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Page 4 - 5, Maple Leaf, 26 November 2003, Vol. 6 No. 44

page 4 - 5, La feuille d'érable, Le 26 novembre 2003, Vol. 6 No. 44

CF members have important place in history

By Lane Anker

A new partnership is giving CF members an opportunity to ensure their place in Canadian history, while also helping youth learn more about today’s military.

DND/CF has partnered with the Dominion Institute to expand The Memory Project, giving students, educators and interested Canadians the opportunity to explore Canada’s military heritage through hundreds of first-hand accounts and original artifacts shared by veterans and serving CF members.

“In an age when most young Canadians will encounter their war history from the latest American blockbuster, we have to ask ourselves—do young Canadians realize that we have our own incredible stories of heroism, courage and sacrifice?” says Rudyard Griffiths, executive director of the Dominion Institute, which was founded in 1997 to engage youth in learning about Canada’s military, political and cultural history.

“In this context it is crucial for youth to realize that Canada played a critical role in both the First and Second World Wars and the Korean War. Our veterans can make this history come alive,” continues Mr. Griffiths. “The same is true when it comes to understanding our role in international events today. CF personnel are in a unique position to give young people a first-hand account of Canada's contribution to international peace and security.”

The partnership involves expanding The Memory Project from its original focus on Second World War and the Korean War, to include information on recent and current operations. CF participants can help Canadian youth gain a fuller understanding and appreciation of what they do by joining the speakers’ database for school visits, participating in on-line message boards, or submitting their personal stories for the digital archive.

“The first-hand experiences of CF personnel are invaluable in motivating youth to think beyond the headlines and understand the amazing things Canadian troops are accomplishing here in Canada and overseas,” says Mr. Griffiths.

Initiated two years ago, The Memory Project has recruited over 1 000 veterans of WWII, Korea, and other global conflicts, and peacekeeping missions to help preserve Canadian military history. Their personal stories have been shared with over 100 000 young Canadians. “The Dominion Institute has had to face the difficult truth that Canada's Second World War veterans are aging, and the window of opportunity to preserve these stories for future generations is quickly closing,” says Mr. Griffiths.

The partnership with the Dominion Institute was recently solidified when the Defence Minister committed $50 000 to The Memory Project. DND is also supporting the project by providing photographs and film footage from CF archives and combat camera, where possible.

“No one can dispute the important place that the military holds in Canadian history,” says General Ray Henault, Chief of the Defence Staff. “This is an opportunity for veterans and serving CF members to provide first-hand accounts of their experiences in service to their country. It will also lay a historical foundation for use by young Canadians today and for generations to come.”

The Memory Project’s digital archive currently has a database of some 300 personal stories and experiences, mostly from veterans of WWII and the Korean War. “DND/CF’s long-term goal is to have 3 000 serving CF participants in The Memory Project, in an effort to mirror the presence of CF members, Regular Force and Reserve, in 3 000 communities across Canada,” said Gen Henault.

During the school year, it is the Dominion Institute’s goal that 120 000 students from across the country will receive a visit from a project participant. By next spring, the Dominion Institute expects The Memory Project Speakers' Bureau will be 1 600 veterans strong, and hopes many of these new volunteers will include currently serving personnel.

Information Sessions

DND/CF will be co-ordinating information sessions and professional development workshops across Canada for The Memory Project. The first briefing will be December 5, from 1 to 2 p.m., in Conference Room D at NDHQ. Timings are subject to change. Dates for regional briefings will be announced soon.

How can I join?

Help youth learn about DND/CF and preserve Canadian history…

The Memory Project provides currently serving CF members and veterans from across the country with a forum and community to share their personal stories in three different ways:

  • Digital archive with stories and photos;

  • Speakers’ database for visits to the classroom;

  • On-line message boards.

Hearing personal stories will bring the history of Canada’s role in global conflict to life for youth. Youth will also be able to use on-line curriculum-based resources and explore the digital archive of stories and memorabilia to learn more about the service and sacrifice of serving members.

