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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Navy, Maple Leaf, 25 June 2003, Vol. 6 No. 24

Marine , La feuille d'érable, Le 25 juin 2003, Vol. 6 no. 24

EOD team uncovers, destroys ammunition from sunken vessel

An Explosive Ordinance Team was recently dispatched to dispose of some 360 rounds of aging ammunition originating from a dilapidated 1939 wreck off the shore of Parrsboro, N.S.

The RCMP had requested the EOD team’s assistance after it had discovered 60, 40-mm rounds of ammunition from a home where it had responded to a domestic dispute. The team then discovered the remaining rusted rounds after extensively scouring the beach and the wreck, submerged two feet underwater. The vessel was so badly deteriorated that only beams and boards remained. Local residents had also stripped much of the wood from the wreck for beach fires.

The EOD team, which found the ammunition to be inert and free of explosive agents, successfully destroyed the ammunition at a local quarry and concluded that no further survey of the site was necessary.

— Compiled by Richard Vieira

Une équipe NEM détruit des munitions provenant d’une épave

Récemment, une Équipe de neutralisation des explosifs et munitions (NEM) a été dépêchée pour éliminer quelque 360 munitions en provenance d’une épave datant de 1939, au large de la côte de Parrsboro, en Nouvelle-Écosse.

La GRC avait demandé l’aide de cette équipe après avoir découvert 60 munitions de 40 mm dans une maison où elle avait été appelée à intervenir dans une chicane de ménage. L’équipe a ensuite découvert le reste des munitions rouillées, après avoir passé au peigne fin la plage et l’épave submergée dans deux pieds d’eau. Le navire était à ce point détérioré qu’il ne restait plus que des poutres et des planches. Les résidents de l’endroit avaient utilisé la plus grande partie du bois provenant de l’épave pour faire des feux sur la plage.

L’Équipe NEM a constaté qu’il s’agissait de munitions inertes ne contenant aucun agent explosif; elle a réussi à détruire ces munitions, dans une carrière locale, et en est arrivée à la conclusion qu’aucune autre visite des lieux ne s’imposait.

— Synthèse de Richard Vieira

FREDERICTON sends medical assistance to Gulf vessel

HMCS FREDERICTON’s boarding party recently dispatched medical assistance to a suspect vessel in the Arabian Gulf.

During a routine investigation of the ship, boarding party team leader Lieutenant(N) Jonathan Kouwenburg noticed that its master, wearing a dirty gauze dressing, appeared to be in pain. After questioning him, Lt(N) Kouwenburg discovered the master had broken his wrist a week earlier but had not received proper medical attention.

FREDERICTON sent Canadian Task Group Medical Officer Lieutenant-Commander Douglas Fugger, who positioned and re-splinted the master’s wrist.

"His wrist was not an urgent, limb-threatening injury, but will likely require operative fixation," says LCdr Fugger.

This is the second time in recent months that FREDERICTON has provided assistance to members of civilian vessels requiring medical attention.

— With files from Lt(N) Morgan Bailey

Un médecin du FREDERICTON vient en aide à un capitaine de navire

L’équipe d’arraisonnement du NCSM FREDERICTON a récemment dépêché un aide médicale sur un navire suspect, dans le golfe Arabo-Persique.

Au cours d’une enquête de routine effectuée sur le navire, le chef de l’équipe d’arraisonnement, le Lieutenant de vaisseau Jonathan Kouwenburg a remarqué que son capitaine, qui portait un vieux pansement de gaze, semblait souffrir. Après l’avoir interrogé, le Ltv Kouwenburg a découvert que le capitaine s’était cassé le poignet une semaine plus tôt et n’avait pas reçu les soins médicaux requis.

Le FREDERICTON a dépêché le médecin militaire du Groupe opérationnel canadien, le Capitaine de corvette Douglas Fugger, qui a replacé le poignet du capitaine et refait son attelle.

« Cette blessure au poignet n’était pas une urgence médicale susceptible de compromettre la vie du capitaine, mais elle nécessitera sans doute une intervention chirurgicale », a expliqué le Captc Fugger.

C’était la deuxième fois au cours des derniers mois que le NCSM FREDERICTON fournissait de l’aide à des membres d’équipage de navires civils ayant besoin de soins médicaux.

