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Page 1 - 3, Maple Leaf, 05 November 2003, Vol. 6 No. 41

page 1 - 3, La feuille d'érable, Le 05 novembre 2003, Vol. 6 No. 41

The other side of peacekeeping missions

By Gloria Kelly

Most Canadians are familiar with the blue beret worn by peacekeepers, as they serve around the world on UN missions and deployments. But behind the soldiers who are on daily patrol on the front lines, is a support team that provides everything from food and water to medical supplies and mine clearing for the troops.

At the Canada and the World Pavilion in Ottawa, mid-October DND in co-operation with the National Capital Commission, took the opportunity to highlight some of these behind the scenes individuals during a two-day display, “A day in the life of a peacekeeper”.

“When we think of peacekeepers and soldiers deployed on other missions we think of the men and women out there on patrol with their weapons ready because those are the images most often seen,” said Major Karen Tissot van Patot, with DND/CF Displays and Exhibitions. “This provided an opportunity for people to see the other side of our peacekeeping missions, the men and women who are equally vital to a mission’s success. Without these people we could not deploy troops into the field.”

The display featured an opportunity to check out and actually have a taste of field rations, take a walk through the compact, but fully equipped field kitchen that can turn out hundreds of hot meals a day. Then climb in and out of a well-equipped field ambulance Bison, check out a mock-up of the Rawanda field hospital, have camouflage face paint applied, try out a metal detector, watch actual simulated mine clearing exercises and best of all was the opportunity to talk with the men and women of the CF who actually deploy with the equipment.

Charles Fecteau mentioned he had seen information on the display to his eight-year-old son Maxime and his friend Antoine Fawcett who asked if they could go take a look. “They wanted to know what the soldiers are doing,” said Mr. Fecteau. “Like most boys they are interested in the weapons and they had a lot of fun climbing all over the equipment and asking all kinds of questions.”

Natasha Johnston, a military wife, watched as her son Benjamin had a great time exploring a Bison armoured vehicle. “His dad went to Bosnia and he had questions about what his dad was doing,” she said. “This was a good opportunity for him to see some of the (military) equipment and people.”

Captain Richard Goyette brought his son to the show as a means of reassurance. “He has been worried that I was going to go to Kabul and I wanted to show him that those who do go are as safe as possible and there are all kinds of people there who provide support. Like any kid he loves the big equipment, uniforms and weapons but now he has seen them up close.”

Mary and Keith Butler-MacLeod live near the Canada and the World Pavilion and took the opportunity to tour the display. “It’s important we as Canadians support these young men and women our government is sending all over the world,” said Mr. Butler-MacLeod. “Even if we do not agree with their political masters we need to let these front line people who put their lives on the line in the cause of freedom for others know that Canadians not only recognize their contributions but appreciate them in their own way.”

“It was wonderful to be able to talk with some of these people,” said Ms. Butler-MacLeod. “These young men and women are proud of the job they do and they obviously do it well. They need all the support and encouragement we can give them as do their families.”

For the troops taking part in the display the interest and comments from the public were appreciated. “The people who were here today are really supportive of the work we do and they want to know what we do and how we do it,” said Corporal Jim Northwood from 1st Battalion, The Royal Canadian Regiment, 2 Field Ambulance Bison driver. “They like being able to see first-hand some of the equipment we use, to sit in the seats and to ask questions about our jobs and what we do as peacekeepers.”

Sergeant Stewart Cairns, a CF cook, got some interesting questions and reactions from visitors, when he invited them to try some of the snacks in field rations and showed off just how diverse those meals are today. “There is a misconception about what field rations are,” he said. “We care about our people so we constantly ask a lot of questions about rations, we continue to do research and now have a wide variety of meals and choices that can go into the field and they can be made ready to eat in a number of ways.”

Top /Haut

Une journée dans la vie d’un casque bleu

par Gloria Kelly

La plupart des Canadiens connaissent le béret bleu que portent les soldats du maintien de la paix déployés en mission avec l’ONU. Mais derrière les soldats qui patrouillent quotidiennement les lignes de front se cache une équipe qui leur fournit tout : nourriture, eau, équipement médical et services de déminage.

À la mi-octobre, à Ottawa, à l’occasion d’une exposition de deux jours au Pavillon Canada-Monde intitulée « Une journée dans la vie d’un casque bleu » recréant une mission de maintien de la paix, le MDN, en collaboration avec la Commission de la capitale nationale, a voulu souligner la contribution des gens qui travaillent dans l’ombre.

