Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Image
Image
Image

By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

October 30, 1899

On the Esplanade in Québec; City, the 2nd Battalion (Special Service Force) of the Royal Canadian Regiment of Infantry is on parade for the last time before departing for South Africa to fight the Boers.The streets are choked with wildly excited civilians, and many men in the contingent are suffering the after-effects of the city's frenzy of hospitality. Lieutenant-Colonel William Dillon Otter, the commanding officer, can hardly wait to get his men aboard the troopship; he strongly disapproves of the state of training and discipline in the battalion, and he wants to start the drill and musketry practice that he thinks will keep them alive in the campaign to come.There is no quick escape, however; Governor General the Earl of Minto is here with Prime Minister Sir Wilfrid Laurier and a long list of dignitaries, including the Minister of Militia and Defence, Dr. Frederick Borden, who had to be carried to bed last night; Lieutenant-General Sir Edward Hutton, the General Officer Commanding the Canadian Militia, who would prefer to command the contingent

himself; and S.N. Parent, the Mayor of Québec;, who is thrilled to host this momentous event. All the dignitaries have speeches to deliver.

Shortly after noon, LCol Otter is finally able to march his battalion down through the steep, narrow streets to the harbour. The troopship is the elderly Allen Line steamer Sardinian, hastily refitted with four miniature shooting ranges, as well as amenities such as latrines, wash houses and canteens. At 4:00 p.m., the embarkation complete, the Governor General boards for a final farewell, and at 4:10 p.m. the Sardinian casts off. Guns boom from the Citadel, every ship in the harbour sounds its whistle, and the cheers from the crowd and the soldiers clambering in the rigging drown out the band of the Royal Canadian Artillery playing "God Save the Queen," on the dock.

The trip to South Africa will not be fun. The Sardinian is 130 metres long and 14 metres wide, and the passenger list includes 978 NCOs and men, 41 officers and seven horses.

Image: November 1899:  
Four Canadian officers pose at the rail of SS Sardinian, outbound from Québec; City to Cape Town, South Africa.Novembre 1899 :  
Quatre officiers canadiens au bastingage du SS Sardinian, qui quitte Québec; pour Le Cap, en Afrique du Sud.

PHOTO FROM CANADA'S SONS ON KOPJE AND VELDT, TORONTO: CANADA'S SONS PUBLISHING, 1900 /

PHOTO PROVENANT DE L'OUVRAGE CANADA'S SONS ON KOPJE AND VELDT, TORONTO:

CANADA'S SONS PUBLISHING, 1900

Le 30 octobre 1899

Le 2e Bataillon (Force d'opérations; spéciales;) du Royal Canadian Regiment of Infantry défile; pour la dernière; fois sur l'Esplanade de Québec; avant de quitter la

ville pour aller se battre contre les Boers. Les rues grouillent de citoyens enthousiastes et de nombreux militaires du contingent ont de la difficulté à se remettre de la fébrilit;é des réceptions; offertes par la ville en leur honneur. Le Lieutenant-colonel William Dillon Otter, commandant du bataillon, a très; hâte; que ses hommes montent à bord du navire de transport des troupes; il déplore; grandement le manque d'entraînement; et de discipline du bataillon et il a l'intention de commencer les drills et les

exercices de mousqueterie qui permettront à ses hommes de rester en vie au cours de la future campagne.Toutefois, il doit prendre son mal en patience; il y a là le gouverneur gén;éral;, le comte de Minto, le premier ministre du Canada, Sir Wilfrid Laurier, et un grand nombre de dignitaires dont le ministre de la Milice et de la Défense;, M. Frederick Borden, qui a dû être; transporté dans son lit le soir préc;édent;, le Lieutenant-gén;éral; Sir Edward Hutton, officier gén;éral; commandant la Milice canadienne qui préf;érerait; commander le contingent lui-même; et

S.N. Parent, maire de Québec; qui est ravi d'être; l'hôte; de cette cér;émonie; mémorable.Tous; les dignitaires ont des discours à prononcer.

Peu après; midi, le Lcol Otter peut enfin mener son bataillon au pas de marche dans les rues étroites; et escarpées; de la ville jusqu'au port. Le transport des troupes est assuré par le Sardinian, vieux vapeur de la compagnie Allen qui a fait l'objet de travaux de réam;énagement; rapides et sur lequel on a installé quatre champs de tir miniatures, des latrines, des buanderies et des cantines. À 16 h, l'embarquement est terminé et le gouverneur gén;éral; monte à bord pour faire ses adieux. À 16 h 10, le Sardinian largue les amarres. Les canons de la Citadelle tonnent et tous les navires qui se trouvent dans le port donnent des coups de sifflet. Les acclamations de la foule et des soldats hissés; dans les cordages enterrent la musique du Royal Canadian Artillery qui joue le « God Save the Queen » sur le quai.

