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Navy Editor  
Ruthanne Urquhart (613) 567-7643


Female submariner a Canadian first


By Lt(N) Walter Moniz

She is no different than any other sailor, and that's just the way she likes it.Yet 34-year-old Lieutenant(N) Karen Elizabeth O'Connell made history when she became the first female to apply for and be accepted into the Canadian Basic Submarine Qualification (BSQ) course.

Born and raised in St. John's, Nfld., Lt(N) O'Connell has always been drawn to the sea. She first joined the Naval Reserve in 1986 as a Cook, serving in HMCS Cabot. She attained the rank of Petty Officer, 2nd Class before taking her commission as a MARS (Maritime Surface and Sub-surface) officer in 1995, and subsequently conducted a component transfer to the Regular Force the following year. Like all MARS officers, Lt(N)

O'Connell conducted her basic MARS training in Esquimalt, B.C. before becoming the first female ever posted to HMCS Montréal; in Halifax, N.S.

It was shortly thereafter that Lt(N) O'Connell developed a passion for sub- marine warfare.

"While; on the Naval Operations Course, we were given instruction on submarine tactics," she says. "I; knew then, long before any announcement that women would be allowed to serve on submarines, that I wanted to work in submarine warfare."

She continued to follow her passion, and graduated from the Anti-Submarine Warfare (ASW) Director course in October 2000. While serving as the ASW Director on HMCS Fredericton, one of the first females to serve on that ship, she was deployed on her second NATO tour.

"That;'s when I had my first submarine experience. I was offered an opportunity to embark on a Norwegian submarine, HNoMS Uredd, while it transited from Germany to Norway."

While the submarine conducted exercises with the NATO task group, Lt(N) O'Connell gained valuable insight into the tactics employed by submariners, and was instrumental when the submarine conducted a simulated attack on her own ship, HMCS Fredericton.

"The; week-long experience on the Uredd put everything into perspective. At that point, I knew beyond a doubt that I wanted to be a submariner."

Luckily, Canada had purchased four Victoria-class submarines from the Royal Navy and recently announced women would be allowed to serve on them, an option that would have been impossible with the older Oberon-class submarines. The rest is history.

Lt(N) O'Connell began the BSQ course earlier this year, and will be finished in mid- April. From there, she will take an advanced submarine course, involving work with the submarine trainers and enhancing basic skills. In August, she will be posted to one of the Victorias to begin a demanding on-thejob training package, after which she will be brought before a review board to determine if her knowledge and skill set, meet the requirements of the submarine community.

Asked whether she has ever reconsidered her decision to join the submarine community, Lt(N) O'Connell was emphatic in her response: "I; couldn't be happier. People are very professional and fair right across the board. They don't treat me any differently than anyone else, and I wouldn't have it any other way."

"From; the depths of sea to victory." Lt(N) Moniz is with Public Affairs.

Image

Lt(N) O'Connell heads for fresh air and sunlight through HNoMS Uredd's main access hatch.

Le ltv O'Connell se hisse par la trappe d'accès; principale du HNoMS Uredd pour respirer un peu d'air frais et voir la lumière; du jour.

La première; canadienne à devenir sous-marinier


par le ltv Walter Moniz

Elle n'est pas différente; des autres marins, et c'est exactement ce qu'elle veut. Toutefois, le lieutenant de vaisseau Karen Elizabeth O'Connell, âg;ée; de 34 ans, est la première; femme dont la candidature a ét;é retenue pour le cours él;émentaire; canadien d'officier sous-marinier, ce qui constitue en soi une première.;

La mer a toujours attiré le ltv O'Connell qui est née; et a grandi à St. John's, T.-N. En 1986, elle a joint les rangs de la Réserve; navale comme cuisinière; avec le NCSM

Cabot. Elle est promue au grade de maître; de 2e classe puis devient officier MAR SS (opérations; maritimes de surface et sousmarines) en 1995. Un an plus tard, elle obtient un transfert à la Force réguli;ère.; Le ltv O'Connell suit son instruction él;émentaire; MAR SS à Esquimalt, en C.-B., comme le font d'ailleurs tous les officiers MAR SS. Puis, elle devient la première; femme affectée; au NCSM Montréal; à Halifax, en N.-É.;

Peu après;, le ltv O'Connell se passionne pour la guerre sous-marine.

« Dans le cadre du cours d'opérations; navales, j'ai reçu; de l'entraînement; sur les tactiques sous-marines », a-t-elle expliqué.; « C'est à ce moment-là et bien avant l'annonce officielle permettant aux femmes

de servir à bord des sous-marins, que j'ai su que je voulais travailler dans le domaine de la guerre sous-marine. »

Elle décide; de continuer dans cette voie et devient diplôm;ée; du cours pour les futurs directeurs en guerre anti-sous- marine (GASM). Pendant qu'elle occupe les fonctions de directrice GASM à bord du NCSM Fredericton, sur lequel elle est l'une des premières; femmes à servir, elle participe à sa deuxième; mission avec l'OTAN.

