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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

Image: January 1944: HMCS New Glasgow photographed in Bermuda during work-ups.Janvier 1944 : Le NCSM New Glasgow photographié aux Bermudes pendant un exercice.RCN / MRC

20 mars 1945

Dans le canal du Nord, au large du Lough Foyle (estuaire d'Irlande), le NCSM New Glasgow (capitaine de corvette R.M. Hanbury) et les trois autres frégates; de classe River du 26e Groupe d'escorte se dirigent vers la haute mer après; avoir quitté Londonderry. À 22 h 50, un puissant bruit de moteur se fait entendre, et à bord du New Glasgow, le guetteur de la passerelle bâbord; annonce : « Avion à basse altitude en vue! » Tandis que tout le monde a les yeux tournés; vers le ciel, le guetteur s'aperçoit; que le bruit provient en fait de la surface de la mer. Alors il crie : « Objet à l'eau! Très; proche! » Malgré un voile de fumée; jaune, le capc Hanbury peut tout juste distinguer l'objet en question dans le clair de lune. Il s'agit du périscope; et du schnorkel du sous-marin allemand U-1003 (Oberleutnant zur See Werner Strübing;), à environ 70 mètres; sur bâbord; avant, qui se dirige droit sur le New Glasgow. Le capc Hanbury ordonne un tir de grenades sous-marines à faible profondeur, mais sans résultat.; Le U-1003 entre en collision avec le New Glasgow, le touchant en plein milieu, juste en-dessous de la passerelle.

Sous l'impact, le U-1003 dévie; d'environ 30 degrés; et poursuit sa route, hors de contrôle.; Tandis que l'Oblt Strübing; ordonne à l'équipage; de couper les moteurs, le chef mécanicien; ordonne : « En avant toute, sur les moteurs électriques.; » Finalement, le U-1003 s'écrase; sur le fond de la mer, à une profondeur de 60 mètres.; L'Oblt Strübing; maintien le sous-marin

immobile, car les signaux Asdic qu'il reçoit; indiquent que le New Glasgow et les autres navires du 26e Groupe d'escorte sont dangereusement proches. Une fois que les navires qui sont à sa recherche se sont éloign;és;, il se met lentement en route vers l'ouest. Sans le schnorkel, la qualité de l'air à bord du sous-marin se dét;ériore; rapidement, et à l'aube du 22 mars, le U-1003 doit faire surface. La collision et les grenades sous-marines l'ont gravement endommagé, et les forts signaux radar indiquent que les navires du 26e Groupe d'escorte sont à sa poursuite. Par conséquent;, l'Oblt Strübing; décide; de saborder le sous-marin. Le U-1003 devient ainsi le dernier gros bâtiment; de guerre à être; coulé par la Marine royale du Canada.

Le 23 mars, le NCSM Thetford Mines croise à 26 km au nord-ouest d'Innistrahull lorsque ses guetteurs aperçoivent; un groupe de canots de sauvetage de couleur jaune. À bord se trouvent les 33 survivants du U-1003. L'Oblt Strübing; fait partie des 16 hommes qui sont morts d'hypothermie pendant la nuit.

March 20, 1945

In the Northern Channel off Lough Foyle, Ireland, HMCS New Glasgow (Lieutenant-Commander R.M. Hanbury) and three other River-class frigates of Escort Group 26 are outward bound from Londonderry. At 10:50 p.m., as a loud engine noise is heard, the port bridge lookout aboard New Glasgow reports, "Low-flying; aircraft approaching!" As everyone peers at the sky, the lookout realizes that the noise is actually coming from sea level. "Object; in the water! Very close!" he yells. Despite a pall of yellow smoke, LCdr Hanbury can just see the object in the moonlight: it is the periscope and schnorkel of the German submarine U-1003 (Oberleutnant zur See Werner Strübing;), about 70 metres forward of the port bow and closing on a collision course. LCdr Hanbury orders a shallow pattern of depth charges, but to no avail; U-1003 strikes New Glasgow square amidships, just below the bridge.

The impact pushes U-1003 about 30 degrees out of control. As Oblt Strübing; orders all engines cut, the Chief Engineer orders full ahead on the electric motors; consequently, U-1003 slams into the sea bottom at a depth of 60 metres. Oblt Strübing; keeps the boat still as asdic signals pinging off the casing, indicate that New Glasgow and the other ships of EG 26 are dangerously close; when the hunt drifts away, he starts creeping west. Without the schnorkel, the inboard air fouls quickly and at dawn on March 22, U-1003 has to surface. The collision and the depth charges have damaged U-1003 severely, and strong radar search signals indicate that the ships of EG 26 are in hot pursuit, so Oblt Strübing; decides to scuttle her. U-1003 thus becomes the last major warship to be sunk by the Royal Canadian Navy.

