Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Image: By / par Charmion Chaplin-ThomasEnglish Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP
Image
Image: LFAA / SAFTCWO (Ret) Gerry Francis, former 2 Royal Canadian Regiment, Regimental Sergeant Major, shared the day with CWO Peter Bailey, parade marshal and 36 Canadian Brigade Group, Regimental Sergeant Major, LFAA.

Le 15 septembre 1940

C'est dimanche, mais point un jour de repos en Grande-Bretagne. Depuis la mijuillet, le Fighter Command de la Royal Air Force combat la Luftwaffe pour le contrôle; de l'espace aérien; britannique, et tout le pays rassemble ses forces pour repousser l'invasion allemande qui pour- rait être; lancée; à tout moment. Le Fighter Command compte 99 pilotes canadiens, dont seulement 28 avec la 1re Escadre de chasse, ARC, basée; à la RAF Station Northolt en banlieue de Londres. Les autres pilotes sont éparpill;és; au sein de 40 escadres de la RAF relevant des 11e et 12e groupes, qui défendent; la région; de Londres. La plupart de ces canadiens pilotent un aéronef; Hawker Hurricane, rapide et puissant, muni de huit mitrailleuses de calibre .303.

Le renseignement de la RAF a l'avantage d'être; muni de matériels; ULTRA; les escadres ont donc une idée; de ce qui les attend. Comme prévu;, Londres subit deux grandes attaques, l'une commence à 11 h, et l'autre, vers 14 h. Près; de 500 aéronefs; allemands, dont des bombardiers et leurs escortes de chasseurs, traversent la côte; britannique en quatre vagues successives : seulement 170 environ atteignent Londres. À chaque attaque, le 11e Groupe réunit; seize escadres, et le 12e Groupe en rassemble cinq. Le bilan de la journée; s'él;ève; à 124 bombardiers et 53 chasseurs détruits;, 72 endommagés; et 41 probablement détruits.; Pertes : 13 pilotes tués; ou portés; disparus, et 25 aéronefs; de la RAF détruits.;

Londres vit une terrible nuit, bombardée; constamment de minuit jusqu'à l'aube. Sans contrôle; au sol ni capacité de coordination, le Fighter Command est presque impuissant contre les attaques de nuit. Un bombardier Heinkel 111 est victime d'un Boulton-Paul Defiant de la 141e Escadre.

Les pilotes de la RAF comprennent qu'ils se battent pour leur vie, et le sort de l'Angleterre. Ce qu'ils ne savent pas alors, c'est qu'ils se battent contre toute la flotte de la Luftwaffe, et qu'ils lui infligent tellement de dommages que le Reichsmarschall Hermann Göring; repensera sa stratégie.; La bataille d'Angleterre se poursuit pendant environ trois autres semaines, mais l'invasion aérienne; est repoussée.;

Des 99 pilotes canadiens participant à la bataille d'Angleterre, 21 y laissent leur vie avant le 31 octobre 1940, et uniquement 57 survivent à la guerre.

L'Adjuc (ret) Gerry Francis, ancien Sergent-major régimentaire;, 2e Bataillon, Royal Canadian Regiment, a passé la journée; en compagnie de l'Adjuc Peter Bailey, maître; des cér;émonies; du défil;é et Sergent-major régimentaire; du 36e Groupe-brigade du Canada, SAFT.

Image: IMPERIAL WAR MUSEUM

Réunion; au bord de l'eau en Nouvelle-Écosse;


par le Capt Colleen Tizzard

La cér;émonie; commémorative; soulignant le 86e anniversaire de la mise sur pied du Bataillon de construction no 2 du Corps expéditionnaire; canadien (1916-1920) s'est tenue le 13 juillet dans le secteur riverain de Pictou (Nouvelle-Écosse;).

La création; de ce bataillon illustre la grande détermination; des Noirs à contribuer, malgré la discrimination à laquelle ils étaient; exposés;, à l'effort de guerre au cours du premier conflit mondial. Ces volontaires faisaient partie d'une unité non combattante basée; à Pictou et à Truro, avant d'être; déploy;ée; en Europe en 1917. Ils ont servi principalement au sein du Corps forestier canadien, dans la région; du Jura en France, où ils ont travaillé dur pour approvisionner le front en bois de construction. Ce bataillon comptait également; parmi ses membres le seul officier commissionné de race noire de toutes les forces britanniques, le rév;érend; Capitaine William A.White.

La reconnaissance de la gén;érosit;é de la famille du Capt White, qui a légu;é ses journaux personnels aux Archives nationales du Canada, a constitué le fait marquant de la journée.; Grâce; à ce don, des gén;érations; de Canadiens auront accès; à des documents personnels qui décrivent; en détail; les expériences; du Capt White au sein de cette unité pendant la guerre.

