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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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By / par Charmion Chaplin-Thomas

English Reviser, DGPA / Réviseure; (anglais), DGAP

March 8, 1945

At 5:30 a.m., General Alfred Schlemm of the German First Parachute Army hears the artillery of First Canadian Army open up on Xanten, the town anchoring the right flank of his final line of defence. Cornered with the remnant of 11 divisions in a bridgehead less than 13 km wide, General Schlemm can either obey Hitler's orders and die trying to hold the west bank of the Rhine, or withdraw to Wesel, across the last of the great Rhine bridges, and save his remaining troops. During the night, he evacuates his staff, leaving his combat units on the west bank under Gen Eugen Meindl.They lack ammunition but have no hope of re-supply; the Allied artillery stops anything bigger than a motorcycle. If Gen Meindl can't get his men across the bridge by 5 p.m. on March 9, they are doomed.

This is the end of Operation BLOCK- BUSTER, the Canadian-British drive to the Rhine. Lieutenant-General Guy Simonds of 2 Canadian Corps now has operational command of all General Montgomery's forces, including 30 British Corps and 16 U.S. Corps.The continuing rain has grounded the RAF Typhoon squadrons the army counts on for close air support, but if the Allies are to trap the Germans on this side of the Rhine, they must attack now.

As Gen Schlemm negotiates with Berlin, LGen Simonds starts a two-pronged assault. The 53rd Welsh Division and the 52nd Lowland Division head for Alpen, the forward point of the German defensive line, and the 4th Canadian Armoured Division slogs through the fortified villages of Veen and Winnental. The retreating Germans fight hard, aided by the mud and British maps that fail to mention a 15-metre drop at the foot of Boenninghardt Ridge that renders it effectively tank- proof. In the end, Gen Schlemm wins the race; at 7 a.m. on March 10, the last elements of the 116th Panzer Division are on the east bank of the Rhine. German sappers demolish the Wesel bridges. opérationnel; de toutes les forces du gén;éral; Montgomery, y compris le 30e Corps d'armée; britannique et le 16e Corps d'armée; américain.; La pluie qui ne cesse de tomber cloue au sol les escadrons de Typhoon de la RAF sur lesquels compte l'armée; pour obtenir un appui aérien;

rapproché.; Toutefois, si les alliés; veulent piéger; les Allemands de ce côt;é du Rhin, ils doivent attaquer dès; maintenant.

Alors que le gén; Schlemm négocie; avec Berlin, le lgén; Simonds lance un assaut sur deux fronts. D'un côt;é, la 53e Division (galloise) et la 52e Division (Lowland) se dirigent vers Alpen, le point le plus avancé de la ligne de défense; allemande. De l'autre, la 4e Division blindée; canadienne traverse obstinément; les villages fortifiés; de Veen et de Winnental. En se repliant, les Allemands livrent une dure bataille. Or, ils ont deux avantages : la boue et les cartes britanniques qui ne font pas mention d'une dénivellation; de 15 mètres; au pied de la crête; montagneuse de Boenninghardt, que les chars sont tout à fait incapables de franchir. Au bout du compte, c'est le gén; Schlemm qui gagne. En effet, à 7 h le 10 mars, les derniers él;éments; de la 116e Division cuirassée; se trouvent sur la rive est du Rhin, et les sapeurs allemands s'affairent à démolir; les ponts de Wesel.

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March 1945: Canadian soldiers pose with a captured Nazi flag in Xanten. (Sgt Ken Bell)

Mars 1945 : Des soldats canadiens posent avec un drapeau nazi saisi à Xanten. (sgt Ken Bell)

Le 8 mars 1945


À 5 h 30, le gén;éral; Alfred Schlemm de la 1re Armée; de parachutistes de l'Allemagne entend l'artillerie de la

