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Page 6 - 7, Maple Leaf, 06 August 2003, Vol. 6 No. 30

page 6 - 7, La feuille d'érable, Le 06 août 2003, Vol. 6 no. 30

TALK BACK

World Military Games the pinnacle of achievement

I was delighted to see your coverage of the lead-up to the Third Military World Games to be held in Catania this September under the auspices of Le Conseil International du Sport Militaire (CISM). I was equally pleased to see the profiles of CISM athletes Cpl Simonsen and LS Howell (Vol. 6, No. 26). In the Military World Games and in other CISM championships, CF athletes are competing against some of the world's best. It is a great credit to their training, dedication and motivation that a number of them have been successful at such an elite level and have returned home from CISM competition proudly bearing their well-deserved medals. We wish all competitors in the 3rd MWG similar success, but win or lose, just competing for Canada at the CISM world level represents a pinnacle of achievement reserved for only the very best. All competitors deserve the unstinting support of their supervisors, COs and the entire CF/DND hierarchy.

Cmdre (Ret) H.A. (Mike) Cooper
Former CISM vice-president
Glen Margaret, N.S.

À vous la parole

Les Jeux mondiaux militaires, le summum de l’accomplissement

J’ai été très heureux de lire votre article sur la troisième édition des Jeux mondiaux militaires qui se tiendront à Catane en septembre prochain, sous les auspices du Conseil international du sport militaire (CISM). Tout aussi intéressants étaient les profils d’athlètes du CISM, comme celui du Cpl Simonsen et du Mat 1 Howell (vol. 6, no 26). Lors des Jeux mondiaux militaires et au cours d’autres championnats du CISM, les athlètes des FC se mesurent à certains des meilleurs du monde. C’est un grand hommage à leur entraînement, à leur dévouement et à leur motivation lorsque certains d’entre eux réussissent à un niveau aussi élevé et reviennent des compétitions du CISM portant fièrement leurs médailles au cou. Nous souhaitons autant de succès à tous les compétiteurs des IIIes JMM. Qu’ils gagnent ou non, le simple fait de représenter le Canada à l’échelle mondiale du CISM est un exploit digne de mention. Tous les compétiteurs méritent un appui sans réserve de la part de leur superviseur, de leur commandant et de toute la hiérarchie au sein des FC et du MDN.

Cmdre (ret) H.A. (Mike) Cooper
Ancien vice-président du CISM
Glen Margaret (N.-É.)

Soaring above

MARPAC’s RAVEN program instills Aboriginal youth with confidence, discipline

By Capt Allison Delaney

CFB ESQUIMALT — Private William Horne and Pte Alice Shaughnessy can now be counted as graduates of the first-ever Maritime Forces Pacific Aboriginal Youth Training Program.

Thirty-eight Aboriginal participants from Vancouver Island, ages 16 to 29, participated in the RAVEN summer employment program at CFB Esquimalt. Modelled after BOLD EAGLE in Wainwright, Alta., RAVEN is composed of a four-day cultural camp, followed by a month-long version of basic recruit training. The participants graduated on August 1.

"I liked the drill and the discipline," said Pte Horne, 26, from the Tsawout Nation north of Victoria. "It’s becoming second nature to me."

Pte Horne, who works as a general labourer when he is not marching around the parade square, enjoyed the RAVEN experience so much that he wants to join the Regular Force.

"Growing up, I always wanted to be a police officer or a firefighter," he said. "I have now learned that a person can do that in the military, so I’m going to try my best to get one of those trades."

Pte Shaughnessy, who calls Alert Bay home, did not know what to expect when reporting for military duty, but she was confident it was going to be challenging. At 17, Pte Shaughnessy is one of the youngest RAVEN participants, but she did not let that hold her back.

"It was this or working at Starbucks for the summer," she said. "I wanted to do something more interesting and challenging."

"I’m hoping my time here will give me an idea of what I want to do after I graduate from high school next year."

