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Maple Leaf


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Page 6 - 7, Maple Leaf, 12 March 2003, Vol. 6 No. 11

page 6 - 7, La feuille d'érable, Le 12 mars 2003, vol. 6 no. 11

Accommodation and your cost of living

The Directorate of Quality of Life (DQOL) is often asked "Am I paying too much rent?" Although where and how a person lives is very much a personal choice, there is a generally accepted Canadian societal norm or threshold value for the cost of accommodation. The threshold value commonly referred to by both financial institutions and social agencies is 25 percent of your gross (before tax) household income. The financial institutions such as banks and trust companies use 25 percent of gross household income as a good measure of an individual’s or family’s ability to carry the costs of homeownership such as mortgage principal, interest, property taxes, condominium fees, maintenance, etc. Social support agencies such as low-cost housing cooperatives and community aid agencies use 25 percent of gross income as a threshold indicator that, if exceeded, may indicate that a household is paying a disproportionate share of its income for accommodation and therefore not spending enough on food, clothing, utilities, etc. The 25 percent threshold is now commonly referred to regardless of the tenure context or income level.

Analysis has shown that for 2002, across Canada, the average MQ rent to CF member income (inclusive of PLD where applicable) for a three bedroom MQ varied between 7.3 percent and 23.7 percent for the majority of CF members. However, where a CF member at the lower end of the pay scale with a large family is living in a large MQ, the rent-to-income ratio could potentially exceed 25 percent of gross family income. As employer as well as "landlord", the Government of Canada has chosen to respect the 25 percent limitation when it comes to setting the rent for crown-controlled residential accommodation.

A recent situation came to light involving a junior military member paying more than 25 percent of their gross household income in rent for their MQ. This was largely due to their unawareness of the Treasury Board (TB) rent setting policy that limits rental rates on government-owned accommodation (MQs) to 25 percent of gross household income. In the majority of CF locations across Canada, this is not a problem as MQ Base Shelter Value (BSV) rates are well below the 25 percent of members’ gross household income. However, in a few locations, the MQ shelter charges that are based on local BSV are such that some junior CF members may experience rents for certain MQs that exceed the 25 percent TB limit.

The Canadian Forces Housing Agency (CFHA) has in place a procedure to ensure that all new CF occupants of MQs are not paying more than 25 percent of their gross household income. Each Housing Management Office (HMO) applies the TB policy automatically when a CF member is completing an application for housing. This action ensures that all future applicants for MQs have their rent-to-income calculated as part of the application and allocation process. However there is no automatic process to confirm the current rent-to-income status for the roughly 10 000 CF occupants currently living in MQs as their rents are automatically adjusted to reach BSV, while PLD rates are adjusted, or when personal circumstances change. Therefore, those CF members living in MQs who think they might be paying too much rent should do a quick calculation as illustrated in the calculation table to ensure they are not paying more than 25 percent of their gross household income (and that includes your monthly PLD where applicable) for the MQ they occupy.

If you have any questions or concerns regarding this policy, please visit the DQOL Web site at www.forces.gc.ca/hr/qol. Questions concerning the application of this policy or your own rent-to-income calculation can be referred to your local CFHA HMO, who will be pleased to assist you. And for more information on rent setting policies and other frequently asked questions regarding rent, you are encouraged to visit the CFHA Web site at http://cfha.mil.ca/info/aboutcfha_e.asp and look under occupant info.

Le logement et le coût de la vie

« Est-ce que je paie trop cher de loyer? » Voilà une question fréquemment posée à l’organisation du Directeur – Qualité de la vie (DQV). Quoique le lieu d’habitation et la façon de vivre demeurent un choix très personnel, il n’en demeure pas moins qu’il existe un seuil généralement accepté pour le coût du logement. La norme canadienne communément reconnue par les institutions financières et les organismes de services sociaux, lorsqu’il s’agit de déterminer le seuil des frais de logement, s’établit à 25 %. Les institutions financières, telles que les banques et les sociétés de fiducie, jugent que ce seuil est une bonne indication de la capacité d’une personne ou d’une famille à assumer les frais de propriété, comme le remboursement du capital et des intérêts d’une hypothèque, l’impôt foncier, les charges de copropriété et les dépenses d’entretien. Les organismes de services sociaux, comme les coopératives de logements à loyer modique et les organismes d’aide communautaire, fixent également le seuil indicateur à 25 % du revenu familial brut; sinon la famille ne disposera pas de revenus suffisants pour se nourrir, se vêtir, payer les services publics, etc. Ce seuil de 25 % est maintenant communément admis comme étant le maximum de ce qu’on devrait payer pour se loger, peu importe le type de logement qu’on occupe ou ses revenus.

Une analyse portant sur les militaires en poste au Canada a montré qu’en 2002, le pourcentage moyen du loyer exigé pour un logement familial (LF) de trois chambres à coucher (y compris l’indemnité de vie chère en région [IVCR], s’il y a lieu) par rapport au revenu varie entre 7,3 % et 23,7 % pour la plupart des membres des FC. Actuellement, il se peut qu’un militaire au bas de l’échelle salariale qui occupe un grand LF parce qu’il a une grosse famille voie son loyer dépasser les 25 % de son revenu familial brut. À titre d’employeur et de « propriétaire », le gouvernement du Canada a choisi de respecter le seuil de 25 % quand il détermine le loyer des logements appartenant à l’État.