1re Armée; canadienne ouvrir le feu sur Xanten, ville où est retranché le flanc droit de sa dernière; ligne de défense.; Coincé dans une tête; de pont de moins de 13 km de largeur avec ce qui reste de 11 divisions, le gén;éral; Schlemm a deux choix : obéir; aux ordres d'Hitler et mourir en tentant de tenir la rive ouest du Rhin, ou se replier sur Wesel, de l'autre côt;é du dernier des grands ponts

enjambant le Rhin, et sauver ainsi le reste de ses soldats. Pendant la nuit, il évacue; son état-major; et ne laisse sur la rive ouest que ses unités; de combat sous le commandement du gén; Eugen Meindl. Ces dernières; manquent de munitions, mais n'ont aucun espoir d'être; réapprovisionn;ées;, car l'artillerie alliée; stoppe tout véhicule; plus gros qu'une motocyclette. Si le gén; Meindl ne réussit; pas à faire traverser le pont à ses hommes avant 17 h le 9 mars, ils sont foutus.

C'est la fin de l'opération; Blockbuster, l'avancée; des Canadiens et des Britanniques

vers le Rhin. Le lieutenant-gén;éral; Guy Simonds du 2e Corps d'armée; canadien assume maintenant le commandement

Canadian Forces School of Military Engineering


By Scott Costen

Teaching more than 100 courses and providing at least 75 000 student training days annually, the CF School of Military Engineering (CFSME) is a leader in its field.

"We have a vision and we try to ensure every year we are on track to realize it," says Lieutenant-Colonel Ken Chadder,CFSME Commandant. That vision is "to be the Canadian Military Engineer individual trainer of choice, providing trained military  
engineers who meet all operational requirements at optimum cost."

Originally located in  
Chilliwack, B.C., CFSME moved to CFB Gagetown in 1997. It is an independent lodger unit and operates under the CF Recruiting, Education and Training System. "We have outstanding facilities here," he says. "They are second-to-none."

CFSME facilities include workshops, labs, construction areas, demolition ranges, bridging sites and an airfield. But excellent training areas alone do not make a great school."To train people well, you need well- trained people to do it," says LCol Chadder.

The 200 personnel at CFSME are not only well-trained; they are also highly motivated.

"Our people have a lot of operational experience," he says. "The instructors are very proud of their accomplishments and of the soldiers they produce. At graduation parades, there are a lot of smiling faces- candidates and instructors alike."

CFSME comprises a headquarters, two staff squadrons and five training squadrons: Field Engineer

Training Squadron, Reserve  
Engineer Training Squadron, Tactics Squadron,Construction Engineer Training Squadron, and Construction and Airfield Engineer Squadron. Together these elements offer a variety of Regular and Reserve Force courses. "One day an instructor could be teaching an apprentice course, and the next day be teaching a (QL)6B course."

Despite the diversity of training, some elements are universal. Physical training and operational readiness are emphasized on all courses. "We have an operational focus in everything we do so people are ready to deploy when called upon," says LCol Chadder.

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École; du génie; militaire des Forces canadiennes


par Scott Costen

L'École; du génie; militaire des Forces

canadiennes (EGMFC), qui dispense plus de 100 cours et au moins 75 000 jours d'entraînement; par année;, se démarque; dans son domaine.

« Nous avons une vision et nous tentons de la réaliser; chaque année; », affirme le lieutenant-colonel Ken Chadder, commandant de l'EGMFC.Voici un résum;é de cette vision : « être; l'établissement; canadien d'entraînement; individuel de choix en matière; de génie; militaire et former des ingénieurs; militaires qui répondent; à tous les besoins opérationnels; à un coût; optimal ».;

Situé au départ; à Chilliwack, (C.-B.), l'EGMFC s'est réinstall;ée; à la BFC

Gagetown en 1997. Il s'agit d'une unité héberg;ée; indépendante; qui fait partie du Service du recrutement, de l'éducation; et de l'instruction des FC. « Nous disposons d'installations exceptionnelles et incomparables ici à Gagetown. »