— Avec les fichiers du Ltv Morgan Bailey

Sailors help get the bottled message out

By Lt(N) Paula Jardine

Arabian Gulf — Have you ever wondered if you would get a response after tossing a message in a bottle out to sea?

For a Grade 4 class at Smokey Drive Elementary in Lower Sackville, N.S., that curiosity was finally put to rest. The class received a response just this year from a message in a bottle that was launched by a previous class several years ago. The long-awaited reply arrived from Ireland.

The response sparked interest in executing another message-in-a-bottle mission. Student Katie Clark, daughter of Lieutenant-Commander Rob Clark, executive officer with HMCS FREDERICTON, told her father about the idea and asked if she and her class could repeat the mission since he was scheduled for deployment at sea for Operation APOLLO.

Classmate Erin McDermott’s father, Lieutenant(N) Tim McDermott, was also being deployed, serving as operations officer with FREDERICTON. He and LCdr Clark joined forces to help execute the bottle-drop operation.

"This type of project is a wonderful way to expand young minds to distant horizons," says Lt(N) McDermott. "We’re not strangers to these kids because we know many of them through our daughters."

"It’s very gratifying to see their excitement."

Mrs. Oakley’s class prepared the messages, which included a request for a reply and a list with each student’s name, and Katie brought them home, where LCdr Clark corked them into two glass bottles and prepared them for their launch.

Once at sea, LCdr Clark and Lt(N) McDermott initially planned to launch the bottles in the mid-Atlantic but faced rough waters and stormy weather conditions, delaying the launch until they reached the vicinity near the Azores islands, the Portuguese archipelago in the Atlantic Ocean.

Ever since the bottles were dropped, LCdr Clark has been exchanging e-mails with the class and answering questions about the Navy and life at sea. The class has also followed the deployment of FREDERICTON as part of their study of geography and of the cultures and countries the ship has visited.

"I think it has been an interesting learning experience for all of us," says LCdr Clark. "The kids have been very excited about receiving e-mail and have had a wonderful time looking at pictures on the ship’s Web site."

And now Mrs. Oakley’s class, as well as the FREDERICTON sailors, will again eagerly await a reply to their messages, however distant and delayed, from across the ocean.

— With files from Richard Vieira

Des bouteilles à la mer

par le Ltv Paula Jardine

Golfe Arabo-Persique — Vous êtes-vous déjà demandé si vous obtiendriez une réponse à un message glissé dans une bouteille jetée à la mer?

Les élèves de 4e année de l’école élémentaire Smokey Drive de Lower Sackville, en Nouvelle-Écosse, ont pour leur part pu satisfaire leur curiosité. Cette année, la classe a reçu une réponse au message qui avait été glissé dans une bouteille jetée à la mer par une classe précédente il y a de cela plusieurs années. La réponse depuis longtemps attendue est venue d’Irlande.

Cette réponse a fait naître l’idée de mener à bien une autre mission d’envoi d’un message dans une bouteille. L’élève Katie Clark, fille du Capitaine de corvette Rob Clark, commandant en second à bord du NCSM FREDERICTON, a fait part de son idée à son père et lui a demandé si elle pourrait, avec sa classe, répéter cette mission étant donné qu’il devait partir en mer, en déploiement dans le cadre de l’opération APOLLO.

Le père de sa camarade de classe Erin McDermott, le Lieutenant de vaisseau Tim McDermott, partait également en déploiement, comme officier des opérations à bord du FREDERICTON. Il a joint ses efforts à ceux du Captc Clark pour faciliter l’exécution de cette mission.

« Ce type de projet est une façon extraordinaire d’élargir les horizons des jeunes », a indiqué le Ltv McDermott. « Nous connaissons nombre de ces enfants par l’intermédiaire de nos filles. »

« Il est très satisfaisant de voir à quel point ils sont enthousiastes. »

La classe de Mme Oakley a rédigé les messages, qui comportaient une demande de réponse et une liste indiquant le nom de chaque élève. Katie les a emmenés à la maison et le Captc Clark les a glissés dans deux bouteilles, qu’il a préparées en vue de leur lancement.

Le Captc Clark et le Ltv McDermott avaient d’abord prévu jeter les bouteilles au milieu de l’Atlantique, mais comme il leur a fallu affronter une mer agitée et une tempête, le tout a été retardé jusqu’à ce qu’ils soient rendus dans les environs des Açores, l’archipel portugais situé dans l’Atlantique.

