Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Page 4 - 5, Maple Leaf, 26 February 2003, Vol. 6 No. 7

page 4 - 5, La feuille d'érable, Le 26 février 2003, vol. 6 no. 7

Rescue puts Cormorant and crew to the test

By Scott Costen

Teamwork, training and equipment.

According to Search and Rescue Technician Sergeant Greg Smit, the right combination of these three elements made possible last week’s dramatic rescue of 20 men from a disabled Spanish fishing vessel.

“Without the training we do, the teamwork between crewmembers, and the performance of the helicopter, rescues like this would be impossible,” he said.

Sgt Smit was the first of two SAR TECHs lowered onto the Arcay, which was covered with ice and pitching up to 15 metres in the air. “That’s the trickiest part of the mission—getting the first guy on board,” he said. “I was like a pendulum going down, swinging wildly in the wind and spray.”

Sgt Smit and Sgt Don McInnes loaded the Arcay crewmembers two at a time into a rescue basket. Although most of those rescued spoke only Spanish, communication was not a problem. “We just grabbed them, stuffed them in the basket and sent them up. They were very happy to see us and very anxious to get off that vessel.”

The fishing trawler had been without her engine and towed for about 20 hours by another Spanish fishing vessel. She was listing and taking on ice when the crew of the CH-149 Cormorant, out of 9 Wing Gander, reached them more than 40 km off of the Burin Peninsula on the southern shore of Newfoundland.

Sgt Smit said the Cormorant proved to be faster and more efficient than the CH-113 Labrador it replaced. “We were all very fond of the Labrador, but the Cormorant has proven to be an extremely capable machine. We set a record by carrying 26 people at once.”

In addition to Sgt Smit and Sgt McInnes, the crew included Major Gilbert Thibault, Captain François Lafond, Corporal Dwayne Brazil and Cpl Scott Elliston.

L’équipage d’un Cormorant mène avec succès une mission de sauvetage périlleuse

par Scott Costen

Esprit d’équipe, entraînement et équipement.

Selon le Sergent Greg Smit, technicien en recherche et sauvetage, c’est la combinaison judicieuse de ces trois éléments qui a permis de rescaper la semaine dernière les 20 membres d’équipage d’un chalutier espagnol aux prises avec des ennuis mécaniques.

« Sans l’entraînement que nous suivons, sans l’esprit d’équipe qui règne au sein de l’équipage et sans l’efficacité de nos hélicoptères, il serait impossible de réaliser des opérations de sauvetage comme celle-là », explique-t-il.

Le Sgt Smit a été le premier de deux TECH SAR à poser pied sur le Arcay, qui était couvert de glace et qui tanguait furieusement jusqu’à une hauteur de 15 mètres. « La partie la plus difficile de toute la mission, c’est de déposer le premier homme », explique-t-il. « Je me sentais comme un pendule pendant la descente, oscillant violemment dans le vent et les embruns. »

Une fois à bord, les sergents Smit et Don McInnes se sont occupés d’embarquer les membres d’équipage de l’Arcay deux par deux dans une nacelle de sauvetage. Bien que la plupart des rescapés ne parlaient que l’espagnol, la communication n’a pas posé problème. « Nous nous contentions de les saisir puis de les faire monter dans la nacelle. Ils étaient très soulagés de nous voir et ils avaient très hâte de quitter leur bateau. »

Avant la mission de sauvetage, le chalutier en panne de moteur a été remorqué par un autre bateau de pêche espagnol pendant près de 20 heures. Il était toutefois incliné et commençait à se couvrir de glace lorsque l’équipage du CH-149 Cormorant, de la 9e Escadre Gander, l’a rejoint à plus de 40 km de la péninsule de Burin, située sur la rive sud de Terre-Neuve–et–Labrador.

Selon le Sgt Smit, le Cormorant est plus rapide et plus efficace que le CH-113 Labrador qu’il remplace. « Nous aimions beaucoup le Labrador, mais le Cormorant est un appareil très puissant. Nous avons établi un nouveau record en transportant 26 personnes d’un seul coup. »

Outre les sergents Smit et McInnes, l’équipage se composait du Major Gilbert Thibault, du Capitaine François Lafond, du Caporal Dwayne Brazil et du Cpl Scott Elliston.

