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Navy Editor
Ruthanne Urquhart (613) 567-7643
Visit by China's MOD a sign of change
Montréal; en route
to Arabian
Sea region
HMCS Montréal; departed Halifax September 9 to join
the Canadian Naval Task Group (CNTG) deployed in the
Arabian Sea on Operation APOLLO.
The multi-role patrol frigate will serve as the CNTG
command and control ship, with the CNTG Commander
and Staff embarked. Montréal; personnel-about 260 sailors
and aircrew-will conduct Leadership Interdiction
Operations, in search of fleeing Taliban and Al-Qaeda,
and Maritime Interdiction Operations, in search of
oil and other disallowed cargoes being shipped into or
out of Iraq.
Vice-Admiral Ron Buck, Chief of the Maritime Staff,
addressed the ship's company, and families and friends
gathered on the jetty. "This is what you train for," he
said."This is what you excel at." Parliamentary Secretary
to the MND John O'Reilly spoke about CF members'
meaningful contributions in the Afghanistan region, and
wished Montréal; and her sailors and aircrew "Godspeed,
fair winds, and a safe return."
Montréal; is the 11th Canadian warship deployed in
support of the campaign against terrorism. Currently,
the CNTG comprises area air defence destroyer
HMCS Algonquin, multi-role patrol frigate St. John's, and
operational support ship HMCS Protecteur.
By Carmel Ecker
General Chi Haotian is the first Minister of Defence for the
People's Republic of China to visit Canada in nearly 20 years.
Gen Chi and his delegation recently visited CFB Esquimalt,
where they toured HMCS Ottawa and learned about the
Canadian Navy's operations and personnel.
"We work with a multitude of other navies and visit a
great number of countries," said Rear-Admiral Jamie Fraser,
Commander Maritime Forces Pacific. "It is important that
those other navies and countries understand us. Visits to
Esquimalt, whether by land or by ship, provide one of the
best opportunities to provide that knowledge to them."
Gen Chi's visit is part of a growing relationship between
Canada and China, according to Dr. Jim Boutilier, special
advisor (Policy) to the Commander MARPAC."In the Atlantic,"
Dr. Boutilier said, "Canada has had long-standing NATO
relationships, but in the Pacific, it's only been in the past
decade that we have begun to actively engage many Pacific
countries using our Navy as a vehicle."
Over the past 50 years, Japan has become increasingly
important to Canada as it grew economically and politically.
Now that China is also becoming a major political, economic
and military force in Asia, it is in Canada's best interest to forge
diplomatic ties with China. Military ties can be especially important, because China's People's Liberation Army (PLA) plays a
large role in Chinese politics."It gives us access to decisionmakers, which has no real parallel in Canada," Dr. Boutilier said.
The fact that Gen Chi included Canada in a diplomatic tour
is significant, an important indicator of Chinese interest in
Canada.The PLA has begun branching out over the past ten
years, sending ships to countries such as Australia and South
Africa. CFB Esquimalt was part of another historical event in
September 2000, when China's Navy sent two ships there, the
first time Chinese naval ships had ever visited a Canadian port.
That visit was partly a reflection of the success of a MARPAC
visit to Qingdao, China in May 2000. Canadian military officials
and ships have visited China 11 times in the past five years,
while PLA officers have come to Canada eight times.
"When Canadian warships visit ports in Asia," Dr. Boutilier
said, "we make a clear and unambiguous statement about
Canada's resolve to engage the country and/or navy that they
are visiting."
Japan is now Canada's second-largest trading partner. As
relations between Canada and China grow, analysts suggest
China could bump Japan to third, Dr. Boutilier said. But, he
added, trade with China on that scale is about 15 years away.
Ms. Ecker is the editor of Lookout.
Image: CPL COLIN KELLEY, FIS / SIF ESQUIMALT
Gen Chi, Minister of Defence for the People's Republic of China,
greets Esquimalt Base Commander Capt(N) David Kyle, left, as
Commander of MARPAC Fraser looks on.
