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Navy, Maple Leaf, 02 July 2003, Vol. 6 No. 25

Marine , La feuille d'érable, Le 02 juillet 2003, Vol. 6 no. 25

KINGSTON helps RCMP curb illegal activity

The Navy and the RCMP have teamed up to intercept smugglers and terrorists along the Atlantic coast.

HMCS KINGSTON is assisting with the RCMP’s Coastal Watch Program, which aims to help identify people, vessels, vehicles and aircraft that could pose a threat to national security. The ship will patrol the waters around the Atlantic provinces, whose massive and largely unguarded coastlines can be an easy target for those wishing to enter North America to participate in illegal activity.

"The Navy is not the police," says Lieutenant-Commander David Bottling of KINGSTON. "But if we see something, we’ll be able to plot, report... and we might even be asked to transport RCMP officers."

In fact, KINGSTON has already transported members of the RCMP’s Emergency Response Team when it has had to intercept ships suspected of smuggling.

But the ship’s primary role is to hail passing vessels to determine whether the crew and cargo is legitimate. It also will use radar to confirm whether the master of the ship is providing accurate information.

"If you show up in a warship with a big gun on the front... we have the means of making someone slow down," says LCdr Allan Offer, KINGSTON’s commanding officer.

The program also seeks to encourage the public, including boaters and fisherman, to watch for suspicious activities along the coast.

To promote this aspect of the initiative, KINGSTON was recently opened to the public in Pointe-du-Chêne, N.B.

— Compiled by Richard Vieira, with files from the Moncton Times & Transcript

Le KINGSTON aide la GRC à freiner les activités illégales

La Marine et la GRC font équipe pour intercepter des contrebandiers et des terroristes le long de la côte de l’Atlantique.

Le NCSM KINGSTON contribue au programme de surveillance côtière de la GRC dont l’objectif est de repérer les gens, les navires, les véhicules et les aéronefs pouvant constituer une menace à la sécurité nationale. Le navire patrouillera les eaux entourant les provinces atlantiques dont les côtes massives, généralement dépourvues de surveillance, constituent des cibles faciles pour ceux qui désirent entrer en Amérique du Nord en vue de se livrer à des activités illégales.

« La Marine n’est pas la police », déclare néanmoins le Capitaine de corvette du KINGSTON, David Bottling. « Mais, si nous apercevons quelque chose d’anormal, nous serons en mesure d’en relever et d’en rapporter la position… et il se pourrait même que nous ayons à transporter des agents de la GRC. »

En fait, le NCSM KINGSTON a déjà transporté des membres de l’équipe d’intervention d’urgence de la GRC ayant pour mission d’intercepter des navires soupçonnés de contrebande.

Toutefois, son rôle principal consiste à arraisonner les navires qui passent pour déterminer la légitimité de leur équipage et de leur cargaison. Le KINGSTON utilise également le radar pour confirmer la véracité des informations transmises par les capitaines des navires arraisonnés.

« Si un navire de guerre se pointe avec un gros canon à l’avant… nous avons les moyens de l’obliger à ralentir », ajoute le Captc Allan Offer, commandant du KINGSTON.

Le programme de surveillance côtière de la GRC a également pour but d’encourager la population, notamment les plaisanciers et les pêcheurs, à surveiller les activités suspectes le long de la côte.

Pour promouvoir cet aspect, le NCSM KINGSTON a récemment été ouvert au public à Pointe-du-Chêne, N.-B.

— Compilé par Richard Vieira, avec la rubrique du Moncton Times & Transcript

Nova Scotia International Tattoo celebrates its 25th anniversary

Navy will take on Army in obstacle race

By Jeri Grychowski

For the first time in the 25-year history of the Nova Scotia International Tattoo, the annual military and civilian celebration of the Canadian Forces, the event’s obstacle race will pit the Navy against the Army.

"The Navy is hyped to take on the Army," says Petty Officer, 2nd Class Gary Evans, naval race team co-ordinator. "We are in great physical condition and are very keen to show the Army that our spirits are high, our attitude is strong and that we are planning on giving them one of the toughest challenges to date."

Twenty-five East Coast sailors, divided into two teams—one from HMCS HALIFAX and the other from HMCS PRESERVER—will represent the Navy. Team members were drawn from their respective ships' companies, including some members who deployed in Operation APOLLO.