For more information, contact Lane Anker at (613) 945-7512. To participate in this project, visit www.thememoryproject.com or call 1-866-701-1867 to register.

Le Projet Mémoire, pour l’exploration du patrimoine militaire

par Lane Anker

Grâce à un nouveau partenariat, les membres des FC ont la possibilité de conserver leur place dans l’histoire canadienne, tout en aidant les jeunes à se renseigner davantage sur la vie militaire d’aujourd’hui.

Le MDN et les FC ont conclu un partenariat avec l’Institut du Dominion, afin d’enrichir le Projet Mémoire qui donne aux élèves, aux enseignants et aux Canadiens intéressés l’occasion d’explorer le patrimoine militaire du Canada par le biais des récits de première main et artefacts originaux que leur font partager des anciens combattants et des militaires actifs des FC.

« En cette période où la plupart des jeunes Canadiens vont se familiariser avec leur histoire de guerre en regardant le plus récent film grand succès américain, il faut nous demander si les jeunes Canadiens se rendent compte que nous avons nos propres récits incroyables d’actes héroïques, de courage et de sacrifice », explique Rudyard Griffiths, le directeur exécutif de l’Institut du Dominion, fondé en 1997 pour inciter les jeunes à apprendre l’histoire militaire, politique et culturelle du Canada.

« Dans ce contexte, il est essentiel que nos jeunes constatent que le Canada a joué un rôle primordial pendant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée. Nos anciens combattants peuvent nous faire revivre cette histoire », poursuit M. Griffiths. « Et c’est également vrai lorsqu’il s’agit de comprendre le rôle que nous jouons dans les événements internationaux contemporains. Le personnel des FC est très bien placé pour présenter aux jeunes un compte rendu de première main sur la contribution du Canada à la paix et à la sécurité internationales. »

Le partenariat vise à enrichir le Projet Mémoire qui, à l’origine, était axé sur la Seconde Guerre mondiale et la guerre de Corée, de manière à y inclure de l’information sur les opérations récentes et actuelles. Les participants des FC peuvent aider les jeunes Canadiens à acquérir une meilleure compréhension de leur travail en s’inscrivant dans la base de données des conférenciers qui font des visites dans les écoles, en participant à des babillards électroniques ou en présentant leurs récits personnels qui seront versés dans les archives numériques.

« Les expériences de première main du personnel des FC sont d’une très grande valeur pour motiver les jeunes à aller au delà des manchettes et à comprendre les choses étonnantes que les troupes canadiennes accomplissent ici au Canada et à l’étranger », raconte M. Griffiths.

Amorcé il y a deux ans, le Projet Mémoire a recruté plus de 1 000 anciens combattants de la SGM, de la guerre de Corée et d’autres conflits mondiaux et missions de maintien de la paix pour aider à perpétuer l’histoire militaire du Canada. Leurs récits personnels ont été partagés avec plus de 100 000 jeunes Canadiens. « L’Institut du Dominion a été confronté à la difficile réalité que les anciens combattants canadiens de la Seconde Guerre mondiale vieillissent et que le créneau propice à la préservation de ces récits au profit des générations futures rétrécit rapidement », ajoute M. Griffiths.

Le partenariat avec l’Institut du Dominion a été renforcé, récemment, lorsque le ministre de la Défense a engagé 50 000 $ dans le Projet Mémoire. Le MDN appuie également le projet en fournissant des photos et des séquences filmées provenant des archives des FC et de Caméra de combat, dans la mesure du possible.

