deployed from the beach.

Une équipe; de l'UPF(A) amorce le nettoyage de l'épave; du

Raleigh


par le Ltv Sue Stefko

Bravant les tempêtes; de neige et la mer agitée; des dernières; semaines du printemps, l'équipe; de neutralisation des explosifs et munitions de l'Unité de plongée; de la Flotte (Atlantique) (UPF(A)) a complét;é avec succès; une étape; importante de l'« opération; Raleigh » à la baie Forteau (Terre-Neuve-et-Labrador).

L'équipe; s'est déploy;ée; avec un membre

de la section de l'Environnement (Formation) des Forces maritimes de l'Atlantique (FMAR(A)) et des scientifiques de Recherche et Développement; pour la défense; Canada (RDDC) afin de procéder; à 13 « tirs d'essai » sur des munitions non explosées; qui se trouvaient sur les lieux du naufrage du HMS Raleigh. Lors de l'opération;, l'équipe; a reçu; l'appui des Rangers canadiens de Terre-

Neuve-et-Labrador, qui ont veillé à ce qu'il n'y ait pas de personnes, de mammifères; marins et d'oiseaux dans le secteur.

Le Raleigh, croiseur léger; de 10 000 tonnes avec à son bord un équipage; de 700 officiers et militaires du rang, a fait naufrage au large de pointe Amour en août; 1922, alors qu'il se dirigeait vers la baie Forteau pour la pêche; au saumon. Bien qu'il se soit échou;é à quelques centaines de mètres; de la terre ferme, 11 membres de son équipage; se sont noyés.; Le HMS Raleigh est demeuré bien ancré au fond de l'eau et a ét;é dépouill;é, au fil des jours, de ses articles récup;érables;, tour à tour, par le personnel de la Marine britannique, des entreprises de récup;ération; et des habitants du secteur. En 1926, les Britanniques l'ont sabordé au moyen d'explosifs. Mais tout cela n'a pas permis de se débarrasser; complètement; des munitions qui se trouvaient à bord du croiseur.

Le secteur reste donc une source de préoccupation; parce qu'environ 900 pièces; de munitions se trouvent toujours à neuf mètres; de profondeur, à 15 mètres; seulement de la côte.; De temps en temps, des munitions s'échouent; sur la plage et se dessèchent; devenant encore plus dangereuses à manipuler. Certains habitants de la région; ont déj;à recueilli des munitions pour en faire des souvenirs, provoquant une situation à risque. C'est dans ce contexte là que l'UPF(A) a ét;é chargée; du nettoyage les lieux.

L'UPF(A) a mené des missions de recon

naissance pendant plusieurs années.; En mai, des membres de l'unité ont plongé jusqu'à l'épave;, mis des munitions non explosées; dans un harnais, transporté ce dernier en un lieu désign;é, planté un explosif et fait détonner; ces munitions à distance, au moyen d'une charge électrique.;

Les responsables de l'opération; ont accordé une attention particulière; aux incidences des explosions sur l'environnement. Le déploiement; a ét;é effectué à un moment où les populations de poissons étaient; peu nombreuses et dans une zone qui n'a pas ét;é désign;ée; comme une aire de frai ou d'alimentation. Les Rangers canadiens se sont assurés; qu'il n'y avait pas de mammifères; marins et d'oiseaux dans les environs, et ont observé les éventuels; effets sur la vie marine. De plus, l'UPF(A) a fait exploser de faibles charges pour effrayer les poissons afin de les éloigner; du secteur avant les fortes détonations.; Compte tenu des précautions; qui ont ét;é prises, un nombre minime de poissons ont ét;é tués.;

Qui plus est, RDDC a installé des capteurs sur le plancher océanique; pour consigner les effets des détonations.; D'autres capteurs ont ét;é placés; dans l'eau pour détecter; la présence; de mammifères; marins. RDDC a pu ainsi déterminer; les répercussions; des détonations; sur les environs et savoir, avant le déclenchement; des explosions, si des mammifères; marins étaient; présents; dans le secteur. Ce travail d'observation contribuera à l'élaboration; de stratégies; visant à minimiser les effets des détonations; sousmarines sur l'environnement.

Les résultats; des tirs d'essai permettront de décider; des mesures à prendre pour détruire; les munitions non explosées; du Raleigh. Si cela s'avère; nécessaire;, l'équipe; de l'UPF(A) reviendra sur les lieux dotée; d'une

meilleure connaissance de la façon; de faire détonner; les munitions vieilles de 80 ans, tout en étant; certaine qu'il est possible de limiter les effets sur l'environnement et d'assurer la sécurit;é publique. Le Ltv Stefko est OAP des FMAR(A).

