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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

March 1, 1945

In the Hochwald, a forested ridge blocking the Allies' advance to the Rhine, the 2nd Canadian Infantry Division is facing a well-defended section of the Siegfried Line.The Essex Scottish Regiment crosses the start line at about 7:30 a.m. On the Essex left is C Company, commanded by Major Frederick Albert Tilston, with 460 metres of open ground and 3 metres of barbed-wire entanglements to cross before they reach the front German trenches, which are covered by machine- guns and mortars.

When the artillery barrage begins and the attack is due to start, the supporting tanks are absent, probably bogged down. Worse, two off-target Canadian shells drop on Maj Tilston's forward platoons. When the NCOs have rounded up the survivors, Maj Tilston takes the lead for the advance across the open ground. As they approach the barbed wire, the platoon on the left comes under fire from a forward machine-gun post; Maj Tilston-still in the lead-darts forward and tosses in a couple of grenades. End of machine-gun problem.

The next obstacle is the barbed wire, and Maj Tilston-still in the lead-is soon shot, first, through the ear and, then, in the hip, which knocks him off his feet. He forces himself back into the battle, and finds C Company at the edge of the forest, strung out along the front German trench. They are dangerously short of ammunition, so Maj Tilston decides to

visit D Company-100 bullet-swept, mortar-bombed metres away-and borrow some.

On the third return trip, Maj Tilston is finally stopped by a mortar bomb that blows off one leg and mangles the other. After carefully explaining his defence plan to his one remaining officer, Maj Tilston passes out. C Company, now reduced from 103 to 27 men, holds on until reinforcements arrive, and the Canadian drive through the Hochwald continues.

For his actions on this day, Maj Fred Tilston receives the Victoria Cross. He survives to make a career in industry and become Honorary Colonel of his regiment.

Image: 1945: Maj Fred Tilston of The Essex Scottish Regiment (National Archives of Canada).1945 : Le maj Fred Tilston du Essex Scottish Regiment (Archives nationales du Canada).

1er mars 1945

Dans la Hochwald, une crête; boisée; bloquant la montée; des Alliés; vers le Rhin, la 2e Division de l'infanterie canadienne fait face à une section bien défendue; de la ligne Siegfried. Le Essex Scottish Regiment traverse la ligne de départ; à environ 7 h 30. À la gauche du Essex, la Compagnie C, commandée; par le major Frederick Albert Tilston, doit traverser 460 mètres; en terrain découvert; et 3 mètres; de barbelés; avant d'atteindre la première; tranchée; des Allemands, que couvrent leurs mitrailleuses et leurs mortiers.

Au début; du barrage d'artillerie et peu avant l'attaque, les chars d'appui, probablement enlisés;, brillent par leur absence. Pire, deux obus canadiens manquent de précision; et tombent sur les pelotons avancés; du maj Tilston. Une fois les survivants réunis; par les sous-officiers, le maj Tilston prend la tête; pour avancer en terrain découvert.; Près; des barbelés;, le peloton gauche essuie le tir d'un poste de mitrailleuse avancé.; Le maj Tilston, encore en tête;, se précipite; et lance quelques grenades. Fin du problème.;

Prochain obstacle : le barbelé.; Le maj Tilston, toujours en tête;, est rapidement touché par des tirs, d'abord à l'oreille, puis à la hanche, ce qui le projette au sol. Il se force à reprendre le combat et rejoint la Compagnie C à l'orée; de la forêt;, déploy;ée; le long de la première; tranchée; des Allemands. La compagnie manque dangereusement de munitions. Le maj Tilston décide; d'aller en emprunter à la Compagnie D, parcou- rant 100 mètres; sous les rafales et les tirs de mortier.

À son troisième; voyage de retour, le maj Tilston ne peut plus continuer : un obus de mortier emporte une de ses jambes et estropie l'autre. Il explique alors soigneusement son plan de défense; au seul officier qui lui reste, puis s'évanouit.; La Compagnie C ne compte plus que 27 hommes sur 103, mais tient le coup jusqu'à l'arrivée; des renforts. Les Canadiens poursuivent leur progression dans la Hochwald.

Pour les actions posées; en ce jour, le maj Fred Tilston reçoit; la Croix de Victoria. Il survit et fait carrière; dans l'industrie. En outre, il est nommé colonel honoraire de son régiment.;

12 Air Maintenance Squadron


By Scott Costen

Training the people who work on CH-124 Sea King helicopters may not be glamorous, but it's certainly important.