A moving tribute to veterans

By Scott Costen

The province of Nova Scotia has introduced a new way to identify and honour its military veterans.

Veteran licence plates are now available to past and present military members. Bearing a Canadian flag and the word “Veteran”, the plates acknowledge the rich tradition of military service in the province.

“Nova Scotia has a long history with the military, stretching back to the 1700s,” said Kevin Finch of Service Nova Scotia and Municipal Relations. “We want to pay tribute to those people who have served in uniform over the years.”

The Veteran Plate is available to any person who has honourably served for a minimum of three years with the CF, a Commonwealth military or a wartime ally of Canada or another Commonwealth country. Those who have served in the Merchant Navy or Ferry command during wartime and those with wartime or peacekeeping service are also eligible, regardless of length of service.

According to Mr. Finch, Nova Scotia is setting an example that is likely to be followed across the country.

“We are the first province to have plates for veterans, although Ontario does have plates for Legion members,” he said. “Judging by the positive response from the public and the media, other provinces may consider similar initiatives.”

Already more than 1 000 applicants have requested the Veteran Plate. Mr. Finch estimates as many as 30 000 Nova Scotia residents may be eligible.

Serving CF members in Nova Scotia are among those applying for the Veteran Plate, which will be issued in sequential order for passenger vehicles and light commercial vehicles.

“I think it’s a great idea and a nice pat on the back. I’m going to apply,” said Sergeant Richard De Coste, a Dartmouth, N.S., native currently posted to 12 Wing Shearwater. “Nova Scotia has always been military-friendly, so it’s no surprise we’re the first to recognize veterans this way.”

The first Veteran Plate was issued February 11 to Fred Mombourquette, president of the Nova Scotia/Nunavut Command of the Royal Canadian Legion. The Legion has been given responsibility for verifying applicants’ military service and certifying their applications.

Hommage émouvant rendu aux anciens combattants

par Scott Costen

La Nouvelle-Écosse fait preuve d’originalité pour identifier ses anciens combattants et leur rendre hommage.

Les anciens militaires et les militaires en service actif peuvent maintenant arborer une plaque d’immatriculation des anciens combattants sur leur véhicule. Le drapeau canadien et l’expression « Ancien combattant » figurent sur la plaque qui vise à reconnaître la forte tradition de service militaire dans cette province.

Selon Kevin Finch, du Service Nova Scotia and Municipal Relations, « l’histoire militaire de la Nouvelle-Écosse remonte jusqu’aux années 1700. Nous désirons rendre hommage à tous ceux qui ont porté l’uniforme ».

Toute personne qui a servi honorablement pendant au moins trois ans dans les FC, les forces armées du Commonwealth ou dans les forces d’un allié du Canada en temps de guerre ou d’un autre pays du Commonwealth peut obtenir la plaque. Sont admissibles également ceux qui ont servi dans la Marine marchande ou le Ferry Command en temps de guerre et dans les forces de maintien de la paix ou en temps de guerre, quelle que soit la durée de leur service.

D’après M. Finch, la Nouvelle-Écosse établit un précédent qui sera probablement repris dans l’ensemble du pays.

« L’Ontario a mis en service des plaques pour les membres de la Légion, mais la Nouvelle-Écosse est la première province à offrir une plaque aux anciens combattants. Compte tenu de la réaction positive du public et des médias, d’autres provinces pourraient emboîter le pas », a ajouté M. Finch.

Déjà, plus de 1 000 demandes de plaque des anciens combattants ont été reçues. M. Finch estime que jusqu’à 30 000 citoyens de la Nouvelle-Écosse pourraient être admissibles.

Les membres des FC qui servent en Nouvelle-Écosse font partie de ceux qui demandent une plaque des anciens combattants, qui seront émises en ordre séquentiel aux propriétaires de voitures de tourisme et de véhicules commerciaux légers.