Depuis que les bouteilles ont été jetées, le Captc Clark échange des courriels avec les élèves et répond à leurs questions au sujet de la Marine et de la vie en mer. Dans le cadre de ses cours de géographie, la classe a également suivi le déploiement du FREDERICTON, de même que les cultures et les pays que le navire visite.

« Je pense que nous avons tous vécu une expérience d’apprentissage intéressante », a expliqué le Captc Clark. « Les enfants ont été très heureux de recevoir des courriels et ils ont passé de bons moments à regarder les images sur le site Web du navire. »

Maintenant, la classe de Mme Oakley ainsi que les marins du FREDERICTON vont encore une fois attendre impatiemment une réponse à leurs messages, peu importe la distance et le temps, en provenance de l’autre côté de l’océan.

— Avec les fichiers de Richard Vieira

Eye to the future

Base Imaging Unit switches to digital video to document ship refits

By A/SLt Sonia Dumouchel-Connock

CFB Esquimalt — The Base Imaging Section of Maritime Forces Pacific (MARPAC) is taking a new high-tech approach to documenting ships entering into refit periods.

"We are the first to move refits into the digital age," says Lavina Galbraith, the imaging archivist in charge of cataloguing refit images.

Base Imagining is now using digital video instead of photographic stills to document a vessel before it is turned over to contractors.

Before HMCS ALGONQUIN was turned over in February to the Victoria Shipyard Company Ltd., the contractor awarded the $20-million contract for the extensive maintenance period of the Tribal Class destroyer, every compartment, fitting and piece of equipment was documented using the new medium.

The documentation shows the condition of the ship at the time it was turned over to the contractor. It is used during the refit to sort out questions that arise during repairs and after refit to ensure that everything is put back in its place.

Prior to the use of video, thousands of still photographs were taken to accomplish this documentation—up to 3 000 stills for a ship the size of ALGONQUIN. These 3 000 photographs translate into 84 rolls of 36-exposure film and 610 metres of paper to print two sets of the photographs.

Capturing the ship’s pre-refit condition on video saves money on materials such as paper, chemicals and film, and reduces the negative impact on the environment, says Ms. Galbraith. The video images also provide more thorough documentation.

"The digital video is much more comprehensive than stills in that they capture more of the compartment," says Chief Petty Officer, 2nd Class Mike Hanousek, the Quality Assurance Representative (QAR) I/C Hull Systems. "With stills, the photographer has to overlap the exposures to capture everything.

"It is easier and faster just to shoot the movie and pan around the compartment."

Master Corporals Dana Prost and Colin Kelley and Corporal Emmanuel Tsagatakis, three image technicians from MARPAC’s Base Imaging, spent two-and-a-half days filming ALGONQUIN’s many compartments.

They panned around the compartments, capturing images of equipment from all angles and taking close-ups of objects of interest. They also captured voice recordings of discussions between the ship, contractor and QAR representatives about equipment or spaces that might pose a concern.

The 305 video clips filmed on mini DVD tapes were then catalogued and burned onto 30 CDs.

"It’s easier for the end user to find the image they want using the CDs then with still images in a shoebox," says Ms. Galbraith. "The images on CD can be found using a few keystrokes."

Both the contractor and the QAR are "very happy with the video archives," says CPO 2 Hanousek.

"We’ve already successfully used several of the movies to sort things out," he says. "They are user-friendly and quite comprehensive."

Users can use the software search engine to call up specific images, or play a video clip and freeze or amplify the image they require.

"My sincerest accolades go to Base Imaging Services, Esquimalt, and especially Lavina Galbraith for going that extra mile to better serve their customer," says Chief Warrant Officer Brian Bengert, the Formation Imaging Services Officer at CFB Halifax. "It’s great to see passion for the trade and true professionalism at work."

CWO Bengert says Formation Imaging Services Halifax will likely use digital video for its next refit assignment.

A/SLt Dumouchel-Connock is with MARPAC Navy PA.

Regard vers le futur

Adoption de la vidéo numérique à l’Unité d’imagerie de la base

par l’Ens 2 Sonia Dumouchel-Connock

BFC Esquimalt — La Section d’imagerie de la base des Forces maritimes du Pacifique [FMAR(P)] adopte une nouvelle méthode à la fine pointe de la technologie pour fournir de la documentation à la firme chargée de radouber un navire.

