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Maple Leaf


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Pages 1-3, Maple Leaf, January 22 2003, Vol. 6, No. 2

page 1-3, La feuille d'érable, Le 12 janvier 2003 vol. 6, no2

Ultra Fit, Ultra Proud

Maj Tony O'Keeffe, Aerospace Control Occupation Career Manager, finished second out of 24 international competitors in the November Ultraman competition in Hawaii. He swam 10 km, cycled 420 km and ran 84 km over the three-day race.

Fier et en forme

Le Maj Tony O'Keeffe, gestionnaire de carrières du Contrôle aérospatial, s'est classé deuxième parmi les 24 concurrents internationaux qui ont participé au championnat Ultraman en novembre dernier, à Hawaï. Il a parcouru 10 km à la nage, 420 km en vélo et couru 84 km au cours de l'épreuve de trois jours.

CF subject to Employment Equity Act

By Scott Costen

The CF is now governed by the provisions of the Employment Equity Act and is liable for audit by the Canadian Human Rights Commission within five years.

Despite its new obligations under the law, the CF's approach to employment equity will not change noticeably." For most people, there will be no visible impact," said Lieutenant-Colonel Josée-Ann Paradis, the section head responsible for employment equity programs and outreach. "We have worked under the spirit of the Act for a long time and have been very proactive in terms of employment equity."

Originally proclaimed in 1986, the Employment Equity Act is designed to address barriers to employment and advancement faced by four designated groups: women, Aboriginal peoples, visible minorities and persons with disabilities. Employment equity regulations specific to the CF were enacted last month.

"The CF is considered a special case as far as this legislation is concerned," said LCol Paradis. "We are still subject to the National Defence Act, and provisions have been made to ensure our operational effectiveness. The requirements of the legislation notwith-standing, people enrolling in the CF will have to meet all existing admission requirements, including minimum medical standards."

The Act requires the military to collect workforce information, conduct a workforce analysis, review its employment systems and update its employment equity plan. The Canadian Human Rights Commission audit will examine 12 criteria, including how well the CF's representation reflects the four desig-nated groups when compared to the national workforce.

"They will be looking for barriers to employment, training and promotion," said LCol Paradis." They will also want to ensure we provide fair and supportive working environments that accommodate the needs of each group."

Employment equity is not only the law and the right thing to do, she said. It is also an important part of the CF's human resources and recruiting strategy. "This is the only way we can remain viable in the 21st century. We need to take advantage of and reflect the changing face of Canada."

Les FC assujetties à la Loi sur l'équité en matière d'emploi

par Scott Costen

Les FC sont maintenant assujetties aux dispo-sitions de la Loi sur l'équité en matière d'emploi et susceptibles d'être l'objet d'une vérification par la Commission canadienne des droits de la personne, et cela d'ici cinq ans.

En dépit des nouvelles obligations découlant de la Loi, l'approche des FC face à l'équité en emploi ne changera pas de façon perceptible. « En ce qui a trait à la plupart des gens, il n'y aura pas de répercussion évidente », a indiqué le Lieutenant-colonel Josée-Ann Paradis, chef de section responsable des programmes d'équité en emploi et des mesures d'interven-tion directe. « Nous respectons l'esprit de la Loi depuis longtemps et avons été très proactifs au chapitre de l'équité en emploi. »

Promulguée pour la première fois en 1986, la Loi sur l'équité en matière d'emploi a pour but de supprimer les obstacles à l'emploi et à l'avancement que rencontrent les quatre groupes désignés : les femmes, les Autochtones, les minorités visibles et les personnes handicapées. Les règlements sur l'équité en emploi visant très précisément les FC ont été adoptés le mois passé.

« En ce qui concerne cette législation, les FC sont considérées comme un cas d'exception », a expliqué le Lcol Paradis. « Nous sommes toujours assujettis à la Loi sur la défense nationale et des dispositions ont été établies pour garantir notre efficacité opérationnelle. En dépit des exigences de la législation, les personnes qui s'enrôlent dans les FC vont devoir respecter toutes les conditions d'admis-sion actuelles, y compris les normes médicales minimales. »

La Loi exige que les autorités militaires recueillent des informations sur l'effectif, qu'elles fassent une analyse de l'effectif, examinent leurs systèmes d'emploi et mettent à jour leur plan d'équité en emploi. La vérification de la Commission cana-dienne des droits de la personne portera sur 12 critères, incluant la mesure dans laquelle la représentation des quatre groupes désignés, au sein des FC, reflète leur disponibilité au sein de la population active du pays.