« Lorsque l’on pense aux casques bleus ou aux autres soldats dépêchés en mission, on pense aux hommes et aux femmes en patrouille avec des armes, puisque ce sont les images que l’on nous présente le plus souvent », a expliqué le Major Karen Tissot van Patot, de la Direction des expositions, kiosques et événements spéciaux du MDN et des FC. « Les gens ont pu jeter un coup d’œil sur les coulisses des missions de maintien de la paix. Des hommes et des femmes qui sont tout aussi importants pour la réussite de la mission. Sans eux, il n’y aurait pas de déploiement de troupes en campagne. »

L’exposition permettait de goûter aux rations de campagne, de faire le tour de la cuisine de campagne compacte, mais toute équipée, qui peut produire des centaines de repas chauds par jour. Les visiteurs pouvaient aussi grimper dans une ambulance de campagne Bison et visiter une reproduction d’un hôpital de campagne du Rwanda, se faire peindre le visage avec du maquillage de camouflage, essayer un détecteur de métal, assister à une démonstration de déminage et parler avec les hommes et les femmes qui s’occupent de cet équipement.

Charles Fecteau dit qu’il a parlé à son fils de huit ans, Maxime, de l’exposition. Aussitôt, Maxime et son ami Antoine Fawcett l’ont supplié d’aller visiter l’exposition. « Ils voulaient savoir ce que font les soldats », a expliqué M. Fecteau. « Comme la plupart des garçons, ils s’intéressent aux armes. Ils se sont bien amusés à grimper sur l’équipement et ils ont posé une foule de questions. »

Natasha Johnston, la femme d’un militaire, observe son fils Benjamin fasciné par un véhicule blindé Bison. « Son père est allé en Bosnie et Benjamin avait des questions sur ce que son père y faisait », a-t-elle expliqué. « Cette exposition est l’occasion idéale pour lui de voir l’équipement et de rencontrer des militaires. »

Le Capitaine Richard Goyette a amené son fils à l’exposition afin de le rassurer. « Il s’inquiétait de mon départ pour Kaboul et je tenais à lui montrer que ceux qui y vont sont aussi en sécurité que possible et qu’une foule de gens s’occupent du soutien. Comme tout enfant, il est impressionné par l’équipement, les uniformes et les armes, mais maintenant, il les a vus de près. »

Mary et Keith Butler-MacLeod habitent près du Pavillon Canada-Monde et en ont profité pour visiter l’exposition. « Il importe que les Canadiens appuient les jeunes hommes et les jeunes femmes que notre gouvernement déploie dans tous les coins du monde », a déclaré M. Butler-MacLeod. « Même si nous ne sommes pas toujours d’accord avec leurs chefs politiques, nous devons faire savoir à ces personnes qui se rendent sur la ligne de front et qui mettent leur vie en péril pour assurer la liberté des autres que nous, les Canadiens, reconnaissons leur contribution et que nous les apprécions à notre façon. »

« C’était merveilleux de pouvoir parler avec certains d’entre eux », a affirmé Mme Butler-MacLeod. « Ces jeunes hommes et jeunes femmes sont fiers de leur métier et ils le font très bien, de toute évidence. Leurs familles et eux ont besoin de tout l’appui et de tout l’encouragement que nous pouvons leur donner. »

Les troupes qui ont participé à l’exposition ont bien apprécié l’intérêt manifesté par le public et les questions posées. « Les gens qui sont venus ici aujourd’hui étaient très positifs et ils voulaient savoir ce que nous faisons et comment », a expliqué le Caporal Jim Northwood, conducteur de la 2e Ambulance de campagne Bison, du 1er Bataillon, The Royal Canadian Regiment. « Ils aiment bien voir l’équipement que nous utilisons, s’asseoir à notre place et poser des questions sur notre travail en tant que gardiens de la paix. »

Le Sergent Stewart Cairns, un cuisinier des FC, a reçu des questions et des réactions intéressantes des visiteurs lorsqu’il les a invités à essayer certains aliments inclus dans les rations de campagne, leur prouvant à quel point ces repas sont variés. « On se méprend souvent sur les rations de campagne », a-t-il expliqué. « Nous nous soucions de nos gens; c’est pourquoi nous leur posons beaucoup de questions au sujet des rations. Nous continuons de faire des recherches et nous disposons maintenant d’une grande variété de repas et de choix que l’on peut préparer en campagne de plusieurs façons.

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