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National Defence / Défense Nationale



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Page 14 - 15, Maple Leaf, 22 October 2003, Vol. 6 No. 39

page 14 - 15, La feuille d'érable, Le 22 octobre 2003, Vol. 6 No. 39

Fourth Dimension

By Charmion Chaplin-Thomas

October 26, 1813

In the thick forest on the north bank of the Châteauguay River about 55 km south of Montréal, somewhat less than 1 500 Canadian soldiers and 60 Mohawk warriors are preparing to fight 4 000 American soldiers under Major-General Wade Hampton. The Canadians are commanded by Lieutenant-Colonel Charles-Michel de Salaberry, the Seigneur of Chambly, a British Army officer of 20 years experience. He has two companies from his own regiment, the Canadian Voltigeurs, which he raised and trained himself and dressed like a British rifle regiment, but in the grey cloth worn by the Sedentary Militia of Lower Canada. He also has one company of the Canadian Fencible Light Infantry under Captain Charles Daly, and two companies of the 5th Select Embodied Militia, "The Devil’s Own". Their job is to delay the invaders while the regular troops of the Montréal garrison prepare a concentrated defence of the city.

LCol de Salaberry has spent the last 10 days building defences and pairing up the farmers of the Sedentary Militia with more experienced soldiers. The Mohawks are particularly important, and he put them on the right flank, in the forest. His main position is a barricade straddling the road to Montréal, high on the riverbank with clear fields on fire on the road itself and the swamp on the other side of the river. The weak spot is the riverbank downstream to Grant’s Ford, 3.5 km away, but that is held by LCol "Red George" Macdonell, who arrived on October 24 with 477 men of the Upper Canada Select Embodied Militia. They rowed 275 km down the St. Lawrence from Kingston, and then marched up the Montréal road, covering 315 km in less than four days.

MGen Hampton found LCol de Salaberry’s outer defences on October 24, when his avant-garde bumped into the abatis—a great heap of felled trees piled with the branches toward the enemy—at Spears Farm, about 10 km upstream. He took a day for reconnaissance, and then sent Brigadier-General George Izard down the north bank to storm LCol de Salaberry’s main position, and Colonel Robert Purdy down the south bank to attack Grant’s Ford at the same time.

It rained all night, and Col Purdy’s column got lost in the swamp. BGen Izard was in position at dawn, but his forward elements ran into miliciens and Fencibles out cutting brush for the abatis, so they fell back out of musket range and waited for Col Purdy to start the flanking attack. Meanwhile, LCol de Salaberry sent two companies of LCol Macdonell’s men to the south bank to reinforce a small party of miliciens, and they found Col Purdy’s column and attacked. Thinking he was facing British regulars, Col Purdy retreated briskly with the Upper Canadians in pursuit.

Now, at about 2 p.m., MGen Hampton hears gunfire and, assuming Col Purdy’s flank attack is beginning, orders BGen Izard forward. First, however, he sends a French-speaking officer out to test the Canadiens’ ethnic pride: "Brave Canadians!" he shouts, waving his hat. "Surrender yourselves! We wish you no harm!"

LCol de Salaberry does not wait to find out where his soldiers’ loyalties lie; seizing a musket, he takes aim through the abatis and shoots the officer dead. The Americans rush into the clearing, form ranks and begin firing volleys, and the Canadians respond with heavy fire, bugle calls, orders yelled to non-existent battalions, and blood-curdling whoops and shrieks from the Mohawks. LCol Macdonell’s red-coated Upper Canadians deliberately show themselves, looking as much like brigades of line infantry as they can manage in platoon strength. They keep it up all afternoon while LCol de Salaberry concentrates on securing the rear. Finally, after Capt Daly and the Fencibles thwart a final effort on the south bank, BGen Izard withdraws. At first, LCol de Salaberry thinks they have fallen back to renew the assault, but night falls and nothing happens.

On October 29, he writes to his father, "The American army commanded by Gen’l Hampton… has been repulsed by a little band—all Canadians—and yesterday that army commenced its retreat, or will endeavour to get into this country through some other road."

Top /HautQuatrième Dimension

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 26 octobre 1813

Dans une forêt dense, sur la rive nord de la rivière Châteauguay, à environ 55 km au sud de Montréal, un peu moins de 1 500 soldats canadiens et 60 Mohawks se préparent à combattre contre les 4 000 soldats américains du Major-général Wade Hampton. Le commandant des Canadiens est le Lieutenant-colonel Charles-Michel de Salaberry, seigneur de Chambly et officier de l’armée britannique comptant 20 ans d’expérience. Il commande deux compagnies de son régiment de Voltigeurs canadiens, régiment qu’il a lui-même recruté et entraîné. Il a aussi habillé ses Voltigeurs comme les fusiliers des régiments britanniques, utilisant cependant le tissu gris dont étaient faits les uniformes de la milice sédentaire du Bas-Canada. Il peut également compter sur une compagnie d’infanterie légère de Canadian Fencibles, sous le commandement du Capitaine Charles Daly, ainsi que sur deux compagnies de la 5e Milice d’élite et incorporée, « Les damnés ». La mission des Canadiens est de retarder les envahisseurs afin de permettre aux troupes de la force régulière de la garnison de Montréal de préparer une défense solide de la ville.

