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Navy, Maple Leaf, 10 March 2004, Vol. 7 No. 09

Marine , La feuille d'érable, Le 10 mars 2004, Vol. 7 No. 09

Stepping out of uniform brings new ideas

By Carmel Ecker

Stepping out of his military uniform and into a classroom has given Captain(N) Gary Paulson more than a higher education. It’s allowed him to bring a world of new ideas to the Navy.

The 49-year-old acting Commander Maritime Operations Group Four (CMOG4) decided to upgrade his education last year and enrolled in the two year Royal Roads University Masters of Business Administration in April.

Capt(N) Paulson says he has always had an interest in business, and his classes have helped him understand business processes and given him tools to stretch a tight budget. His program also incorporates topics he didn’t expect, such as environmental issues. But as a government department, the military has been affected by the environmental movement as much or more than anyone, says Capt(N) Paulson.

“We’re a little bit ahead of the curve because we’re government,” he says. “We have to adhere to [government] regulations, whereas in the corporate world, it’s all been voluntary so far.”

Capt(N) Paulson says his civilian classmates have had as much impact on him as his coursework, as well as the opportunity to combine his 29 years of military service with the experience and knowledge his classmates have brought from their respective industries such as oil or manufacturing.

“I’ve learned the different methods of tackling a problem, to be a better listener and really value the ideas and suggestions that come out of my organization,” he says. “If you’re really listening, some sailor will tell you how to fix a problem that we’ve been dealing with.”

Capt(N) Paulson has already tried to put his new knowledge to work as acting CMOG4, a job he began January 26.

Between school and ship postings, he’s spent most of his time working with Regular Force members. His new posting has him working closely with Reservists and has opened his eyes to a part of the military he hasn’t seen. The posting has also moved Capt(N) Paulson’s focus from international operations—he commanded flag ship HMCS ALGONQUIN during Operation APOLLO—to local defence issues.

Under Commodore Roger Girouard’s direction, TGEX 1-04 was the first of its kind to be organized and run by Reservists. The exercise involved a lot of co-ordination between MOG4 units, something Capt(N) Paulson wants to continue to work on as long as he’s in command.

“CMOG4 is the total force concept. We have Reserves, we have Regular force, we have minor war ships in the MCDVs (maritime coastal defence vessels) and we have all these support units that are engaged in looking at coastal sovereignty, national sovereignty, national homeland defence. As the head of that organization, it’s quite challenging to make sure that these units get what they need.”

The lessons he learns in the classroom will help him meet his challenges by giving him fresh perspectives and ideas, he says.

“When you go off to any higher education, anything different than your organization, you broaden your horizons a bit more,” he says.

Ms. Ecker is a staff writer for the Lookout.

Une nouvelle tenue qui inspire de nouvelles idées

par Carmel Ecker

En se dépouillant de son uniforme militaire et en retournant en classe, le Capitaine de vaisseau Gary Paulson a acquis bien plus qu’un diplôme d’études supérieures, il est allé acquérir une foule de nouvelles idées qu’il peut maintenant intégrer dans la Marine.

Le commandant par intérim du Groupe opérationnel maritime quatre (COMGOM 4), âgé de 49 ans, a décidé d’entreprendre des études supérieures l’an dernier. En avril, il s’est inscrit au programme de deux ans de maîtrise en administration des affaires de l’Université Royal Roads.

Le Captv Paulson avoue qu’il a toujours été intéressé par les affaires. Il ajoute que ses cours l’ont aidé à comprendre certains processus d’affaires, en plus de lui donner des moyens pour étirer un budget déjà serré. Le programme comprend également des sujets auxquels il ne s’attendait pas, comme des questions environnementales. Mais comme le Captv Paulson le rappelle, le monde militaire, en tant que ministère, a été touché autant, sinon plus, que le reste du monde par le mouvement écologique.