On March 23, HMCS Thetford Mines is 26 km northwest of Innistrahull when her lookouts spot a cluster of yellow life rafts. They contain the 33 survivors of U-1003. Oblt Strübing; is among the 16 men who died of hypothermia during the night.

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Groupe de patrouilles des Rangers canadiens


par Scott Costen

En tant que première; ligne de défense; dans un environnement difficile et éloign;é, les membres du 1er Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (1 GPRC) sont fiers de porter leurs sweatshirts rouges distinctifs.

« Ils sont très; fiers du travail qu'ils font », a déclar;é le major Yves Laroche, commandant du 1 GPRC. « Leur dévouement; est absolu puisqu'ils croient en leur pays. Ils adorent le Canada. »

Le quartier gén;éral; du 1 GPRC emploie environ 30 membres de la Force réguli;ère; à Yellowknife (T.N.-O.), et soutient les quelque 1 400 Rangers canadiens des 59 patrouilles situées; au Yukon, dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut.

Les Rangers canadiens du 1 GPRC ont des rôles; clairement définis; à jouer dans leurs communautés; et dans le Nord. « Ils assurent une présence; qui est essentielle à la souveraineté canadienne », a précis;é le maj Laroche. « Ils sont également; des leaders au sein de leurs collectivités.; »

Armés; de fusils Lee Enfield no 4, les Rangers canadiens acquièrent; des compétences; telles que la procédure; d'alerte, les premiers soins, la sécurit;é sur les lieux d'écrasements; et les communications. Leur entraînement; est assuré par des instructeurs de la Force réguli;ère; au moins une fois par année;, et ils effectuent réguli;èrement; des patrouilles de souveraineté.;

« Nous faisons réguli;èrement; des patrouilles sur les sites sans personnel de l'ancien réseau; d'alerte avancé (DEW) », a indiqué le maj Laroche. « Je leur demande de connaître; la zone située; dans un rayon de 300 km de leur zone de responsabilité et de signaler toute activité suspecte. »

Outre leur contribution aux opérations; de souveraineté dans le Nord, les Rangers canadiens du 1 GPRC participent à l'entraînement; par temps froid de membres de la Force réguli;ère; en visite en leur donnant des conseils sur le territoire et en jouant le rôle; de guide ou d'interprète.;

« Ces activités; conjointes favorisent d'excellents échanges; culturels », a affirmé le maj Laroche. « Grâce; à ce partage de connaissances et de compétences;, nous finissons par avoir de meilleurs soldats et de meilleurs Rangers. »

Ayant passé plusieurs années; dans le Nord, dont deux comme commandant du 1 GPRC, le maj Laroche croit que les Rangers canadiens méritent; plus de reconnaissance. « Selon moi, les Rangers constituent la meilleure option pour les FC dans le Nord. Ils font de l'excellent travail, et ils sont fiers de l'exécuter; », a-t-il confié.;

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1 Canadian Ranger Patrol Group


By Scott Costen

As the first line of defence in a harsh and remote environment, members of 1 Canadian Ranger Patrol Group (1 CRRG) wear their distinctive red sweatshirts with pride.

"They; are very proud of what they do," says Major Yves Laroche, 1 CRPG commanding officer. "They; are totally committed because they believe in the country. They love Canada."

1 CRPG headquarters employs about 30 Regular Force members in Yellowknife (N.W.T.) and supports 1400 Canadian Rangers from 59 patrols located in the Yukon, Northwest Territories and Nunavut.

The Canadian Rangers in 1 CRPG have clearly defined roles in their communities and across the North. "They; provide a presence here that is crucial to Canadian sovereignty," says Maj Laroche. "They; are also leaders in their communities."

Equipped with No. 4 Lee Enfield Rifles, Canadian Rangers are taught skills such as warning procedure, first aid, crash site security and communications. They receive training from Regular Force instructors at least once a year and conduct sovereignty patrols on a regular basis.

"We; conduct regular patrols of the unmanned sites on the former DEW (Distant Early Warning) line," says Maj Laroche. "I; ask them to know 300 km around their area of responsibility and to report any unusual activity."