Le Lcol de Salaberry passe dix jours à préparer la défense et à former des équipes de fermiers de la milice sédentaire et de soldats plus expérimentés. Les Mohawks sont particulièrement importants, il les place dans la forêt, sur le flanc droit. Sa position principale consiste en une barricade qui chevauche la route qui mène à Montréal, sur une position surélevée, au bord de la rivière. La position offre des champs de tir dégagés sur la route ainsi que sur le marécage, sur l’autre rive. Le point faible de sa défense est la rive, en aval, jusqu’à Grant’s Ford, à 3,5 km de distance. Le lieu est cependant occupé par le Lcol « Red George » Macdonell, arrivé le 24 octobre avec 477 hommes de la Milice d’élite et incorporée du Haut-Canada. Ils ont longé le Saint-Laurent sur 275 km depuis Kingston avant de suivre la route vers Montréal, couvrant, à pied, plus de 315 km en moins de quatre jours.

Le Mgén Hampton atteint les dispositifs éloignés de défense du Lcol Salaberry le 24 octobre, alors que son avant-garde est arrêtée par un abattis – énorme amoncellement d’arbres abattus, les branches pointant vers l’envahisseur – à la ferme Spears, à approximativement 10 km en amont de la position des Canadiens. Il s’accorde une journée pour faire de la reconnaissance. Il envoie ensuite le Bgén George Izard sur la rive nord de la rivière pour ébranler la position principale du Lcol de Salaberry et le Colonel Robert Purdy le long de la rive sud pour donner l’assaut sur Grant’s Ford. Les deux attaques doivent se produire simultanément.

Il pleut toute la nuit. La colonne du Col Purdy se perd dans les marécages. Le Bgén Izard est en position à l’aube, mais ses éléments les plus avancés rencontrent des miliciens et des Fencibles qui sont en train de couper des arbustes pour un abattis. L’avant-garde du Bgén Izard se retire hors de portée des mousquets et attend que le Col Purdy lance l’attaque sur le flanc. Pendant ce temps, le Lcol de Salaberry envoie deux compagnies du Lcol Macdonell sur la rive sud en renfort à un petit groupe de miliciens, elles trouvent la colonne du Col Purdy et l’attaquent. Croyant faire face à des troupes britanniques régulières, le Col Purdy bat rapidement en retraite, les Canadiens du Haut-Canada à ses trousses.

Il est maintenant environ 14 h. Le Mgén Hampton entend des coups de feu. Croyant que le Col Purdy a lancé l’attaque sur le flanc, le Mgén Hampton ordonne au Bgén Izard de donner l’assaut. Cependant, avant cela, il détache un officier parlant français pour évaluer la détermination des Canadiens : « Braves Canadiens!, crie l’officier en agitant son chapeau, rendez-vous! Nous ne vous voulons aucun mal! »

Le Lcol de Salaberry n’attend pas de savoir à quel camp ses soldats accordent leur loyauté; s’emparant d’un mousquet, il tue l’officier d’un seul coup tiré à travers l’abattis. Les Américains se précipitent dans la clairière, forment les rangs et commencent à tirer des salves. Les Canadiens répondent par un tir nourri, des sonneries de clairon et des ordres criés à des bataillons fictifs, pendant que les Mohawks poussent des cris qui glacent le sang. Vêtus de leur tunique rouge, les Canadiens du Haut-Canada du Lcol Macdonell se montrent ostensiblement, les pelotons essayant le plus possible de ressembler à des brigades de fantassins alignés. Ils jouent ce jeu tout l’après-midi pendant que le Lcol de Salaberry se consacre à sécuriser l’arrière. Sur la rive sud, le Bgén Izard se retire finalement après un dernier effort contrecarré par les Fencibles du Capt Daly. Le Lcol de Salaberry croit d’abord que l’ennemi a reculé pour mieux sauter, mais la nuit tombe et rien ne se produit.

Le 29 octobre, de Salaberry écrit à son père : « L’armée américaine, commandée par le Gén Hampton… a été repoussée par une petite bande – tous des Canadiens – et hier, l’armée américaine a commencé à se retirer, elle pourrait tenter une percée au pays par une autre route ».