On a récemment fait état d’un militaire subalterne dont le loyer pour le LF qu’il occupait s’élevait à plus de 25 % du revenu brut de son ménage. Cette situation était en grande partie attribuable à la non- application de la politique du Conseil du Trésor (CT) qui limite à 25 % du revenu brut du ménage les taux de location des logements appartenant à l’État. Dans la majorité des endroits où sont implantées les FC au Canada, le problème ne se pose pas, étant donné que la valeur de base du gîte (VBG) des LF est bien inférieure à 25 % du revenu brut du ménage du militaire. Il arrive toutefois qu’à certains endroits, les frais de gîte des LF soient basés sur la VBG locale, de sorte que le loyer du LF de certains militaires subalternes dépasse la limite des 25 % imposée par le CT.

L’Agence du logement des Forces canadiennes (ALFC) applique une règle pour limiter à 25 % du revenu brut du ménage le loyer versé par les nouveaux locataires des LF. Chaque bureau de gestion des logements applique la politique du CT dès que le militaire fait une demande de logement. L’ALFC veille à ce que le loyer soit indexé sur les revenus à l’étape même de la demande et de l’attribution du logement. Cependant, il n’existe pas de mécanisme pour réévaluer automatiquement les loyers en fonction des revenus des quelque 10 000 militaires qui occupent déjà des LF quand leurs loyers sont ajustés à la VBG, lorsque l’IVCR est révisée, ou encore au moment où leur situation personnelle change. Toutefois, les militaires des FC qui pensent que le loyer de leur LF est trop élevé devraient, en se basant sur le tableau ci-dessus, effectuer un calcul rapide pour s’assurer que le montant qu’ils paient ne dépasse pas les 25 % du revenu brut de leur ménage (y compris le montant d’IVCR, s’il y a lieu).

Si vous avez des questions relatives à la politique susmentionnée, veuillez consulter le site Web du DQV, au www.forces.gc.ca/hr/qol. Quant aux questions portant sur l’application de la politique ou les calculs à effectuer pour déterminer votre loyer par rapport à vos revenus, veuillez consulter votre BGL local de l’ALFC, où l’on se fera un plaisir de vous aider. Pour obtenir de plus amples renseignements sur les politiques de fixation des loyers ou obtenir des réponses aux questions les plus fréquemment posées, vous êtes invités à consulter le site Web de l’ALFC au http://cfha.mil.ca/ info/aboutcfha_f.asp, sous la rubrique « Info pour les occupants ».

NCM Corps 2020 : A bold new direction

By LCdr John Coppard

KINGSTON — The professional development of CF non-commissioned members (NCMs) has taken a bold new direction with the release of NCM Corps 2020. The document outlines a vision of the NCM of the future and provides strategic guidance on NCM PD to the year 2020, as envisioned in Defence Strategy 2020.

"This is a watershed event for the CF," said Rear-Admiral David Morse, commander of the Canadian Defence Academy. "For the first time, we have clear-cut strategic guidance specifically tailored to help us develop NCMs with the skills and knowledge to meet the challenges of an increasingly complex security environment."

RAdm Morse emphasized the necessity of NCM Corps 2020 in a world where technological advances and sophisticated security challenges require that NCMs be brought more effectively into the decision-making process. "As we’ve seen throughout the 1990s and more recently in Afghanistan, the nature and pace of modern military operations is demanding more from the NCM than ever before. An educated, professionally developed, and critical-thinking NCM corps has become an operational imperative."

NCM Corps 2020 represents the culmination of more than a year of intense effort and consultation by a specially selected team led by the Special Advisor to the CDS on PD, Brigadier-General Charles Lemieux. The team, comprising two senior officers, four chief warrant officers, and a corporal, held 30-person working groups in Edmonton, Trenton, Valcartier, Halifax and Ottawa, in order to hear the views of a wide cross-section of NCMs.

"We wanted to hear from the rank-and-file who are out there dealing with some very tough issues and technology," said Chief Petty Officer, 1st Class Craig Calvert, a member of the Special Advisor’s team. "We wanted to get their views on what kind of education and professional development they needed to do their jobs now, and in the future."

More information on NCM Corps 2020 and Officership 2020 is available at http://cda-acd.mil.ca/2020.

LCdr Coppard is the PAO for CDA.

Le corps des MR en 2020 : une nouvelle orientation audacieuse

par le Captc John Coppard

KINGSTON — Le perfectionnement professionnel (PP) des militaires du rang (MR) des FC a pris une nouvelle orientation avec la diffusion du document Le corps des MR en 2020. On y expose une vision des MR de demain et on donne une orientation stratégique au PP des militaires du rang jusqu’à l’an 2020, conformément à ce qui a été prévu dans la Stratégie de défense 2020.

