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Page 14 - 15, Maple Leaf, 05 February 2003, Vol. 6 No. 4

page 14 - 15, La feuille d'érable, Le 05 février 2003, vol. 6 no. 4

Nijmegen planning underway

By Scott Costen

With temperatures across the country dipping well below 0ºC, nearly everyone is looking forward to summer.

For most, thoughts turn to warm weather, a day at the beach, time spent soaking up the sun. But for some CF members with “itchy feet”, there is growing anticipation of marching endless kilometres while wearing a weighted rucksack.

“I’m already looking forward to the nice weather, getting my boots on and putting the kilometres on my feet,” said Brigadier-General Peter Holt, commander of the Canadian contingent to the Nijmegen Marches. “Even in the depths of winter it’s something you think about.”

An annual event that demands physical and emotional toughness, the Nijmegen Marches attract CF members who love a challenge. The four-day event requires participants to march more than 160 km in four days wearing a minimum rucksack load of 10 kg.

“It’s an experience you never forget,” said BGen Holt, who has completed the event 14 times and served as contingent commander seven times. “It is a great test of military skills such as teamwork, fitness and endurance.”

Held each year in the Netherlands, Operation NIJMEGEN helps maintain the special bond between Canadians and the Dutch people—a bond forged nearly 60 years ago when Canadians spearheaded the liberation of Holland. “When you go over there to participate in this event, you are an ambassador for Canada,” said BGen Holt.

Planning is already underway for Op NIJMEGEN 03 and teams will begin taking shape soon. The theme of the event is national representation and each year the vast majority of CF participants are “first-timers”.

For more information, consult CANFORGEN 009/03.

Planification en cours en prévision de l’Op Nijmegen

par Scott Costen

Pendant que la température, partout au pays, plonge bien en dessous du point de congélation, presque tout le monde attend avec impatience l’arrivée de l’été.

La plupart d’entre nous pensons déjà à des températures plus chaudes, à passer une journée à la plage à profiter du soleil. Toutefois, certains membres des FC qui ont des « fourmis » dans les pieds attendent fébrilement l’occasion de parcourir d’interminables kilomètres en portant un sac à dos lesté.

Le commandant du contingent canadien envoyé aux marches de Nimègue, le Brigadier-général Peter Holt, déclare : « J’ai déjà hâte au retour du beau temps pour enfiler mes bottes et parcourir une grande distance à pied. J’y pense même au beau milieu de l’hiver ».

Événement annuel qui exige des participants qu’ils fassent preuve de résistance physique et de force de caractère, les marches de Nimègue attirent les membres des FC qui désirent se surpasser. Cette épreuve de quatre jours exige des participants qu’ils parcourent plus de 160 km en portant un sac à dos pesant au moins 10 kg.

« C’est une expérience inoubliable car cet événement met à l’épreuve vos aptitudes militaires, comme le travail d’équipe, la condition physique et l’endurance », a affirmé le Bgén Holt, qui a parcouru la distance à 14 reprises, dont sept à titre de commandant de contingent.

Organisée chaque année aux Pays- Bas, l’opération Nijmegen contribue à consolider les liens étroits qui existent entre les Canadiens et le peuple néerlandais, des liens noués il y a presque 60 ans, à l’époque où les Canadiens ont joué un rôle déterminant dans la libération des Pays-Bas. « Quand vous vous rendez là-bas pour participer à l’événement, vous agissez en ambassadeur du Canada », a affirmé le Bgén Holt.

La planification est déjà en cours en vue de l’Op Nijmegen 2003 et les équipes seront bientôt mises sur pied. Le thème de l’événement est la représentation nationale et, chaque année, la vaste majorité des membres des FC qui y prennent part le font pour la première fois.

Pour plus de renseignements, consultez le CANFORGEN 009/03.

Fourth Dimension

February 8, 1948

At the Olympic Winter Games in St. Moritz, Switzerland, the hockey tournament is over and Canada has won again; since 1920, the Canadians have failed to win gold only once, in 1936, and that was by a fluke. This Canadian team is not like its predecessors, however; its members are, indeed, the pick of central Canada’s amateur teams, but they are wearing the roundel of the Royal Canadian Air Force, and their manager is an RCAF medical officer, the hockey-mad Squadron Leader Sandy Watson.

Selected from RCAF stations across Canada and coached by Ottawa Senators legend Georges “Buck” Boucher and his son, RCAF Sergeant Frank Boucher, the RCAF Flyers were so pathetic in their first exhibition games that S/L Watson conducts a whirlwind campaign to get the best amateur players he can find into baggy blue RCAF battledress. The Flyers’ final roster includes André Laperrière, a 22-year-old defenceman from the University of Montréal; George Mara and Wally Halder, stars of the University of Toronto varsity team; and five players from the New Edinburgh team in the Ottawa Senior League, including Frank Dunster (formerly of the Oshawa Junior Generals) and high scoring forwards Ab Renaud and Reg Schroeter. Not all the players are ringers: the squad includes Flight Lieutenant Hubie Brooks, one of only five RCAF members to receive the Military Cross. The last addition is bus driver Murray Dowey, the second-best goal tender in Toronto—only Turk Broda is better.