« Ils vont examiner les obstacles à l'emploi, à la formation et à l'avancement », a poursuivi le Lcol Paradis. « Ils vont aussi vouloir s'assurer que nous offrons des milieux de travail qui sont justes, favorables à l'équité et qui tiennent compte des besoins de chaque groupe. »

L'équité en emploi n'est pas seulement une exigence de la Loi ni seulement la bonne chose à faire, a-t-elle ajouté. Il s'agit aussi d'un élément important de la stratégie de res-sources humaines et de recrutement des FC. « C'est le seul moyen de rester viable, en ce XXI e siècle. Il faut tirer avantage du nouveau visage du Canada et en tenir compte. »

LGen (Ret) Dallaire receives honorary degree

By Lt Dave Devenney

ANTIGONISH, N. S. - Lieutenant-General (Ret) Roméo Dallaire received a honorary Doctor of Law degree from St. Francis Xavier University last month in recognition of his service to Canada and specifically his role as commander of the UN Observer Mission - Uganda and Rwanda and the UN Assistance Mission for Rwanda.

During his acceptance speech given to an audience that included many inter-national students, some from Rwanda, LGen Dallaire addressed Canada's duty towards human rights.

"I am pursuing very much the advance-ment and responsibilities of Canada in leading the advancement of human rights even at the cost of Canadian blood in foreign lands," he said.

Since leaving the military in April 2000, LGen Dallaire has taken on many roles, most significantly acting as the advisor to the Minister of International Cooperation on matters relating to war affected children around the world.

His links with the military continue, including support to Veterans Affairs Canada to redesign policy in order to address the flow of younger veterans in Canada, as well as helping the CF in its review of the officer and NCM education policies imple-mented in 1999.

He is also involved in the CF's Rx2000 health care project.

"I am working on the Rx2000 project in order to shift cultures to move mental health to be as much a main stream problem to operational effectiveness as we did with PTSD," said LGen Dallaire. "The problems (of mental health) creep up on us when we are in garrison and has an affect on our operational effectiveness."

He is currently working on a book that is due out in April 2003 and has been accepted to attend Harvard University to study conflict resolution.
Lt Devenney is a PAO with LFAA.

Doctorat honorifique décerné au Lgén (ret) Dallaire

par le Lt Dave Devenney

ANTIGONISH (N.-É.) - Le Lieutenant-général (ret) Roméo Dallaire a reçu un doc-torat en droit honorifique de l'Université St. Francis Xavier, le mois dernier, pour service rendu pour sa patrie et surtout pour le rôle qu'il a joué à titre de commandant de la Mission d'observation des Nations Unies Ouganda-Rwanda et de la Mission des Nations Unies pour l'assistance au Rwanda.

Dans son mot de remerciement, qu'il a prononcé devant un public comprenant de nombreux étudiants étrangers, dont quelques Rwandais, le Lgén Dallaire a abordé les obligations du Canada à l'égard des droits de la personne.

« J'insiste beaucoup sur la responsabilité qu'a le Canada à être un chef de file en matière de promotion des droits de la personne, même au prix de la perte de vies canadiennes à l'étranger », a-t-il déclaré.

Depuis qu'il a quitté la vie militaire en avril 2000, le Lgén Dallaire a assumé de nombreux rôles, notamment celui de conseiller du ministre de la Coopération internationale pour les questions liées aux enfants touchés par la guerre partout dans le monde.

Il conserve ses liens avec le monde mili-taire, notamment en appuyant les efforts d'Anciens Combattants Canada visant à réviser ses politiques afin de faire face à l'arrivée de jeunes anciens combattants au Canada, ainsi qu'en aidant les FC avec leur examen des politiques d'éducation des officiers et des militaires du rang, mises en oeuvre en 1999.

Il participe également au Projet de santé mentale - Rx2000 des FC.

« Je travaille sur le projet Rx2000 dans le but de changer les mentalités et de faire de la santé mentale une préoccupation aussi courante que le SSPT en matière d'efficacité opérationnelle », a expliqué le Lgén Dallaire. « Ces problèmes (de santé mentale) se mani-festent dans les garnisons et ont une inci-dence sur notre efficacité opérationnelle. »

Le Lgén Dallaire prépare actuellement un livre, dont la sortie est prévue en avril 2003. Par ailleurs, il a été admis à l'Université Harvard, où il suivra des études dans le domaine du règlement des conflits.
Le Lt Devenney est OAP, SAFT.

SGT JERRY KEAN
LGen Dallaire addresses the graduating class of St. Francis Xavier University after receiving his eighth honorary degree.
Le Lgén Dallaire s'adresse à la promotion de l'Université St. Francis Xavier après l'obtention de son huitième grade honorifique.

Pushing past the pain, CF member takes silver in Ultraman

By Holly Bridges

It was while he was running through the lava fields, with the hot, Hawaiian sun beating down on his neck, blisters seeping into his socks, that Major Tony O'Keeffe finally got the sign - the sign that his nearest opponent was ready to crack.