"There is no room for error, so we put a lot of emphasis on safety," says Lieutenant-Colonel David Mason, Commanding Officer of 12 Air Maintenance Squadron. "We produce extremely professional people who take a lot of pride in what they do."

With about 450 members, 12 AMS is the largest unit at 12 Wing Shearwater. "We are the training organization for Sea King technicians," says LCol Mason. "We provide wings for the fleet."

The majority of 12 AMS members belong to the "500-series" trades-Aviation System Technician (MOC 514), Avionic System Technician (526) and Aircraft Structures Technician (565).They train with the unit for up to four years before going operational.

"It takes a long time for a technician to learn the trade," says LCol Mason. "It requires trouble-shooting and problem-solving skills, and the ability to act on a moment's notice."

After their training is complete, 12 AMS technicians are usually rotated into an operational squadron and assigned to a helicopter detachment on board a Navy vessel. "Not many people join the Air Force expecting to spend so much time on a ship," says LCol Mason. "Because the detachments 'jetty-hop' to different ships as they enter high readiness, we actually stay out at sea longer than the Navy does."

The sea/shore ratio of technicians posted to 423 or 443 helicopter squadrons has presented 12 AMS with some retention challenges. "Not everyone is willing to spend that much time away from home," says LCol Mason."We're putting a greater emphasis on quality of life issues because retention is a big issue for us."

For most unit members, the high operational tempo and intense training schedule are facts of life they accept with both professionalism and pride. "It's very challenging to deal with training and operational demands-but it's also very rewarding. What we're doing is important and it's making a difference."

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Escadron de maintenance (Air)


par Scott Costen

La formation du personnel qui travaille à bord des hélicopt;ères; CH-124 Sea King n'est peut-être; pas une tâche; prestigieuse, mais il s'agit quand même; d'une tâche; importante.

« Puisque nous ne pouvons nous permettre de commettre des erreurs, nous mettons l'accent sur la sécurit;é surtout », affirme le lieutenant-colonel David Mason, commandant du 12e Escadron de maintenance (Air). « Nous formons du personnel extrêmement; professionnel qui met de la fierté dans leur travail. »

Avec ses 450 membres, le 12e Escadron de maintenance (Air) (EMA) est la plus grande unité de la 12e Escadre Shearwater. « Nous sommes l'organisation chargée; de la formation des techniciens des Sea King », explique le lcol Mason. « Nous fournissons les ailes de la flotte. »

La majorité des membres du 12 EMA font partie des GPM de la « catégorie; 500 » - technicien en aéronautique; (514), technicien en systèmes; avioniques (526) et technicien en structures d'aéronefs; (565). Ils s'entraînent; avec l'unité pendant une période; pouvant aller jusqu'à quatre ans avant de tout maîtriser.;

« Il faut beaucoup de temps au technicien pour apprendre son métier; », a précis;é le lcol Mason. « Le technicien doit acquérir; des compétences; en matière; de recherche des pannes et de résolution; des problèmes;,ainsi que la capacité d'intervenir au pied levé.; »

Une fois leur formation terminée;, les techniciens du 12 EMA sont normalement mutés; à un escadron opérationnel; et affectés; à un détachement; d'hélicopt;ères; à bord d'un navire de la Marine. « Peu de gens s'enrôlent; dans la Force aérienne; en s'attendant à passer autant de temps à bord d'un navire », a expliqué le lcol Mason. « Puisque les détachements; font du "saut de jetées;" entre les différents; navires lorsqu'ils sont en état; de disponibilité opérationnelle; élev;é, nous finissons par passer plus de temps en mer que les marins eux-mêmes.; »

La proportion du temps de service passé en mer par rapport au temps de service à terre des techniciens des 423e et 443e escadrons d'hélicopt;ères; a d'ailleurs créé des problèmes; de maintien des effectifs pour le 12 EMA. « Ce n'est pas tout le monde qui est disposé à passer autant de temps à l'extérieur; du foyer », a expliqué le lcol Mason. « Nous essayons de concentrer nos efforts sur la qualité de vie, car le maintien des effectifs est un dossier priori- taire pour nous. »

Pour la plupart des membres de l'unité, le rythme rapide des opérations; et le calendrier d'entraînement; chargé sont des réalit;és; incontournables qu'ils acceptent avec fierté et professionnalisme. « D'un côt;é, c'est très; difficile de composer avec les exigences opérationnelles; et d'un autre côt;é, en matière; d'entraînement;, c'est une expérience; très; enrichissante. Le travail que nous exécutons; est important et fait une différence.; »


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

Vol. 5 No. 8 * 2002



Robotics: the challenges and rewards


By Gloria Kelly

The future of robotics in defence applications is significant and has the potential to augment or replace soldiers on the ground in a range of situations, says the head of the tactical vehicles systems section at Defence Research Establishment Suffield (DRES).