The idea for RAVEN originated two years ago from previous MARPAC Chief of Staff, Captain(N) Rick Town and Maritime Operations Group 4 Chief of Staff, Commander Dan LeBlanc, during a meeting with Vancouver Island First Nation chiefs. Borrowing best practices from BOLD EAGLE and the CF Aboriginal Entry Programme, RAVEN is designed to enhance a mutual understanding between the CF and Aboriginal communities.

"The Navy is very happy to be providing this unique opportunity to Aboriginal youth," said Rear-Admiral Jean-Yves Forcier, commander of Maritime Forces Pacific. "RAVEN provides a challenging summer job for Aboriginal youth that combines hands-on skills development and outdoor activities, together with the development of self-confidence, self-discipline, teamwork and physical fitness."

Participants are given a training bonus the same as a new private would be paid in the Reserve Force. The training bonus is issued proportionately at the end of each week in $300 allotments with a $1 000 bonus for graduates.

RAVEN is not a recruiting tool and there is no obligation for participants to join the military after graduation.

Capt Delaney is a PAO working at MARPAC HQ.

Succès fulgurant!

Le programme RAVEN des FMAR(P) insuffle confiance et discipline à de jeunes Autochtones

par le Capt Allison Delaney

BFC ESQUIMALT — Le Soldat William Horne et le Sdt Alice Shaughnessy font maintenant partie des diplômés du tout premier Programme de formation des jeunes Autochtones des Forces maritimes du Pacifique.

Trente-huit participants autochtones de l’île de Vancouver, âgés de 16 à 29 ans, ont participé au programme d’emploi d’été RAVEN offert à la BFC Esquimalt. Modelé sur le BOLD EAGLE de Wainwright, en Alberta, le programme RAVEN consiste en un camp culturel de quatre jours suivi d’un entraînement militaire de base d’une durée d’un mois. Les participants ont obtenu leur diplôme le 1er août.

« J’ai aimé l’entraînement et la discipline », a indiqué le Sdt Horne, âgé de 26 ans, de la nation Tsawout, au nord de Victoria. « Cela devient une seconde nature chez moi. »

Le Sdt Horne, qui travaille comme manœuvre lorsqu’il ne se trouve pas dans les environs du terrain de parade, a tellement apprécié son expérience qu’il souhaite joindre les rangs de la Force régulière.

« Pendant mon enfance, j’ai toujours désiré devenir agent de police ou pompier », a-t-il ajouté. « Je sais maintenant qu’il est possible d’exercer ces métiers dans les forces armées. Je vais donc faire de mon mieux pour un jour pratiquer l’un de ces métiers. »

Le Sdt Shaughnessy, qui se dit chez elle à Alert Bay, ne savait pas à quoi s’attendre lorsqu’elle s’est présentée aux exercices militaires, mais elle était convaincue qu’il y aurait des défis à relever. À 17 ans, le Sdt Shaughnessy est l’une des plus jeunes participantes au programme RAVEN, mais cela ne l’a pas arrêtée pour autant.

« C’était cela ou travailler chez Starbucks pour l’été », a-t-elle expliqué. « Je voulais quelque chose de plus intéressant et de plus stimulant. »

« J’espère que mon séjour ici va m’aider à choisir ce que je veux faire après l’obtention de mon diplôme d’études secondaires, l’an prochain. »

L’idée du programme RAVEN a été suggérée il y a deux ans par l’ancien chef d’état-major des FMAR(P), le Capitaine de vaisseau Rick Town et le chef d’état-major du 4e Groupe d’opérations maritimes, le Capitaine de frégate Dan LeBlanc, au cours d’une réunion avec les chefs des Premières nations de l’île de Vancouver. Le programme RAVEN tire profit des pratiques exemplaires du programme BOLD EAGLE et du programme de recrutement d’Autochtones des FC et il est conçu pour accroître la compréhension mutuelle entre les FC et les collectivités autochtones.