La cér;émonie; annuelle qui se tient au monument érig;é au bord de l'eau il y a dix ans, sert à commémorer; les services rendus par cette unité.; Les organisateurs de l'év;énement;, des membres de la Black Cultural Society, ont signalé un accroissement de la participation au cours des dix dernières; années.; Cette année;, des membres de la Légion; royale canadienne, de la Force réguli;ère; et de la Réserve; (actifs et à la retraite), de la GRC et du Mouvement des cadets du Canada ont pris part à la cér;émonie;, qui rappelle aux soldats qu'ils ont ét;é préc;éd;és; par des hommes courageux et fiers ayant dû se battre pour le droit de défendre; et de servir le Canada. Le Capt Tizzard est officier d'équit;é en matière; d'emploi pour le SAFT.

1940: Flight Lieutenant Johnny Kent of Winnipeg, Man., flying Hurricanes with No 303 (Polish) Squadron, RAF. F/L Kent single-handedly fought off 40 Messerschmitt in one of the war's most spectacular dogfights, and received the Distinguished Flying Cross on October 25, 1940.

1940 : Le Capitaine d'aviation Johnny Kent de Winnipeg, au Manitoba, pilote des Hurricane avec le 303e Escadron (Polonais) de la RAF. Il résiste; seul à 40 Messerschmitt au cours de l'un des plus spectaculaires combats tournoyants de la guerre, et reçoit; la Croix du service distingué dans l'Aviation le 25 octobre 1940.

September 15, 1940

It is Sunday, but not a day of rest in Great Britain. Since mid-July, Fighter Command of the Royal Air Force has been battling the Luftwaffe for control of British airspace, and the entire nation is braced to repel the German invasion that could start any time. Fighter Command has 99 Canadian pilots, of whom only 28 are serving with No 1 (Fighter) Squadron, RCAF, based at RAF Station Northolt in the suburbs of London. The rest are sprinkled through 40 RAF squadrons in No 11 Group and No 12 Group, which defend the London area. Most Canadian pilots fly the Hawker Hurricane, a fast, powerful aircraft armed with eight .303-calibre machine-guns.

RAF Intelligence has the benefit of ULTRA material, so the squadrons know more or less what to expect. Just as predicted, London takes two major attacks, one beginning at 1100 hours, and the other at about 1400 hours. Close to 500 German aircraft, including bombers and their fighter escorts, cross the British coast in four waves but only about 170 actually reach London. For each attack, No 11 Group puts up 16 squadrons and No 12 Group puts up five, and the day's tally amounts to 124 bombers and 53 fighters destroyed, 72 damaged and 41 probably destroyed. The casualty toll amounts to 13 pilots killed or missing, and 25 RAF aircraft are destroyed.

London has a terrible night, with constant bombing from midnight to dawn. Lacking ground control and co-ordination capability, Fighter Command can do little about night attacks; one Heinkel 111 bomber falls victim to a Boulton-Paul Defiant from No 141 Squadron.

The pilots of the RAF understand that they are fighting for their lives, and the life of Britain. What they do not know is that today, they saw everything the Luftwaffe had to offer, and did so much damage that Reichsmarschall Hermann Göring; will rethink his strategy. The Battle of Britain continues in the air for about three more weeks, but the invasion is off.

Of the 99 Canadian fighter pilots flying in the Battle of Britain, 21 lose their lives before October 31, 1940, and only 57 survive the war.

Celebrating on a Nova Scotia waterfront


By Capt Colleen Tizzard

The Commemoration Ceremony of No. 2 Construction Battalion CEF (1916-1920), celebrating the 86th anniversary of the stand-up of the unit, was held at Pictou, Nova Scotia's waterfront on July 13.

This Battalion reflected the strong determination of black men to contribute to Canada's First World War effort, despite the discrimination they encountered. These volunteers were in a non-combatant unit based in Pictou and Truro, N.S., before deploying to Europe in 1917. They served primarily in the Canadian Forestry Corps, in the Jura region of France, where they laboured to supply much needed lumber for the front. The Battalion also had the only black commissioned officer in the entire British Forces, Reverend Captain William A.White.

The day was highlighted with the recognition of the generosity of the family of Capt White who donated his personal journals to the National Archives of Canada. Thanks to the White family's gift, generations of Canadians will have access to this personal war record describing in detail Capt White's experiences with the unit.

The annual commemoration event at the waterfront monument, which was erected 10 years ago, serves to remind us of the unit's service. Organizers of the event from the Black Cultural Society, spoke of the growing participation over the past 10 years. This year's event enjoyed the participation of members from the Royal Canadian Legion, Regular and Reserve Force both serving and retired, the RCMP and the Canadian Cadet Movement. The commemoration reminds present and future generations of soldiers, that the path for their service was first trod by some courageous and proud men, who had to fight for the right to fight and serve Canada. Capt Tizzard is the Employment Equity Officer for LFAA.


