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Maple Leaf


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Pages 4 - 5, Maple Leaf, January 29 2003, Vol. 6, No. 3

page 4 - 5, La feuille d'érable, Le 29 janvier 2003 vol. 6, no3

Ministerial commendation for ‘exemplary’ officer

By Scott Costen

An Air Force officer has become the first serving CF member to receive the Minister of Veterans Affairs Commendation.

Captain Terry Hunter, Training Development Officer with 403 Squadron at CFB Gagetown, received the commendation earlier this month. “I was very surprised, but very pleased,” he said. “It is an honour to be recognized this way.”

An active member of the Royal Canadian Air Force Association and the Royal Canadian Legion, he devotes spare time to a number of initiatives that support veterans and promote remembrance of their accomplishments.

Capt Hunter has visited veterans in retirement homes, organized Second World War re-enactment groups and staged a number of public events and displays. He also helps maintain the graves of British airmen buried at the Sherwood Cemetery in his native Charlottetown.

A CF member for 26 years, Capt Hunter said his interest in military history is partly fuelled by the fact his father is a Second World War veteran and his mother a war bride. “I grew up listening to their stories,” he said. “I wanted to get involved in promoting remembrance because the sacrifices of Canadian veterans are not always conveyed to the public.”

The Minister of Veterans Affairs Commendation was approved by the Governor General in 2001 and is awarded to individuals who have contributed to the care and well-being of veterans or to individuals who have contributed in an exemplary manner to the remembrance of the sacrifices and achievements of veterans. It consists of a bar to be worn below official decorations, a lapel pin for civilian wear and a certificate.

La Mention élogieuse du ministre pour un officier « exemplaire »

par Scott Costen

C’est à un officier d’aviation que revient l’honneur d’être le premier militaire des FC en service à recevoir la Mention élogieuse du ministre des Anciens Combattants.

Le Capitaine Terry Hunter, officier du développement de l’instruction du 403e Escadron de la BFC Gagetown, a reçu la mention élogieuse un peu plus tôt ce mois-ci. « J’étais très étonné, mais très content », a-t-il indiqué. « C’est un honneur que d’obtenir ce genre de reconnaissance. »

Le Capt Hunter est membre actif de l’Association de la Force aérienne du Canada et de la Légion royale canadienne et il consacre ses temps libres à des activités qui ont pour but d’aider les anciens combattants et de perpétuer le souvenir de leurs réalisations.

Le Capt Hunter rend visite à des anciens combattants, dans des maisons de retraite; il s’occupe de groupes que la reconstitution d’événements de la Seconde Guerre mondiale intéresse et met sur pied un certain nombre d’activités publiques et d’expositions. Il collabore en outre à l’entretien des tombes des pilotes britanniques enterrés au cimetière de Sherwood, dans sa ville natale Charlottetown.

Membre des FC depuis 26 ans, le Capt Hunter a expliqué que son intérêt pour l’histoire militaire était en partie attribuable au fait que son père est un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale et que sa mère est une épouse de guerre. « J’ai grandi en écoutant leurs récits », a-t-il ajouté. « Je voulais m’investir dans la promotion du souvenir parce que le public n’est pas toujours bien informé des sacrifices consentis par les anciens combattants canadiens. »

La Mention élogieuse du ministre des Anciens Combattants a été approuvée par la gouverneure générale en 2001 et elle est décernée aux personnes qui s’occupent des anciens combattants et veillent à leur mieux-être ou encore aux personnes qui, par leur comportement exemplaire, contribuent à perpétuer le souvenir des sacrifices et des réalisations des anciens combattants. Elle comprend une barrette qui se porte en-dessous des décorations officielles, une épinglette pour les tenues civiles et un certificat.

Journalists and CF learn more about each other

By Maj Tony Keene

CFB KINGSTON — For three days in December, journalists from across Canada gathered to take part in training to prepare them for future coverage of CF operations.

At the Peace Support Training Centre, they were shown how to talk their way out of trouble, and how to probe their way out of a minefield. “The message that came through clearly was that, in a theatre of operations, a journalist will be safest with the troops,” said Levun Sevunts, a veteran reporter with Montréal’s Gazette newspaper. He spent two months in Afghanistan, and has seen combat first-hand.