« Comme ministère, nous sommes un peu avant-gardistes, puisque nous devons nous conformer aux règlements du gouvernement », déclare-t-il. « Tandis que dans le secteur privé, les mesures se prennent surtout sur une base volontaire. »

Le Captv Paulson dit que ses compagnons de classe, des civils, ont eu autant d’incidence sur lui que ses cours. De plus, l’occasion de marier 29 années de service militaire avec l’expérience et les connaissances de ses collègues de classe, issus des secteurs pétrolier et manufacturier lui a également beaucoup appris.

« J’ai étudié les différents moyens d’aborder un problème, j’ai appris comment vraiment écouter et comment valoriser les idées et les suggestions qui ressortent de mon organisation », révèle-t-il. « En écoutant réellement les propos d’un matelot, on peut apprendre comment régler un des problèmes avec lequel on était aux prises. »

Le Captv Paulson a déjà tenté de mettre en pratique ses nouvelles connaissances dès le 26 janvier, date de son entrée en fonction au poste de COMGOM 4.

Entre les cours et les affectations sur des navires, le Captv Paulson a passé la plupart de son temps avec des membres de la Force régulière. Son nouveau poste fait en sorte qu’il travaille de près avec des réservistes et il s’est ouvert à une composante du monde militaire à laquelle il n’avait jamais été exposé auparavant. Le Captv Paulson, dans le cadre de ses nouvelles fonctions, a également dû détourner son regard des missions internationales – il a commandé le NCSM ALGONQUIN durant l’opération APOLLO – pour le braquer sur les questions de défense locales.

Sous la direction du Commodore Roger Girouard, le TGEX 1-04 était le premier exercice du genre à être organisé et mis en œuvre par des réservistes. L’exercice demandait une coordination poussée entre les unités du GOM 4, un aspect que le Captv Paulson veut continuer à exploiter, tant qu’il sera aux commandes.

« Le GOM 4 englobe tous les aspects des forces. Nous avons des réservistes, des membres de la Force régulière, nos NDC (navires de défense côtière) – qui sont en fait des petits navires de guerre – et nous avons une foule d’unités de soutien qui se penchent sur la souveraineté côtière, la souveraineté nationale et la défense de la sécurité nationale. En tant que directeur de cette organisation, c’est tout un défi de faire en sorte que toutes ces unités aient ce dont elles ont besoin. »

Selon le Captv Paulson, les concepts qu’il apprend en classe lui aideront à répondre à ce défi en lui donnant de nouvelles perspectives et des idées novatrices.

« Que ce soit en faisant des études supérieures ou en sortant quelque peu des sentiers battus de son organisation, on finit par élargir ses horizons », ajoute-t-il.

Mme Ecker est rédactrice pour le journal Lookout.

DISPATCHES FROM THE GULFAbsence makes the heart grow fonder

By SLt Dale St. Croix

February 14 saw HMCS TORONTO over 5 000 miles away from home as she transited through the eastern Mediterranean en route to the Arabian Sea as part of Operation ALTAIR. This is TORONTO’s second deployment to the Gulf region in less than two years and for those crewmembers who had served on TORONTO during Op APOLLO, this deployment means another six months away from loved ones.

To help ease the loneliness of another Valentine’s Day at sea, the ship’s company was treated to cake on the flight deck followed by a concert in the ship’s hangar, with Leading Seaman Terri Fifield as emcee. With more than a half dozen acts, the festivities continued for a good two hours with a wide array of music and entertainment that showcased the crew’s talents, including none other than commanding officer Commander Bruce Belliveau on guitar, aka “The Boss”. Others on hand to lend their melodic warblings included LS Ron Low, Master Seaman “Sassy” Steve Bonar and the irresistible Able Seaman Issy Boivin, to name just a few of those who hammed it up for the occasion.

Notable mention goes out to Warrant Officer Sean “Black Cloud” Gould, a meteorologist and comedian for the concert. Affectionately known as The Weather Witch, WO Gould offered up some warm weather and blue sky while the crew gathered on the flight deck for a rather unique photo opportunity, sending home the message that despite the distance, our loved ones are still close to our hearts.