« La Marine est très heureuse d’offrir cette occasion exceptionnelle aux jeunes Autochtones », a indiqué le Contre-amiral Jean-Yves Forcier, commandant des Forces maritimes du Pacifique. « Le programme RAVEN est un emploi d’été intéressant pour les jeunes Autochtones; il combine le perfectionnement de compétences pratiques et les activités extérieures, tout en développant la confiance en soi, l’autodiscipline, le travail d’équipe et le conditionnement physique. »

Les participants touchent une prime d’instruction, comme dans le cas des nouveaux soldats de la Réserve. Cette prime est proportionnelle et elle est remise à la fin de chaque semaine, par tranches de 300 $, avec une somme de 1 000 $ pour les diplômés.

Le programme RAVEN n’est pas un programme de recrutement et les participants ne sont pas tenus de s’enrôler à la fin du programme.

Le Capt Delaney est OAP et travaille au QG des FMAR(P).

Pen pal pilot brightens girl’s life

By Andrea Macdonald

When a soldier came to Colleen Cowan’s class as a guest speaker in 2000, it inspired her to brighten the days of deployed CF members with letters of encouragement.

Colleen, then six years old, chose a place on a map and, with the help of her mother, wrote to peacekeepers abroad. After a year of sending letters she got a response.

The North Bay, Ont., native had been sending out letters not specifically addressed to anyone. After the terrorist attacks of September 11, DND/CF announced no packages or envelopes to peacekeepers would be accepted unless directed to an individual.

Liz Cowan, Colleen’s mother, contacted a family friend at 12 Wing Shearwater and asked him to track down someone who would appreciate these letters. That person ended up being Captain Barry Leonard, a Sea King pilot.

"She was a little frustrated with the situation, but my friend helped her out. I think the exact words my friend used were,‘I know the perfect guy. He’s a Newfoundlander’," said Capt Leonard.

In the fall of 2001, stationed in the Arabian Sea aboard the HMCS PRESERVER, Capt Leonard received his first letter from Colleen. Since he had no notification this letter was arriving, he was suspicious of the envelope.

"We were told not to open any packages that might be suspicious. There was a bit of a concern that was going on due to the Anthrax scare," said Capt Leonard.

After inspecting the letter, he went to the back of the ship where the wind blew away from him and opened it carefully. What he found inside was Colleen’s letter with some encouraging words.

Not wasting any time, Capt Leonard wrote back immediately. "It was perfect timing. It really brightened my day," he said.

During his time away on Operation APOLLO, Capt Leonard kept writing to Colleen, describing life at sea, sending pictures and small gifts from the Middle East.

Colleen enthusiastically reciprocated. She also sent artwork and pictures. Proud of her pen pal, she has shared her story and letters with her class for the past two years.

Colleen, now nine, still keeps in contact with the 28-year-old Sea King pilot and has met him twice.

Last summer, while on a mission to return a Sea King helicopter to Halifax, N.S. from Victoria, B.C., Capt Leonard and five other crewmembers stopped in North Bay to refuel and finally meet Colleen. He gave her a tour of the Sea King at the North Bay airport.

Not only has Colleen benefited from her pen pal, but her sister Erin, an Air Cadet, also looks up to Capt Leonard. "He certainly is a role model for both my daughters and he has encouraged Colleen, through his correspondence, with personal issues like her shyness and nervousness when she has had to perform before an audience (she plays guitar)," said Mrs. Cowan.

"His friendship has definitely had a positive influence on her."

Deux correspondants heureux

par Andrea Macdonald

En 2000, après qu’un soldat ait été invité à s’adresser à sa classe, Colleen Cowan a eu l’idée d’envoyer des lettres d’encouragement à des soldats canadiens affectés outre-mer afin d’égayer leur vie de tous les jours.