“Even the parts of the course we felt we didn’t need were very informative and useful,” he said. “We would like to have more hands-on training in the future, to prepare us to embed ourselves in a CF unit.”

There were several highly experienced journalists on the course, which also included producers, photographers and videographers. The training was essentially a condensed version of the seven-day course given to personnel prior to operations.

“You’ve changed the way we look at things,” the school’s commandant told the participants at the end of the course. Lieutenant-Colonel John Moyer said “Journalists approach a problem from a different angle...and that enlightens us.”

The journalists and the instructors were also able to talk informally about their personal experiences in dangerous places.

The course was sponsored by Director General Public Affairs and conducted at the PSTC, which has been in existence since 1996. During the course journalists were also given some training in biological and chemical defence, provided by Sergeant Wayne Taggart and his team from Canadian Forces Support Unit (Ottawa).

Other subjects covered included mediation and negotiation techniques, cultural awareness, vehicle and equipment recognition, and preventive medicine.

They learned how to safely handle and make safe a wide variety of foreign weapons, and donned coveralls to get down in the snow and mud to probe for mines. They were also given briefings about the role of the CF Joint Operations Group, and the CF Joint Signals Regiment, both of which have their headquarters at Kingston.

DGPA is hoping to provide similar training in the future.

Maj Keene is a Reserve PAO.

Journalistes et FC réunis : pour une meilleure synergie

par le Maj Tony Keene

BFC KINGSTON — Pendant trois jours, en décembre, des journalistes d’un peu partout au Canada se sont réunis pour participer à une formation susceptible de les préparer à assurer la couverture médiatique des opérations des FC à venir.

Au Centre de formation des FC pour le soutien de la paix (CFFCSP), on leur enseigne à se sortir d’un mauvais pas et à se frayer un chemin à travers les champs de mines. « Le message qui ressort clairement est que dans un théâtre d’opérations, c’est avec les troupes qu’un journaliste est le plus en sécurité », a affirmé Levun Sevunts, journaliste de longue date à la Gazette de Montréal. Ce dernier a passé deux mois en Afghanistan, et il a été directement témoin de combats.

« Même les portions du cours dont nous estimions ne pas avoir besoin ont été très instructives et utiles », a-t-il fait remarquer. « Nous aimerions recevoir davantage de formation pratique dans l’avenir, pour nous préparer à une intégration à une unité des FC. »

Plusieurs journalistes des plus expérimentés ont assisté au cours, avec des producteurs, des photographes et des vidéographistes. Il s’agissait essentiellement d’une version condensée du cours de sept jours donné au personnel avant les opérations.

« Vous avez changé notre façon de voir les choses », a expliqué le commandant de l’école aux participants à la fin du cours. Le Lieutenant-colonel John Moyer a indiqué : « Les journalistes abordent un problème donné sous un angle différent... et cela nous éclaire. »

Les journalistes et les instructeurs ont également pu avoir des échanges informels au sujet de leurs expériences personnelles dans des endroits dangereux.

Le cours était parrainé par le Directeur général des Affaires publiques et il a été donné au CFFCSP qui existe depuis 1996. Pendant le cours, les journalistes bénéficient en outre d’une formation en défense biologique et chimique, dispensée par le Sergent Wayne Taggart et son équipe de l’Unité de soutien des FC (Ottawa).

Parmi les autres sujets abordés, mentionnons les techniques de médiation et de négociation, la sensibilisation aux autres cultures, les véhicules et l’équipement ainsi que la médecine préventive.

Ils ont appris à manipuler en toute sécurité et à rendre sécuritaire tout un éventail d’armes étrangères et ils ont revêtu des combinaisons pour marcher dans la neige et la boue à la recherche de mines. Ils ont aussi été informés du rôle du Groupe des opérations interarmées des FC et du Régiment des transmissions interarmées des FC, qui ont tous deux leurs quartiers généraux à Kingston.

La DGAP espère offrir une formation semblable dans l’avenir.

Le Maj Keene est OAP dans la Réserve.