Top /HautCadet summer camps: Fun, learning and adventure

By Stéphanie Moreau

Do you know any teenagers who would like to have an enriching experience? You should tell them about Cadet summer camps, a project that makes more than 23 000 young Canadians happy every year.

Julien Beauchamp is one of those young Canadians. He is a Cadet with 233 Saint-Étienne, Royal Canadian Sea Cadet Corps at Rivières-des-Prairies. Cadet Beaucahmp has just attended his second summer camp. "I went to my first camp two summers ago and spent three weeks aboard HMCS QUÉBEC, near Trois-Rivières," he said. He also attended a six-week camp in Valcartier to become a physical education instructor.

Julio Cea Escobar, is with 2879 Montréal North Army Cadet Corps, and has been going to Cadet camps for four summers now. Having earned several badges, Cadet Escobar is now a camp instructor. "I passed my National Star Certification exam, which is basically a review of all knowledge acquired in the Cadet Corps," he said. Cadet Escobar also earned the ANAVETS Medal and the Strathcona Medal (for leadership). He already has two instructor courses behind him, one in bushcraft, the other in marksmanship, which he taught this summer.

Both cadets have earned the ANAVETS Medals. "This medal is awarded to Cadets who have proven themselves in training, sports and relationships with other Cadets," said Cadet Beauchamp.

There are 28 Cadet Summer Training Centres (CSTC) in Canada. Some are located near the Rocky Mountains, while others are found in Whitehorse, N.W.T. and Comox, B.C. Several camps offer specialized training sessions like the Space Camp in Saint-Jean-sur-Richelieu and the Marksmanship Centre in Ottawa.

For enrolment in a summer camp the Cadet must be between the ages of 12 and 18. Registration forms and camp information can be obtained wherever weekly meetings are held.

"A typical day at camp is as follows: from 6 a.m. to 10 a.m., we train, after which we have breakfast. Then we have inspections, lunch and a classroom session. Our day always ended at 4 p.m. We would also do fun things, like go biking at Mont-Saint-Anne," said Cadet Beauchamp.

Sports activities and classroom training are an important part of Cadet summer camps. Sea, Army and Air Cadets all receive different kinds of training for example: sailing techniques, marine engineering, topography-related activities and even gliding and aerospace activities.

"Attending Cadet summer camp helps you learn more about yourself and meet challenges," said Cadet Beauchamp. "It gives you a chance to share all kinds of things with other Cadets."

Cadet Escobar’s experience in Cadets will help him in choosing a career. "It showed me that I might like to study teaching or law enforcement," he said. He added that his parents are Chilean, and military service is compulsory in Chile.

Cadet summer camps are free for everyone. Participants receive a training allowance for the two, three, or six weeks they are at camp. An instructor’s salary is between $60 and $76 per day. The CF provides transportation, meals, accommodation, uniforms and special equipment.

For more information on Cadets and their summer camps, please visit www.cadets.ca.

Top /HautQuand vacances et camp riment avec cadets

par Stéphanie Moreau

Vous côtoyez des adolescents prêts à vivre une expérience enrichissante? Parlez-leur des camps d’été des cadets, un projet estival qui fait le bonheur de plus de 23 000 jeunes Canadiens chaque été.

Parmi eux, il y a Julien Beauchamp, du Corps de cadets 233 Saint-Étienne de la Marine royale du Canada, situé à Rivières-des-Prairies. Il en est à sa deuxième participation aux camps d’été. « J’ai participé au camp pour la première fois il y a deux étés. J’ai passé trois semaines à bord du NCSM QUÉBEC, près de Trois-Rivières », a-t-il expliqué. En outre, Julien a participé à un camp de six semaines à Valcartier pour devenir instructeur en éducation physique.

Quant à Julio Cea Escobar, du Corps de cadets de l’Armée 2879 Montréal-Nord, il fréquente les camps des cadets depuis quatre étés. Ayant gagné des galons, Julio va maintenant au camp à titre d’instructeur. « J’ai réussi mon Examen national de certification d’étoile il y a deux ans. C’est une révision de toutes les notions apprises dans les cadets », a précisé celui qui a gagné la médaille ANAVETS et le prix Strathcona (du leadership). Julio a déjà deux cours d’instructeur à son dossier : un en aventurier et l’autre en tir. C’est d’ailleurs cette technique qu’il a enseignée cet été.

Ces deux cadets ont reçu la médaille ANAVETS. « Cette médaille est remise aux cadets s’étant le plus illustré dans les secteurs scolaire, sportif et dans ses relations avec les autres cadets », a précisé le Cadet Beauchamp.

Il existe 28 centres d’instruction d’été des cadets (CIEC) au pays. Certains sont situés près des Rocheuses, d’autres à Whitehorse et à Comox (C.-B.). Quelques camps offrent des séjours de formation spécialisés comme le camp spatial à Saint-Jean-sur-Richelieu ou le centre de tir de précision d’Ottawa.