Du personnel de l'UPF(A) déploie; un câble; de transmission de données; sur la plage. Le câble; transmet les données; sur les effets de la détonation; à partir des capteurs installés; dans l'eau et sur le plancher océanique; vers des équipements; de

contrôle; se trouvant à terre. En raison des conditions climatiques, seulement trois câbles; et la ligne de tir ont ét;é déploy;és; depuis la plage.

FDU(A) team begins

Raleigh

site clean-up


By Lt(N) Sue Stefko

Braving late spring snowstorms and rough seas, the Fleet Diving Unit (Atlantic) Explosives Ordnance Disposal team successfully completed an important stage of "Operation Raleigh" in Forteau Bay, Newfoundland and Labrador.

The team deployed with a member of Maritime Forces Atlantic (MARLANT) Formation Environment and scientists from Defence Research and Development Canada (DRDC) to conduct 13 "test; shots" on unexploded naval rounds found on the wreck site of HMS Raleigh. The team was supported onsite by the Newfoundland and Labrador Rangers, who ensured the area was clear of bystanders, marine mammals and birds.

Raleigh was a 10 000-ton light cruiser with a complement of 700 officers and men. She ran aground off Point Amour in August 1922, heading for salmon fishing in Forteau Bay. Though she finished only several hundred metres offshore, 11 crewmembers drowned between ship and shore. HMS Raleigh remained hard aground, and was continuously stripped of salvageable items-by British naval personnel, salvage firms and local residents- until the British scuttled her with explosives in 1926. Neither the salvage work nor the scuttling cleared the ordnance from the wreckage.

The site was deemed an area of concern because about 900 naval rounds are still onsite, in 9 metres of water 15 metres from shore. Occasionally, rounds wash up on the shore, dry out and become more volatile. Local residents have collected ordnance and taken it home as souvenirs-a dangerous situation. Accordingly, FDU(A) has been tasked with the site cleanup.

FDU(A) conducted reconnaissance missions over several years, and in May personnel dove on the wreck, put unexploded ordnance in a harness, moved it to a designated detonation site, attached an explosive and detonated it remotely, using an electric charge.

The operation paid special attention to environmental effects. The deployment was scheduled at a time when fish populations were low, and in an area not designated as a spawning or feeding ground. The Rangers ensured the area was clear of marine mammals and birds, and monitored any effect on sea life. As well, FDU(A) detonated "scare; charges" to clear the area of fish before the larger detonations occurred. With these precautions in effect, few fish were killed as a result of the blasts.

In addition, the area was monitored by DRDC sensors placed on the ocean floor, to record the effects of the blasts, and in the water, to listen for marine mammals. DRDC could determine what effect the detonations had on the surrounding area and whether marine mammals were present prior to blasting. This work will contribute to the development of strategies for minimizing the environmental effects of underwater detonations.

The results from these test shots will illuminate the way ahead for the remediation of Raleigh's unexploded ordnance. If required, the FDU(A) team will return with more comprehensive knowledge about how this 80-year-old ammunition can be detonated, and with the certainty that environmental effects can be minimized and public safety can be maintained.

Lt(N) Stefko is a MARLANT PAffO.

Image: PHOTOS: JERRY RUDE, DRDC / RDDC

Remnants of the first round of HMS Raleigh ordnance destroyed during a test shot sit onshore in Forteau Bay, Newfoundland and Labrador. Detonating two blocks of C4 explosive opened the black- powder round.

Les débris; des premières; munitions explosives du  
HMS Raleigh détruites; durant un tir d'essai à la Baie Forteau (Terre-Neuveet-Labrador). La détonation; de deux blocs d'explosifs C4 a permis de faire éclater; la munition de poudre noire.


July 24 juillet 2002



Rédactrice; de la Marine  
Ruthanne Urquhart navyeditor@canada.com


FDU(P) divers ready for RIMPAC


Text and photo by Lt(N) Andria Ink

HMCS EDMONTON-Eight divers from Fleet Diving Unit (Pacific) had the 'dive of their careers' June 27 in Pearl Harbor, Hawaii. Their first tropical dive, near Waikiki Beach, gave them an opportunity to test their equipment and tropical wetsuits, and practise drills and procedures for the tactical phase of RIMPAC 2002.

"Today; was the best dive I've ever had," said Mine-Countermeasures Officer Lieutenant(N) Clay Cochrane. "It; was a career-making day."