Canadian Defence Academy goes on the road

By LCdr John Coppard

CFB KINGSTON — Academics and military education specialists from the Canadian Defence Academy (CDA) and RMC went to Alberta recently to explore new and innovative ways of delivering education to the CF. A 10-person team visited Athabasca University, the Northern Alberta Institute of Technology, the CF’s own Edmonton Learning Career Centre and Grant MacEwan College.

“We chose to visit the civilian institutions because they are Canadian leaders in delivering education to students where they need it, and when they need it,” said Lieutenant-Colonel Dennis Margueratt. “The Athabasca University motto, ‘Anywhere, Anytime’ is an educational concept we want to expand upon for the CF.”

Members of the Kingston-based CDA’s Directorate of Learning Management have been working since the CDA was created in April 2002, to improve linkages between CF and civilian educational courses, adopt best practices in education program delivery, and support the CDA’s Directorate of Professional Development in creating more officer/NCM common professional development packages.

While in Alberta, the CDA team was briefed in two main areas: emerging technologies and new techniques in education delivery. Technological developments discussed included the rapid increase in the availability of e-books, the use of PDAs, or pocket-PCs, that can download course material in electronic format, thus freeing students from relying on excessive printed material, and using Web-based curriculum development and validation applications. Educational delivery topics included: improving ways of collaborating between academic institutions, adopting best practices for keeping distant learners motivated, and striking the correct balance between distance and traditional classroom learning techniques.

Working closely with the Defence Learning Network and RMC’s Division of Continuing Studies, the CDA is in the process of picking and choosing from among a myriad of technologies, concepts and partnerships in education to find the most suitable way ahead to achieve the CF’s vision of a more professional officer and NCM corps by 2020.

“We’re in the business of creating military professionals by fostering lifelong learning for all members of the Forces, regard- less of rank,” says CDA Commander Rear-Admiral David Morse. “To do that we’ve got to get the education to the student using the best tools available.”

During their visit, CDA representatives were told approximately 200 soldiers from 1 PPCLI Battle Group, currently on ROTO 11 of Operation PALLADIUM, were registered for courses with Athabasca University.

“It’s encouraging,” said LCol Margueratt. “Our people are clearly serious about education, and we’re serious about supporting them.”

LCdr Coppard is a PAO with the CDA.

L’Académie canadienne de la Défense part en tournée

par le Captc John Coppard

BFC KINGSTON — Les universitaires et spécialistes de l’éducation militaire de l’Académie canadienne de la Défense (ACD) et du Collège militaire royal (CMR) se sont rendus récemment en Alberta pour explorer des façons nouvelles et novatrices de dispenser l’enseignement aux FC. Une équipe composée de dix personnes ont visité l’Athabasca University, le Northern Alberta Institute of Technology (NAIT), le Centre d’apprentissage et de carrière des FC, section Edmonton, de même que le Grant MacEwan College.

« Nous avons choisi de visiter ces établissements civils parce qu’ils sont des chefs de file canadiens lorsqu’il s’agit d’offrir un enseignement aux étudiants là où un besoin existe et au moment où ce besoin se fait sentir », a indiqué le Lieutenant- colonel Dennis Margueratt. « La devise de l’Athabasca University, “N’importe où, à tout moment”, illustre bien le concept éducatif que nous souhaitons développer pour les FC. »

Les membres de la Direction de la gestion de l’apprentissage de l’ACD, à Kingston, travaillent depuis la création de l’ACD, en avril 2002, à l’amélioration des liens entre les cours des FC et ceux des établissements civils, à l’adoption de pratiques exemplaires en matière de prestation de programmes éducatifs, et au soutien de la Direction du perfectionnement professionnel de l’ACD, afin de créer davantage de programmes de perfectionnement professionnel communs aux officiers et aux militaires du rang.