« Il s’agit d’un tournant décisif pour les FC », a expliqué le Contre-amiral David Morse, commandant de l’Académie canadienne de la Défense. « Pour la première fois, nous disposons d’une orientation stratégique bien définie et précisément conçue pour nous aider à fournir aux MR les compétences et connaissances dont ils ont besoin pour relever les défis propres à un environnement de sécurité de plus en plus complexe. »

Le Cam Morse a insisté sur la nécessité d’un document tel que Le corps des MR en 2020 dans un monde où les progrès technologiques et les problèmes modernes en matière de sécurité exigent que les MR participent avec plus d’efficacité au processus décisionnel. « Comme nous avons pu le constater tout au long des années 90, et plus récemment en Afghanistan, la nature et le rythme des opérations militaires d’aujourd’hui exigent plus des MR que jamais auparavant. Sur le plan opérationnel, il devient impératif que le corps des MR soit instruit, qu’il soit professionnellement à jour et qu’il développe une pensée critique. »

Le document Le corps des MR en 2020 est l’aboutissement de plus d’une année d’efforts et de consultations intenses de la part d’une équipe spécialement sélectionnée ayant à sa tête le conseiller spécial auprès du CEMD, en ce qui a trait au PP, le Brigadier-général Charles Lemieux. L’équipe, composée de deux officiers supérieurs, de quatre adjudants-chefs et d’un caporal, a organisé des groupes de travail de 30 personnes à Edmonton, à Trenton, à Valcartier, à Halifax et à Ottawa, pour entendre les points de vue d’un large échantillon de MR.

« Nous voulions entendre ce qu’avaient à dire les militaires du rang qui sont aux prises avec des problèmes et des technologies très complexes », a indiqué le Premier Maître de 1re classe Craig Calvert, membre de l’équipe de conseillers spéciaux. « Nous voulions obtenir leurs points de vue sur le genre de formation et de perfectionnement professionnel dont ils ont besoin pour faire leur travail, aujourd’hui et dans l’avenir. »

Pour plus d’information sur ce document et L’officier en 2020, veuillez vous rendre sur le site http://cda-acd.mil.ca/2020.

Le Captc Coppard est OAP à l’ACD.

Changes in dress policy

The National Defence Clothing and Dress Committee has approved the following changes in dress. As a result, the dress manual will be amended in due course.

Multiple braids (changes in italics)

Braids, if worn, shall be styled conservatively and tied tightly: secured at the end by a knot or a small, unadorned fastener. A single braid shall be worn in the centre of the back. Double braids shall be worn behind the shoulders. Hair shall be a maximum length when gathered behind the head and braided which does not extend below the top of the armpit. Multiple braids and/or cornrows shall be directed toward the back of the head, pulled tight to the head and secured at the end by a knot or a small, unadorned fastener. Multiple braids extending below the lower edge of the collar are to be gathered in a bun. With the permission of a commanding officer, a reasonable period may be authorized in order to transition from short to long hairstyles during which time hair may extend below the lower edge of the shirt collar — all the while maintaining a positive military appearance, and subject to the member’s safety.

Wear of headdress while operating POMVs

Since it is no longer obligatory to wear headdress while operating Personally Owned Motor Vehicles on public roads, due to safety and comfort concerns, it was recommended that this relaxation of the regulations be extended to include “while operating POMV in garrison”. The Directorate of History and Heritage will amend the dress regulations to reflect that the wearing of headdress while operating a POMV is optional. The authority of local commanders governs the wearing of headdress in military vehicles.

Modifications aux principes en matière de tenue

Le Comité sur la tenue vestimentaire des Forces canadiennes a approuvé les modifications suivantes sur la tenue. Par voie de conséquence, le manuel sur la tenue sera modifié en temps opportun.

Tresses (les modifications sont en italique)

Les tresses doivent être sobres, bien serrées et tenues à leur extrémité par un nœud ou une petite attache non décorative. La tresse simple devra être au milieu du dos et les tresses doubles derrière les épaules. Les tresses coiffées vers l’arrière ne doivent pas être surmontées ni tomber en bas de l’aisselle. Les tresses doivent être coiffées vers l’arrière de la tête. Il faut les tirer vers l’arrière et les tenir à leur extrémité par un nœud ou une petite attache non décorative. Si elles tombent plus bas que le col, il faut les mettre en chignon. Avec l’autorisation d’un commandant, une période de transition d’une durée raisonnable est permise afin de laisser pousser les cheveux en vue d’un changement de coiffure. Pendant cette période de transition, les cheveux peuvent tomber en bas du col, mais la personne doit s’assurer que son apparence est conforme aux exigences militaires et que sa coiffure ne constitue pas une source de danger.

Port de la coiffure au volant de son véhicule personnel

Étant donné qu’il n’est plus obligatoire de porter une coiffure au volant de son véhicule personnel sur les routes publiques pour des raisons de sécurité et de confort, il a été recommandé que l’assouplissement de ce règlement soit étendu aux militaires « en garnison ». La Direction – Histoire et patrimoine modifiera les règlements sur la tenue de façon que le port de la coiffure devienne facultatif pour les militaires au volant de leur véhicule personnel. Pour ce qui est du port de la coiffure dans les véhicules militaires, ce sont les commandants de secteur qui prennent les décisions.

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