Le ministre de la Défense; de la République; populaire de Chine, le
Gén; Chi, salue le commandant de la base d'Esquimalt, le Captv David
Kyle, à gauche, sous le regard du commandant des FMAR(P),
le Cam Fraser.
Le NCSM
Montréal; en
route pour
la mer d'Arabie
La visite du ministre de la
Défense; de la Chine : annonciatrice
de temps nouveaux
Le NCSM Montréal; a quitté Halifax le 9 septembre pour se
joindre au Groupe opérationnel; naval du Canada (GONC)
déploy;é dans la mer d'Arabie dans le cadre de l'opération;
Apollo.
La frégate; de patrouille polyvalente jouera le rôle; de
navire de commandement et de contrôle; du GONC, et
elle accueillera à son bord le commandant et l'état-;
major du Groupe naval. L'équipage; du NCSM Montréal; -
environ 260 marins et aviateurs - mènera; des opérations; d'interdiction du leadership pour capturer des
talibans et des membres du réseau; al-Qaïda; en fuite, et
des opérations; d'interdiction maritime pour empêcher;
l'Irak d'importer ou d'exporter du pétrole; et d'autres
produits interdits.
Le Vice-amiral Ron Buck, Chef d'état-major; des Forces
maritimes, s'est adressé aux membres d'équipage;, à leurs
familles et à leurs amis rassemblés; sur le quai. « C'est pour
ce genre de mission que vous vous êtes; entraîn;és; », a-t-il
déclar;é.; « Et c'est dans de telles situations que vous
excellez ».; Pour sa part, le secrétaire; parlementaire du
ministre de la Défense; nationale, M. John O'Reilly, a
souligné l'importante contribution des membres des FC
dans la région; de l'Afghanistan, et il a souhaité « Bonne
chance, bon vent et bon retour » aux marins et aux
aviateurs du Montréal;.
Le Montréal; est le onzième; navire de guerre canadien
déploy;é dans le cadre de la campagne contre le terrorisme.
Actuellement, le GONC se compose du destroyer de
défense; aérienne; de secteur NCSM Algonquin, de la frégate;
de patrouille polyvalente St. John's, et du navire de soutien
opérationnel; NCSM Protecteur.
par Carmel Ecker
Le Gén;éral; Chi Haotian est le premier ministre de la Défense;
de la République; populaire de Chine à visiter le Canada en
près; de 20 ans.
Le Gén; Chi et sa dél;égation; se sont récemment; rendus à
la BFC Esquimalt, où ils ont visité le NCSM Ottawa et ont
appris à connaître; les opérations; et le personnel de la Marine
canadienne.
« Nous travaillons avec une foule d'autres marines et nous
visitons énorm;ément; de pays », a déclar;é le commandant des
Forces maritimes du Pacifique [FMAR(P)], le Contre-amiral Jamie
Fraser. « Il est important que ces marines et pays nous comprennent. Les visites à Esquimalt, par voie terrestre ou navale,
sont une des meilleures occasions de nous faire connaître.; »
La visite du Gén; Chi s'inscrit dans le cadre d'une relation
croissante entre le Canada et la Chine, d'après; le conseiller
spécial; (Politique) du commandant des FMAR(P), Jim Boutilier.
« Dans l'Atlantique, le Canada entretient des relations de
longue date au sein de l'OTAN, mais dans le Pacifique, cela
fait à peine une décennie; que nous avons commencé à rallier
de nombreux pays du Pacifique par l'entremise de notre
Marine », affirme-t-il.
Au cours des 50 dernières; années;, au fur et à mesure de son
développement; économique; et politique, le Japon a acquis une
place de plus en plus importante pour le Canada. Maintenant
que la Chine se transforme aussi en une force politique,
économique; et militaire majeure en Asie, il est dans l'intér;êt;
du Canada de forger avec ce pays des liens diplomatiques. Les
liens militaires peuvent être; particulièrement; importants en
raison du rôle; crucial que l'Armée; de libération; populaire
(ALP) de la Chine joue dans la vie politique chinoise. « Cela
nous donne accès; aux décideurs;, et il n'y a pas vraiment de
parallèle; au Canada », ajoute M. Boutilier.