Les installations de l'EGMFC incluent des ateliers, des laboratoires, des zones de construction, des champs de tir utilisés; pour l'entraînement; à la destruction, des pontages et un terrain d'aviation.Toutefois, la qualité d'une école; ne dépend; pas exclusivement de ses secteurs d'entraînement.; « Pour former des gens, il faut disposer d'instructeurs compétents; », précise; le lcol Chadder. Les 200 membres du personnel de l'EGMFC sont non seulement bien formés;, mais aussi très; motivés.;

« Notre personnel possède; beaucoup d'expérience; opérationnelle; », ajoute-t-il. « Les instructeurs sont très; fiers de leurs réalisations; et des soldats qu'ils forment. Lors des rassemblements de fin de cours, il y a beaucoup de visages souriants, tant chez les instructeurs que chez les finissants. »

L'EGMFC comprend un quartier gén;é

ral, deux escadrons d'état-major; et cinq escadrons d'instruction : l'escadron d'instruction du génie; de campagne, l'escadron d'instruction du génie; de la

Réserve;, l'escadron de tactique, l'escadron d'instruction du génie; construction et l'escadron de construction et du génie; de

l'Air. Ensemble, ces él;éments; donnent divers cours aux membres de la Force réguli;ère; et de la Réserve.;

« Un jour, un instructeur donne un cours d'apprenti; le lendemain, il dispense le cours du niveau de qualification 6B. »

Malgré la diversité de l'instruction, certains él;éments; sont universels.Tous les cours mettent l'accent sur l'entraînement; physique et l'état; de préparation; opérationnelle.; « Nous faisons ressortir l'aspect opérationnel; de toutes nos activités; afin que les gens soient près; à être; déploy;és; au besoin », affirme le lcol Chadder.


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

Vol. 5 No. 9 * 2002



Ice battle in Kingston


By Bdr Trevor McIvor

For more than a century, soldiers of A and B batteries of 1st Regiment, Royal Canadian Horse Artillery (1 RCHA), have played a hockey game that has deep roots in Canadian history.

Historians credit the soldiers of A and B batteries with playing the first ice hockey game in Canada on the waterfront ice at Kingston, Ont.This historic game is celebrated to this day when serving soldiers of the two batteries play for the Kingston Cup.

In 1927, the annual contest between the batteries was formalized when Kingston resident Wally Cusick presented a silver cup to be awarded to the winner. Almost every

year since then, soldiers from the two batteries have competed for the Kingston Cup.

This year's game proved to be hard-fought. Inter-battery friendships were temporarily suspended as combatants did battle for their battery's honour. In the closing 30 seconds of the game, a hard-charging B Battery team closed to within one goal to make the final score 8-7. However, at the sound of the buzzer, A Battery was awarded the right to be declared the 2001 Kingston Cup champion by 1 RCHA Commanding Officer Lieutenant- Colonel Bob Chamberlain. Bdr McIvor is an artillery technician with A Battery, 1 RCHA, and was a member of the winning Kingston Cup team.

Image: BDR KEVIN ROZEMAThe A Battery team - this year's Kingston Cup champions.L'équipe; de la batterie A, championne de la Coupe Kingston de 2002.

Combat sur glace à Kingston


Image: BDR KEVIN ROZEMA

par le bdr Trevor McIvor

Depuis plus d'un siècle;, les soldats des batteries A et B du 1er Régiment;, Royal Canadian Horse Artillery (1 RCHA), perpétuent; une tradition qui leur est propre en s'affrontant dans une partie de hockey, ce sport très; populaire bien ancré dans la culture canadienne.

Selon les historiens, les soldats des batteries A et B auraient ét;é les premiers à disputer une partie de hockey au Canada, sur la rive glacée; de la rivière; de Kingston (Ontario).

En 1927, le concours annuel entre les deux batteries a ét;é rendu officiel à l'initiative d'un habitant de Kingston, Wally Cusick, qui a présent;é une coupe en argent à l'équipe; gagnante. Depuis, les soldats des deux batteries se donnent un rendez-vous annuel sur la glace pour

essayer de remporter la coupe, connue désormais; sous le nom de la Coupe Kingston.