On January 7, 1948, the Flyers depart Ottawa by train for New York, where they catch the Queen Mary. They go third class, which is appropriate considering their pay scale, which is RCAF basic. As well as their RCAF sweaters, they have 300 hockey sticks and Tackaberry skates scrounged from CCM, the manufacturer.

In Europe, the RCAF Flyers play 42 games, of which they win 31, lose five and tie six. The Olympic tournament comprises eight games, in which the Flyers defeat Italy 21-1, Poland 15-0, Austria 12-0, the United States 12-3, Great Britain 3-0 and Sweden 3-1. The gold-medal game is a scoreless tie against Czechoslovakia.

Quatrième dimension

Le 8 février 1948

Aux Jeux olympiques d’hiver de Saint-Moritz, en Suisse, le tournoi de hockey prend fin et le Canada se mérite une fois de plus les grands honneurs; depuis 1920, l’or n’a échappé qu’une seule fois aux Canadiens, soit en 1936, et encore, il s’en est fallu de peu. Toutefois, l’équipe canadienne de 1948 se distingue des précédentes : bien sûr, ses membres représentent la crème des équipes de hockey amateur du centre du Canada, mais ils portent la cocarde de l’Aviation royale du Canada (ARC) et leur gérant est un médecin militaire de l’ARC, le commandant d’aviation et mordu de hockey, Sandy Watson.

Sélectionnés dans les bases de l’ARC et entraînés par la figure légendaire des Senators d’Ottawa, Georges « Buck » Boucher et son fils, le sergent de l’ARC Frank Boucher, les Flyers se révèlent si lamentables dans leurs premiers matches hors-concours que le Cmdt avn Watson déclenche une campagne éclair pour faire en sorte que les meilleurs joueurs amateurs qu’il peut repérer consentent à revêtir la tenue bleue mal ajustée de l’ARC. La formation définitive des Flyers comprend André Laperrière, jeune défenseur de 22 ans de l’Université de Montréal; George Mara et Wally Halder, joueurs étoiles de l’équipe de l’Université de Toronto; et cinq joueurs de l’équipe New Edinburgh de la Ligue senior d’Ottawa, dont Frank Dunster (autrefois de l’équipe junior des Generals d’Oshawa) et les prolifiques joueurs d’avant Ab Renaud et Reg Schroeter. Les joueurs n’ont pas tous été des as de la glace : l’équipe a aussi accueilli le Capt avn Hubie Brooks, l’un des cinq membres seulement de l’ARC à avoir reçu la Croix militaire. La dernière recrue est le chauffeur d’autobus Murray Dowey, le deuxième meilleur gardien de but de Toronto, après Turk Broda.

Le 7 janvier 1948, les Flyers prennent le train d’Ottawa pour New York, où ils montent à bord du Queen Mary. Ils voyagent en troisième classe, ce qui va de soi compte tenu de leur échelle salariale, qui correspond au salaire de base de l’ARC. Ils ont avec eux, outre leurs chandails de l’ARC, 300 bâtons de hockey et des patins Tackaberry qu’ils ont obtenus à bon compte chez le fabricant CCM.

Des 42 matches qu’ils disputeront en Europe, les Flyers de l’ARC en remporteront 31, en perdront cinq et feront match nul à six reprises. Le tournoi olympique comprend huit joutes au cours desquelles les Flyers l’emportent d’abord sur l’Italie par la marque de 21-1, puis sur la Pologne par 15-0, l’Australie par 12-0, les États-Unis par 12-3, la Grande-Bretagne par 3-0 et la Suède par 3-1. Le match de la médaille d’or avec la République tchèque se solde par un verdict nul de zéro à zéro.

CRC Saint-Jean: Resolving conflicts through mediation

By Capt Pascal Audit and Albert Tranquille

We have all learned how to prevent fires, accidents, delinquency, illness and other social problems. So why do we not take the same approach with workplace situations that may deteriorate into conflict? That is the question being asked by the Conflict Resolution Centre (CRC) Saint-Jean.

DND and the CF believe that this alternate route to dispute prevention and resolution is eminently suited to this organization. As a result, the CRC at Saint-Jean has begun offering a broad array of services based on alternative dispute resolution (ADR) and by extension and mediation. In the words of Colonel Daniel Benjamin, Commander, 5 Area Support Group: “Understanding other people first of all involves agreeing to change places and see the world from their point of view, as if you were suddenly wearing a different pair of glasses.”

