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Army Editor  
Susan Turcotte (613) 945-0419


Father and son deploy to Afghanistan


By Susan Turcotte

For the second time in less than two years, a father and a son have deployed on the same overseas mission as members of 3rd Battalion, Princess Patricia's Canadian Light Infantry.

Master Warrant Officer Rocky Ror and Private Jason Ror recently deployed from Edmonton to Afghanistan with the Canadian contingent. In 2000 they both deployed to Bosnia- Herzegovina.

They serve in different companies, MWO Ror as the Company Sergeant-Major of Combat Support Company and Pte Ror as a machine gunner with B Company, Mountain Operations.

MWO Ror joined the CF in 1971 and also served as a machine gunner as a private. Pte Ror joined in 1998.

Who's the better shot?

"I don't really know, since we're in separate companies-but of course, I must be," said MWO Ror."Speaking of weapons, he was a turret gunner in a Grizzly during the tour in Bosnia. He is still in a weapons detachment as a machine gunner. This could be a similar line of tasks I received as a

young private when I was in Machine Gun Platoon with the 1st Battalion in the 70s."

He said he thinks his son is the same as he was as a young soldier, but that the military has changed very much over the years. "The Army is now a job, not really a career as it was when I first joined. I joined it for adventure; Jason, I believe, joined for a job (money)."

Proud to have him around

When asked what his son thinks of serving in the same unit with him, MWO Ror said,"I shouldn't talk for him, but from my side, I'm very proud to have him around me. During the Bosnia tour (Roto 6), we were in separate camps, but I would make a point to see him whenever I could...possibly five to six times during the six months."

In Afghanistan, the Rors will be in the same camp. Serving together is a mixed blessing for another member of the Ror family: Catherine, wife to one and mother to the other. "It's better this way. They weren't in the same area in Bosnia," said Mrs. Ror. "It's really comforting to have them at the same camp."

Although she is more nervous for her son, she knows they are both trained soldiers. "I'm very proud of both of them."

Promises of care packages

The night before he deployed to Afghanistan, Pte Ror ate supper with his parents, got a buzz cut from his dad and promises of care packages from his mom.

"I heard more from him when he was in Bosnia than I do when he's at home," said Mrs. Ror. While in Bosnia, both Rors kept in touch with her with letters, e-mails and phone calls."If I didn't hear from Rocky, I'd hear from J.R."

There probably won't be many, if any, phone calls this tour. But mail service is available, and there may be e-mail service at a later date.

She and her oldest daughter will keep the two supplied with some "pretty good goodies" in care packages, including pre-moistened disposable face clothes, toilet paper, licorice, gum and other treats.

"We'll mainly write.We always have," said Mrs. Ror, who has boxes full of these letters after 28 years of marriage and military life.

Père; et fils en Afghanistan


Image: CPL ROB REYNOLDS

par Susan Turcotte

Pour la deuxième; fois en moins de deux ans, un père; et son fils participent à la même; mission à l'étranger;, en tant que membres du 3e Bataillon, Princess Patricia's Canadian Light Infantry (3 PPCLI).

L'adjudant-maître; Rocky Ror et le soldat Jason Ror ont

quitté Edmonton récemment; pour se rendre en Afghanistan avec le contingent canadien. En 2000, ils avaient tous deux participé à une mission en Bosnie-Herzégovine.;

Ils appartiennent à des compagnies différentes; : l'adjum Ror est sergent-major de la Compagnie de soutien au combat, tandis que le sdt Ror est mitrailleur dans la Compagnie B, Opérations; en montagne.

L'adjum Ror s'est joint aux FC en 1971, et il a servi lui aussi comme mitrailleur lorsqu'il était; soldat. Le sdt Ror s'est enrôl;é en 1998.

Lequel est meilleur tireur?