« Nous sommes les premiers à faire entrer le radoub dans l’ère numérique », a précisé Lavina Galbraith, archiviste d’imagerie responsable du catalogage des images de radoub.

La section utilise dorénavant la vidéo numérique au lieu de photographies pour fournir de la documentation aux entrepreneurs qui doivent radouber un navire.

Avant que le NCSM ALGONQUIN ne soit confié en février à la Victoria Shipyard Company Ltd., l’entrepreneur à qui l’on avait octroyé le contrat de 20 millions de dollars pour la période de maintenance d’envergure des destroyers de la classe Tribal, tous les compartiments, appareils et matériels ont été filmés au moyen de cette nouvelle technologie.

La documentation fait voir l’état du navire au moment où il a été confié à l’entrepreneur. On peut s’y référer pendant le radoub pour savoir quoi réparer et après coup pour s’assurer que tout a été bien remis en place.

Auparavant, des milliers de photos étaient prises aux fins de la documentation, parfois jusqu’à 3 000 pour un navire de la taille de l’ALGONQUIN. Pour prendre ces 3 000 photos, il faut 84 rouleaux de film de 36 poses et pour les imprimer en double, il faut 610 mètres de pellicule photo.

Selon Mme Galbraith, le recours à la vidéo pour illustrer l’état du navire avant le radoub économise les sommes d’argent consacrées à l’achat du papier, des produits chimiques et des films, et cela réduit l’impact négatif sur l’environnement. En outre, les images vidéo sont plus complètes.

« Les images vidéo numériques sont beaucoup plus complètes que les photographies, car elles donnent une vue globale d’un compartiment », précise le Premier Maître de 2e classe Mike Hanousek, représentant de l’assurance de la qualité (RAQ) responsable des systèmes de coques. « Lorsqu’il prend une série de photos, le photographe doit faire se chevaucher les poses pour arriver à tout capter sur pellicule. »

« Il est plus facile et plus rapide de prendre le compartiment en panoramique sur film. »

Les caporaux-chefs Dana Prost et Colin Kelley ainsi que le Cpl Emmanuel Tsagatakis, trois techniciens d’images de la Section d’imagerie de la base des FMAR(P), ont consacré deux jours et demi à filmer les nombreux compartiments du NSCM ALGONQUIN.

Ils ont filmé en panoramique. Ils ont pris des images de l’équipement sous tous les angles et ils ont pris des plans rapprochés des objets présentant de l’intérêt. Ils ont également enregistré les discussions entre les représentants du navire, de l’entrepreneur et du RAQ sur l’équipement ou les endroits qui pourraient poser un problème.

Les 305 vidéoclips pris sur de minirubans vidéonumériques ont été catalogués et gravés sur 30 CD.

« Il est plus facile pour l’utilisateur de repérer l’image voulue sur les CD que de trouver des photos dans une boîte à chaussures », a ajouté Mme Galbraith. « On peut repérer les images sur CD au moyen de quelques clics. »

L’entrepreneur et le RAQ sont très satisfaits des archives vidéo, au dire du PM 2 Hanousek.

« Nous avons déjà utilisé avec succès plusieurs films pour nous retrouver. Les films sont conviviaux et complets », a-t-il ajouté.

Les utilisateurs peuvent se servir du moteur de recherche du logiciel pour obtenir certaines images en particulier ou visionner un vidéoclip et figer ou agrandir l’image dont ils ont besoin.

« Mes remerciements les plus sincères vont à la Section d’imagerie de la base Esquimalt et plus particulièrement à Lavina Galbraith qui n’a pas hésité à mettre tout en œuvre pour mieux servir ses clients », a indiqué l’Adjudant-chef Brian Bengert, officier des Services d’imagerie de la formation à la BFC Halifax. « C’est fantastique de voir la passion pour le métier et le vrai professionnalisme à l’œuvre. »

L’Adjuc Bengert mentionne que les Services d’imagerie d’Halifax auront fort probablement recours à la vidéo numérique pour son prochain radoub.

L’Ens 2 Dumouchel-Connock travaille aux AP des FMAR(P).

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