Colleen, alors âgée de six ans, a choisi un endroit sur une carte puis, avec l’aide de sa mère, s’est mise à écrire à des gardiens de la paix postés à l’étranger. Colleen envoyait des lettres depuis un an lorsqu’elle a enfin reçu sa première réponse.

La jeune résidente de North Bay, Ontario, n’adressait ses lettres à personne en particulier. Après les attentats terroristes du 11 septembre, le MDN et les FC avaient annoncé qu’aucun colis ou enveloppe ne serait transmis aux gardiens de la paix à moins d’être adressé à un destinataire en particulier.

Liz Cowan, la maman de Colleen, a donc contacté un ami de la famille à la 12e Escadre Shearwater pour lui demander de lui suggérer quelqu’un qui serait heureux de recevoir ces lettres. Ce quelqu’un, c’était le Capitaine Barry Leonard, pilote d’hélicoptères Sea King.

« Cette situation était un peu frustrante pour la mère de Colleen, mais mon ami l’a aidée. Je crois que les mots exacts de mon ami furent, "Je connais la personne toute indiquée. Il vient de Terre-Neuve" », a raconté le Capt Leonard.

À l’automne 2001, alors qu’il était à bord du NCMS PRESERVER, dans la mer d’Arabie, le Capt Leonard a reçu sa première missive de Colleen. Puisqu’il ne s’y attendait pas, l’enveloppe a quelque peu éveillé ses soupçons.

« On nous avait bien spécifié de ne pas ouvrir de colis suspects. L’affaire de l’anthrax avait soulevé certaines inquiétudes », a expliqué le Capt Leonard.

Après avoir examiné la lettre, il s’est dirigé vers l’arrière du navire, où le vent soufflait vers le large, puis il a ouvert l’enveloppe très soigneusement. À l’intérieur se trouvaient des mots d’encouragement de Colleen.

Le Capt Leonard s’est empressé de lui écrire. « Cette lettre ne pouvait pas arriver à un meilleur moment. Elle a vraiment égayé ma journée », a-t-il ajouté.

Le Capt Leonard a continué à écrire à Colleen tout au long de son déploiement pendant l’opération APOLLO. Il lui décrivait la vie en mer et lui envoyait des photos et de petits cadeaux en provenance du Moyen-Orient.

Colleen s’est montrée une correspondante enthousiaste. Elle a aussi envoyé des dessins et des photos. Fière de son ami correspondant, elle partage son histoire et montre ses lettres avec fierté à ses compagnons de classe depuis deux ans.

Colleen, maintenant âgée de neuf ans, est restée en contact avec le pilote de 28 ans, qu’elle a rencontré à deux reprises.

L’été dernier, alors qu’il ramenait un hélicoptère Sea King de Victoria, C.-B., à Halifax, N.-É., le Capt Leonard, accompagnés de cinq autres membres d’équipage, s’est arrêté à North Bay pour refaire le plein et enfin rencontrer Colleen. Le Capt Leonard lui a fait visiter le Sea King à l’aéroport de North Bay.

Ce n’est pas seulement Colleen qui a bénéficié de cette correspondance. Sa sœur Erin, qui fait partie des Cadets de l’Air, voue aussi de l’admiration au Capt Leonard. « C’est certainement un bon exemple pour mes filles et ses lettres ont encouragé Colleen à plusieurs points de vue, par exemple, à combattre sa gêne et sa nervosité lorsqu’elle joue de la guitare devant un auditoire », a précisé Mme Cowan.

« Son amitié a sans aucun doute eu une bonne influence sur Colleen. »

Reserve medical officer shares experience with international audience

By Capt Andre Salloum

Major Sunil Sookram is the kind of specialist Reserve Officer every NATO country, especially Canada, needs to target.

A prominent physician and part-time Reserve medical officer, he is motivated, keen, intelligent and genuine in his admiration for the CF in general and the Reserve Force in particular. Maj Sookram was recently invited to speak to an international audience made up of Reserve medical officers from over 20 NATO countries at this year’s CIOMR (Interallied Confederation of Reserve Medical Officers) Congress held from July 21-25 in Maastricht, the Netherlands.