The potential applications for robotics have been growing as research continues to find answers and develop new applications in support of troops in the field, said Doug Hanna. While interesting and significant work has been going on for years, there is a renewed urgency within the military research community as troops are taking on increasingly demanding and potentially dangerous missions.

Defence R&D; Canada provides science and technology leadership in the advancement and maintenance of Canada's defence capabilities. For years, the scientists and researchers at Suffield, surrounded by miles and miles of windswept prairies, have been involved in wide-ranging research projects that feature robotics.

In the area of mine detection, work done by the team has been spun off to the private sector. A Calgary-based firm is in the process of building a number of mine detection machines based on a model created at Suffield.The key was to create a machine that could be easily loaded up and deployed to an area where troops are heading. The detection capabilities allow the troops to explore an area with greater confidence and less chance of an injury.

"Very little of what we do here is classified, and about half of our (research and development) budget is coupled with the private sector," said Mr. Hanna. "One of our aims is to be able to develop and maintain a military industrial base which can serve our needs."

The enhancement of robotics in the fields of reconnaissance and surveillance is the next step.With troops deploying into a variety of hostile locations, the team at Suffield is hard at work looking at projects that will allow troops to be replaced by machines in areas where the risks can be high. A bullet that could cause major injury to a soldier could bounce off a robot, causing little or no interruption of its assigned tasking.

This whole area is fascinating and is attracting the best and brightest minds in the field of robotics, said Mr. Hanna.Work is underway to create machines and systems that work intelligently and collectively, and have the ability to accept and complete complex missions.

Increasingly lethal systems

The trend in the battlefield of today is "lethality". Technologically driven systems are increasingly lethal and they can do harm from great distances, he said.The only way

Image: The Improved Landmine Detection Project multi-sensor robotic mine detector.Le détecteur; de mines robotisé à capteurs multiples issu du projet de détection; amélior;ée; de mines terrestres.

DRES / CRDS

to counter or capitalize on this trend is to use superior robotics.

The Suffield team has tested some of their work in an urban environment and recognizes the potentials that exist for this emerging technology.

The move right now is toward a higher level of autonomous operations where a range of sensors on board can make decisions and complete more tasks.There are three areas of research where Mr. Hanna sees major development in the near future: perception sensors, planning and control, and co-operation and collaboration between robotic systems in a working environment.

"We have come a long way in the field of robotics and the future is bright," he said. "This is not always an easy area in which to work and the challenges are many." The rewards are even greater, though, when they can improve the safety of men and women in the field.

Défis; et promesses de la robotique


par Gloria Kelly

La robotique promet dans le domaine des applications de défense; et pourrait appuyer et même; remplacer les soldats sur le terrain dans une foule de situations, selon le chef de la section des véhicules; tactiques au Centre de recherches pour la défense; Suffield (CRDS).

Les possibilités; de la robotique ne font qu'augmenter à mesure que l'on cherche de nouvelles applications pour appuyer les troupes sur le terrain, a expliqué Doug Hanna. Le travail qui se fait dans le domaine depuis des années; est très; intéressant; et important, il est vrai, mais il y a tout de même; un renouveau d'intér;êt; dans le milieu militaire pour la robotique parce que les troupes doivent s'acquitter de missions de plus en plus exigeantes et dangereuses.

Recherche et développement; pour la défense; Canada a un rôle; de leadership scientifique et technologique pour développer; et maintenir le potentiel de défense; du Canada. Depuis des années;, les chercheurs et les scientifiques à Suffield, centre situé au milieu des prairies désol;ées;, participent à des projets d'envergure où la robotique est présente.;

Dans le domaine de la détection; des mines, le travail de l'équipe; a fait des petits dans le secteur privé.; Une entreprise de Calgary est en train de fabriquer des détecteurs; de mines selon un prototype créé à Suffield. Il s'agissait de créer; une machine qui pouvait être; emportée; facilement à bord d'un véhicule; et déploy;ée; dans un secteur où vont opérer; des troupes. Les capacités; de détection; donnent aux troupes la possibilité d'explorer un secteur avec plus de confiance et moins de possibilité de blessures.