« J’estime que c’est un bon moyen de témoigner de la reconnaissance; je vais faire une demande », a affirmé le Sergent Richard De Coste, originaire de Dartmouth en Nouvelle-Écosse, qui est affecté à la 12e Escadre Shearwater. « La Nouvelle-Écosse a toujours été bienveillante à l’égard des militaires et ce n’est pas surprenant qu’elle soit la première à rendre hommage ainsi aux anciens combattants. »

La première plaque des anciens combattants a été remise le 11 février à Fred Mombourquette, président du Nova Scotia/Nunavut Command de la Légion royale canadienne. Il incombe à la Légion de vérifier les états de service militaires des demandeurs et d’approuver leur demande.

Canadian Rangers save missing trapper

By Ranger Sgt Peter Moon

An elderly trapper who was forced to spend two days in the bush without heat or food, in temperatures that dropped as low as -35ºC, has survived his ordeal, after being rescued by a Canadian Rangers search team.

Paul Beardy left Bearskin Lake First Nation, a small Oji-Cree community in northwestern Ontario, February 1 by snowmobile to go trapping. He was reported missing when another trapper found his abandoned sled and two-day-old tracks.

A quick air search failed to locate Mr. Beardy, so a three-member Canadian Rangers search team, aided by three community members, left on snowmobiles at 10:00 p.m.

“We found him at 3:00 a.m. the next morning,” said Ranger Sergeant Stuart Kaminawatamin, patrol leader. “He was suffering from severe frostbite of the hands and feet.”

Mr. Beardy told his rescuers that he became disabled when he tried to turn his snowmobile around. He had an ulcer condition and moving his snowmobile in a confined space in deep snow caused an internal injury, that disabled him so severely he was unable to move. He was able to light a fire the first night, but spent the next two nights without any heat.

The searchers used a satellite phone to report to the First Nation’s office that they had found Mr. Beardy and that he would have to be airlifted out because of his physical condition. Ranger Master Corporal Charles Brown immediately began organizing a MEDEVAC airlift.

The searchers took Mr. Beardy to a nearby lake where a plane picked him up four hours later and took him to Round Lake Medical Centre before being airlifted to Thunder Bay. Mr. Beardy was operated on for his internal injury and both his legs were amputated below the knee.

“The professional conduct of the search party resulted in saving this man’s life,” Ranger Sgt Kaminawatamin said. “I would like to commend and congratulate them on a job well done.”

This rescue was the sixth successful search and rescue mission mounted by the Bearskin Lake Canadian Rangers patrol this winter.

“I can say,” said Captain Guy Ingram, operations officer for 3 Canadian Rangers Patrol Group, which operates the Canadian Rangers program in Northern Ontario, “that Bearskin’s Canadian Rangers have put into practice what they have been taught. It’s through their professionalism that once again another life has been saved by the Rangers of 3 CRPG.”

The search party consisted of Ranger Sgt Kaminawatamin, Rangers Gordon Moskotaywenene and Levi Fox, and community members Lawson McKay, Jeffrey Fiddler and Spencer Morris.

Ranger Sgt Moon is the public affairs Ranger for 3 CRPG.

Un trappeur égaré a la vie sauve grâce aux Rangers canadiens

par le Sgt Ranger Peter Moon

Un trappeur âgé a survécu à un séjour forcé de deux jours en forêt, sans source de chaleur ni nourriture, par des froids de -35 ºC, avant d’être secouru par une équipe de recherche des Rangers canadiens.

Le 1er février dernier, Paul Beardy a enfourché sa motoneige et quitté Bearskin Lake, une petite communauté Oji-Cree du nord-ouest de l’Ontario, pour aller poser des pièges. Il a été porté disparu lorsqu’un autre trappeur a découvert son traîneau abandonné ainsi que des pistes vieilles de deux jours.

À 22 h, après une brève recherche aérienne n’ayant donné aucun résultat, une équipe formée de trois Rangers canadiens et de trois membres de la communauté, est partie en motoneige à sa recherche.