« Je ne sais pas vraiment, car nous sommes dans des compagnies différentes;, mais ce doit être; moi », a déclar;é l'adjum Ror. « En parlant d'armes, mon fils était; canonnier de tourelle sur un Grizzly pendant la mission en Bosnie. Il est toujours mitrailleur dans un détachement; d'armes. Cela ressemble à ce que je faisais au début; de ma carrière;, dans les années; 1970, lorsque j'appartenais à un peloton d'artillerie du 1er Bataillon. »

Il croit que son fils marche sur ses traces, mais que le milieu militaire a beaucoup changé au fil des ans. « L'armée;, aujourd'hui, c'est un emploi parmi tant d'autres. Ce n'est plus une carrière; comme à l'époque; où j'ai commencé à travailler. Je me suis enrôl;é pour l'aventure. Jason, je crois, s'est enrôl;é pour avoir un emploi (de l'argent). »

Un père; plus que fier

Lorsque nous lui avons demandé si son fils était; content de servir dans la même; unité que lui, l'adjum Ror a répondu; : « Je ne veux pas parler à sa place, mais pour ma part, je suis fier de l'avoir à mes côt;és.; Pendant la mission en Bosnie (Roto 6) qui a duré six mois, nous étions; dans des camps différents;, mais je le voyais chaque fois que je pouvais, c'est-à-dire; cinq ou six fois. »

En Afghanistan, les Ror seront dans le même; camp. Le fait qu'ils soient ensemble est une bonne chose pour un autre membre de la famille Ror : Catherine, épouse; de l'un et mère; de l'autre. « C'est mieux comme ça.; Ils n'étaient; pas dans la même; région; en Bosnie », nous a expliqué Mme Ror. « C'est réconfortant; de savoir qu'ils sont dans le même; camp. »

Bien qu'elle soit plus inquiète; pour son fils, elle sait qu'ils ont tous les deux une formation de militaire professionnel. « Je suis très; fière; de l'un comme de l'autre. »

Promesse de colis-surprises

La veille de son départ; pour l'Afghanistan, le sdt Ror a déjeun;é avec ses parents. Son père; lui a rasé la tête;, et sa mère; lui a promis de lui envoyer des colis-surprises.

« J'avais plus souvent de ses nouvelles lorsqu'il était; en Bosnie que j'en ai lorsqu'il est à la maison », nous a avoué Mme Ror. Lorsqu'ils étaient; en Bosnie, les deux Ror gardaient contact avec elle par lettres, par courrier électronique; et par tél;éphone.; « Lorsque Rocky ne me donnait pas de nouvelles, J.R. le faisait. »

Pendant cette mission, elle ne recevra probablement pas beaucoup d'appels tél;éphoniques;, voire même; aucun. Mais il y a le service postal, et il y aura peut-être; un service de courrier électronique; à une date ultérieure.;

Avec sa fille aîn;ée;, elle verra à ce que les deux hommes reçoivent; réguli;èrement; des colis contenant « toutes sortes de bonnes choses », y compris des débarbouillettes; jetables, du papier hygiénique;, de la réglisse;, de la gomme à mâcher;, etc.

« Nous allons surtout écrire;, comme nous l'avons toujours fait », nous a confié Mme Ror, qui a des boîtes; pleines de lettres après; 28 ans de mariage et de vie militaire.

MWO Rocky Ror and Pte Jason Ror speak with Defence Minister Art Eggleton in Edmonton. The father and son have deployed to Afghanistan, their second time serving overseas at the same time as members of 3 PPCLI.

L'adjum Rocky Ror et le sdt Jason

Ror discutent avec le ministre de la Défense; Art Eggleton à Edmonton. Le père; et le fils sont partis en mission en Afghanistan. C'est la deuxième; fois qu'ils servent ensemble à l'étranger; en tant que membres du 3 PPCLI.

CFB EDMONTON - Members of 1 Service Battalion and 1 General Support Battalion continued preparations in late January for the deployment of 750 troops to Afghanistan as part of Op APOLLO. Cpl Chris Gosse (right) peels off masking tape from the licence plate of a freshly painted vehicle. Cpl Steve Farrell sprays the desert tan camouflage paint on another vehicle.