Le voyage vers l'Afrique du Sud ne sera pas une partie de plaisir. Le Sardinian fait 130 mètres; de long sur 14 mètres; de large. Il y a à bord 978 sous-officiers et hommes du rang, 41 officiers et 7 chevaux.

Mapping and Charting Establishment


By Scott Costen

Soldiers, sailors and air personnel throughout the CF are supported by the Mapping and Charting Establishment, one of the military's "unsung heroes."

"We are a DCDS unit that provides geomatics products and services to the CF that are not otherwise available due to uniqueness, security or urgency," says Chief Warrant Officer Pat Armstrong, MCE Regimental Sergeant-Major."We are very much in demand."

MCE comprises 210 personnel and has its headquarters, production facility, map depot and trade school in Ottawa. It also controls hydrographics services offices on both coasts.

Geomatics Technician (142) is a remuster trade that attracts members from a variety of backgrounds. The training for new technicians is intensive and lengthy; the entry-level QL4 lasts six months.

"People who come to MCE are motivated by the variety of work and the challenging nature of the work," says CWO Armstrong. "We expect them to be dedicated, skilled and analytical in their approach. We are an engineer unit, looking for people with a background in surveying, remote sensing imagery or geographic information systems."

In one form or another, geomatics technicians and officers are involved in all CF operations performing functions related to surveying, charting and mapping. During the Manitoba floods, MCE members provided regular graphic updates using remotelysensed imagery. The information they provided indicated the extent and nature of the flooding.

MCE personnel are also active overseas. Geomatics Support

Teams regularly deploy to operational theatres, where they provide terrain studies and terrain visualization- essential elements when commanders plan operations and exercises.  
As it approaches an important milestone in its history, MCE members are proud of their accomplishments.

"Next year we will celebrate the 100th anniversary of the military mapping presence in Canada," says CWO Armstrong, who has been a GEOM TECH since 1973. "I look at all the contributions we have made in that time and I'm very proud."

Image

Le Service de cartographie


par Scott Costen

Dans l'ombre des soldats, des marins et du personnel aérien; des FC oeuvre le Service de cartographie, qui fait figure de héros; méconnu.;

« Nous sommes une unité relevant du Sous-chef d'état-major; de la Défense; qui fournit des produits et services de géomatique; aux FC, lesquels ne seraient pas disponibles pour des raisons de spécificit;é, de sécurit;é ou d'urgence », précise; l'Adjudant-chef Pat Armstrong, sergent-major régimentaire; du Service de cartographie. « Nos services sont en grande demande », poursuit-il.

Le Service de cartographie (S Carto), qui comprend un effectif de 210 personnes, a son quartier gén;éral;, son installation de production et son dép;ôt; de cartes, ainsi que son école; à Ottawa. Le Service contrôle; également; les bureaux de services hydrographiques sur les côtes; de l'Atlantique et du Pacifique.

Le métier; de reclassement de technicien géomatique; (142) attire des membres ayant des antéc;édents; variés.; La formation des nouveaux techniciens est à la fois longue et exhaustive; il faut six mois pour atteindre le niveau de qualification 4, considér;é comme le niveau d'entrée.;

« Les gens qui aboutissent au S Carto sont motivés; par la diversité des tâches; et par la nature stimulante du travail », indique l'Adjuc Armstrong. « Nous nous attendons à ce qu'ils soient dévou;és;, compétents; et qu'ils suivent un cheminement analytique. Nous sommes une unité du génie; à la recherche de gens ayant des compétences; en arpentage, en tél;éd;étection; ou en systèmes; d'information géographique.; »

Les techniciens et les officiers de géomatique; participent à tout un éventail; d'opérations; des FC ayant trait à l'arpentage et à la cartographie. Pendant les inondations qui ont frappé le Manitoba, les membres du Service de cartographie ont réguli;èrement; fourni des images graphiques actualisées; grâce; à la tél;éd;étection.; L'information qu'ils transmettaient permettait de déterminer; l'étendue; et la nature des inondations.

Les membres faisant partie de ce Service sont aussi déploy;és; à l'étranger.; Des équipes; de soutien en géomatique; sont réguli;èrement; dép;êch;ées; sur des théâtres; d'opérations; où elles fournissent des analyses de terrain et des représentations; visuelles des lieux, qui revêtent; une importance primordiale aux yeux des commandants qui planifient des opérations; et des exercices.

À l'approche d'un jalon important dans leur histoire, les membres du S Carto sont fiers de leurs réalisations.;

« L'an prochain, nous cél;ébrerons; le 100e anniversaire de la présence; du Service de cartographie militaire au Canada », précise; l'Adjuc Armstrong, qui est technicien en géomatique; depuis 1973. « Lorsque je regarde la contribution que nous avons apportée; depuis les débuts;, une grande fierté m'envahit. »


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

October 23 octobre 2002



The University of  
Calgary: A world centre for science fiction


Image: PHOTOS: UNIVERSITY OF CALGARY / UNIVERSITÉ DE CALGARYBob Gibson

By Salim Karam

A man who spent decades collecting science fiction books and magazines that ultimately enriched the library at the University of Calgary, making it one of the leading research centres in this field in the world. William Robert (Bob) Gibson, a Canadian war veteran, assembled some 30 000 to 40 000 publications that his family bequeathed to the University of Calgary following his death last January at the age of 92.