Army teams will comprise members from 2nd Battalion, The Royal Canadian Regiment out of CFB Gagetown and from 36 Canadian Brigade Group, Halifax. The best Navy team will compete against the best Army team on the final night of the 10-day celebration. The winner will be awarded the Major Doug Bell Memorial Sword and earn bragging rights for one year.

Maritime Forces Atlantic (MARLANT) will have a strong presence at Tattoo again this year. Canada's premier East Coast musical corps, The Stadacona Band, will once again anchor the Tattoo, which runs from June 29 to July 7. Lead by Lieutenant-Commander Gaétan Bouchard, the band brings a wealth of experience and international recognition to the production. New this year is the Navy Drum Line, formed by LCdr Bouchard from volunteers across the Formation. The Stadacona Band and the Drum Line will be profiled throughout each performance.

In addition, the Navy will be participating in a special two-and-a-half-hour performance tribute to those who served in Op APOLLO. The show will feature military historic scenes and an impressive grand finale. Backstage, CF members will provide valuable expertise in logistical, transportation and administrative areas.

"This is a tremendous accomplishment that has relied on a true spirit of teamwork, co-operation and dedication on the part of hundreds of military members each year," says Commander Pat Charlton, MARLANT's Military Personnel Management and Training officer and the senior co-ordinator for the CF. "It continues to amaze me to see the production come together in just seven short days of rehearsal."

Other CF units participating in the 25th anniversary production include the Atlantic Area Militia Band, the Ceremonial Guard Band, Ottawa, members of the Air Force Pipes and Drums and marching contingents for the Navy/ Army/Air Force tri-service guard. The Atlantic Region Cadets Canada Band will also perform. On the international front, the Netherlands Band, the North Sea Band of the German Navy and 51 Highland Brigade from the UK will also participate.

Over its 25-year run, the Tattoo and its unique combination of music, dance, drama, gymnastics, comedy, military displays and competitions has attracted over one million spectators.

Le Nova Scotia International Tattoo : 25e anniversaire

La Marine affrontera l’Armée dans la course à obstacles

par Jeri Grychowski

Pour une première fois dans l’histoire du Nova Scotia International Tattoo, la célébration militaire et civile des FC, la Marine se mesurera à l’Armée dans une course à obstacles.

« La Marine a très hâte d’affronter l’Armée », affirme le Maître de 2e classe Gary Evans, coordonnateur de l’équipe de la Marine. « Nous sommes en excellente forme et prêts à montrer à nos adversaires de l’Armée que nous sommes enthousiasmés, que nous avons une attitude de fer et que nous comptons leur lancer un défi comme ils n’en ont jamais eu. »

La Marine sera représentée par vingt-cinq marins de la côte est, divisés en deux équipes, l’une provenant du NCSM HALIFAX et l’autre du NCSM PRESERVER. Certains des membres ont participé à l’opération APOLLO.

L’Armée sera représentée au Tattoo par des membres du 2e Bataillon du Royal Canadian Regiment, de la BFC Gagetown, et par des membres du 36e Groupe-brigade du Canada, d’Halifax. La meilleure équipe de la Marine affrontera la meilleure équipe de l’Armée lors de la dernière soirée de la manifestation de dix jours. L’équipe gagnante remportera l’épée commémorative Major Doug Bell et aura l’honneur de porter le titre d’équipe championne tout au long de l’année.

Les Forces maritimes de l’Atlantique [FMAR(A)] seront, cette année encore, très bien représentées. En effet, le corps musical par excellence de la côte est, la Musique Stadacona, sera le point d’ancrage du Tattoo, qui se déroulera du 29 juin au 7 juillet. Dirigé par le Capitaine de corvette Gaétan Bouchard, l’orchestre, qui jouit d’une vaste expérience et d’une renommée internationale, saura donner le ton. Les tambours de la Marine, composés de bénévoles de toute la formation et dirigés par le Captc Bouchard, participent au Tattoo pour la première fois. La Musique Stadacona et les tambours seront mis en vedette lors de chaque représentation.

De plus, la Marine participera à un spectacle de deux heures et demie qui rendra hommage aux personnes qui ont participé à l’Op APOLLO. Il y aura entre autres des scènes militaires historiques et une grande finale des plus impressionnantes. Dans les coulisses, des membres des FC s’occuperont des tâches liées à la logistique, au transport et à l’administration.