Pendant son séjour en Alberta, l’équipe de l’ACD a été informée sur deux sujets principaux : les nouvelles technologies et les nouvelles techniques de prestation de l’enseignement. Parmi les progrès technologiques dont il a été question, mentionnons la disponibilité de plus en plus grande de livres électroniques, l’utilisation de PDA – ou ordinateurs de poche – pour télécharger du matériel de cours en format électronique et libérer les étudiants d’une trop grande quantité de documents écrits, et le recours à des applications d’élaboration et de validation de programmes, sur Internet. Parmi les sujets liés à la prestation de l’enseignement, mentionnons l’amélioration des modes de collaboration entre les établissements universitaires, l’adoption de pratiques exemplaires pour maintenir la motivation des étudiants à distance et l’établissement d’un équilibre entre les techniques d’apprentissage à distance et l’enseignement traditionnel en classe.

En étroite collaboration avec le Réseau d’apprentissage de la Défense (RAD) et le Bureau des études permanentes (BEP) du CMR, l’ACD est en voie d’arrêter ses choix parmi tout un éventail de technologies, de concepts et de partenariats en éducation afin de trouver la meilleure façon de réaliser la vision des FC qui est celle d’un corps d’officiers et de militaires du rang plus professionnel, d’ici 2020.

« Nous nous occupons de former des professionnels militaires en encourageant l’apprentissage continu de tous les militaires des Forces, peu importe leur rang », a expliqué le commandant de l’ACD, le Contre-amiral David Morse. « Pour y arriver, nous devrons transmettre un savoir aux étudiants, en faisant appel aux meilleurs outils disponibles. »

Au cours de leur visite, les représentants de l’ACD ont appris qu’environ 200 soldats du Groupement tactique du 1 PPCLI, qui font actuellement partie de la ROTO 11 de l’opération Palladium, étaient inscrits à des cours à l’Athabasca University.

« C’est encourageant », a indiqué le Lcol Margueratt. « Nos militaires sont très sérieux en ce qui concerne l’éducation et nous avons fermement l’intention de les soutenir. »

Le Captc Coppard est OAP à l’ACD.

Taking the dark out of night

By Krista Rivet

4 WING COLD LAKE — As the military increases its night operations, the need for creating a state-of-the-art training and testing facilities for night vision is paramount. It should come as no surprise, then, that the CF has one of the most sophisticated and largest Night Vision Imagery Systems (NVIS) in the world, located at 4 Wing Cold Lake.

The Canadian Flight Test Centre (CFTC) there has developed an extensive NVIS test facility that uses state-of-the-art equipment and is rapidly gaining a reputation for providing high-quality military and non-military testing. Past military projects have included testing night vision systems for their compatibility with the CC-130 Hercules, CH-149 Cormorant, CF-18 Hornet and CH-146 Griffon helicopter. Even Stars Aviation Canada Inc. has come to the CFTC for testing night vision systems aboard their air ambulance service.

CFTC comprises the Aerospace Engineering Test Establishment (AETE) and the Primrose Lake Evaluation Range (PLER) offering a myriad of testing and evaluation facilities, as well as an extensive test range. It is due to the ever-increasing need for furthering the use of NVIS that CFTC established its lab.

“We are the only facility in Canada with this type of capability,” says Captain Guy Ramphal, a Night Vision Goggle (NVG) specialist. “It makes us elite to have this test capability. The beauty of it is you can test many aircraft types.”

By being able to create a controlled lighting environment, the experts at AETE can assess the NVG compatibility of any aircraft from the size of a helicopter to a Hercules. Using the Night Sky Simulator allows for any lighting conditions to be created or recreated as necessary for the testing. It can provide simulated conditions ranging from full moonlight to overcast starlight, all of which are repeatable and controllable. It also allows such testing as daylight readability, unaided night time readability, visual acuity testing and NVIS radiance testing.

“It enables us to determine if aircraft cockpit lighting meets aircraft specification compliance,” said Capt Ramphal.

Currently, AETE has the only Canadian government NVIS quantitative Engineering Test and Evaluation facility. As CFTC establishes itself in the world NVIS testing market, it will take an even greater lead by hosting the 2003 Night Vision Conference in April. The conference will offer the chance to learn what direction NVIS technology and needs are moving in, as well as showcase some of the latest equipment available.

“It’s a chance to learn about some of the products before they are even on the market,” says CFTC Commanding Officer Colonel Bill Werny. “It is also an opportunity to meet with the leading specialists in the field and this year we are showcasing CFTC’s expertise in this arena.”