Pour pouvoir s’inscrire au camp d’été des cadets, il faut avoir entre 12 et 18 ans. Des formulaires d’inscription et l’information sur les camps sont disponibles sur les lieux des rencontres hebdomadaires.

« Une journée typique au camp ressemblait à cela : de 6 h à 10 h, on s’entraînait, ensuite on déjeunait, puis il y avait l’inspection, venait le dîner et un cours. Nos journées se terminaient toujours à 16 h. On faisait beaucoup d’activités comme du vélo au mont Saint-Anne », a spécifié le Cadet Beauchamp.

Au camp, les épreuves sportives et la formation en classe sont de mise. Selon que les jeunes font partie des cadets de la Marine, de l’Armée ou de l’Air, ils reçoivent une formation différente (par exemple, techniques de voile, mécanique navale, activités axées sur la topographie ou encore, formation sur les planeurs et en aérospatiale).

« Participer au camp d’été des cadets est un bon moyen pour apprendre à se connaître et à se surpasser », a précisé le Cadet Beauchamp. « Cela nous donne la chance de partager une foule de choses avec d’autres participants.»

Pour Julio, son expérience dans les cadets lui servira dans son choix de carrière. « Grâce à ce que j’ai appris, je vais peut-être étudier en pédagogie ou en techniques policières », a-t-il affirmé en ajoutant que ses parents sont Chiliens et que le service militaire est encore obligatoire là-bas.

Les camps d’été des cadets sont gratuits pour tous. Les participants reçoivent une allocation selon qu’ils passeront deux, trois ou six semaines au camp. Le salaire des instructeurs varie entre 60 $ et 76 $ par jour. Les FC fournissent le transport, les repas, l’hébergement, l’uniforme et l’équipement spécial.

Pour de plus amples informations sur les cadets et les camps d’été des cadets, visitez le site www.cadets.ca.

A graduation surprise

By Sgt Patsy Kmita-Aumais

Hailing from Edmonton, Alta., Peter Robichaud believed his family would not be attending his CF Aboriginal Entry Program (CFAEP) graduation parade, at CF Leadership and Recruit School (CFLRS), in Saint-Jean, Que., on September 19. Therefore, he was understandably surprised to see a relative there that day.

Earlier in the morning, Mr. Robichaud had been in the midst of group photos when he was called aside, as he rounded a corner, here was the last person he expected to see—his father, Sergeant Ron Robichaud, a recruiter from CF Recruiting Centre, Edmonton.

Sgt Robichaud and his wife, Sharon, who is a retired Regular Force member, had convinced their son of the merits of joining the CF. During his application process, Peter was informed of the many career plans offered by the CF and, in the end, he chose the CFAEP. That choice started the whirlwind process that culminated with his graduation from CFAEP and his subsequent enrolment into the Regular Force as an infantry soldier.

For more information on the CFAEP program check out the Recruiting Corner in the Canadian Forces Personnel Newsletter inserted in The Maple Leaf this week.

Sgt Kmita-Aumais is with CFRC, Edmonton.

Une surprise en fin de cours

par le Sgt Patsy Kmita-Aumais

Originaire de la ville d’Edmonton, Alb., Peter Robichaud estimait qu’il était bien peu probable qu’il voie sa famille à la cérémonie de fin de cours du Programme d’enrôlement des Autochtones des Forces canadiennes (PEAFC), laquelle s’est tenue à l’École de leadership et de recrues des FC (ELRFC), à Saint-Jean, Québec, le 19 septembre dernier. Sa surprise n’en a été que plus vive quand il a aperçu un membre de sa famille, ce jour-là.

Plus tôt, durant la matinée du 19, M. Robichaud participait à une séance de photos de groupe lorsqu’il a été convoqué à une rencontre. Au détour d’un couloir, se tenait devant lui la dernière personne qu’il se serait attendu à voir : son père, le Sergent Ron Robichaud, recruteur au Centre de recrutement des FC, à Edmonton.

Le Sgt Robichaud et sa conjointe Sharon, une militaire retraitée de la Force régulière, avaient convaincu leur fils du bien-fondé de s’enrôler dans les FC. Lors de sa demande d’admission, on avait informé Peter des nombreuses perspectives de carrière offertes par les FC, et celui-ci avait finalement opté pour le PEAFC. Il s’en est suivi un tourbillon d’activités qui ont abouti à l’obtention de son diplôme du PEAFC et à son enrôlement dans la Force régulière en tant que fantassin.

Pour toute information au sujet du PEAFC, consultez le « Coin du recruteur » dans le Bulletin du personnel des Forces canadiennes, l’encart de La Feuille d’érable de cette semaine.

Le Sgt Kmita-Aumais travaille au CRFC, à Edmonton.

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