In addition to their contribution to sovereignty operations in the North, Rangers in 1 CRPG assist the cold weather training of visiting Regular Force soldiers by providing advice about the land and acting as guides or interpreters.

"It;'s an outstanding cultural exchange when that happens," says Maj Laroche. "We; end up with better soldiers and better Rangers as a result of shared skills and knowledge."

Having spent several years in the North, including two as 1 CRPG CO, Maj Laroche believes Canadian Rangers deserve more recognition. "I; think the Rangers provide the best option in the CF for the North," he says. "They; are doing a great job and are proud to do it."

To suggest a unit portrait, call Scott Costen at (613) 996-9283. Pour suggérer; un portrait d'unité, communiquez avec Scott Costen au (613) 996-9283.



Vol. 5 No. 10 * 2002



Les réservistes; fournissent un précieux; soutien au marathon de ski


Image: Les sgt Kelly Cotton et Tom Campbell, du 763e R Comm (Ottawa), examinent les positions des détachements; radio au cours de l'édition; 2002 du Marathon canadien de ski.Sgt Kelly Cotton and Sgt Tom Campbell of 763 Comm Regt (Ottawa) review radio detachment locations during the 2002 Canadian Ski Marathon.

Texte et photo par le capt Joseph Frey

Le 36e Marathon canadien de ski, tenu les 9 et 10 février;, consistait en une collecte de fonds pour le Comité paralympique du Canada et offrait aux militaires du 763e Régiment; des communications (763 R Comm) une occasion de s'entraîner.;

Serpentant sur 160 km dans les collines onduleuses de Gatineau, dans l'ouest du Québec;, la piste est composée; de sections dont le niveau de difficulté est variable pour les 1 940 skieurs prenant part au Marathon canadien de ski.

« On m'a dit que le paysage de la région; de Gatineau ressemble beaucoup à celui de la Bosnie », signale le capitaine Jason Offiong, officier des opérations; du 763 R Comm. « Le Marathon canadien de ski permet donc au personnel du 763e Régiment; de s'entraîner; à établir; des réseaux; de communication tactique sur de longues distances, dans un environnement réel; caractéris;é par un relief accidenté qui peut brouiller les transmissions radio. Étant; donné que plusieurs membres du 763e Régiment; ont servi en Bosnie et que d'autres ont l'intention de suivre leurs traces, cet év;énement; nous permet de profiter d'un entraînement; supplémentaire; inestimable qui ne nous serait pas offert en temps normal. »

Suite à une demande de volontaires, près; de 80 membres du 763 R Comm ont prêt;é main forte directement ou en coulisses.Ils ont pris en charge des postes de contrôle; situés; tous les 16 km le long de la piste. Ces postes étaient; placés; entre les postes de contrôle; officiels, de façon; que les skieurs ne soient jamais à plus de 8 km d'un point de secours.

Les réservistes; avaient pour tâche; de signaler toute blessure survenue pendant le parcours. Cette année;, on a fait état; d'un plus grand nombre de blessures comparativement aux années; préc;édentes;, possiblement en raison de la neige glacée.; Pour éviter; que les skieurs ne se déshydratent;, les militaires du 763 R Comm de chaque point de contrôle; avaient de l'eau tiède; et faisaient une rapide inspection visuelle pour vérifier; que personne ne souffrait d'engelures. Des tentes pouvant accommoder cinq personnes ont également; ét;é montées; pour les skieurs désireux; de se réchauffer;, de se reposer ou pour les skieurs blessés; en attente d'évacuation.;

En remerciement du soutien apporté par les réservistes; de la région; d'Ottawa-Hull, les organisateurs du Marathon canadien de ski ont remis au 763 R Comm le prix de « l'Organisme bén;évole; de l'année; ».;

« Le 763e Régiment; rend un service bien réel; au marathon », explique Ken Trudel, directeur de la sécurit;é de cet év;énement.; « En assurant les services de communication, ils remplissent une tâche; cruciale consistant à nous informer lorsque des skieurs sont blessés;, ce qui permet aux équipes; d'intervention de répondre; rapidement et par le fait même; de réduire; au minimum les problèmes; comme l'hypothermie et l'état; de choc. Ils remplissent un rôle; crucial. » Le capt Frey est OAP du 70e Groupe des communications.

Reservists provide vital support to ski marathon


Text and photo by Capt Joseph Frey

The 36th annual marathon held Feb 9-10, was a fundraiser for the Canadian Paralympic Committee and a training opportunity for members of 763 Communication Regiment.