The territory served by Saint-Jean CRC stretches from Trois-Rivières to the Ottawa area, but does not include those two regions. More than 8 000 people have access to these services, including recruits and cadets, a group that the CRC has every intention of including at the earliest opportunity.

The types of cases handled by the CRC mediators exclude those having criminal or sexual overtones. There are many other situations, however, in which the parties involved try to achieve a final and lasting resolution to their problems rather than a compromise solution, including presumed or real harassment and abuse, disagreements of all kinds, and personal and organizational disputes, in other words, the vast majority of the disputes in our organization.

The co-ordinators stress the fact that the CRC’s role is not to serve as a management tool, but rather to provide management, the unions, and DND/CF members and employees with additional tools that will allow them to resolve their differences through mediation.

And speaking of mediation, the staff of CRC Saint-Jean are quickly coming to realize that potential users have little or no understanding of the term “mediation.” The co-ordinators remind us that the aim of the mediation process is first and foremost to provide all parties who express an interest with the opportunity to open a dialogue based on individual, organizational or mutual interests, with the purpose of achieving an acceptable solution to their problems. To help them reach this goal the parties are assisted by a mediator, whose role is to oversee the process, ensure a balance of power, and help them move toward agreement.

This process, when embraced by potential clients seeking a different approach from one based solely on rights and power, has the advantage of restoring a healthy work environment. Thus, disputes are approached not with aggression or arrogance, but in a spirit of respect for other people. For example, four employees from two different organizations are required to work together. The poor communications and tension were obvious, even to their clients. The CRC responds by asking each party to describe its view of the dispute. Through the encouragement of dialogue and a few coaching sessions, the team becomes functional and the tension dissipates.

The magic words that grab the attention of military and civilian employees are “impartiality,” “confidentiality” and “voluntary.” These are the three key ingredients in an alternative process that can help anyone involved in a dispute to end their fighting and restore harmony to the workplace.

CRC Saint-Jean staff enjoys working with people and has the following important message: “We would remind anyone embroiled in a dispute that they can contact their area CRC. If it becomes necessary to enter into mediation, the parties simply have to ensure that someone in the chain of command is aware of their preferred approach. The reason for the dispute and the details will remain confidential. In the end, no one will lose anything.”

The staff of CRC Saint-Jean can be contacted by telephone at (450) 358-7099, ext 6365 or through the CSN at 661-6365.

Le CRC de Saint-Jean : résoudre les conflits grâce à la médiation

par le Capt Pascal Audit et Albert Tranquille

Nous avons tous appris à prévenir les incendies, les accidents, la délinquance, les maladies et d’autres problèmes liés à la vie en société. Pourquoi ne ferions-nous pas de même avec les situations pouvant dégénérer en conflit en milieu de travail? Voilà la question posée par le Centre de résolution des conflits (CRC) de Saint-Jean.

Le MDN et les FC sont d’avis que cette voie alternative de prévention et de résolution des conflits a sa place dans l’organisation. C’est dans cette perspective que le CRC de la garnison Saint-Jean a été mis sur pied afin d’offrir plusieurs services rattachés aux méthodes alternatives de résolution des conflits (MARC) et par conséquent, la médiation. Selon le Colonel Daniel Benjamin, commandant du 5e Groupe de soutien de secteur, « comprendre autrui, c’est d’abord accepter de changer de place pour percevoir le monde de son point de vue comme si vous portiez d’un coup une autre paire de lunettes ».

Le territoire desservi par le CRC Saint-Jean s’étend de Trois-Rivières à la région de l’Outaouais, sans inclure ces deux régions. Plus de 8 000 personnes peuvent avoir recours à ces services en plus des recrues et des cadets, groupe qu’ils ont la ferme intention d’inclure à la prochaine occasion.

Les types de dossiers abordés par les médiateurs du CRC excluent ceux de nature criminelle ou à connotation sexuelle. Parmi les situations pour lesquelles les parties tendent à chercher une résolution définitive et durable plutôt qu’un seul compromis de règlement à leur problème, on compte le harcèlement et les abus présumés ou réels, les mésententes de natures diverses, les conflits interpersonnels autant que ceux dits organisationnels. C’est donc dire la plupart des conflits.

Les co-coordonnateurs insistent sur le fait que le rôle du CRC n’est pas d’être un outil de gestion, mais plutôt de fournir à la gestion et aux syndicats autant qu’aux membres et employés du MDN et des FC des outils complémentaires leur permettant de résoudre leurs différends notamment par le biais de la médiation.