« Pendant cette mission, je suis montée; à bord d'un sous-marin pour la première; fois. J'ai eu l'occasion d'embarquer dans un sous-marin norvégien;, le HNoMS Uredd,au cours de son trajet de l'Allemagne vers la Norvège.; »

Pendant les exercices avec le groupe opérationnel; de l'OTAN, le ltv O'Connell a acquis des connaissances importantes sur les tactiques utilisées; par les sous-mariniers et a joué un rôle; clé lorsque le sous-marin préparait; une attaque simulée; contre son propre navire, le NCSM Fredericton.

« La semaine que j'ai passée; à bord du Uredd m'a permis de tout replacer dans son contexte. J'étais; absolument certaine que je voulais devenir sous-marinier. »

Heureusement pour elle, le Canada a acheté quatre sous-marins de classe Victoria provenant de la Marine royale britannique.De plus, on a récemment; annoncé que les femmes pourront servir à bord de ces derniers, alors que cela n'aurait pas ét;é possible dans le cas des plus vieux sous-marins de classe Oberon.Le reste appartient à l'histoire.

Le ltv O'Connell a commencé le cours él;émentaire; d'officier sous-marinier plus tôt; cette année; et le terminera à la mi-avril. Ensuite, elle suivra le cours avancé dans lequel elle travaillera avec les officiers responsables de la formation des sousmariniers et améliorera; ses compétences; de base. En août;, elle effectuera un stage exigeant à bord d'un des sous-marins de classe Victoria puis paraîtra; devant un comité de sélection; afin d'attester qu'elle satisfait aux exigences pour devenir sous-marinier.

Lorsqu'on lui a demandé si elle avait déj;à pensé revenir sur sa décision; de faire partie de la communauté des sous-mariniers, le ltv O'Connell a répondu; avec enthousiasme : « Je suis au septième; ciel. Les gens font preuve d'un professionnalisme et d'une équit;é louables. Ils ne me traitent pas différemment; des autres et je ne voudrais pas qu'il en soit autrement ».;

« Des profondeurs de la mer à la victoire. »  
Le ltv Moniz travaille aux Affaires publiques.

Image: PHOTOS: MCPL / CPLC RON HARTLEN, FIS / SIF HALIFAX

During NATO exercises off Denmark, Lt(N) O'Connell keeps a lookout through the Captain's periscope on board Norwegian submarine HNoMS Uredd.

Durant les exercices de l'OTAN au large des côtes; du Danemark, le ltv O'Connell fait le guet à l'aide du périscope; du capitaine, à bord du sous-marin norvégien; HNoMS Uredd.

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Vol. 5 No. 13 * 2002



Rédactrice; de la Marine  
Ruthanne Urquhart navyeditor@canada.com


« Jeux de guerre à bord » du

Vancouver


par le m 2 Chris Carnall

Le NCSM

Vancouver effectue des « opérations; fantômes; » sur des navires qui obstruent le littoral des pays du golfe Arabo-Persique et qui cherchent une occasion de pén;étrer; dans les eaux libres sans se faire repérer; parce qu'ils s'adonnent au passage d'immigrants, au trafic de pétrole; ou d'autres articles de contrebande. Pendant les opérations;, à l'extérieur; de la salle des opérations; ou d'autres centres nerveux du Vancouver, la vie se résume; à travailler, à manger, à être; de quart et à dormir quand on peut.

Tout changement à la routine quotidienne est bien accueilli. Le ravitaillement en carburant, en nourriture ou en fournitures gén;érales; peut se transformer en détente; : qu'il soit 6 h ou 21 h, même; les membres d'équipage; qui ne sont pas de quart y prennent part.

Pour briser l'ennui, le maître; de 2e classe du département; électrique;, Rick Morencie, a décid;é de faire appel à l'esprit inventif de l'équipage.; S'inspirant de l'émission; tél;évis;ée; Junk Yard Wars, il a inventé un jeu qu'on pourrait appeler « Jeux de guerre à bord ».; Tour à tour, deux équipes; de quatre joueurs ont une tâche; à accomplir et disposent de 24 heures pour y parvenir. Huit équipes; ont mis leur ingéniosit;é et leurs connaissances techniques à l'épreuve; afin de découvrir; le meilleur « penseur ».; Les noms des équipes; sont aussi songés; que les inventions : Pinky and the No Brains, Drop Nuts, Rotor and Screws, Dream Team, Flying Trojan, Hall and Oats, Electronic Nuts et C No D. Toutes ces équipes; n'ont qu'un but : se hisser au sommet et remporter la dernière; bataille.

Lors de la première; bataille, les équipes; devaient construire des catapultes et essayer d'atteindre la catapulte de leurs adversaires avec un oeuf, sur une distance équivalant; à la

largeur du pont d'envol. Les Pinky and the No Brains ont battu les Drop Nuts.