Meandering 160 km through the rolling Gatineau hills in western Quebec, the trail provided a mix of easy and difficult sections, for the 1 940 skiers of the Canadian Ski Marathon.

"I;'ve been told that the terrain here in the Gatineau region is very similar to what is found in Bosnia," said Captain Jason Offiong, operations officer for 763 Comm Regt. "So;, the (Canadian Ski Marathon) provided 763 personnel with realistic training in setting up tactical communication networks over great distances in hilly topography, that normally interferes with radio transmissions. Since several members of 763 have served in Bosnia and, with others planning to do so, this is invaluable training that we would normally not get."

Responding to the call to volunteer, near- ly 80 members of 763 Comm Regt assisted directly or behind the scenes. They manned checkpoints every 16 km along the trail; these were placed between official marathon checkpoints so that a skier would never be more than 8 km from assistance.

The Reservists were responsible for reporting injuries that occurred on the trail. This year the number of injuries to skiers was higher than normal due to fast and icy snow conditions. To prevent dehydration, 763 Comm Regt members provided warm water to the skiers and gave quick visual inspections for frostbite at each checkpoint. They also provided five-man tents to warm up cold or tired skiers and to provide shelter to injured skiers until they could be evacuated.

In appreciation for the support provided by the Ottawa-Hull area reservists, 763 Comm Regt was presented with the "Volunteer; Organization of the Year" award by the Canadian Ski Marathon.

"763; provides a very real service to the (marathon)," said Ken Trudel, Canadian Ski Marathon Director of Safety. "They; carry out a critical task by providing communications on injured skiers, allowing safety teams to respond quickly and thus minimizing problems like hypothermia and shock. Their role is a truly vital one." Capt Frey is the 70 Communications Group PAffO.

Olympic gold part of CF heritage


L'or pour les Forces canadiennes


By Capt Paul Doucette

8 WING TRENTON - With the Canadian men's Olympic hockey team bringing home a gold medal, its members are now part of an exclusive group that some members of the Royal Canadian Air Force (RCAF) have been a part of for 54 years. The RCAF Flyers won gold for Canada at the 1948 Winter Olympics in St.Moritz, Switzerland.

Since their win in 1948, the Flyers have been formally recognized on numerous occasions. Most recently, their gold medal win was selected as the "Greatest; Moment in Canadian Forces Sports History".;

Prior to the 2002 Olympic Winter Games, the only other Canadian hockey team to win an Olympic gold medal since the Flyers was the Edmonton Mercurys, representing Canada at the 1952 Winter Olympics in Oslo, Norway.

The events leading up to the Flyers winning gold in 1948 were not without uncertainty. Unlike the 2002 Olympic Winter Games, there was very little hype surrounding Canada's hockey team and, just prior to the St. Moritz Winter Olympics, the player selection for the RCAF Flyers hockey team was continually being adjusted. Because of this, many observers did not believe the Flyers could perform at the high caliber necessary at the Olympic Games. However, after their victory in game one, they clearly established themselves as a hockey team in contention for a medal.

The Flyers finished the round robin with an impressive seven wins and one tie, which placed Canada in a tie for first place with Czechoslovakia. Because of the tie, the gold medal would be awarded to the team with the highest goals for and against average. Incredible goaltending from the Flyers' Murray Dowey during the round robin (five shut-out games and only five goals scored against) helped to boost their average well above that of Czechoslovakia, thereby securing the gold medal for Canada.

Capt Doucette is the 8 Wing PAffO.

par le capt Paul Doucette

8e ESCADRE TRENTON - L'équipe; de hockey masculine qui a représent;é le Canada aux Olympiques a rejoint les Flyers de l'Aviation royale du Canada (ARC) qui, depuis 54 ans, font partie du prestigieux club des joueurs ayant remporté une médaille; d'or olympique au hockey. En fait, les Flyers avaient décroch;é l'or pour le Canada aux Jeux olympiques d'hiver de 1948 à Saint-Moritz, en Suisse.

Depuis leur victoire en 1948, les Flyers ont reçu; de nombreux honneurs, le plus récent; étant; leur intronisation au Temple de la renommée; des sports des FC pour avoir remporté la médaille; d'or olympique.