« Personne ne peut contester la place importante qu’occupe la vie militaire dans l’histoire du Canada », affirme le Général Ray Henault, chef d’état-major de la Défense. « Il s’agit pour les anciens combattants et les militaires actifs des FC d’une occasion de fournir des comptes rendus de première main de leurs expériences de service pour leur pays. Le projet permettra en outre d’établir un fondement historique qui sera utile aux jeunes Canadiens d’aujourd’hui et aux générations à venir. »

Actuellement, les archives numériques du Projet Mémoire se composent d’une base de données contenant quelque 300 expériences et récits personnels provenant, pour la plupart, d’anciens combattants de la SGM et de la guerre de Corée. « L’objectif à long terme du MDN et des FC consiste à recruter 3 000 participants actifs des FC pour le Projet Mémoire, pour bien représenter la présence des militaires des FC, de la Force régulière et de la Réserve, dans 3 000 collectivités du Canada », indique le Gén Henault.

L’objectif de l’Institut du Dominion, en ce qui concerne l’année scolaire, est que 120 000 élèves d’un peu partout au pays reçoivent la visite d’un participant au projet. D’ici le printemps prochain, l’Institut du Dominion s’attend à ce que le Bureau des orateurs du Projet Mémoire compte 1 600 anciens combattants et espère que nombre de ces nouveaux bénévoles seront des militaires encore actifs.

Séances d’information

Le MDN et les FC vont coordonner des séances d’information et des ateliers de perfectionnement professionnel, un peu partout au Canada, pour le Projet Mémoire. La première réunion d’information aura lieu le 5 décembre, de 13 h à 14 h, dans la salle de conférence D du QGDN. L’horaire pourrait être modifié. Les dates des réunions d’information régionales seront annoncées sous peu.

Comment m’inscrire?

Aidez les jeunes à se renseigner sur le MDN et les FC et à perpétuer l’histoire canadienne…

Le Projet Mémoire offre aux membres des FC encore actifs et aux anciens combattants d’un peu partout au pays une tribune qui leur permet de partager leurs récits personnels de trois façons différentes :

  • archives numériques comportant récits et photos;

  • base de données de conférenciers disponibles pour faire des visites dans les classes;

  • babillards électroniques.

En écoutant des récits personnels, les jeunes auront la chance de se familiariser avec le rôle joué par le Canada dans les conflits mondiaux. Les jeunes seront également en mesure d’utiliser des ressources éducatives en direct et d’explorer les archives numériques contenant des récits et souvenirs pour se renseigner davantage sur le service militaire et les sacrifices consentis par les militaires actifs.

Pour en savoir plus, veuillez communiquer avec Lane Anker au (613) 945-7512. Pour participer à ce projet, visitez le site www.leprojetmemoire.com ou composez le 1 866 701-1867 pour vous inscrire.

Adjusting to life in the Army

By Rgr Sgt Peter Moon

The first Canadian Ranger from Northern Ontario to join the Regular Force Army says his first year as a soldier has been exciting and full of challenges.

"It’s been a real challenge," said Private Kevin Jacob of Webequie First Nation, in a telephone interview from CFB Wainwright, Alta., where he is undergoing specialist training as an infantry soldier with the Princess Patricia's Canadian Light Infantry.

Webequie, 540 kilometres north of Thunder Bay, is an isolated Ojibway community with a population of about 700.

Pte Jacob became a Canadian Ranger when a patrol was started in Webequie last year. In August 2002, as part of the CF Aboriginal Entry Programme, he took the three-week pre-training course at Saint-Jean, Que., which is offered to Aboriginal peoples interested in a military career. It gives them an opportunity to see first-hand what military life is like without committing to full-time service, unless they want to commit.

"It was fun," said Pte Jacob. "I got to meet all the other Aboriginals on the course, who were from across Canada. I had a good time."

The following month he joined the Regular Force Army and embarked on a series of training courses at Saint-Jean and Wainwright. The Army, he said, has improved his shooting and now prefers the C7 assault rifle over the .303 Lee-Enfield he used as a Canadian Ranger. "The C7 is more accurate than the .303 but a lot more work to keep it clean,” he said.

Pte Jacob was one of several hundred soldiers who went to B.C. this summer to fight several major forest fires that threatened a number of communities. "That wasn't a new experience for me," he said. "I worked as a forest firefighter at home. But it was interesting."