« Le Tattoo est une activité d’envergure qui, chaque année, repose sur l’esprit d’équipe, la collaboration et le dévouement de centaines de militaires », souligne le Captf Pat Charlton, officier de formation et de gestion du personnel militaire des FMAR(A) et coordonnateur principal des FC. « Je suis toujours stupéfait de constater la qualité de la production après seulement sept jours de répétitions. »

D’autres unités des FC participeront au 25e anniversaire du Tattoo, notamment la musique de la milice de l’Atlantique, la Musique de la Garde de cérémonie d’Ottawa, des membres du Corps de tambours et de cornemuses de la Force aérienne, des contingents de la garde interarmées et la musique de Cadets Canada de l’Atlantique. Parmi les participants internationaux, soulignons la présence de la Musique des Pays-Bas, de la Musique de la mer du Nord de la Marine allemande et de la 51 Highland Brigade du Royaume-Uni.

Depuis les 25 dernières années, le Tattoo a attiré plus d’un million de spectateurs grâce à son unique mélange de musique, de danse, de théâtre, de gymnastique, de comédie, de présentations militaires et de compétitions.

First female clearance diver takes command of diving unit

By Richard Vieira

When Lieutenant(N) Leanne Crowe joined the Navy Reserves as a diesel mechanic after finishing high school in 1983, she was not expecting that part-time commitment to become a career.

"I just loved it," she says. "I realized I was spending more time in the (Reserves) unit than anywhere else and that’s when I came to the revelation that I wanted to do it full-time."

Lt(N) Crowe transferred to the Regular Force in 1989. Since then, she has gone on and become the first female to graduate from the Fleet Diving Unit’s Clearance Diving courses.

"It was a very competitive course," says Lt(N) Crowe, who completed the "intense" year-long course in 1993. "And I’m a competitor, so that’s why I wanted to do it."

Now she will be the first woman to command the Experimental Diving Unit in Toronto. She will be promoted to the rank of lieutenant-commander.

"I’ve always done very operational jobs, but I’ve never really worked in research and development," says Lt(N) Crowe, who was born in Oakville, Ont. "It’s going to be very different, but I’m really looking forward to it."

The Experimental Diving Unit is part of Defence Research and Development Canada. It researches and develops advanced devices and procedures to improve the Canadian Forces’ underwater capability and to ensure diver safety. As the Officer Commanding the unit, Lt(N) Crowe, currently with Fleet Diving Unit (Pacific), will be responsible for overseeing a staff of 15.

For the 38-year-old, who has spent most of her life living between Halifax and Victoria, the transfer and subsequent promotion will also be a homecoming.

"It will be my first time back in 16 years," she says. "My mother is ecstatic."

While Lt(N) Crowe may be the only female Clearance Diver and the first female CO of the EDU, more women are being integrated into diving. In fact, two women will graduate from the clearance diving course on July 9.

"I’m surprised that not more women are becoming divers," says Lt(N) Crowe. "But hopefully my promotion and the graduation of these two girls will present an even more positive image and more women will get into it."

But Lt(N) Crowe is quick to point out that the small number of female divers has little to do with the male-dominated history of the profession.

"Women are certainly not told they can’t be divers," she says. "I’ve always been well treated and respected and I presume that that respect will carry on going into the EDU."

Lt(N) Crowe says many sailors, male and female, remain in fields in which they have already proven successful.

"That has nothing to do with not wanting to be divers," she says. "Some officers just think ‘why should I give this up if I’m doing well.’"

She also says several trades, including diving, are very physically demanding and would not be suited for every sailor.

"Not everyone wants to live in trenches," she says. "If they’re into fitness and enjoy manual labour, they’ll want to become divers."

Une première : une plongeuse à la tête d’une unité de plongée

par Richard Vieira

Lorsque Leanne Crowe, aujourd’hui lieutenant de vaisseau, est entrée dans la Réserve navale à titre de mécanicienne diesel à la fin de ses études secondaires, en 1983, elle ne s’attendait pas à ce que cet engagement à temps partiel devienne une carrière.

« J’ai tout simplement adoré ça », mentionne-t-elle. « J’ai constaté que je passais plus de temps dans la Réserve qu’ailleurs. J’en ai donc conclu que c’est ce que je voulais faire à plein temps. »

Le Ltv Crowe est passée à la Force régulière en 1989. Depuis ce temps-là, elle est devenue la première plongeuse diplômée de l’Unité de plongée de la flotte et du cours de plongeur-démineur.