Les Rotor and Screws l'ont emporté sur les Dream Team. Chaque équipe; devait remplir le seau de l'autre à même; l'eau puisée; d'un baril de 45 gallons placé à 10 pieds d'elles. La victoire a ét;é controversée; : les juges se tordaient de rire à voir les Dream Team remplir, par mégarde;, leur propre seau. On a donc repris l'exercice et le juge en chef s'en est remis aux spectateurs pour prendre une décision.; La foule se tordait devant les deux équipes; trempées.;

La troisième; épreuve; mettait aux prises les Flying Trojan et les Hall and Oats. Il fallait frapper une balle de golf à partir du hangar et la placer devant un drapeau situé à l'extrémit;é du pont d'envol. Le dispositif de lancement devait être; mécanique;, et non manuel.Les Flying Trojan étaient; hors du coup alors que les Hall and Oats placèrent; leur tir d'exercice à quelques pouces du drapeau à l'aide d'un fer-plat à pendule pivotant sur un

roulement à billes. Utilisant le même; principe, mais avec un élastique; pour saut en bungee comme source de propulsion, les Flying Trojan n'ont pu atteindre l'aire de chute.

Les Electronic Nuts et les C No D devaient piloter des voitures propulsées; par le vent sur un parcours d'obstacles et obtenir le meilleur temps cumulatif sur deux épreuves; en ligne droite. Chaque équipe; disposait d'un ventilateur et d'une rallonge électrique; de 150 pieds. Les Electronic Nuts, comme leur nom l'indique, avaient un net avantage sur leurs adversaires, mais les C No D ont tout de même; réussi; à remporter la dernière; épreuve.;

Restez à l'antenne au cours des semaines et des mois à venir pour d'autres nouvelles des « Jeux de guerre à bord ».;

Tiré de Lookout

Vancouver

's 'Ship Wide Wars'


By PO 2 Chris Carnall

HMCS

Vancouver has been conducting "shadow; ops" on vessels hugging the coastlines of Arabian Gulf countries looking for an opportunity to make an undetected break to open water because they're smuggling people, oil or other contraband items. Away from Vancouver's operations room or other nerve centres during shadow ops, life is a rotation of working, eating a meal, standing a watch and sleeping when you can.

Any change in the daily routine is welcome. Even working a replenishment-atsea for fuel, food or general stores can be a break; whether it happens at 6 a.m. or 9 p.m., the off-watch crew pitches in to get the job done.

To offset the boredom, the Electrical Department's Petty Officer, 2nd Class Rick Morencie is challenging the crew's inventiveness. Taking a page from TV's Junk Yard Wars, he created "Ship; Wide Wars".; Two teams of four players are given a task and 24 hours to build something to complete that task. Eight teams have tested their ingenuity and their technical skills to see who is the best "tinker;".Team; names are as creative as the contraptions: Pinky and the No Brains, the Drop Nuts, Rotor and Screws, the Dream Team, the Flying Trojan, Hall and Oats, Electronic Nuts, and C No D.They are all looking to reach the top and win the last battle.

In the first battle, the teams had to build catapults and try to hit their adversary's contraption with an egg from a distance the width of the flight deck. Pinky and the No Brains beat the Drop Nuts.

Rotor and Screws was victorious over the Dream Team when they had to fill each other's scrub bucket with water from a 45-gallon drum that was 10 feet away. The victory was controversial: the judges were laughing too hard at the Dream Team, who filled their own bucket by accident, thereby helping the opposition. There was a second go-around and the head judge went to the spectators for the decision. The crowd roared with laughter as both teams ended up soaking wet.

The third event pitted the Flying Trojan against Hall and Oats, trying to hit a golf ball from the hangar face to a flag at the end of the flight deck. The launching device had to be mechanical rather human. The Flying Trojan was doomed when Hall and Oats' wedge pendulum club, rotating on ball bearings, placed their practice shot inches from the flag. The Flying Trojan, using the same principle with a bungee cord as the power source, fell short of the landing area.

The Electronic Nuts and C No D raced wind-powered cars around an obstacle course and in two heats on the straightaway for a best combined time. Each team was given an electrical fan and a 150-foot extension cord. To drive their vehicles, the Electronic Nuts, as their name states, had the clear advantage over their opponents. C No D managed to take the final heat.

Stay tuned in the upcoming weeks/ months for more "Ship Wide Wars".

From Lookout.

Image: MS / MATC MARK CHAMP
Image: DND / MDN

HMCS Vancouver recently rescued 45 men adrift in the Straits of Hormuz. The men were allegedly being smuggled from Pakistan in a 12-m dhow. After being abandoned by the smugglers, they had drifted for five days with no supplies. A few who had consumed seawater required immediate medical assistance, and all were given food, water and blankets.Vancouver towed the dhow and its passengers to safety.

L'équipage; du NCSM Vancouver a récemment; secouru 45 hommes à la dérive; dans le détroit; d'Ormuz. On devait faire passer ces hommes clandestinement du Pakistan dans un boutre de 12 mètres.; Après; avoir ét;é abandonnés; par leurs passeurs, les hommes étaient; à la dérive; depuis cinq jours, sans provisions. Les clandestins ayant consommé de l'eau de mer avaient besoin de soins médicaux; immédiats;, et tous ont reçu; de la nourriture, de l'eau et des couvertures. Le Vancouver a remorqué le boutre et ses passagers en lieu sûr.;

Vol. 5 No. 13 * 2002


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