SLt St. Croix is the UIO aboard HMCS TORONTO. The ship can be contacted via their Web siteat www.navy.forces.gc.ca/toronto.

Dépêches du Golfe Même au loin, notre cœur bat fort

par l’Ens 1 Dale St. Croix

Le 14 février dernier, le NCSM TORONTO se trouvait à 5 000 milles au loin, en transit dans l’est de la Méditerranée, en route vers la mer d’Oman, dans le cadre de l’opération ALTAIR. Il s’agissait du deuxième déploiement du NCSM TORONTO dans la région du Golfe en moins de deux ans. Pour les membres de l’équipage qui étaient à bord du NCSM TORONTO durant l’Op APOLLO, cette affectation signifiait qu’ils seraient loin de leurs êtres chers pendant encore six longs mois.

Afin d’atténuer la mélancolie d’une Saint-Valentin en mer, on a offert un gâteau spécial à l’équipage, suivi d’un concert dans le hangar. Le Matelot de 1re classe Terri Fifield était maître de cérémonie. Plus d’une demi-douzaine d’artistes ont diverti les membres durant deux bonnes heures. Tous ont apprécié les talents des interprètes, notamment l’unique, le seul, le Commandant Bruce Belliveau, de son surnom « The Boss », à la guitare. Parmi les autres braves qui ont présenté leurs inspirations mélodiques, mentionnons le Mat 1 Ron Low, le Matelot-chef Steve « Sassy » Bonar et l’irrésistible Matelot de 2e classe Issy Boivin, pour ne nommer que quelques-uns des artistes qui s’en sont donné à cœur joie pour l’occasion.

Il ne faut pas oublier de mentionner l’Adjudant Sean « Black Cloud » Gould, météorologue et comédien du spectacle. Surnommé le sorcier de la météo, l’Adjudant Gould a fait apparaître la chaleur et le ciel bleu, le temps d’une photo spéciale sur le pont du bateau afin d’envoyer au pays le message que malgré la distance, nos proches sont toujours dans nos cœurs.

L’Ens 1 St. Croix est l’OIU à bord du NCSM TORONTO. On peut rejoindre l’équipage du bateau par l’entremise de son site Web (www.navy.forces.gc.ca/toronto).

Unsung Women

By Clare Sugrue

As this past March 8 marked International Women’s Day, it is appropriate to remember women such as Hannah Baird, the first Canadian casualty of the Second World War.

Just hours after Britain declared war on Germany on September 3, 1939, the passenger liner Baird was working aboard was torpedoed by a German submarine U-130. The liner, S.S. ATHENIA, was unarmed when the attack occurred; between 112 and 118 people, many of them women and children, lost their lives in the sinking.

You won't find Stewardess Hannah Baird's name in the history books, or the names of the other seven Canadian women who died while serving in merchant ships during both World Wars. Ms. Baird and the other women who perished in the Merchant Marine might be forgotten if not for the efforts of a few veterans and researchers.

“Because seamanship was considered 'man's work', the contribution of women mariners during the wars has been overlooked and has not been included in histories of the period," notes ex-seaman Tom Osborne. Mr. Osborne is chairman of the Women Mariners Memorial Fund, an organization that aims to make up for that oversight. Together with Langford municipality on Vancouver Island, the group hit on a unique project to commemorate women mariners lost in action. On May 19, 2002, a large gazebo, the first and only free-standing memorial to women mariners in Canada, was dedicated to their memory at Langford's Veterans Park. The gazebo is used for community activities, such as concerts by the many youth bands in the area, fitting musical remembrance of these largely unsung women.

So just who were they, and how did they come to be in the line of fire?