BFC EDMONTON - Les membres du 1er Bataillon des services et du 1er Bataillon de soutien principal ont poursuivi leurs préparatifs; à la fin janvier en vue du déploiement; de 750 soldats en Afghanistan dans le cadre de l'Op Apollo. Le cpl Chris Gosse (à droite) retire le ruban masque de la plaque d'immatriculation d'un véhicule; fraîchement; peint. Le cpl Steve Farrell pulvérise; une peinture de camouflage couleur sable sur un autre véhicule.;

Image: PHOTO : SGT RICK RUTHVEN, COMBAT CAMERA

THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

Vol. 5 No. 6 * 2002



Rédactrice; de l'Armée; de terre Susan Turcotte turcotte.sk@forces.ca


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Army quarantines some Carl Gustav launchers


By Paul Mooney

Very low levels of radiation from a strip of tritium paint have led to the temporary quarantine of some Carl Gustav rocket launchers as a precautionary measure. The paint is used on a knob on the telescopic sights of the system. The Army stressed the risk was assessed as low when the precautionary measures were announced in early February.

"Prudence dictates that we act at the extreme end of the caution scale," said Colonel Chuck Davies, Director of Land Force Structure."This problem was found in just one system, but it was unexpected and, until we know all of the implications, we are moving as quickly as possible to protect our soldiers."

Tritium, which is hazardous if ingested, was used to paint a small luminous strip on the adjusting knob of some telescopic sights for the Gustavs. The knobs with the strip are fitted to some of the sights acquired eight to ten years ago. The tritium is covered with two types of lacquer coating. An inspection in LFQA, conducted under newly introduced radiation protection regimes, found the lacquer and paint has begun to flake with years of use. In one case, contamination was found to be above levels allowed by the CF.

Radiation safety officers are conducting swipes of all sight assemblies, launchers, containers and storage areas. Once identified, equipment fitted with the knobs containing tritium is being quarantined, segregated and bagged until corrective measures are implemented.

No Carl Gustav live-fire training will be conducted using sights fitted with the tritium-painted knobs. However, a small number of senior officers such as National Contingent Commanders, Brigade Commanders and Area Commanders can authorize use of systems which include the knobs for essential operational requirements, including predeployment training. This should occur only if it is found that there are insufficient sights fitted with knobs that do not contain the tritium paint. If a senior commander issues such a waiver, strict handling, cleaning and monitoring procedures will be enforced.Controls may be relaxed as more technical information becomes available.

The Carl Gustav entered service in 1969 and 1970 in two separate procurements. There are 1 075 of the 84mm launchers in the Army inventory. They are held by almost every Army unit and are essential for the anti-armour defence of deployed forces. A total of 69 Carl Gustavs and sights are deployed with Op PALLADIUM in the former Yugoslavia and another 30-35 are being deployed on Op APOLLO in Afghanistan.

Image: SGT DAVID MCCORD

Units preparing for rotation into operations should bring the potential number of exempted systems to approximately 200.

The Army will replace contaminated knobs with spares cleaned by the manufacturer, shipped to field units and installed by weapons technicians as quickly as possible.

Tritium is commonly used to paint items such as needles in aircraft dials and compasses. Other luminescent substances or liquids are used in most of the Army's sighting assemblies.

Sgt Richard Weetman (left) of The King's Own Calgary Regiment (RCAC) orders Bdr Glenn Styles of 20th Field Regiment, RCA, to fire the 84mm Carl Gustav. Tritium paint, the small luminous (yellow) strip, was used on some knobs on the Gustav's telescopic sights.

Le sgt Richard Weetman (à gauche) du King's Own Calgary Regiment (CBRC), ordonne au bdr Glenn Styles du 20e Régiment; d'artillerie de campagne, RCA, de faire feu avec un Carl Gustav de 84 mm. La peinture au tritium, petite bande lumineuse (jaune), a ét;é utilisée; sur certaines poignées; de lunettes de visée; des Gustav.