"I realized I wanted to be a doctor when I was a private working as a medical technician in a Reserve medical company close to 15 years ago," Maj Sookram told his audience during the congress. "The Reserves inspired me as a youth to better myself and it was due to the motivation I received as a young man that prompted me to return years later as a Reserve MD."

He shared his thoughts and views regarding the challenges and rewards he faces every day in his dual role as a full-time civilian MD and part-time MO. Presenting for the first time to an audience made up of Reserve physicians, veterinarians, nurses and health care administers, he said, "As an emergentologist, I am used to working in a very high-paced environment. However, as a Reservist, I get to experience new and exciting challenges such as working in Bosnia and in support of the recent G8 Summit held in Canada. These types of high-tempo operational settings are not offered in the civilian sector."

During his presentation, Maj Sookram placed a great deal of emphasis on the professional development doctors can gain as Reserve medical officers. "While in Bosnia, I had an opportunity to work with medical personnel from various countries with a wide range of skill sets. This opportunity along with my experience on domestic operations has allowed me to improve my clinical skills and ultimately, has made me a better doctor."

Capt Salloum is a Reserve PAO.

Un médecin réserviste parle de son travail devant un auditoire international

par le Capt Andre Salloum

Le Major Sunil Sookram est le genre d’officier de la Réserve, un spécialiste que tous les pays de l’OTAN, spécialement le Canada, doivent chercher à recruter.

Médecin bien en vue et réserviste à temps partiel, il est motivé, enthousiaste, intelligent et affiche une admiration réelle pour les FC en général et la Réserve en particulier. Récemment, le Maj Sookram était invité à prendre la parole devant un auditoire international composé d’officiers médicaux de la Réserve en provenance de plus de 20 pays de l’OTAN, à l’occasion du congrès annuel de la Confédération interalliée des officiers médicaux de réserve (CIOMR) qui avait lieu à Maastricht, aux Pays-Bas, du 21 au 25 juillet.

« J’ai su que je voulais devenir médecin lorsque j’étais soldat et que je travaillais comme technicien médical dans une compagnie de la Réserve, il y a près de 15 ans », a expliqué le Maj Sookram à son auditoire, lors du Congrès. « La Réserve me semblait, étant jeune, un moyen de parfaire mes connaissances et c’est grâce à la motivation que j’ai acquise dans ma jeunesse que j’ai voulu, des années plus tard, entrer dans la Réserve comme officier médical. »

Le Maj Sookram a fait part de ses réflexions et points de vue concernant les défis et récompenses qui font partie de son quotidien, dans son double rôle de médecin à temps plein et de médecin militaire à temps partiel. Prenant la parole pour la première fois devant un auditoire composé de médecins, de vétérinaires, d’infirmières et d’administrateurs des soins de santé de la Réserve, il a indiqué : « À titre d’urgentologue, j’ai l’habitude d’évoluer dans un contexte où tout bouge très rapidement. Toutefois, comme réserviste, j’ai à relever des défis nouveaux et stimulants, par exemple travailler en Bosnie ou dans le cadre du récent Sommet du G8 tenu au Canada. Ce genre de contexte opérationnel à cadence élevée n’existe pas dans le secteur civil. »

Au cours de son exposé, le Maj Sookram a beaucoup insisté sur le perfectionnement professionnel que peuvent acquérir les médecins en tant qu’officiers médicaux de la Réserve. « Pendant que j’étais en Bosnie, j’ai eu l’occasion de travailler avec du personnel médical de divers pays ayant des champs de compétences très différents. Cette expérience, ajoutée à celle acquise dans les opérations nationales, m’a permis d’accroître mes compétences cliniques et, en bout de ligne, elle a fait de moi un meilleur médecin. »

Le Capt Salloum est OAP dans la Réserve.

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