La partie cette année; a ét;é durement disputée.; Les joueurs ont oublié leur camaraderie, le temps d'un match, et se sont livrés; à un combat acharné pour défendre; l'honneur de leur batterie respective. Pendant les 30 dernières; secondes de la partie, sur une poussée; offensive, l'équipe; de la batterie B a marqué le dernier but, mais il était; déj;à trop tard, l'équipe; de la batterie A ayant une avance d'un but. C'est finalement cette dernière; que le commandant du 1 RCHA, le lieutenant- colonel Bob Chamberlain a déclar;ée; gagnante de la Coupe Kingston par 8 buts à 7.

Le bdr McIvor, technicien d'artillerie au sein de la batterie A, 1 RCHA, faisait partie de l'équipe; qui a remporté la Coupe Kingston.

LCol Bob Chamberlain presents the Kingston Cup to Maj Mike Johnstone of the A Battery team as Maj Simon Hetherington of B Battery looks on.

Le lcol Bob Chamberlain présente; la coupe au maj Mike Johnstone de l'équipe; de la batterie A, sous le regard attentif du maj Simon Hetherington de la batterie B.

Vaccinations mandatory 'without reasonable excuse'


By Capt Phillip Drew

The Court Martial Appeal Court (CMAC) handed down its decision in the case of Sergeant (Ret) Mike Kipling on January 11, 2002. The Crown's appeal against the trial judge's stay of proceedings in the court martial of Sgt Kipling was allowed. As a result of the CMAC decision, it remains an offence to refuse to accept a vaccination without reasonable excuse.

Sgt Kipling was a flight engineer with 435 Squadron Detachment, Kuwait, part of the CF deployment to the Middle East, in 1998. In light of the threat that anthrax posed during that mission, CF personnel near Iraq were ordered to undergo vaccination. Sgt Kipling refused to be vaccinated, apparently because he believed the anthrax vaccine might be harmful. As a result of his refusal, he was charged by his commanding officer under section 126 of the National Defence Act, which makes it an offence to refuse an order to undergo vaccination without a reasonable excuse.

The CMAC found the trial judge's ruling effectively concluded that any order under section 126 was constitutionally impossible.The CMAC disagreed with this conclusion and found the trial judge's decision constituted an error in law.The CMAC also found the trial judge had committed an error in law by failing to balance individual rights against the public interest, as well as the interests, effectiveness and efficiency of the CF. The CMAC allowed the Crown's appeal, set aside the stay of proceedings, and ordered a new trial.

The ordering of a new trial by the CMAC does not necessitate the convening of a new court martial. Any decision on a retrial will ultimately be made by the Director of Military Prosecutions after having considered the views of the chain of command. Lieutenant- Colonel Benoit Pinsonneault, Deputy Director of Military Prosecutions, said, "Before proceeding on a retrial, we must be satisfied that there continues to be a reasonable prospect of conviction and that it remains in the public interest to continue to proceed." Capt Drew is with the Judge Advocate General in Ottawa.

Les vaccins sont obligatoires sauf motif valable


par le capt Phillip Drew

Le 11 janvier 2002, la Cour d'appel de la cour martiale (CACM) a rendu sa décision; concernant le cas du sergent (ret.) Mike Kipling. L'appel interjeté par la Couronne contre la décision; du juge de suspendre les procédures; dans le cas de la cour martiale du sgt Kipling a ét;é admis. Ainsi, par suite de la décision; de la CACM, le refus de se faire vacciner sans motif valable constitue toujours une infraction.

Le sgt Kipling était; un mécanicien; de bord au sein du détachement; du 435e Escadron, au Koweït;, dans le cadre du déploiement; des FC au Moyen-Orient en 1998. Craignant une attaque à l'anthrax au cours de cette mission, le commandement a ordonné à tout le personnel des FC déploy;ées; à proximité de l'Irak de se faire vacciner. Le sgt Kipling a refusé l'inoculation, affirmant que ce vaccin comportait des risques pour la santé.; Son commandant l'a donc mis en accusation en vertu de l'article 126 de la Loi sur la défense; nationale, selon lequel le fait de désob;éir; à un ordre de se faire vacciner sans motif valable constitue une infraction.