L'Armée; de terre confine des

lance-roquettes Carl Gustav


Image: PHOTO: SGT RICK RUTHVEN, COMBAT CAMERA

par Paul Mooney

De très; faibles niveaux de rayonnement émis; par une bande de peinture au tritium appliquée; sur des lance- roquettes Carl Gustav a nécessit;é le confinement de certains d'entre eux par mesure de précaution.; La peinture avait ét;é appliquée; sur la poignée; des lunettes de visée; tél;éscopiques.; Au moment où ces mesures ont ét;é prises au début; de février;, l'Armée; de terre a précis;é que le risque était; faible.

« La prudence nous incite à prendre des mesures extrêmement; rigoureuses », explique le colonel Chuck Davies, Directeur de la division des Forces terrestres. « Le problème; n'a ét;é détect;é que sur un seul engin, mais d'ici à ce que nous en connaissions toutes les implications, nous devons agir le plus rapidement possible pour protéger; nos soldats. »

Le tritium, qui est une substance dangereuse si ingér;ée;, est contenu dans la peinture ayant servi à tracer une petite bande lumineuse sur la poignée; de réglage; de la lunette de visée; de certains lance-roquettes Carl Gustav. Les poignées; comportant cette bande sont fixées; à des lunettes de visée; acquises il y a huit à dix ans. Le tritium est recouvert de deux types de vernis. Une inspection, réalis;ée; par le SQFT dans le cadre de nouveaux programmes de radioprotection, a permis de constater que le vernis et la peinture ont commencé à s'écailler.; Dans un des cas, la contamination détect;ée; est supérieure; aux niveaux admissibles par les FC.

Les responsables de la radioprotection ont effectué des prél;èvements; par frottis sur tous les assemblages de lunettes de visée;, les lance-roquettes, les conteneurs et les zones de stockage. Une fois identifié, l'équipement; muni de ces poignées; comportant du tritium sera confiné, mis à part et dépos;é dans des sacs jusqu'à ce que les mesures correctrices nécessaires; aient ét;é mises en oeuvre.

Les exercices de tir réel; avec les lance-roquettes Carl Gustav à poignée; comportant de la peinture au tritium sont suspendus. Cependant, un petit nombre d'officiers supérieurs;, notamment les commandants du Contingent national, les commandants de brigade et les commandants de secteur sont autorisés; à les utiliser uniquement pour répondre; aux exigences opérationnelles;, notamment pour la formation de pré-d;éploiement;, et seulement dans les cas où l'on dispose d'un nombre insuffisant de lunettes de visée; munies de poignées; non recouvertes de peinture au tritium. Les commandants supérieurs; visés; par cette exemption doivent veiller à ce que des procédures; rigoureuses en matière; de manutention, de nettoyage et de surveillance soient mises en place. Les procédures; de surveillance pourront être; révis;ées; lorsque nous disposerons de plus d'information technique.

Les armes Carl Gustav ont ét;é mises en service en 1969 et 1970 lors de deux approvisionnements distincts. L'inventaire de l'Armée; de terre compte 1 075 lance-roquettes de 84 mm. On les trouve dans pratiquement toutes les unités; de l'Armée; et ils sont essentiels pour le déploiement; des forces

de défense; anti-blindés.Au; total,69 Carl Gustav et lunettes de visée; ont ét;é inclus dans le cadre de l'opération; Palladium réalis;ée; dans l'ex-Yougoslavie, et 30 à 35 pour l'opération; Apollo en Afghanistan. Les unités; qui se préparent; à une rotation dans les opérations; doivent porter le nombre potentiel de lance-roquettes exemptés; à environ 200.

L'Armée; de terre remplacera les poignées; contaminées;

par d'autres poignées; de rechange nettoyées; par le fabricant, qui seront expédi;ées; aux unités; de campagne et installées; par des techniciens d'armement le plus rapidement possible.

Le tritium est couramment utilisé pour peindre des articles comme les aiguilles des cadrans d'aéronef; et des compas. D'autres substances ou liquides luminescents sont utilisés; dans la plupart des dispositifs de visée; de l'Armée; de terre.

Vol. 5 No. 6 * 2002


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