Avant les Jeux olympiques d'hiver de 2002, la seule autre équipe; de hockey canadienne à remporter une médaille; d'or était; les Mercurys d'Edmonton, qui ont représent;é le Canada aux Olympiques d'hiver de 1952 à Oslo, en Norvège.;

La victoire des Flyers en 1948 a ét;é remportée; dans un climat plutôt; incertain. Contrairement aux Jeux olympiques d'hiver de 2002, il y avait peu de battage publicitaire autour de l'équipe; de hockey canadienne, et jusqu'à ce que les joueurs canadiens mettent pied sur la patinoire à Saint-Moritz, on modifiait sans arrêt; leur formation. Pour ces raisons, bon nombre d'observateurs ne croyaient pas que les Flyers seraient en mesure de donner une performance de calibre comme l'exige les Olympiques. Cependant, après; la victoire du premier match, ils ont clairement montré qu'ils avaient l'étoffe; des médaill;és; d'or.

Les Flyers ont terminé le tournoi à la ronde avec une fiche impressionnante de sept victoires et un match nul, ce qui plaçait; le Canada à égalit;é avec la Tchécoslovaquie; pour la première; place. Dans ces circonstances, la médaille; d'or serait décern;ée; à l'équipe; détenant; la plus haute moyenne des

buts comptés; et des buts alloués.; Les prouesses incroyables du gardien des Flyers, Murray Dowey, pendant le tournoi à la ronde (cinq blanchissages et seulement cinq buts alloués;) ont contribué à remonter la moyenne du Canada bien au-dessus de celle de la Tchécoslovaquie;, ce qui a permis au Canada de remporter la médaille; d'or. Le capt Doucette est OAP de la 8e Escadre.

Image: 4 WING TRENTON ARCHIVES / ARCHIVES DE LA 4e ESCADRE TRENTON

The 1948 RCAF Flyers, Olympic gold medallists.

Les Flyers de l'ARC en 1948, médaill;és; d'or olympique.

Vol. 5 No. 10 * 2002




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VICTORIA-CLASS


VICTORIA-CLASS


SOUS-MARIN


SUBMARINE


SOUS-MARIN


SUBMARINE


DE CLASSE VICTORIA


DE CLASSE VICTORIA


Specifications


Fiche technique


Type:  
Complement:

Length:

Beam:  
Draught:  
Displacement:

Speed:  
Diving depth: Patrol endurance:

Engines:

Sensors & Periscopes:

Armament:  
Countermeasures:

Status:


Long-range Diesel-electric Patrol Submarine 48 crewmembers; 5 trainees  
70.26 m  
7.6 m  
5.5 m 2 185 tons surfaced; 2 400 tons submerged 12 kts surfaced; 20 kts submerged  
200 m  
8 weeks 2 Paxman Valenta 16-cylinder diesels driving 2 G.E.C. Alsthom 2 500-kw generators supplying a main battery powering a single 5 400 shp electric motor turning a single propeller Active and Passive Acoustic Sensors; Sperry Type 1007 Radar; Condor SEASEARCH II Electronic Sensors Measures; Barr & Stroud CK35/CH85 Periscopes  
Heavyweight MK48 torpedoes;

Acoustic/Bubble Decoys 2 undergoing Canadianization in Halifax; 2 in Barrow-in-Furness, UK

Type : Équipage; :  
Longueur :

Largeur :  
Tirant d'eau : Déplacement; :

Vitesse :  
Profondeur de la plongée; :

Autonomie de patrouille :

Moteurs :

Sondes et périscopes; :

Armement :  
Contremesures :

Statut :

Sous-marin de patrouille diesel-électrique; à long rayon d'action 48 membres d'équipage; 5 stagiaires  
70,26 m  
7,6 m  
5,5 m 2 185 tonnes en surface; 2 400 tonnes en plongée; 12 kt en surface; 20 kt en plongée;  
200 m  
8 semaines 2 moteurs diesel de 16 cylindres Paxman Valenta, entraînant; 2 gén;ératrices; de 2 500 kW G.E.C. Alsthom alimentant par batteries un moteur électrique; de 5 400 shp entraînant; une hélice; Sondes acoustiques actives et passives; radar Sperry de type 1007; mesures de soutien électronique; Condor SEASEARCH II; périscopes; Barr & Stroud CK35/CH85  
Torpilles lourdes MK48  
Leurres acoustiques et à bulles 2 en cours de canadianisation à Halifax; 2 à Barrow-in-Furness, G.-B.

Read more about the Victoria-class submarine in the next issue of

The Maple Leaf

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Plus d'information sur le sous-marin de classe Victoria dans la prochaine édition; de

La Feuille d'érable;

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Vol. 5 No. 10 * 2002


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