Until he took the pre-training course at Saint-Jean, Pte Jacob had never left Ontario. After joining the Army it took him some time to adjust to living in a community that was bigger than Webequie, which has no year-round road access. "I missed home at first but I'm used to being away now," he said.

Pte Jacob said he gets along well with his fellow soldiers, many of whom are intrigued by his accounts of life in Webequie. "Sometimes they don't seem to believe me how cold it gets at home," he said.

What does Pte Jacob hope for when he completes his specialist training at Wainwright? "I want to see the world," he said. "The Army will help me do that."

Rgr Sgt Moon is the PA Ranger, 3 CRPG at CFB Borden.

Voir le monde grâce à l’Armée

par le Sgt Ranger Peter Moon

Le premier Ranger canadien du Nord de l’Ontario à s’enrôler dans l’armée de la Force régulière raconte que sa première année comme soldat a été emballante et pleine de défis.

« Cela a été un véritable défi », a indiqué le Soldat Kevin Jacob de la Première nation Webequie, au cours d’une entrevue téléphonique à partir de la BFC Wainwright, en Alberta, où il suit une formation spécialisée comme fantassin dans le Princess Patricia’s Canadian Light Infantry.

Webequie, qui se trouve à 540 km au nord de Thunder Bay, est une collectivité ojibway isolée composée d’environ 700 personnes.

Le Sdt Jacob est devenu un Ranger canadien lorsqu’une patrouille a été créée à Webequie, l’an dernier. En août 2002, dans le cadre du Programme d’enrôlement des Autochtones des FC, il a suivi le Cours de formation préalable au recrutement, d’une durée de trois semaines, à Saint-Jean (Qué.). Ce cours est offert aux autochtones intéressés par la vie militaire. Ils ont la possibilité de se familiariser concrètement avec la vie militaire sans s’engager à plein temps, à moins qu’ils ne le souhaitent.

« J’ai eu du plaisir », a fait observer le Sdt Jacob. « J’ai rencontré tous les autres autochtones qui suivaient la formation et qui provenaient d’un peu partout au Canada. Je me suis bien amusé. »

Le mois suivant, il s’est enrôlé dans l’armée de la Force régulière et a entrepris toute une série de cours de formation à Saint-Jean et à Wainwright. L’armée, a-t-il dit, lui a permis d’améliorer son tir et il préfère maintenant le fusil d’assaut C7 au Lee-Enfield .303 qu’il utilisait en tant que Ranger canadien. « Le C7 est plus précis que le .303, mais il est beaucoup plus difficile à nettoyer », a-t-il ajouté.

Le Sdt Jacob était au nombre des centaines de soldats qui se sont rendus en C.-B. cet été pour lutter contre plusieurs incendies de forêt majeurs qui menaçaient un certain nombre de collectivités. « Ce n’était pas une expérience nouvelle pour moi », a-t-il affirmé. « J’ai déjà travaillé comme pompier forestier dans ma région. Mais cela a été intéressant. »

Avant d’aller suivre le cours de formation préalable à l’enrôlement, à Saint-Jean, le Sdt Jacob n’avait jamais quitté l’Ontario. Une fois enrôlé dans les FC, il lui a fallu un certain temps avant de s’adapter à la vie dans une collectivité plus grosse que Webequie qui n’est pas accessible par la route à longueur d’année. « Je me suis ennuyé de chez moi au début, mais je suis maintenant habitué d’être loin », a-t-il expliqué.

Le Sdt Jacob a affirmé qu’il s’entend bien avec ses camarades soldats, dont plusieurs sont intrigués par ses récits de vie à Webequie. « Parfois, ils ne semblent pas me croire quand je dis à quel point il fait froid chez moi. »

Que souhaite faire le Sdt Jacob une fois sa formation spécialisée terminée à Wainwright? « Je veux voir le monde. Et les FC vont m’aider à le faire. »

Le Sgt Ranger Moon est le Ranger responsable des AP au sein du 3 GPRC, BFC Borden.