Although women played only a small role in the Canadian Merchant Navy, there were some pioneers working as stewardesses, and a few Canadian women were radio officers on ships of the Norwegian merchant navy (the only Allied merchant fleet at that time that permitted women to serve aboard ships as wireless operators). Very little is known of their backgrounds or their lives, and more research needs to be done to discover their personal and professional histories. Often, only their names, ships, and lengths of service at sea are available in the records. In part, this lack of information may be due to the fact that these women had their young lives cut short before they could establish homes and families of their own, and so there are no direct descendants interested in tracing the past.

In total eight Canadian women died, including Hannah Baird and Maude Elizabeth Steane, a 2nd Class radio operator who was forced to seek work abroad because women who graduated with their radio operator tickets were banned from joining Canadian or any other Commonwealth ships. Ms. Steane was just 28 when she was killed by a crewmember after rejecting his advances.

Women such as Ms. Steane were also forbidden to join foreign ships in Canadian ports. So despite their new licenses to operate ship radios, they were both unwanted and unappreciated in their homeland. Seeking paid work and the opportunity to contribute to the war effort, they headed south to the United States to join the Norwegian ships which recognized their skills. The HANSTEEN was an American-built Liberty Ship transferred to Norwegian registry for emergency war transport. Just ten weeks after leaving home, Ms. Steane was killed. It is often misreported that she died by enemy gunfire while her ship was docked in Naples, Italy. She is buried in the Allied War Cemetery near Florence, Italy.

Ms. Sugrue is a volunteer with the CFB Esquimalt Naval & Military Museum. The museum is online at www.navalandmilitarymuseum.org.

A tribute to women mariners A total of eight Canadian women lost their lives while aboard merchant ships during both World Wars. Aside from Hannah Baird and Maude Steane, the following women are also honoured by the memorial in the Langford Veterans Park in British Columbia:

  • Eliza Kennedy, stewardess aboard the S.S. HESPERIAN— killed September 4, 1915

  • Jane Johnstone, stewardess aboard the S.S. MISSANABIE—killed September 9, 1918

  • Mary Elizabeth Oliphant, stewardess aboard the S.S. MISSANABIE—killed September 9, 1918

  • Lillie C. Cook-Gorbell, stewardess aboard the LADY HAWKINS—killed January 19, 1942

  • Eileen Pomeroy, second cook aboard the GEORGE L. TORIAN—killed February 22, 1942

  • Bride Fitzpatrick, stewardess aboard the CARIBOU— killed October 14, 1944

Ces héroïnes méconnues

par Clare Sugrue

Le 8 mars dernier marquait la Journée internationale de la femme, et il est de mise de se souvenir que des femmes comme Hannah Baird, première victime canadienne de la Seconde Guerre mondiale, ont existé.

Le 3 septembre 1939, quelques heures à peine après que la Grande-Bretagne ait déclaré la guerre à l’Allemagne, un sous-marin U-130 allemand a torpillé le paquebot de ligne à bord duquel travaillait Hannah Baird. Le paquebot SS ATHENIA n’était pas armé lorsque l’attaque s’est produite. Entre 112 et 118 personnes, pour la plupart des femmes et des enfants, ont péri quand le navire a sombré.

Pourtant, la steward Hannah Baird ne figure pas dans les livres d’histoire, pas plus que les sept autres femmes canadiennes mortes en service sur des navires marchands pendant les deux guerres. Mme Baird et les autres femmes qui ont péri dans la marine marchande auraient sans doute été oubliées n’eut été du travail d’un petit nombre d’anciens combattants et d’historiens.

« Le matelotage était considéré comme une occupation strictement masculine et la contribution des femmes matelots aux guerres n’a pas été consignée dans les livres d’histoire de l’époque et a été oubliée », a déclaré l’ancien matelot Tom Osborne. M. Osborne est président du Fonds commémoratif pour les femmes matelots, une organisation qui s’est donnée la vocation de combler ce vide historique. De concert avec la municipalité de Langford sur l’île de Vancouver, le groupe se consacre au premier projet de commémoration des femmes matelots ayant péri alors qu’elles étaient en service. Le 19 mai 2002, un grand belvédère, seul monument érigé uniquement en l’honneur des femmes matelots au Canada, a été édifié en leur mémoire au parc des anciens combattants Langford. Le pavillon sert à des activités communautaires, comme des concerts donnés par les nombreux orchestres de jeunes de la région, à la mémoire de ces héroïnes trop longtemps oubliées.