Le fait que le Gén; Chi a inclus le Canada dans sa tournée;
diplomatique est significatif et constitue un indicateur important de l'intér;êt; porté par la Chine envers le Canada. Au cours
des dix dernières; années;, l'ALP a commencé à étendre; la
sphère; de ses activités; et elle a envoyé des navires vers
des pays comme l'Australie et l'Afrique du Sud. La BFC
Esquimalt a aussi fait partie d'un év;énement; historique
en septembre 2000 lorsqu'elle a accueilli deux navires
de la marine chinoise, les premiers navires militaires à
accoster dans un port canadien. Cette visite traduisait en
partie le succès; de celle des FMAR(P) à Qingdao, en Chine,
en mai 2000. Des représentants; militaires canadiens et des
navires ont visité la Chine à onze reprises au cours des
cinq dernières; années; quant aux représentants; de l'ALP,
ils sont venus huit fois en sol canadien.
« Lorsque des navires de guerre canadiens accostent dans
des ports en Asie, ils manifestent clairement la détermination;
du Canada à rallier le pays ou la marine qui l'accueille », déclare;
M. Boutilier.
Le Japon est actuellement le deuxième; partenaire commercial du Canada. Le resserrement des relations entre le Canada
et la Chine pourrait, selon M. Boutilier, avoir pour conséquence; de le faire passer en troisième; place après; la Chine.
Mais, d'après; lui, il faudra une quinzaine d'années; avant que le
commerce avec la Chine se développe; à ce point.
Mme Ecker est rédactrice; au journal Lookout.
THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;
October 9 octobre 2002
Rédactrice; de la Marine
Ruthanne Urquhart navyeditor@canada.com
Submarine Safety always comes first
By VAdm R.D. Buck
I am writing to you with regard to the
Chris Lambie article of September 28,
which appeard in the Halifax Daily News,
the National Post and the Ottawa Citizen,
wherein Mr. Lambie quotes an unknown
sailor saying that the crew refused to sail
because of safety concerns. Although Mr.
Lambie was informed of this before the
article was written-for the record, no
orders to sail were issued or refused.
It is accurate that UK contract authorities and the British contractor, BAE
Systems, had commenced planning for the
resumption of sea trials including dived
operations, but such planning is always
subject to approval by both Royal Navy
and Canadian Navy Submarine Safety
authorities. In Canada, I as the Commander
of Maritime Command am that authority.
As was explained to Mr. Lambie by
Captain(N) Mike Williamson, the Canadian
Project Manager for acquisition of the
submarines, the process for assessing safety
of the submarines still in British hands is
done both by British and Canadian
authorities.The British process is to ensure
that conditions meet RN safety requirements while the Canadian process ensures
that from our perspective all Canadian
safety requirements are met. In this
case, as the Canadian Submarine Safety
authority, received input from both the
Canadian Submarine Commanding
Officer and Capt(N) Williamson. "I
assessed their input, determined that all
safety parameters relating to the
Submarine Signal Ejector had not been
met, and had UK contract authorities so
informed." As a result, further corrective
and adaptive maintenance will be done,
and will then be similarly assessed.
I fully share the safety concerns of
our men and women who operate highly
complex military systems under demanding and often dangerous operational
conditions, such as our Naval and Air
Forces are currently doing in the North
Arabian Sea. This is even more so for
submarines, as is obvious. I have repeat-
edly said and have demonstrated that we
do not take shortcuts as it relates to
safety, nor will we.
In closing, we have a very effective
process to identify and ultimately resolve
safety issues, and this recent case is an
excellent example, wherein the process
was used and worked well. As a result,
no orders were given that could have put
submariners at undue risk and I suggest
that the headline and the article were
misleading.