At that point, the two Ultraman triathletes were in second and third place, running shoulder to shoulder for 50 kilometres straight. Maj O'Keeffe knew that if he could "peel back the layers and dig down deep enough" to pull ahead, he could demoralize his opponent, shave off the 22-minute difference between them and maybe, just maybe have a crack at the title.

"I knew between the two of us, one of us was going to break because the pace we were going at was not leisurely," recalls the 41-year-old O'Keeffe. "He was prepared to let me do all the work if he could just keep me in sight. At the 50-km mark, he let it be known that he was suffering so I kicked it up a notch because I needed to make 20 minutes off him. I thought,' If he's hurting, okay, I've got to hurt him more. ' " Maj O'Keeffe's strategy worked, and he pulled ahead squarely into second place, continuing to hold the spot until he finally crossed the finish line in one of the world's most gruelling amateur sporting events - the Ultraman World Championships - a punishing three-day event involving a 10-km ocean swim, 420-km bike ride, and 84-km run.

"I had trained over and over and over again, saying 'This is good running form, This is good running form, This is good running form'. It was just imprinted into the muscles. Now the plan was to execute that once I was spent. In other words, 'I'm now where I was afraid to be. My body's hurt, I'm hungry, tired, sore and so is everybody else. ' Under pressure, that's when your character comes out and that's what I wanted to know. What am I like when I've just had enough? Who's going to crack first? That's when the race really began for me."

As one of only 24 competitors in the world who applied and were invited to compete in the elite Ultraman Triathlon in Hawaii, Maj O'Keeffe, the Aerospace Control Occupation Career Manager with ADM( HR-Mil) in Ottawa, trained for a year for the event. With 15 Ironman competitions under his belt, he knew what he was doing, except this time he gave up driving completely, choosing instead to run, walk, swim and cycle as much as six hours a day, sometimes even rising at 3: 00 a. m. to run for three hours before work. That of course does not include his noon-hour swims or after-work runs as well.

"Most people would fail at the training, never mind the actual race," says Marty Raymond, Maj O'Keeffe's coaching advisor, CF Fitness and Sports Instructor and a triathlete himself. "I have never, ever witnessed someone push themselves in an endurance event the way Tony did in this one. The pain going through an athlete in a race like this is incredible but Tony managed to put it behind him and perform. I think his performance also sends a message to members of the Canadian Forces, that despite working full-time, having a family, a house and other responsibilities, we can incorporate fitness into our daily lives. It's our duty."

Mr. Raymond credits Registered Massage Therapist (RMT), Petty Officer, 2nd Class Dan Bodden of Esquimalt with tending to Maj O'Keeffe's tired muscles every day of the three-day event. "When Tony showed up for the double marathon on the third day, he felt really, really good. And I think he was the only one who had 'fresh legs' so PO 2 Bodden did just an outstanding job."

Now that the event is over, the man of steely determi-nation is already turning his sights to his next big challenge. "At Christmas my 74-year-old mother found a race for me on the Internet for next February. It's a three-day, 190-kilometre race through the Sahara desert. She asked me if I wanted to do it and I said, 'Okay, why not ?!!!."

Un militaire des FC remporte la médaille d'argent de l'Ultraman

par Holly Bridges

C'est en sillonnant les champs de lave, accablé par le soleil chaud de Hawaï qui lui brûlait le cou et par les ampoules qui suintaient sur ses chaussettes, que le Major Tony O'Keeffe a finalement compris que son plus proche concurrent était sur le point de craquer.

Les deux triathloniens de l'Ultraman occupaient alors la deuxième et la troisième place, courant côte à côte pendant 50 kilomètres d'affilée. Le Maj O'Keeffe savait que s'il arrivait « à retrancher certaines couches et à se concen-trer assez profondément » pour distancer son rival, il pourrait le démoraliser, rogner les 22 minutes d'écart qui les séparaient et peut-être, qui sait, s'essayer pour le titre.

« Je savais que l'un de nous deux allait s'effondrer parce que le rythme que nous maintenions n'avait rien d'indolent », se rappelle le Maj O'Keeffe, 41 ans. « Il était disposé à me laisser faire tout le travail, à condition de ne pas me perdre de vue. À la marque du 50 km, il a laissé savoir qu'il peinait, alors j'ai accéléré parce que je devais arriver à nous distancer de 20 minutes. Je me suis dit :" Il a mal, parfait, je dois aug-menter sa douleur". » La stratégie du Maj O'Keeffe a porté ses fruits : il a carrément pris la seconde place et su s'y maintenir jusqu'à franchir la ligne d'arrivée de l'une des manifestations sportives amateurs les plus exténuantes du monde. Les championnats mondiaux d'Ultraman, une épuisante épreuve de trois jours, comprennent 10 km de nage en mer, 420 km de bicyclette et 84 km de course.