La CACM a relevé la conclusion du juge selon laquelle tout ordre donné en vertu de l'article 126 était; incompatible avec la Constitution. Mais la CACM a rejeté cette conclusion et a estimé qu'elle constituait une erreur légale;, le juge n'ayant pas établi;, selon elle, un juste équilibre; entre les droits individuels d'un côt;é, l'intér;êt; public, celui des FC, leur efficacité et leur efficience de l'autre. La CACM a donc admis l'appel de la Couronne, annulé le sursis de l'instance et ordonné la tenue d'un nouveau procès.;

Cet ordre de la CACM ne nécessite; pas la convocation d'une nouvelle cour martiale, puisqu'il revient au Directeur - Poursuites militaires de prendre une décision; à cet égard; après; une révision; des points de vue de la chaîne; de commandement. Toutefois, le lieutenant- colonel Benoit Pinsonneault, Directeur adjoint - Poursuites militaires a déclar;é qu'avant de décider; de la tenue d'un nouveau procès; « il faudrait s'assurer qu'il y a encore des possibilités; raisonnables de condamnation et que la poursuite de l'enquête; servirait toujours les intér;êts; du public ».;  
Le capt Drew travaille auprès; du Juge-avocat gén;éral; à Ottawa.

Vol. 5 No. 9 * 2002


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

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International Women's Day


By Capt Julie Brazeau

The uniformed gentleman across from me reeled with laughter. It was 1988, and I was trying to get into the Army Reserve as an artillery gunner.

"I'm going to give you two choices: finance or administration," he said. "Women won't be allowed in the Artillery for many years!"

He was laughing as he looked down at me, waiting for my reply. Apparently a female in the Artillery was a ridiculous prospect. To my delight, the scenario was reversed when a turn of events in 1989 led to the official acceptance of women into the combat arms. I signed up immediately.

As a combat arms officer, I owe a great deal to the movement of women who struggled for better working conditions and recognition of their fundamental rights.

The United Nations' women's day Web site says, "The idea of an International Women's Day first arose at the turn of the century, which in the (industrialized) world was a period of expansion and turbulence, booming population growth and radical ideologies." German socialist leader Clara Zetkin, inspired by the American Women's Day, proposed International Women's Day to recognize women's struggles around the world.

The Second International Conference of Socialist Women, held in Copenhagen, Denmark, in 1910, agreed unanimously.The 100 delegates, representing 17 countries, passed the resolution and the first International Women's Day was held on March 19, 1911, in Austria, Denmark, Germany and Switzerland.

On March 8, women from all over Canada will gather for International Women's Day. The theme of this year's national event is "Working in Solidarity: Women, Human Rights and Peace."

This is a day when ordinary women tell their stories as makers of history. Many are amazing stories, such as the sexual strike in ancient Greece, which was initiated against men in order to end war. During the French Revolution, Parisian women calling for "liberty, equality, fraternity" marched on Versailles to demand women's suffrage. Other stories are about the work and deeds that make a difference but are done quietly every day in communities far and wide.

Within DND a number of International Women's Day events and activities are planned across the country. Capt Brazeau is an Artillery Officer currently working at NDHQ in Ottawa.

Image: Cpl Lise Grondin, an administration clerk, prepares to hit the road with a Coyote troop while serving in the Former Yugoslav Republic of Macedonia last year.MCPL / CPLC BRIAN WALSH, COMBAT CAMERA
Image: Naval Communicator LS Stacey English is serving with HMCS Preserver on Op APOLLO.MCPL / CPLC BRIAN WALSH, COMBAT CAMERA

La mat 1 Stacey English, spécialiste; en communications navales, à bord du NCSM Preserver lors de l'Op Apollo.

Lors d'une période; de service dans l'ex-République; yougoslave de Macédoine;, l'année; dernière;, le cpl Lise Grondin, commis d'administration, se préparait; à prendre la route avec une troupe de Coyote.