« Nous l’avons trouvé vers 3 h le lendemain matin », a déclaré le Sergent des Rangers Stuart Kaminawatamin, chef de patrouille. « Il souffrait d’engelures graves aux mains et aux pieds. »

M. Beardy a raconté à ses sauveteurs qu’il était incapable de bouger après avoir tenté de faire faire demi-tour à sa motoneige. L’ulcère dont il souffrait et l’effort qu’il a déployé pour manœuvrer sa motoneige dans un espace restreint où la neige était profonde a causé une lésion interne si douloureuse qu’il s’en est trouvé immobilisé. Il a été en mesure d’allumer un feu le premier soir, mais il a passé les deux nuits suivantes sans source de chaleur.

Les sauveteurs ont utilisé un téléphone cellulaire pour avertir le bureau des Premières nations qu’ils avaient retrouvé M. Beardy et que ce dernier devrait être transporté par aéronef compte tenu de son état. Le Caporal-chef des Rangers Charles Brown a dès lors organisé une MEDEVAC.

Les sauveteurs ont ensuite transporté M. Beardy aux abords d’un lac à proximité, où un avion l’a recueilli quatre heures plus tard pour l’amener au centre médical de Round Lake, d’où il a été transporté par aéronef jusqu’à Thunder Bay. M. Beardy a subi une opération pour sa lésion interne et ses deux jambes ont été amputées au-dessous du genou.

« Le professionnalisme des membres de l’équipe de recherche a permis de sauver la vie de cet homme », a affirmé le sergent des Rangers Kaminawatamin. « J’aimerais les féliciter d’avoir fait du si bon travail. »

Ce sauvetage porte à six le nombre de missions de recherche et de sauvetage réussies de la patrouille des Rangers canadiens de Bearskin Lake cet hiver.

« On peut dire », a affirmé le Capitaine Guy Ingram, officier des opérations du 3e Groupe de patrouilles de Rangers canadiens et responsable du programme des Rangers canadiens dans le Nord de l’Ontario, « que les Rangers canadiens de Bearskin ont su mettre en pratique ce qu’ils ont appris. C’est grâce à leur professionnalisme que, une fois de plus, une vie humaine a été sauvée par les Rangers du 3 GPRC ».

La patrouille de recherche était composée du sergent des Rangers Kaminawatamin, des Rangers Gordon Moskotaywenene et Levi Fox, de Lawson McKay, Jeffrey Fiddler et Spencer Morris, tous trois membres de la communauté.

Le Sgt Ranger Moon est responsable des affaires publiques du 3 GPRC.

There’s still time: Take the “March 1st, I quit!” Challenge

According to some kids from Petawawa, smoking makes you “smell bad,” and gives you “yucky teeth.” And that’s good news for Health Promotion (HP) Manager Christine McWillis.

At CFB Petawawa, the HP team initiated a “Why I Won’t Smoke,” poster contest, in conjunction with the “March 1st, I quit!” Challenge, where children were asked why they would not smoke. Many said it was just “not cool,” while others, very succinctly said, “Because you’ll die.”

Ms. McWillis said kids have a very good understanding of why it is bad to smoke. And this can be helpful for parents who might be trying to quit. “Kids can have a positive impact on a parent who smokes and may be key in convincing them to stop,” she said. “Kids often have that kind of leverage within the family.”

Close to 135 children participated in the contest and were awarded prizes from a variety of sponsors including the Service Income Security Insurance Plan (SISIP), the Heart and Stroke Foundation, the Canadian Cancer Society, the Canadian Lung Association, as well as sports stores from the base gym and the dental unit.

For one little girl, the contest had a special and poignant meaning. Adriannah, 5, attached a story to her poster, describing how her grandmother suffered a smoking-related heart attack. “I am glad that she does not smoke anymore because it made her very sick and she had to go to the hospital,” she writes. “I will never smoke because it can cause you to become very, very sick and you could die.”

To date, about 1 000 smokers from across the country have registered for the challenge. From Comox to Goose Bay, the number of participants is increasing daily and some HP teams are confident they may even surpass their objectives. In Bagotville and Valcartier, for example, HP teams are expecting a lot of last minute registrations.