Sur le plan de la médiation, le personnel du CRC Saint-Jean s’est rapidement rendu compte que le terme médiation était mal ou peu compris par les usagers potentiels. Les co-coordonnateurs rappellent qu’un processus de médiation se présente avant tout comme une façon supplémentaire donnée aux intéressés qui en expriment le désir de discuter sur une base d’intérêts individuels, organisationnels ou communs, en vue de convenir d’une solution acceptable pour résoudre leur problème. Pour ce faire, les parties sont assistées d’un médiateur qui a pour rôle de gérer le processus, d’équilibrer le pouvoir et de les aider à avancer vers une entente.

Ce processus, lorsqu’il est accepté par des clients potentiels souhaitant une approche autre que celles basées uniquement sur les droits et le pouvoir, a pour conséquence heureuse d’assainir le climat de travail. Ainsi, les conflits sont abordés non pas avec agressivité ou arrogance mais bien dans le respect d’autrui. À titre d’exemple, quatre employés de deux organisations différentes doivent travailler de concert. Les communications difficiles et la tension sont même perceptibles par les clients. Le CRC intervient en faisant raconter à chacune des parties sa vision du conflit. Au moyen de la facilitation des échanges et après quelques séances d’encadrement, l’équipe redevient fonctionnelle et les tensions disparaissent.

Les mots magiques qui retiennent l’attention de l’Armée et du personnel civil sont « impartialité », « confidentialité » et « volontariat ». Trois ingrédients essentiels pour la mise sur pied d’une démarche alternative pouvant conduire tout un chacun du conflit à la fin du conflit et assurer l’harmonie au travail.

Les membres du CRC Saint-Jean aiment travailler en collaboration et c’est pourquoi ils croient important de mentionner : « Nous rappelons aux personnes qui vivent une situation conflictuelle qu’elles peuvent entrer en contact avec le CRC de leur région. Par ailleurs, si une médiation s’avère nécessaire, les parties n’ont qu’à s’assurer qu’une personne dans la chaîne de commandement est au courant de l’approche favorisée. Le sujet litigieux et son contenu demeurent confidentiels. Au fond, personne n’y perd quoi que ce soit. »

On peut communiquer avec le personnel du CRC Saint-Jean par téléphone au (450) 358-7099, poste 6365 ou avec le CSN au numéro 661-6365.

Renovation of Stone Frigate dormitory at RMC

Defence Minister John McCallum has announced a $6.2-million contract to renovate the Stone Frigate dormitory at the Royal Military College of Canada.

“This project is an important step in ensuring appropriate accommodations and the best possible learning environment for RMC (officer) cadets,” said Mr. McCallum in a news release.

General Ray Henault, Chief of the Defence Staff, commended the renovation contract, which was awarded to H.R. Doornekamp Construction Ltd. following a competitive process. “This renovation will provided RMC with the additional housing it needs to continue producing the future leaders of the Canadian Forces,” he said.

Built in 1820 to serve as a naval storehouse, the Stone Frigate is a designated heritage building. It has served as a dormitory since the establishment of RMC in 1876 and has undergone numerous renovations, most recently in the mid-1960s.

The renovation project will involve repairing the existing building structure, contructing a new annex and replacing all building systems, including environmental controls, plumbing, electrical, data, lighting and fire safety systems. It will also entail recon- figuring rooms, creating more suit- able storage and lounge facilities, and improving washroom and laundry facilities.

Rénovation de la frégate Stone, une résidence du CMR

Le ministre de la Défense nationale, John McCallum, a annoncé l’attribu- tion d’un contrat de 6,2 millions de dollars en vue de la rénovation de la frégate (« Stone Frigate »), une résidence du Collège militaire royal (CMR) du Canada.

« Ce projet est une étape importante dans nos efforts visant à fournir aux élèves-officiers du CMR des logements adéquats ainsi que le meilleur milieu d’apprentissage possible », a déclaré M. McCallum dans un communiqué.

Le chef d’état-major de la Défense, le Général Ray Henault, a accueilli avec satisfaction l’adjudication du contrat de rénovation à la firme H.R. Doornekamp Construction Ltd. « Ces travaux de rénovation donneront au CMR les logements additionnels nécessaires pour continuer de produire les futurs leaders des Forces canadiennes », a-t-il affirmé.

Construite en 1820 pour servir d’entrepôt naval, la frégate est un bâtiment à valeur patrimoniale. Elle sert de résidence depuis la fondation du CMR, en 1876. L’édifice a été rénové à plusieurs reprises, les derniers travaux de réfection remontant au milieu des années 60.

Le projet entraînera la rénovation de la structure actuelle de l’édifice, la construction d’une nouvelle annexe ainsi que le remplacement de tous les systèmes du bâtiment, y compris les dispositifs de régulation des conditions ambiantes, la plomberie, les circuits électriques, le réseau de transmission de données, les appareils d’éclairage et les systèmes de sécurité incendie. On procédera aussi à un réaménagement des quartiers pour agrandir les espaces d’entreposage, améliorer les lieux de détente et moderniser les installations sanitaires et les buanderies.

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