September 11 septembre 2002



44 officiers de la région; de Montréal; visitent Gettysburg


par le Lcol Ian Lafrenière;

Un groupe de 44 officiers de la région; de Montréal; ont effectué une visite aux États-Unis; du 16 au 20 mai dernier, dans le cadre d'un exercice de perfectionnement, en vue d'étudier; un cél;èbre; champ de bataille de la guerre civile américaine;, Gettysburg, en Pennsylvanie, où les Féd;éraux; remportèrent; une victoire décisive; sur les troupes du Gén;éral; Robert E. Lee.

Les organisateurs de la tournée;, le Lcol George Petrolekas et le Capt Vincent Gucciardo du Royal Montreal Regiment (RMR), avaient choisi le thème; de la visite : « Les stratèges; de l'époque; inspirent encore les gén;érations; d'aujourd'hui ».; Ce conflit entre le Nord et le Sud des États-; Unis a provoqué la mort de 620 000 militaires des deux camps, dont 5 600 lors de la bataille de Gettysburg, qui a eu lieu du 30 juin au 3 juillet 1863.

Qu'est-ce que les Canadiens ont à faire avec la guerre civile américaine;? Saviez-vous que, selon les ouvrages historiques, plus de 2 pour cent de la population canadienne de l'époque; a participé au conflit, que 5 000 militaires canadiens sont morts au combat et que 29 Canadiens ont reçu; des médailles; d'honneur?

Plusieurs cél;ébrit;és;, dont Calixa Lavallée;, compositeur de notre hymne national, ont pris part au conflit. Sarah Emma Edmonds, du Nouveau-Brunswick, s'est engagée; en se faisant passer pour un homme sous le nom de Franklin Thompson et a ét;é une espionne pour les forces du Nord. Sans oublier que Montréal; a ét;é la plaque tournante pour les opérations; d'espionnage des Conféd;ér;és; qui opéraient; à partir du St. Lawrence Hall Hotel de la rue St. James.

Dix routes majeures mènent; à Gettysburg, et le contact entre les forces des Conféd;ér;és; (Army of Northern Virginia) et celles de l'Union (Army of the Potomac) était; imminent. Le 1er juillet 1863, vers 7 h 30, une patrouille avancée; affronte les forces de l'Union. Ce qu'on croyait être; une escarmouche avec une milice locale deviendra une bataille historique impliquant plus de 160 000 soldats.

Les chefs des deux armées; étaient; des officiers formés; ensemble à l'Académie; de West Point. Chaque cheval avait besoin de 10 gallons d'eau et d'une livre d'avoine par jour (plus de 5 000 chevaux sont morts dans les combats). Chaque armée; traînait; plus de 300 canons pesant de 800 à 2 600 livres, sans oublier les quelque 55 000 pièces; tirées; de part et d'autre. L'utilisation de la poudre noire réduisait; la visibilité sur le champ de bataille à moins d'un mètre.;

Lors de la troisième; journée; de combats, la stratégie; d'attaque à échelons; a ét;é adoptée.; Pour couvrir 3 048 mètres;, on avait recours à 11 000 hommes épaules; à épaules; en deux lignes.

Dans le cadre de leur tournée; aux États-Unis;, les 44 officiers se sont également; rendus à la Maison-Blanche et à l'ambassade à Washington, et visité les Monuments commémoratifs; de la guerre du Vietnam et de Corée;, ainsi que le Pentagone.

Pour en savoir plus sur Gettysburg, vous pouvez visiter le site Web : www.angelfire.com/pa4/gettysburg/.

Le Lcol Lafrenière; est OAP pour le R22eR.

Image: Le Lcol Garber des Brockville Rifles explique au groupe des officiers le déroulement; du deuxième; jour des combats, sur le champ de bataille de Gettysburg en Pennsylvanie.LCol Garber of the Brockville Rifles, on the battlefield in Gettysburg, Pennsylvania, describes the second day of fighting for the officers.

Montréal; area officers tour the Gettysburg Battlefield


By LCol Ian Lafrenière;

A group of officers from the Montréal; area visited the US as part of a proficiency development exercise, May 16-18, in order to study the famous American Civil War battlefield at Gettysburg, Pennsylvania, where Federal troops won a decisive victory over the army of General Robert E. Lee.

Tour organizers Lieutenant-Colonel George Petrolekas and Captain Vincent Gucciardo of the Royal Montréal; Regiment (RMR) chose "The; strategies of the Civil War era continue to inspire people today," as the theme of the visit. This conflict, which pitted the North against South, led to the deaths of 620 000 military personnel from both sides, including 5 600 during the Battle of Gettysburg, which raged between June 30 and July 3, 1863.