A 6-person recompression chamber and containerized diving workshop-an inter- changeable payload for the three Kingston- class Maritime Coastal Defence Vessels deployed to RIMPAC 2002-is embarked in HMCS Edmonton, support ship for the diving team.

The team's primary RIMPAC 2002 role will be to detonate mines detected by HMC Ships Nanaimo and Saskatoon. Procedures for under- water detonation and over-pressurization are practised daily. Due to the tropical heat, team members are working by 5:30 a.m. Physical training includes a 5-km run, a 1.5-km swim and light weight training.

"The; divers are doing their thing," said Edmonton CO Lieutenant-Commander Bob Ramage. "It;'s great to have them on board."

Edmonton's crew has been outstanding, Lt(N) Cochrane said. From the support of the deck department with boat launches through

fuelling diving tenders to excellent lunches from the galley, Edmonton has been a tremendous help to the team. And crewmembers have made arrangements to stand duty for the divers on the days that they dive, so they can recuperate.

"We; work together really well," said FDU(P)'s Leading Seaman Wade Smith. "The; crew is hard working. They are great people." Lt(N) Ink is a CF RIMPAC 2002 PAffO.

FDU(P) divers Leading Seamen Rich Kumpf, left, Kevin March, Wade Smith and Vince Gouthro await the daily diving brief on board HMCS Edmonton.

À bord du NCSM Edmonton, les matelots de 1re classe Rich Kumpf, à gauche, Kevin March, Wade Smith et Vince Gouthro, plongeurs de l'UPF(P), attendent les directives quotidiennes.

Image

Les plongeurs de l'UPF(P) sont prêts; à participer à

RIMPAC


Texte et photo par le Ltv Andria Ink

NCSM EDMONTON - Huit membres de l'Unité de plongée; de la Flotte (Pacifique) ont

effectué la « plongée; la plus importante de leur carrière; », à Pearl Harbor (Hawaï) le 27 juin dernier. Leur première; plongée; en eau tropicale, près; de Waikiki, leur a permis de tester leur équipement; et leur vêtement; isothermique tropical, d'effectuer des drills et des exercices en vue de la phase tactique de l'exercice RIMPAC 2002.

« Ma plongée; d'aujourd'hui est la meilleure que j'ai jamais faite », affirme le Lieutenant de vaisseau Clay Cochrane, officier de lutte contre les mines. « Cette journée; est capitale dans une carrière.; »

À bord du NCSM Edmonton, le navire de soutien de l'équipe; de plongeurs, on trouve une chambre de recompression pouvant accommoder six personnes et un atelier de plongée; conteneurisé - un module inter- changeable pouvant s'adapter aux trois navires de défense; côti;ère; de la classe Kingston qui participent à l'exercice RIMPAC 2002.

Dans le cadre du RIMPAC 2002, le rôle; de l'équipe; consistera principalement à faire

exploser les mines que les NCSM Nanaimo et Saskatoon auront détect;ées.; Les procédures;

relatives à la détonation; sous-marine et à la surpressurisation sont pratiquées; quotidiennement. En raison de la chaleur tropicale, l'équipe; commence le travail dès; 5 h 30.

L'entraînement; physique comprend une course de 5 km, 1,5 km de natation et des exercices avec des poids légers.;

« Les plongeurs font ce qu'ils ont à faire » souligne le commandant de l'Edmonton, le Capitaine de corvette Bob Ramage. « C'est formidable de les avoir à bord. »

Selon le Ltv Cochrane, l'équipage; de l'Edmonton a ét;é exceptionnel. Du soutien offert par le service du pont lors des mises à l'eau des embarcations en passant par le

mazoutage des embarcations-supports pour plongeurs jusqu'aux excellents déjeuners; de la cuisine, les gens de l'Edmonton ont donné un coup de main considérable; à l'équipe.; Afin de leur permettre de récup;érer;, des membres de l'équipage; ont même; pris les dispositions nécessaires; pour remplacer les plongeurs dans leurs autres fonctions les jours où ils plongent.

« Nous travaillons très; bien ensemble », précise; le Matelot de 1re classe Wade Smith, de l'UPF(P). « L'équipage; travaille dur; ce sont des gens formidables. » Le Ltv Ink est un OAP des FC pour RIMPAC 2002.

Edmonton

leads through RIMPAC preparations


By Lt(N) Andria Ink

HMCS EDMONTON-As part of recent tactical phase preparations for RIMPAC 2002, Maritime Coastal Defence Vessel Edmonton led Multinational Forces US Ships Tarawa and Rushmore through a simulated mined area in the waters near Hawaii.