« C’était un cours très compétitif », déclare le Ltv Crowe, qui a terminé le cours intensif d’un an en 1993. « Je suis une fière compétitrice : c’est donc pour cette raison que je m’y suis inscrite. »

Elle sera maintenant la première femme à commander l’Unité de plongée expérimentale à Toronto. Elle sera promue au grade de capitaine de corvette.

« J’ai toujours eu des emplois très opérationnels, mais je n’ai jamais vraiment fait de recherche et développement », précise-t-elle. « Ce sera très différent, mais j’ai bien hâte de commencer. »

L’Unité de plongée expérimentale fait partie de Recherche et développement pour la défense Canada. On y fait de la recherche et on met au point des appareils sophistiqués et des procédures pour améliorer la capacité sous-marine des FC et pour garantir la sécurité des plongeurs. En sa qualité de commandant de l’unité, le Ltv Crowe, qui relève actuellement de l’Unité de plongée de la flotte du Pacifique, supervisera une équipe de 15 personnes.

Pour cette jeune femme de 38 ans qui a passé la majeure partie de sa vie entre Halifax et Victoria, la mutation, suivie de la promotion, sera comme un retour au bercail.

« Je reviendrai dans la région pour la première fois en 16 ans », ajoute-t-elle. « Ma mère est aux anges! »

Le Ltv Crowe est certes la seule femme plongeur-démineur et la première femme commandant de l’unité de plongée expérimentale, mais de plus en plus de femmes se taillent une place en plongée. De fait, le 9 juillet, deux femmes termineront le cours de plongeur-démineur.

« Je suis surprise qu’il n’y ait pas plus de femmes plongeuses », déclare le Ltv Crowe. « J’espère que ma promotion et le diplôme qu’obtiendront ces deux femmes serviront à rehausser l’image du métier et que plus de femmes l’adopteront. »

Le Ltv Crowe ajoute rapidement que le petit nombre de femmes plongeuses n’a rien à voir avec l’histoire de la profession, dominée par des hommes.

« On ne dit certainement pas aux femmes qu’elles ne peuvent pas être plongeuses. J’ai toujours été bien traitée et respectée, et je suppose que cette attitude respectueuse me suivra à l’UPE. »

Le Ltv Crowe mentionne que bon nombre de marins, hommes et femmes, demeurent dans des domaines où ils ont déjà fait leurs preuves.

« Cela n’a rien à voir avec le fait de ne pas vouloir être plongeur », précise-t-elle. « Certains officiers se disent tout simplement “pourquoi abandonner ce que je fais déjà bien”? »

Elle ajoute que plusieurs métiers, dont la plongée, sont très exigeants physiquement et ne conviennent pas à tous les marins.

« Ce n’est pas donné à tout le monde de vouloir vivre dans les tranchées. Les personnes qui sont en bonne forme physique et qui aiment le travail manuel voudront devenir plongeurs. »

No one should bear the burden of cancer alone:

This sentiment was the theme behind HMCS WINDSOR’s team at Halifax’s 2nd annual Canadian Cancer Society Relay for Life held last month at St. Mary’s University in Halifax, N.S. This year, the relay was kicked off once again by a navy team. Dressed in full 50-pound firefighting gear and carrying both the Canadian flag and the Naval ensign, the CFNES Damage Control School ‘Fire Eaters’ team led the participants.

The relay was one of five held across Nova Scotia, with 74 teams taking part. More than $100 000 was raised to help the fight against cancer.

— Lt(N) Sue Stefko, Navy PA

Personne ne devrait porter le fardeau du cancer seul :

Voilà le sentiment qui a motivé l’équipe du NCSM WINDSOR lors du 2e Relais annuel pour la vie de la Société canadienne du cancer de Halifax, en Nouvelle-Écosse qui s’est tenu le mois dernier à l’Université St. Mary’s. Cette année, l’équipe de la Marine a encore ouvert le bal. Portant l’équipement de pompier complet pesant 50 livres, le drapeau canadien et le pavillon de la Marine, l’équipe des « cracheurs de feu » de l’École de prévention des dommages de l’EGNFC était à la tête du groupe de participants.

Il s’agissait d’un des cinq relais qui ont eu lieu en Nouvelle-Écosse, auxquels 74 équipes ont participé. Cette activité a permis d’amasser plus de 100 000 $ pour la lutte contre le cancer.

— Ltv Sue Stefko, AP de la Marine

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