« À peu près; rien de ce que nous faisons ici est classifié et environ 50 pour cent de notre budget (de recherche et développement;) est arrimé sur le secteur privé », a dit M. Hanna. « Nous nous donnons comme objectif d'être; capables de développer; et de maintenir une base militaro-industrielle apte à répondre; à nos besoins », a-t-il ajouté.;

Le prochain objectif consiste à faire des percées; robotiques dans le domaine de la reconnaissance et de la surveillance. Les troupes étant; déploy;ées; dans toutes sortes d'endroits hostiles, l'équipe; de Suffield ne ménage; pas ses efforts pour trouver des projets qui permettront aux soldats de se faire remplacer par des machines là où les risques sont élev;és.; Une balle peut blesser gravement un soldat, mais ne fera que ricocher sur un robot et ne le détournera; pas de sa mission.

Ce domaine est des plus fascinants et attire les esprits les plus brillants en robotique, a dit M. Hanna. Des travaux sont en cours pour créer; des machines et des systèmes; qui travaillent intelligemment et de concert, et qui sont à même; d'accepter des missions complètes; et complexes.

Des systèmes; de plus en plus dangereux

Aujourd'hui, sur les champs de bataille, la tendance est celle de la « létalit;é ».; Les systèmes; technologiques sont de plus en plus dangereux et peuvent causer de graves dommages à grande distance, a-t-il dit. Il n'y a qu'une façon; de contrer cette tendance, ou encore d'en tirer parti, et c'est de fabriquer des robots encore plus perfectionnés.;

L'équipe; de Suffield a fait des tests sur

certains de ses produits dans un environ- nement urbain et voit le potentiel que recèle; cette technologie en émergence.;

Maintenant, il s'agit d'en arriver à des opérations; encore plus autonomes où la gamme de capteurs est à même; de prendre des décisions; et d'accomplir encore plus de tâches.; Trois domaines de recherche, selon M. Hanna, verront des avancées; s'effectuer sous peu : les capteurs de perception, la planification et le contrôle;, et la collaboration et la coopération; entre systèmes; robotiques dans un environ- nement de travail.

« Nous avons fait beaucoup de chemin dans le domaine de la robotique et l'avenir s'annonce brillant », a dit M. Hanna. « Le travail n'y est pas toujours facile et les défis; ne se comptent plus. » Toutefois, les récompenses; sont encore plus grandes lorsque l'on sait que la robotique peut accroître; la sécurit;é des troupes sur le terrain.

Image: DRES / CRDSA Scout vehicle with laser scanner.

Un véhicule; d'éclairage; équip;é d'une caméra; à balayage laser.

Vol. 5 No. 8 * 2002


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

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The MIDAS touch


By Gloria Kelly

Keeping your signals straight on the battlefield is essential to success and survivability. It's also easier said than done...until now.

A new piece of equipment developed by Defence Research Establishment Ottawa (DREO), one of Defence R&D; Canada's research establishments, is making significant inroads in this area and has caught the attention of the US Army.

MIDAS, a software-based system that uses off-the-shelf commercial hardware,was originally designed for radar frequency surveillance, said project director Robert Inkol. However, as often happens in the field of research, a new application was found and MIDAS evolved into a multi-purpose signal tracking system with a number of possible uses.

In the military world, a major application for MIDAS is in the realm of electronic warfare.This system has evolved to where its applications can track message traffic and provide locations from where signals are transmitting-thereby allowing for much better threat assessments, said Mr. Inkol.That ability to make assessments in real time on the battlefield is highly valuable. It can make a huge difference in the intelligence world, where proper information, received and delivered in a timely manner, is a most effective weapon.

The US Army had a large program in this area that was cancelled for a number of reasons. As a result, it began to take a look at other work that was being done and became interested in MIDAS under their Foreign Comparability Testing Program.That program "cherry picks" technologies of interest from others and often saves money for the country mining the marketplace.

The US tested five systems-one from Canada, the UK and Israel, and two from American companies. No decisions have been announced.