Mr. Gibson was passionate about science fiction: that is the very least one can say! His impressive collection, which, unlike some sci-fi material, is physically real, spans the years between Jules Verne, who wrote in the 19th century, and the 21st, the era of Cyberpunk. "There isn't a thing here that isn't of interest," affirms Dr. Janis Svilpis, an English professor who teaches a science fiction course at the university."It's a priceless gift," adds Blane Hogue, Director of Development, University of Calgary Library.

In fact, some of these works (the Herculean task of unpacking the collection has begun) are valued in the hundreds of dollars, others in the thousands. It is not hard to fathom the reason why; some of the books are merely rare, while others cannot be purchased for any amount of money.

Consequently, the Gibson Collection (that is its formal title) has quickly become an essential reference tool for science fiction researchers.To offer a comparison, the Merril Collection at the Toronto Public Library contains some 57 000 works, the Eaton Collection at the University of California in Riverside has 65 000. Michigan State University (12 000), which ranks among the twenty leading collection holders, lags far behind.

It will take at least a year, however, before the Gibson Collection is made available to the public; this will depend on the funding allocated to it. In any case, due to the library's obvious preoccupation with preserving publications that have become fragile with time, all works will have to be consulted on site. Paper, in fact, does not age very well.

Moreover, every precaution has been taken to ensure that the collection is in good condition, such as free of mould and insects. The final diagnosis is positive, which does not preclude the students receiving the packages from wearing masks and gloves and cleaning every item with a special vacuum cleaner.

Born in 1908 on a farm in Springbank, Alta., Mr. Gibson served in an artillery unit in Great Britain and Italy during the Second World War (1939-1945).

L'Université de Calgary, centre mondial sur la science-fiction grâce; à un ancien combattant


par Salim Karam

Avoir passé des dizaines d'années; à collectionner des ouvrages et des revues de science-fiction, qui viendront finalement enrichir la bibliothèque; de l'Université de Calgary, la propulsant, du coup, dans le groupe de tête; des principaux centres de recherche en la matière; dans le monde : C'est là une tranche de vie d'un ancien combattant canadien,William Robert (Bob) Gibson, qui a assemblé 30 000 à 40 000 publications, que sa famille a légu;ées; à l'Université de Calgary après; sa mort en janvier dernier à l'âge; de 92 ans.

Bob Gibson était; un passionné de science-fiction : c'est le moins qu'on puisse dire! Son impressionnante collection qui, elle, est une réalit;é bien tangible, s'étend; de Jules Verne, au XIXe siècle;, à Cyberpunk, au XXIe. « Rien, ici, n'est dénu;é d'intér;êt; », assure le Dr Janis Svilpis, professeur d'anglais, qui donne un cours de science-fiction à l'Université.; « C'est un cadeau inestimable », renchérit; le directeur de développement; de la librairie de l'Université, Blane Hogue.

Tant et si bien que certains ouvrages (leur dépaquetage;, une tâche; titanesque, est en cours) valent des centaines de dollars, d'autres des milliers. L'explication n'est pas compliquée; les uns sont rarissimes, les autres, carrément; introuvables.

La Collection Gibson, puisqu'il faut l'appeler ainsi, est donc rapidement devenue l'une des réf;érences; essentielles pour les

recherches en science-fiction. À titre de comparaison, la Collection Merril à la Librairie publique de Toronto compte 57 000 ouvrages, la Collection Eaton de l'Université de Californie à Riverside,

65 000. Loin derrière;, vient la Michigan State University (12 000), qui se place parmi les 20 premières; détentrices; de collections.

Mais il faudrait plus ou moins un an pour que la Collection Gibson soit accessible au public, cela dépendra; des allocations financières; qui lui seront consacrées.; En tout cas, tout devrait être; consulté sur place, le souci étant; évident; de préserver; des publications devenues fragiles avec le temps. Le papier, en effet, vieillit mal.

En plus, toutes les précautions; ont ét;é prises pour s'assurer que la collection est en bonne condition, c'est-à-dire; sans moisissure et autre insecte. Le diagnostic fut positif, ce qui n'empêche; que les étudiants; chargés; de réceptionner; les paquets portent des masques et des gants et nettoient chaque exemplaire à l'aide d'un aspirateur spécial.;

Né en 1908 dans une famille rurale de Springbank, en Alberta, Bob Gibson a servi dans une unité d'artillerie durant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), en Grande- Bretagne et en Italie.

Image

October 23 octobre 2002


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

15


This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)