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Page 16, Maple Leaf, 01 October 2003, Vol. 6 No. 36

page 16, La feuille d'érable, Le 01 octobre 2003, Vol. 6 No. 36

In pursuit of EXCellence

Maritime Command winner Maj Bruce Barteaux

This is the first in a series of articles celebrating the achievements of CF athletes who will be honoured November 1 at the 15th annual CF Sports Awards Ceremony.

By Kristina Davis

It is 110 kilometres from Halifax to Lunenburg, N.S. Ideal for a leisurely drive or maybe an afternoon spent on a bike. Now imagine, running that distance in just a little over 11 hours.

For ultra-marathoner Major Bruce Barteaux it was a walk, or make that a run in the park. He only had about three and a half hours of sleep the night before and spent the days leading up his Terry Fox Run fundraising, doing media interviews and putting in a full workday at CFB Halifax.

A spiritual man, he says he did not complete those 110 km with just his own ability. But complete it he did, raising more than $4 000 for cancer research. These charitable activities and his more than impressive running accomplishments, earned him the Maritime Command Male Athlete of the Year Award and a nomination as the CF Male Athlete of the Year.

On November 1 at a ceremony in Ottawa, hosted by the Canadian Forces Personnel Support Agency (CFPSA) and sponsored by SISIP Financial Services and the Royal Canadian Legion, Maj Barteaux and other Maritime Command winners will be celebrated. Like many, he says it is an honour to be nominated. "The recognition," he says, "certainly puts a spring in your step."

But why ultra-marathons? Why run for a 100 kilometres? Maj Barteaux likens it to climbing Mount Everest. "Quite simply," he explains, "because it’s there and you can."

In 2002, one of his proudest moments was making it to the Canadian team. "Representing Canada at a world competition, is just ‘wow.’ It’s so special to me." In that same year, he placed first in both the Owen Sound 100 km and the Greater Toronto ultra-marathon races. Competing at the World 100 km Challenge, Maj Barteaux finished the race as the 2nd Canadian overall.

Maj Barteaux says ultra-marathons require both physical and mental preparation. Physically, long-term conditioning is key, as the body must handle the stresses it will endure over the 100 km. As Maj Barteaux puts it, "If the wheels fall off half-way through the race, you won’t finish, no matter how determined you are."

The flip side of that, is the mental aspect. Mental toughness and preparation is also essential to finishing, much less winning, a race of that length. "When it starts to hurt, and it’s gonna hurt, there are degrees of pain and the ability to handle it… is a factor," he says.

Maj Barteaux credits his faith, his family, especially his wife who often rides her bike beside him during training runs, and the CF with supporting the long hours he spends training. He sees fitness as a fundamental aspect of his life and beneficial to all CF members.

"My bosses and the CF overall have been supportive. They appreciate that fitness is one of our prime objectives… with the Strengthening the Forces program and the emphasis on being fit, it fortifies you against many things."

Ms. Davis is the Media Relations Co-ordinator at CFPSA.

Top /HautEn quête d’excellence

L’athlète masculin de l’année du Commandement maritime, le Maj Bruce Barteaux

Voici le premier article d’une série qui vise à célébrer les réalisations des athlètes des FC qui seront à l’honneur le 1er novembre prochain, lors de la 15e cérémonie annuelle du mérite sportif.

par Kristina Davis

Cent dix kilomètres séparent Halifax de Lunenburg en N.-É. La distance idéale pour une promenade en voiture ou un après-midi à bicyclette. Imaginez-vous maintenant franchir cette distance à la course, et ce, en un peu plus de 11 heures.

Pour le Major Bruce Barteaux, qui est ultra-marathonien, ça n’a été qu’une petite course de rien du tout. Il n’avait pas dormi plus de trois heures et demie la nuit précédente et il avait passé les dernières journées avant la Course Terry Fox à recueillir des fonds, à accorder des entrevues aux médias et à travailler à temps plein à la BFC Halifax.

Le Maj Barteaux, un homme croyant, dit qu’il n’aurait jamais réussi le trajet de 110 km seul. Il l’a pourtant fait et il a recueilli plus de 4 000 $ pour la recherche sur la lutte contre le cancer. Ses activités de bienfaisance, ainsi que ses courses impressionnantes, lui ont valu d’être nommé athlète masculin de l’année du Commandement maritime et d’être en lice pour le titre d’athlète masculin de l’année des FC.

Le 1er novembre prochain, lors d’une cérémonie à Ottawa organisée par l’Agence de soutien du personnel des FC (ASPFC) et parrainée par les Services financiers du RARM et la Légion royale canadienne, le Maj Barteaux et les autres lauréats du prix de l’athlète de l’année du Commandement maritime seront à l’honneur. Il affirme que pour lui, comme pour bien d’autres, être en nomination est un honneur en soi. « Une telle reconnaissance rend certainement le pas plus léger », mentionne-t-il.

Mais pourquoi un ultra-marathon? Pourquoi courir sur une centaine de kilomètres? Le Maj Barteaux compare cet exploit à l’escalade du mont Everest. « Tout simplement parce qu’il est là et que vous en êtes capable », explique-t-il.

En 2002, l’une de ses plus belles réussites a été de faire partie de l’équipe canadienne. « Représenter le Canada lors d’une compétition internationale est incroyable. Ça m’a fait chaud au cœur. » Durant la même année, il s’est classé premier à l’épreuve du 100 km à Owen Sound et à l’ultra-marathon du Grand Toronto. Au Défi mondial du 100 km, il a été le deuxième canadien.

Le Maj Barteaux dit que les ultra-marathons exigent une préparation physique et mentale rigoureuse. Sur le plan physique, le conditionnement à long terme est primordial, puisque le corps doit se préparer aux difficultés qu’il devra encaisser au cours des 100 km. « Si on perd une roue à mi-chemin, il n’y a plus d’espoir de terminer la course, peu importe la détermination », mentionne le Maj Barteaux.

L’aspect psychologique de la course compte également pour beaucoup. La résistance psychologique et la préparation sont également essentielles ne serait-ce que pour terminer – et on ne parle pas ici de remporter – une course aussi longue. « Lorsque l’on commence à avoir mal, il y a différents stades de douleur, et la capacité de l’endurer est certainement un facteur », explique-t-il.

Le Maj Barteaux attribue cette force mentale à sa foi, à sa famille, en particulier à son épouse, qui fait souvent les courses d’entraînement à vélo près de lui, et aux FC, qui l’appuient, durant les longues heures qu’il passe à s’entraîner. Le major considère la forme physique comme un aspect élémentaire de sa vie et selon lui, la forme physique est profitable pour tous les membres des FC.

« Mes supérieurs et les FC en général sont très positifs. Ils savent que la forme physique est l’un de nos principaux objectifs, grâce au programme Énergiser les forces et à l’accent mis sur la forme physique. Être en forme nous rend forts contre bien d’autres maux. »

Mme Davis est la coordonnatrice des relations avec les médias à l’ASPFC.

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