Regardless of the outcome of the testing in the US, the very fact the Americans expressed interest in the project is tremendously exciting for the research team and the Canadian community, said Mr. Inkol. Electronic warfare is not an area in which a country such as the US lightly takes on partnerships with foreign technologies- even with a partner as close as Canada.

A major advantage of MIDAS is that it is relatively small, yet highly capable. The Canadian team that took it to the US for testing loaded it into a truck for the trip, highlighting its portability.

While the system is of great interest to the military, it also has a number of significant applications in the civilian communications world, said Mr. Inkol. As MIDAS continues to evolve, there is potential for a range of public/private partnerships that will enhance its desirability. Already a civilian version of the system is in use called Spectrum Explorer.

Image: DREO / CRDOAn operator demonstrates how MIDAS works in an actual field setting.Un opérateur; fait la démonstration; du fonctionnement de MIDAS dans un milieu de campagne réel.;

Le pouvoir de MIDAS


Image: DREO / CRDOThe MIDAS system is powerful, strong and portable-making it easy to use in the field.Le système; MIDAS est puissant, solide et portable, ce qui facilite son utilisation en campagne.

Par Gloria Kelly

Pour survivre et réussir; sur le champ de bataille, il est essentiel de toujours comprendre les signaux. Plus facile à dire qu'à faire... mais plus maintenant.

Un nouvel appareil créé par le Centre de recherches pour la défense; Ottawa (CRDO), l'un des centres de recherche de R et D pour la défense; Canada, fait des progrès; importants dans ce domaine et a attiré l'attention de la US Army.

MIDAS, un système; informatique qui utilise du matériel; commercial disponible sur le marché, a ét;é initialement conçu; aux fins de la surveillance des fréquences; radar, nous explique Robert Inkol, le directeur du projet. Cependant, comme il arrive souvent dans le monde de la recherche, on a découvert; une nouvelle application, et MIDAS est devenu un système; de poursuite des signaux polyvalent aux nombreux usages potentiels.

Dans le milieu militaire,le MIDAS joue un rôle; important dans le contexte de la guerre électronique.; L'évolution; de ce système; lui a permis de faire le suivi des messages en circulation et d'indiquer l'emplacement à partir duquel sont transmis les signaux, ce qui améliore; grandement l'évaluation; des menaces, nous indique M. Inkol. Cette capacité d'évaluer; en temps réel; sur le champ de bataille est très; précieuse.; Elle peut faire toute la différence; dans le milieu du renseignement, où l'information appropriée;, reçue; et diffusée; rapidement, est une arme des plus efficaces.

L'armée; américaine; avait un programme

substantiel dans ce domaine, mais il a ét;é annulé pour un certain nombre de raisons. Par conséquent;, elle a commencé à étudier; les autres travaux en cours et s'est intéress;ée; au MIDAS par l'entremise de son Programme de mise à l'essai de nouveaux produits étrangers.; Ce programme fait la sélection; minutieuse des technologies intéressantes; créées; par les autres et permet souvent au pays d'économiser; de l'argent en exploitant le marché.;

Les États-Unis; ont mis cinq systèmes; à l'essai - un du Canada, un du Royaume-Uni, un d'Israël; et deux provenant d'entreprises américaines.; Aucune décision; n'a ét;é annoncée.;

Peu importe le résultat; de l'essai aux États-Unis;, le seul fait que les Américains; ont démontr;é de l'intér;êt; à l'égard; du projet est très; prometteur pour l'équipe; de recherche et la collectivité canadienne, nous dit M. Inkol. La guerre électronique; n'est pas un domaine dans lequel un pays comme les États-Unis; établit; à la lég;ère; des partenariats relatifs aux technologies étrang;ères;, même; s'il est question d'un partenaire aussi proche que le Canada.

Un grand avantage du MIDAS est sa petite taille et ses capacités; considérables.; L'équipe; canadienne qui l'a emporté aux États-Unis; pour l'essai l'ont chargé à bord d'un camion pour le voyage, ce qui démontre; sa portabilité.;

Même; si le système; est particulièrement; intéressant; du point de vue militaire, il peut également; avoir des applications utiles pour les communications civiles, selon  
M.Inkol.Comme MIDAS continue d'évoluer;, certains partenariats publics et privés; potentiels pourraient accroître; son intér;êt.; Une version civile du système;, appelée; Spectrum Explorer, est déj;à en cours d'utilisation.


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

Vol. 5 No. 8 * 2002


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