Talk Back

I am concerned that the Iltis is so vulnerable for our guys. During the Second World War we used filled sandbags on the floor of every frontline vehicle. It didn't help when Gerry used double or triple anti-tank mines, but it did help the offside people. A mine on the right side would often not kill someone on the opposite side. We kept them until the last day of action, and some days after. Then they were all dumped out. I went to the Occupation Force as a company commander and lost a driver and a sergeant in Arnhem, on July 1, 1945, when they backed over a double mine in front of the White Hart, my HQ and the former Airborne Div HQ. Kevlar or other plastic ballistic material would also help, I would think, but I have never seen this shown in photos, or heard troops mention it. Has it been forgotten? We did learn a few things in WWII.

I was a lieutenant and then captain in the South Saskatchewan Regiment in 2 Div for nine months of the action.

Prof. Emeritus Cecil E. Law,
Queens University

I recently attended a function in Petawawa where a number of persons were in DEU. A lieutenant-colonel in attendance was wearing not only his Canadian Para wings, but also his American and British wings. The officer is posted to Ottawa, not outside of Canada. Has there been a change in the dress policy regarding the wearing of foreign wings, or is this dress unique to senior officers posted to Ottawa?

I have spoken to a number of RSM's who are also puzzled. What is the policy?

Sgt S.C. Koppang
NCO I/C, 1 RCR UMS

Response: The policy is quite clear. The individual was out of dress. It is up to supervisors at all levels to ensure their subordinates respect all relevant regulations. Obviously, this one seems to have slipped through the cracks.

LCol Reg Duchesneau
Communications Director, Chief of the Land Staff

À vous la parole

Je crains que l’Iltis ne soit trop vulnérable pour nos gars. Durant la Seconde Guerre mondiale, nous placions des sacs remplis de sable sur le plancher de chaque véhicule envoyé au front. Cela n’a pas été bien utile quand les Allemands ont eu recours à des mines antichars doubles ou triples, mais c’était mieux pour les gens sur les côtés. Souvent, une mine qui explosait du côté droit ne tuait pas quelqu’un qui se trouvait du côté opposé. Nous avons maintenu cette pratique jusqu’à la fin des combats, et quelques jours après. Puis, les sacs ont tous été déchargés. Au sein de la Force d’occupation, j’étais commandant de compagnie et j’ai perdu un chauffeur ainsi qu’un sergent à Arnhem, le 1er juillet 1945, lorsqu’ils ont reculé sur une double mine devant le White Hart, mon QG et l’ancien QG de la Division aéroportée. Le kevlar ou un autre tissu balistique en plastique pourrait aussi être efficace, je crois, mais je n’en ai jamais vu sur des photos ou entendu des militaires en parler. Est-ce qu’on a oublié? Nous avons certainement appris quelque chose durant la Seconde Guerre mondiale.

J’ai été lieutenant, puis capitaine au sein du South Saskatchewan Regiment, 2e Division, pendant neuf mois de combats.

Cecil E. Law,
professeur émérite Université Queens

J’ai récemment assisté à une réception à Petawawa où un certain nombre de personnes étaient vêtues de l’UDE. Un lieutenant-colonel présent portait non seulement son insigne canadien de parachutiste, mais aussi un insigne américain et un insigne britannique. Or, cet officier est posté à Ottawa, et non à l’extérieur du Canada. La politique sur la tenue a-t-elle changé en ce qui concerne le port d’insignes étrangers, ou cette tenue est-elle propre aux officiers supérieurs affectés à Ottawa?

J’en ai parlé à plusieurs SMR qui se posent également la question. Quelle est la politique?

Sgt S.C. Koppang
Sous-off resp PSU 1 RCR

Réponse : La politique est très claire. La personne en question ne portait pas la bonne tenue. Il revient aux superviseurs à tous les niveaux de s’assurer que leurs subordonnés respectent les règlements pertinents. De toute évidence, quelqu’un n’a pas bien fait son travail.

Lcol Reg Duchesneau
Directeur des communications, Chef d’état-major de l’Armée de terre

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