For more information on the 2003 Night Vision Conference, contact Capt Marc Ducharme, DAEPM(R&CS) 6-4-2, at (613) 991-9825 or via e-mail at Ducharme.JPM@forces.gc.ca.

Ms. Rivet is a PAO with AETE.

La noirceur apprivoisée

par Krista Rivet

4e ESCADRE COLD LAKE — Plus les militaires multiplient les missions de nuit, plus il devient impérieux de disposer d’installations d’entraînement et d’essais de vision nocturne à la fine pointe de la technologie. Il ne faut donc pas se surprendre que les FC possèdent, à la 4e Escadre Cold Lake, l’une des installations pour systèmes d’imagerie de vision nocturne (SIVN) les plus sophistiquées au monde.

À Cold Lake, le Centre canadien d’essais en vol (CCEV) a établi une vaste installation d’essais SIVN dotée d’un équipement des plus perfectionnés. La renommée du Centre s’étend rapidement dans le domaine des essais militaires et non militaires de haute qualité. Parmi les projets militaires antérieurs, on compte l’essai de compatibilité de systèmes de vision nocturne à bord du Hercules CC-130, du Cormorant CH-149, du Hornet CF-18 et de l’hélicoptère Griffon CH-146. Même Stars Aviation Canada Inc. s’est rendue au CCEV pour faire l’essai de systèmes de vision nocturne installés à bord de leurs ambulances aériennes.

Le CCEV comprend le Centre d’essais techniques (Aérospatiale) (CETA) et le polygone d’évaluation Primrose Lake (PLER) offrant une myriade d’installations d’essais et d’évaluation ainsi qu’un vaste polygone d’essais. Le CCEV a mis sur pied son laboratoire en raison du besoin sans cesse croissant d’étendre l’utilisation des SIVN.

« Il s’agit de la seule installation au Canada qui offre ce type de service », a souligné le Capitaine Guy Ramphal, spécialiste des lunettes de vision nocturne (LVN). « Cette capacité d’essais nous classe parmi l’élite dans le domaine. Elle nous permet de faire l’essai des dispositifs à bord de nombreux types d’aéronefs, ce qui est merveilleux. »

En arrivant à contrôler l’éclairage, les experts du CETA peuvent évaluer la compatibilité des LVN à bord d’aéronefs de toutes tailles, de l’hélicoptère au Hercules. Grâce au simulateur de lumière du ciel nocturne, on peut produire et reproduire toutes conditions d’éclairage aux fins d’essais, notamment simuler un éclairage de pleine lune aussi bien qu’un ciel nocturne couvert. Le tout peut être répété et contrôlé. À l’aide du simulateur, on peut également effectuer des essais de lisibilité en plein jour et en pleine nuit (sans LVN) ainsi que des tests d’acuité visuelle et de radiance des SIVN.

« Le simulateur nous permet de déterminer si l’éclairage dans le poste de pilotage est conforme aux spécifications de l’aéronef », a précisé le Capt Ramphal.

Actuellement, le CETA possède la seule installation d’essais et d’évaluation technique quantitative des SIVN du gouvernement canadien. En plus de se tailler une place sur le marché mondial des essais des SIVN, le CCEV consolidera son leadership en étant l’hôte de la Conférence sur la vision nocturne de 2003 qui aura lieu en avril. Cette conférence sera l’occasion de constater les tendances de la technologie et des besoins en matière de SIVN et de voir un certain nombre de produits les plus récents. « La conférence offrira l’occasion de découvrir certains produits avant même qu’ils ne soient commercialisés », a fait valoir le Colonel Bill Werny, commandant du CCEV. « On pourra également y rencontrer des sommités dans le domaine; en outre, cette année, l’expertise du CCEV sera à l’avant-scène. »

Pour plus de renseignements au sujet de la Conférence sur la vision nocturne 2003, veuillez communiquer avec le Capt Marc Ducharme, DPEAGSRC 6-4-2, au (613) 991-9825 ou par courriel à Ducharme.JPM@forces.gc.ca.

Mme Rivet est OAP au CETA.

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