Journée; internationale de la femme


par le capt Julie Brazeau

Le militaire en uniforme assis en face de moi riait à gorge déploy;ée.; Nous étions; en 1988, et j'essayais de m'enrôler; dans la Réserve; de l'Armée; de terre en tant que membre de l'artillerie.

« Je vais vous offrir deux choix, les finances ou l'administration », m'a-t-il dit. « Les femmes ne pourront pas se joindre à l'artillerie avant longtemps! »

Il riait en observant ma réaction.; Apparemment, l'idée; d'avoir une femme dans les rangs de l'artillerie lui semblait particulièrement; ridicule. Mais la situation a vite tourné à mon avantage et un développement; survenu un an plus tard, en 1989, a entraîn;é l'acceptation officielle des femmes dans les armes de combat. Je me suis enrôl;ée; immédiatement.;

À titre d'officier des armes de combat, je dois une fière; chandelle au mouvement des femmes qui ont milité pour obtenir de meilleures conditions de travail et faire reconnaître; leurs droits fondamentaux.

Sur le site Web de la Journée; internationale de la femme des Nations Unies, on précise; que « l'idée; d'une telle cél;ébration; a vu le jour au début; du siècle;, alors que le monde (industrialisé) traversait une période; d'expansion et de turbulence, et connaissait une forte croissance démographique; et un foisonnement d'idéologies; radicales ».; Inspirée; par la Journée; des femmes aux États-Unis;, Clara Zetkin, dirigeante socialiste allemande, a proposé la création; d'une Journée; internationale de la femme afin de reconnaître; les luttes des femmes et leur rôle; à l'échelle; mondiale.

Les participantes à la deuxième; conférence; internationale des femmes socialistes, tenue à Copenhague, au Danemark, en 1910, ont accepté l'idée; à l'unanimité.; Les 100 dél;égu;ées;, venues de 17 pays, ont adopté la résolution;, et la première; Journée; internationale de la femme a ét;é cél;ébr;ée; le 19 mars 1911, en Autriche, au Danemark, en Allemagne et en Suisse.

Le 8 mars prochain, des femmes de toutes les régions; du Canada se réuniront; dans le cadre de la Journée; inter- nationale de la femme qui a pour thème; national cette année; « Solidaires dans l'action : femmes, droits fondamentaux et paix ».;

Cette journée; est devenue aussi un rendez-vous annuel au cours duquel s'échangent; les histoires de femmes ordinaires qui ont réussi; à laisser leurs marques et à influencer le cours des év;énements.; Des récits; historiques assez étonnants; sortent ainsi de l'ombre, comme celui d'une grève; sexuelle déclar;ée; par les femmes dans la Grèce; antique afin d'inciter les hommes à mettre fin à la guerre. Durant la Révolution; française;, des Parisiennes ont marché sur Versailles aux cris de « liberté, égalit;é, fraternité » afin de réclamer; le droit de vote. D'autres récits; mettent l'accent sur la contribution discrète; mais essentielle des femmes dans l'amélioration; des conditions de vie dans différentes; communautés; à travers le monde.

Au MDN, un grand nombre d'activités; sont également; prévues; d'un bout à l'autre du pays pour cél;ébrer; cet év;énement.; Le capt Brazeau est officier d'artillerie au QGDN, à Ottawa.

Image: MCpl Stacey Sigurdson at the ready in a Sea King helicopter during training flights en route to the Arabian Sea for Op APOLLO.MCPL / CPLC BRIAN WALSH, COMBAT CAMERA
Image: Jan Davidson is a nurse with the CF Health Care Centre in Ottawa.MCPL / CPLC BRIAN WALSH, COMBAT CAMERA

Le cplc Stacey Sigurdson s'apprête; à intervenir à bord d'un hélicopt;ère; Sea King, lors de vols d'instruction effectués; vers la mer d'Arabie dans le cadre de l'Op Apollo.

Jan Davidson, infirmière; au Centre de santé des FC, à Ottawa.


THE MAPLE LEAF LA FEUILLE D'ÉRABLE;

Vol. 5 No. 9 * 2002


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