A lead-through procedure begins with the establishment of communications with the 'high-value' unit to be led through a potential mined area. The unit is aligned 457 metres astern of the MCDV using voice or flashing light communication.

"My; job is to pass signals that establish a set course and speed, and ensure we keep her [USS Tarawa] right behind us," said Edmonton Naval Communicator Able Seaman Sandra Dryden. "The; voice procedures are a little different, but it's an excellent experience."

Once the high-value unit is positioned, it is guided out of the potentially dangerous area.

"This; is the first time that the MCDVs have done a lead-through with the US Navy ships," said Edmonton CO Lieutenant-Commander Bob Ramage. "This; lead-through gives the MCDVs the opportunity to improve inter- operability and communications with the US Navy, and will prepare us for the tactical phase of RIMPAC."

Image

US honours Canadian officer: Capt(N) Errol Collinson (Ret) is presented with the US Legion of Merit at a June 20 reception in Norfolk, Virginia, by VAdm Cutler Dawson, commander of the US Second Fleet and NATO's Striking Fleet Atlantic.

Chief of Staff HQ SACLANT VAdm "Dusty;" Miller, on behalf of Chief of the Maritime Staff VAdm Ron Buck, presented Capt(N) and Mrs. Toni Collinson with their naval certificates of appreciation. During his 36-year Navy career, Capt(N) Collinson commanded HMCS Huron and Maritime Operations Group Four. Since 1996, he has been responsible for Allied Command Atlantic Exercises and Training. His Legion of Merit citation reads in part, "The; distinctive accomplishments of Capt(N) Collinson reflect great credit upon himself, the Allied Command Atlantic, the Canadian Navy, and the Government of Canada."

Les É.-U.; rendent hommage à un officier canadien :

Le Capv Errol Collinson (retraité) reçoit; la Légion; du Mérite; des É.-U.; lors d'une réception; organisée; le 20 juin dernier à Norfolk, en Virginie. La décoration; lui a ét;é remise par le Vam Cutler Dawson, commandant de la 2e Flotte des É.-U.; et de la Flotte d'intervention de l'Atlantique de l'OTAN.

Le chef d'état-major; du QG SACLANT, le Vam « Dusty » Miller, au nom du chef d'état-major; des Forces maritimes, le Vam Ron Buck, a présent;é un certificat d'appréciation; de la Marine au Capv Collinson et à Mme Toni Collinson. Au cours de ses 36 années; de service dans la Marine, le Capv Collinson a assuré le commandement du NCSM Huron et du Groupe d'opérations; maritimes 4. Depuis 1996, il était; responsable des exercices et de l'instruction pour le Commandement allié de l'Atlantique. Voici un extrait de la citation de sa Légion; du Mérite; : « Les réalisations; du Capv Collinson lui font honneur ainsi qu'au Commandement allié de l'Atlantique, à la Marine canadienne et au gouvernement canadien. »

L'

Edmonton

en préparation; pour

RIMPAC


par le Ltv Andria Ink

NCSM EDMONTON - Dans le cadre des récentes; préparations; tactiques à l'exercice RIMPAC 2002, le navire de défense; côti;ère; (NDC) Edmonton a guidé les navires américains; USS Tarawa et Rushmore de la Force multinationale à travers une zone près; d'Hawaï, considér;ée; comme étant; minée; pour les besoins de l'exercice.

L'opération; de guidage commence en établis;

sant la communication avec l'unité « précieuse; » à guider dans la zone minée; potentielle. L'unité est alignée; 457 mètres; à l'arrière; du NDC en se servant de communication phonique ou de moyens lumineux.

« Ma tâche; consiste à transmettre des signaux qui déterminent; une vitesse et un parcours précis;, et à s'assurer qu'il [le USS Tarawa] demeure directement derrière; nous », explique le Matelot de 2e classe Sandra Dryden, communicatrice navale. « Les procédures; pour la communication phonique sont lég;èrement; différentes;, mais c'est une excellente expérience.; »

Une fois l'unité précieuse; en position, elle est guidée; hors de la zone de danger potentiel.

« C'est la première; fois que des NDC exécutent; une opération; de guidage avec des navires de la marine américaine; », ajoute le Capitaine de corvette Bob Ramage, commandant de l'Edmonton. « Cette opération; donne l'occasion aux NDC d'améliorer; leur inter-

opérabilit;é et leurs communications avec la marine américaine;, en plus de nous préparer; pour la phase tactique de l'exercice RIMPAC

July 24 juillet 2002



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