« Je m'étais entraîné encore et encore et encore, en me répétant C'est la bonne façon de courir, C'est la bonne façon de courir, C'est la bonne façon de courir. Elle était ancrée dans mes muscles. Le plan consistait à l'exécuter maintenant que j'étais épuisé. Autrement dit : J'en suis là où je craignais de me retrouver. J'ai mal partout dans mon corps, j'ai faim, je suis fatigué, et il en va de même pour tous les autres. » C'est sous pression que votre caractère apparaît et c'est ce que je voulais savoir. Quelle sera ma réaction quand j'en aurai tout simplement assez? Qui va s'effondrer en premier? C'est à ce moment que la course a réellement commencé pour moi. »

Se retrouvant parmi les 24 concurrents internationaux à avoir présenté une demande et à avoir été invité à prendre part au triathlon d'élite Ultraman à Hawaï, le Maj O'Keeffe s'est entraîné pendant une année pour cette épreuve. Dans la vie de tous les jours, il est gestionnaire de carrière - Contrôle aérospatial - auprès du SMA (RH-Mil) à Ottawa. Fort de 15 compétitions Ironman, il savait ce qu'il faisait, sauf que cette fois il a complètement cessé de conduire et plutôt opté pour la course, la marche, la nage et la bicyclette jusqu'à six heures par jour. Il se levait parfois à 3 h du matin pour pouvoir courir pendant trois heures avant de se rendre au travail. Et cela n'inclut pas, bien sûr, la natation qu'il pratique à midi et les courses à pied après le travail.

« La plupart des gens échoueraient à l'entraînement, sans parler de la course elle-même », explique Marty Raymond, entraîneur conseil du Maj O'Keeffe, instructeur d'éducation physique et de sport des FC et lui-même triathlonien. « Jamais je n'ai vu quelqu'un s'imposer une épreuve d'endurance comme Tony l'a fait cette fois. La douleur que ressent un athlète dans une course comme celle-ci est incroyable, mais Tony a réussi à mettre tout cela de côté et à atteindre son objectif. Je pense que son rendement est comme un message adressé aux militaires des Forces canadiennes. En dépit d'un travail à plein temps, des responsabilités familiales et autres, nous pouvons trouver du temps chaque jour pour les exercices de mise en forme. C'est là notre devoir. »

M. Raymond rend hommage au massothérapeute autorisé, Maître de 2 e classe, Dan Bodden, d'Esquimalt qui s'est occupé des muscles fatigués du Maj O'Keeffe pendant chacun des trois jours de la compétition. « Quand Tony s'est présenté au double marathon le troisième jour, il se sentait vraiment très bien. Et je pense qu'il était le seul à avoir de "nouvelles jambes"; ainsi, le M 2 Bodden a fait un travail exceptionnel. »

Maintenant que l'épreuve est terminée, cet homme à la volonté de fer se tourne déjà vers son prochain grand défi.

« À Noël, ma mère, âgée de 74 ans, m'a trouvé, sur Internet, une course prévue pour février. Il s'agit d'une course de trois jours de 190 kilomètres à travers le Sahara. Elle m'a demandé si je voulais la courir et j'ai répondu : « Oui, pourquoi pas?!!!. »

The Ultraman Team: RMT PO 2 Bodden, Maj O'Keeffe and coaching advisor and instructor Mr. Raymond celebrate their accomplishment and friendship in Hawaii. Their trip would not have been possible without the financial and moral support of the CF Support Unit, Personnel Support Program, the Air Force and the CF National Triathlon Team.

L'équipe de l'Ultraman : le massothérapeute M 2 Bodden, le Maj O'Keeffe et l'entraîneur conseil et instructeur Marty Raymond célèbrent leur réussite et leur amitié à Hawaï. Le voyage n'aurait pas été possible sans le soutien financier et moral de l'Unité de soutien des FC, du Programme de soutien du personnel, de la force aérienne et de l'équipe nationale de triathlon des FC.
The top three Ultraman results were as follows for
November 29, 30 and December 1:
Résultats des trois premiers triathloniens d'Ultraman -
29, 30 novembre et 1 er décembre :
    SWIM/
NATATION
CYCLE/
BICYCLETTE
RUN/
COURSE
OVERALL/
GÉNÉRAL
1. Gordo Byrn 33 NZL 2: 44: 50 13: 08: 06 7: 32: 00 23: 24: 56
2.Tony O'Keeffe 41 CAN 3: 11: 12 14: 11: 28 7: 04: 57 24: 27: 37
3. Donald Fink 44 USA 3: 12: 31 13: 51: 05 7: 52: 16 24: 55: 52

 

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