Image: ALAN ROWLANDSCanada is in
the process of acquiring four Upholder Class submarines from the Royal Navy. Le
Canada procède; présentement; à l'acquisition de quatre sous-marins
de classe Upholder de la Royal Navy.
La sécurit;é à bord des sous-marins passe avant tout
par le Vam R.D. Buck
Je vous écris; à propos de l'article de
Chris Lambie du 28 septembre dernier
publié dans le Halifax Daily News, le National
Post et le Ottawa Citizen et intitulé
« Oh No We're Not ».; Dans cet article,
M. Lambie cite un marin inconnu qui
affirme que l'équipage; avait refusé de
prendre la mer pour des raisons de sécurit;é.; Il importe de souligner qu'aucun
ordre d'aller en mer n'avait ét;é donné
ou refusé, ce dont M. Lambie avait ét;é
informé avant d'écrire; l'article.
Il est vrai que les responsables du
contrat du Royaume-Uni et que l'entrepreneur britannique, BAE Systems, ont
commencé à planifier la reprise des essais
en mer, y compris des opérations; de
plongée.; De telles activités; de planification nécessitent; toutefois l'approbation
des autorités; responsables de la Royal
Navy et de la sécurit;é sous-marine de la
Marine canadienne. À titre de commandant
du Commandement maritime, c'est moi qui
assume cette responsabilité au Canada.
Comme l'a expliqué le gestionnaire de
projet au Canada pour l'acquisition de
sous-marins, le Capitaine de vaisseau Mike
Williamson, à M. Lambie, même; si les
Britanniques sont toujours en possession
des sous-marins, le processus d'évaluation;
de la sécurit;é est dirigé par des responsables britanniques et canadiens. Le processus britannique exige que l'on réponde;
aux critères; de sécurit;é de la Royal Navy.
De notre côt;é, le processus vise le
respect de toutes les exigences en
matière; de sécurit;é qui nous sont
propres. À titre de responsable de la
sécurit;é des sous-marins canadiens, j'ai
reçu; des commentaires du commandant
des sous-marins du Canada et du Captv
Williamson. « Grâce; à ces échanges;, j'ai
constaté que l'on n'avait pas respecté
tous les paramètres; de sécurit;é en ce qui
a trait à l'éjecteur; de signal sous-marin, et
les responsables du contrat du Royaume-
Uni ont ét;é avisés.; » Par conséquent;,
on procédera; à des travaux d'entretien
correctif et d'adaptation qui feront l'objet
de la même; évaluation.;
Je partage entièrement; les préoccupations; en matière; de sécurit;é des hommes
et des femmes qui font fonctionner des
systèmes; militaires très; complexes dans
des conditions opérationnelles; exigeantes
et parfois dangereuses, comme les
opérations; auxquelles participent en ce
moment nos forces navales et aériennes;
dans le nord de la mer d'Oman. Bien
entendu, ces préoccupations; touchent
tout autant les sous-marins. J'ai affirmé et
démontr;é à plusieurs reprises que nous
ne prenons aucun raccourci en matière;
de sécurit;é, et que nous n'en prendrons
aucun dans l'avenir.
En terminant, nous disposons d'un
processus très; efficace pour cerner et
résoudre; les questions de sécurit;é, et ce
nouveau cas démontre; parfaitement que
le processus a ét;é utilisé avec succès.; Par
conséquent;, aucun ordre ayant pu exposer
les sous-mariniers à un risque injustifié n'a
ét;é donné et je suis d'avis que le titre et
l'article sont trompeurs.
HMCS Protecteur Cable Party member LS Shane
Croney releases a brake, allowing the port anchor
to drop into the water. The weight of the anchor
pulls the chain with it as it bottoms.
Image: Le Mat 1 Shane Croney, membre de
l'équipe; de mouillage du NCSM Protecteur, desserre un frein pour libérer;
l'ancre de bâbord.; L'ancre tombe à l'eau en entraînant; la chaîne;
de mouillage.CPL CHARLES BARBER, COMBAT CAMERA
October 9 octobre 2002
THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;
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