Grace Betts, the CF Personnel Support Agency’s (CFPSA) Senior Health Promotion Manager, says it is exciting to see so much involvement in the first major campaign of the new delivery model of the “Strengthening the Forces” HP program. “I am thrilled that people of all ages within the Canadian Forces community are recognizing the consequences of high risk behaviours like smoking,” she said. “The HP program is designed to give people the knowledge and tools to make healthy lifestyle choices.”

The Strengthening the Forces team reminds smokers and their supporters that they only have a few more days to register. Participating is easy. Smokers must quit smoking by March 1, and remain smoke-free until at least April 1. They can register at a Strengthening the Forces office (on bases across Canada) or at www.cfpsa.com/health no later than midnight February 28.

« Le 1er mars, j’arrête! » : il est encore temps de relever le défi!

Des enfants de Petawawa vous le diront : les gens qui fument « sentent mauvais » et « ont les dents jaunes ». Il s’agit d’une affirmation qui plaît beaucoup à Christine McWillis, gestionnaire de la Promotion de la santé (PS).

À la BFC Petawawa, l’équipe de la PS a lancé le concours « Pourquoi je dis non à la cigarette » dans le cadre du défi « Le 1er mars, j’arrête! ». L’équipe a ainsi demandé aux enfants d’imaginer une affiche afin de dire pourquoi ils refuseraient de fumer. Beaucoup ont simplement dit « parce que ce n’est pas cool », tandis que d’autres ont répondu « parce que la cigarette tue ».

Selon Mme McWillis, les enfants savent très bien que le tabagisme est mauvais pour la santé, ce qui peut venir en aide aux parents qui essaient d’arrêter de fumer. « Les enfants peuvent avoir une bonne influence sur leurs parents fumeurs, et ils peuvent jouer un rôle clé pour les convaincre d’arrêter », explique-t-elle. « Les enfants ont souvent ce genre d’emprise dans la famille. »

Près de 135 enfants ont pris part au concours et ont remporté des prix décernés par une variété de commanditaires, notamment le Régime d’assurance-revenu militaire (RARM), la Fondation des maladies du cœur du Canada, la Société canadienne du cancer, l’Association pulmonaire du Canada et le magasin d’articles de sports du gymnase de la base et l’unité des soins dentaires.

Pour Adriannah, cinq ans, le concours avait une signification particulièrement déchirante. Elle a joint à son affiche une lettre décrivant comment sa grand-mère avait été victime d’une crise cardiaque attribuable à la cigarette. Elle a écrit : « Je suis heureuse qu’elle ne fume plus parce que la cigarette l’a rendue très malade et qu’elle a dû aller à l’hôpital. Je ne fumerai jamais parce que la cigarette peut rendre les gens très malades et les tuer ».

Jusqu’à présent, près de 1 000 fumeurs de partout au Canada se sont inscrits au défi. De Comox à Goose Bay, le nombre de participants ne cesse d’augmenter chaque jour, et certaines équipes de la PS croient qu’elles pourraient même dépasser leurs objectifs. À Bagotville et à Valcartier, par exemple, les équipes de la PS s’attendent à recevoir un grand nombre d’inscriptions de dernière minute.

Grace Betts, directrice de la Promotion de la santé à l’Agence de soutien du personnel des FC (ASPFC), explique qu’il est emballant de voir une aussi bonne participation à la première grande campagne organisée par le nouveau modèle de prestation du programme Énergiser les Forces de la PS. « Je suis ravie de voir que les membres de tous âges des Forces canadiennes reconnaissent les conséquences liées aux comportements à risques élevés comme le tabagisme », déclare-t-elle. « Le programme de la PS a été conçu pour leur donner les outils et les connaissances nécessaires afin qu’ils puissent adopter des modes de vie plus sains. »

L’équipe du programme Énergiser les Forces rappelle aux fumeurs et aux personnes qui les parrainent qu’ils n’ont plus que quelques jours pour s’inscrire. Pour participer, il suffit d’arrêter de fumer d’ici le 1er mars et de ne pas fumer avant au moins le 1er avril. Les participants peuvent s’inscrire auprès du bureau Énergiser les Forces (dans toutes les bases du Canada) ou à l’adresse www.cfpsa.com/health, au plus tard à minuit le 28 février 2003.

This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)