But what connections do Canadians have with the American Civil War? The history books tell us that more than 2 percent of the Canadian population at the time of the war took part in that conflict, that 5 000 Canadian soldiers died on the battlefield, and that 29 Canadians were awarded medals of honour.

Many famous Canadians, including Calixa Lavallée;, the composer of the Canadian national anthem, fought in the war. Sarah Emma Edmonds, a New Brunswicker, managed to sign up by posing as a man named Franklin Thompson and later worked as a spy for the North. And of course, Montréal; served as the staging ground for the Confederate espionage operations based at the St. Lawrence Hall Hotel on St. James Street.

Ten major roads lead to Gettysburg, and contact between the Confederate forces (Army of Northern Virginia) and those of the Union (Army of the Potomac) was inevitable. On July 1, 1863 at roughly 7:30 a.m., an advance patrol collided with the Union forces. What was initially believed to be a skirmish with a local militia group, became a historic battle involving over 160 000 soldiers.

At the head of the two armies were officers who had trained together at West Point Academy. Each horse required a daily ration of 38 litres of water and .5 kilograms of oats (more than 5 000 horses died in the fighting). Each army was equipped with more than 300 cannons weighing between 363 to 1179 kg, and during the battle some 55 000 artillery shells were fired by both sides. The black powder in use at the time reduced visibility on the battlefield to less than one metre.

During the third day of fighting, the leaders adopted the strategy of attacking in waves. Some 11 000 men deployed shoulder to shoulder in two lines, were needed to cover 3 048 metres of ground.

As part of their visit to the US, the officers also visited the White House and the Canadian Embassy in Washington and made stops at the Vietnam and Korean War memorials and the Pentagon.

To learn more about Gettysburg, go to the following Web site: www.angelfire.com/pa4/gettysburg/

LCol Lafrenière; is the PAffO, R22eR.

51 Squadron wins Strathcona Trophy


Le 51

e

Escadron remporte le trophée; Strathcona


Le 51e Escadron des cadets de l'Aviation royale du Canada, situé à Ottawa, a remporté les honneurs ainsi que le trophée; Strathcona lors du 61e Concours de drill annuel de la Ligue des cadets de l'air, tenu à l'Université Laval à Québec;, le 8 juin.

Pour gagner ce prestigieux prix, l'équipe; de drill composée; de 25 membres devait se mesurer aux trois meilleures équipes; du Québec; et de la vallée; de l'Outaouais. La dernière; fois où le 51e Escadron a remporté le trophée; remonte à 1968.

Le concours est divisé en deux volets : une séquence; obligatoire suivie d'une séquence; facultative. La séquence; obligatoire consiste en une série; de mouvements réglementaires; exécut;és; par les équipes; selon les commandements donnés; par leur commandant.

La séquence; facultative est une série; de mouvements réglementaires; silencieux prépar;és; par les membres de l'équipe; de drill afin de mettre en valeur leurs compétences; et leur créativit;é.;

Le Programme des cadets est le programme canadien pour la jeunesse qui reçoit; le plus de fonds du gouvernement du Canada. Il vise à encourager l'épanouissement; chez les jeunes âg;és; de 12 à 18 ans ainsi qu'à leur inculquer les valeurs rattachées; au leadership, à la confiance en soi, à l'autodiscipline, au civisme et à la bonne forme physique.

Le 51e Escadron se rassemble les mardis soirs, de septembre à juin, au Musée; de l'aviation du Canada, à Ottawa. Pour de plus amples renseignements, composez le (613) 742-5151.

The Ottawa based Royal Canadian Air Cadets, 51 Squadron marched off with top honours and the Strathcona Trophy at the 61st Annual Air Cadet League Drill Competition at Laval University, Québec; City on June 8.

To win this prestigious award, the 25-member drill team had to compete against the top three teams from across Quebec and the Ottawa Valley. 51 Squadron last won the Strathcona Trophy in 1968.

The competition is in two sections, a compulsory followed by an optional sequence. The compulsory sequence is a series of set drill movements executed by the teams with commands given by their drill team commander.

The optional sequence is a series of silent drill movements put together by drill team members to showcase their skill and creativity.

The Cadet program is the largest federally sponsored youth program in Canada, whose purpose is to foster development in youth (aged 12 to 18), the values of leadership, self-confidence, self- discipline, active citizenship and physical fitness.

51 Sqn parades every Tuesday evening, from September to June, at the Canada Aviation Museum, Ottawa. For further information please contact (613) 742-5151.

Image: FRANCE HURLEY

Members of 51 Squadron show off their winning parade form.

Les membres du 51e Escadron présentent; leur formation de défil;é gagnante.

September 11 septembre 2002



This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)