Mais qui donc étaient ces femmes, et pourquoi se trouvaient-elles dans la ligne de tir?

Bien que les femmes n’aient joué qu’un rôle de second plan dans la marine marchande canadienne, certaines pionnières travaillaient comme stewards, et quelques Canadiennes occupaient des postes de radio sur des navires de la marine marchande norvégienne (la seule flotte marchande alliée de l’époque à permettre aux femmes de servir sur les navires en qualité de radiotélégraphistes). On ne connaît que très peu de choses sur le passé de ces femmes, et de plus amples recherches devront être effectuées pour les faire connaître sur le plan personnel et professionnel. Souvent, dans les archives, on ne trouve que leur nom, le nom de leur navire et le nombre d’années de service en mer. Cela s’explique en partie car ces femmes, décédées alors qu’elles étaient encore jeunes, n’ont pas pu fonder une famille et n’ont pas de descendants directs désireux de retracer leur passé.

En tout, huit Canadiennes ont perdu la vie, entre autres Hannah Baird et Maude Elizabeth Steane, une radio de 2e classe forcée de se trouver un travail à l’extérieur du Canada car les femmes radio ne pouvaient travailler sur les navires canadiens ni sur les autres navires du Commonwealth. Mme Steane n’avait que 28 ans quand elle a été tuée par un membre d’équipage auquel elle avait refusé des avances.

Comme aux autres femmes, on a interdit à Mme Steane de se faire engager sur un navire étranger accosté dans un port canadien. Ces femmes, qui venaient d’obtenir leur qualification de radio pour les navires, n’étaient ni voulues ni reconnues par leur propre pays. À la recherche d’un gagne-pain, désireuses de contribuer à l’effort de guerre, elles se sont rendues aux États-Unis afin de se joindre aux équipages de navires norvégiens, car la Norvège reconnaissait leurs compétences. Le HANSTEEN était un « Liberty Ship » construit par les Américains. Il était immatriculé norvégien afin de servir au transport d’urgence en temps de guerre. Mme Steane a perdu la vie à peine dix semaines après avoir quitté le Canada. Dans les archives, il est souvent écrit, par erreur, qu’elle est tombée sous les tirs ennemis alors que son navire était accosté à Naples, en Italie. Sa dépouille repose dans un cimetière militaire allié près de Florence en Italie.

Mme Sugrue travaille comme bénévole au Naval & Military Museum à la BFC Esquimalt, dont le site Internet se trouve à l’adresse suivante : www.navalandmilitarymuseum.org.

Hommage aux femmes marins En tout, huit femmes canadiennes ont perdu la vie à bord de navires marchands durant les deux grandes guerres. En plus de Hannah Baird et de Maude Steane, le monument commémoratif au parc des anciens combattants Langford, en Colombie-Britannique, rend également hommage aux femmes suivantes :

  • Eliza Kennedy, steward à bord du SS HESPERIAN – morte le 4 septembre 1915

  • Jane Johnstone, steward à bord du SS MISSANABIE – morte le 9 septembre 1918

  • Mary Elizabeth Oliphant, steward à bord du SS MISSANABIE – morte le 9 septembre 1918

  • Lillie C. Cook-Gorbell, steward à bord du LADY HAWKINS – morte le 19 janvier 1942

  • Eileen Pomeroy, seconde cuisinière à bord du GEORGE L. TORIAN – morte le 22 février 1942

  • Bride Fitzpatrick, steward à bord du CARIBOU – morte le 14 octobre 1944

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