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Maple Leaf


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Page 6 - 7, Maple Leaf, 31 March 2004, Vol. 7 No. 12

page 6 - 7, La feuille d'érable, Le 31 mars 2004, Vol. 7 No. 12

Providing pre-deployment training in Nepal

By Maj Neville Rabadi

The popular Lonely Planet travel books describe the Kingdom of Nepal as “not on the way to anywhere”. Sandwiched between India and China, it is a remote Hindu country set amongst the Himalayan mountain range. Recently, along with several members of the Canadian Forces Joint Support Group HQ (CF Joint Support Group HQ), I had the chance to discover this incredible country firsthand.

The CF Joint Support Group HQ has the lead in providing pre-deployment training for civilians hired to provide camp services in-theatre for Operation ATHENA. For those of us involved in developing the training package, the highlight is the chance to travel to Nepal to deliver the program to employees hired in that country.

Having civilian contractors in a theatre of operation has been done for some time in the CF, but working in partnership with a civilian contractor on training is relatively new—December 2002. To give some relief to DND support trades, DND signed a contract with Quebec-based SNC-Lavalin PAE Inc. to provide civilian support services to deployed CF operations. The civilians do a host of jobs: cooking and serving food, washing clothes, providing sanitation services, running stores and making travel arrangements.

When the government announced that Canada would be sending troops to Afghanistan for Op ATHENA, the security situation in the country highlighted the need for a formal pre-deployment training package. Although civilian training is the responsibility SNC-Lavalin PAE, the CF assists in the areas where it has expertise. Building the training package in partnership with SNC-Lavalin PAE became the responsibility of the Support Training Branch of CF Joint Support Group HQ.

Just like CF members, civilians deployed overseas need to be aware of dangers and how to act in case of an emergency. All trainees learn about force protection; mine and explosive threats; nuclear, biological and chemical defence; first aid; code of service discipline; fire safety; and more.

Currently, there are about 400 civilian workers among the 2 000 who live at Camp Julien, the CF base of operations in Afghanistan. Approximately one third are Canadian, one third are Nepalese, and the rest come from countries such as the UK and South Africa.

Since the mission to Afghanistan was announced in the spring of 2003, CF Joint Support Group HQ has trained a total of 11 groups of civilians: the first at 14 Wing Greenwood, seven at CFB Kingston, and four in Kathmandu, the capital of Nepal.

Logistical reasons were behind the decision to train the Nepalese in Nepal. It is difficult, for example, for Nepalese to obtain the travel documents required to visit Canada. The poverty in Nepal was initially a shock as beggar children tugged at us for money. Signs of disease and drugs were everywhere. Most of the country does not have the infrastructure for sewage and clean water.

In addition, the country is gripped in a Maoist uprising and the Department of Foreign Affairs and International Trade has issued a travel advisory cautioning Canadians to maintain a high level of personal security awareness while in Nepal. Armed security forces patrolling the city became a common site. On one occasion we heard the sound of blasts as a couple of bombs exploded within the city.

However, we found a proud, gentle and wonderful people. Our Nepali students were extremely respectful, disciplined and attentive. We found many examples of the strength of the human spirit and many reminders to be thankful to be Canadians.

De l’entraînement au Népal avant le déploiement

par le Maj Neville Rabadi

Dans les populaires guides de voyage Lonely Planet, on décrit le royaume du Népal comme « un endroit qui ne mène nulle part ». Coincé entre l’Inde et la Chine, ce pays hindou éloigné est niché dans les montagnes de la chaîne himalayenne. Récemment, j’ai eu l’occasion de découvrir ce magnifique pays en compagnie de plusieurs membres du Quartier général du Groupe de soutien interarmées des FC.

Le QG du Groupe de soutien interarmées des FC est chargé de donner l’entraînement avant le déploiement aux civils embauchés pour fournir des services sur le théâtre d’opérations, dans le cadre de l’opération ATHENA. Ainsi, ceux d’entre nous qui ont participé à l’élaboration de la trousse d’instruction ont eu la chance de visiter le Népal afin de former les personnes embauchées dans ce pays.

Depuis quelque temps déjà, les FC embauchent des entrepreneurs civils pour travailler dans les théâtres d’opérations, mais la collaboration avec un entrepreneur civil pour l’instruction est relativement nouvelle (décembre 2002). Soucieux de donner un peu de répit à ses métiers de soutien, le MDN a signé un contrat avec l’entreprise SNC-Lavalin PAE Inc., située au Québec, contrat selon lequel l’entreprise s’engage à fournir des services de soutien aux civils dans le cadre des opérations des FC. Les civils s’acquittent d’une gamme de tâches comme préparer et servir la nourriture, laver les vêtements, fournir des services d’hygiène publique, s’occuper des magasins et faire des préparatifs de voyage.

Lorsque le gouvernement a déclaré que le Canada enverrait des troupes en Afghanistan dans le cadre de l’Op ATHENA, les conditions de sécurité dans ce pays ont mis en évidence le besoin d’une trousse officielle d’entraînement préalable au déploiement. Même si l’entraînement des civils relève de SNC-Lavalin PAE, les FC offrent un appui dans leurs domaines d’expertise. L’élaboration de la trousse d’instruction en collaboration avec SNC-Lavalin PAE est devenue la responsabilité de la Branche d’appui à l’instruction du QG du Groupe de soutien interarmées des FC.

Tout comme les membres des FC, les civils déployés à l’étranger doivent être au courant des dangers qui peuvent se présenter et doivent savoir comment réagir en situation d’urgence. Ils reçoivent tous une formation sur la protection des forces, les mines et les explosifs, la défense nucléaire, biologique et chimique, les premiers soins, le code de discipline militaire et la sécurité incendie, entre autres.

On compte actuellement environ 400 travailleurs civils parmi les 2 000 personnes qui se trouvent au Camp Julien, soit le centre des opérations des FC en Afghanistan. Approximativement un tiers sont Canadiens, un tiers sont Népalais et les autres viennent de pays comme le Royayme-Uni et l’Afrique du Sud.

Depuis que la mission en Afghanistan a été annoncée au printemps 2003, le QG du Groupe de soutien interarmées des FC a formé au total 11 groupes de civils : le premier à la 14e Escadre Greenwood, sept à la BFC Kingston et quatre à Katmandou, la capitale du Népal.

Les Népalais ont suivi leur entraînement au Népal pour des raisons logistiques. Par exemple, les Népalais éprouvent souvent des difficultés à obtenir les documents nécessaires pour voyager au Canada. La pauvreté du Népal, où les maladies et les drogues sont très répandues, nous a fait un choc. Il y avait notamment des enfants qui s’accrochaient à nous et nous demandaient de l’argent. De plus, une grande partie du Népal ne dispose pas de l’infrastructure nécessaire pour la collecte des eaux usées et pour la purification de l’eau.

En outre, le pays est aux prises avec un soulèvement maoïste et le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international a diffusé un avertissement consulaire aux voyageurs, conseillant aux Canadiens d’être toujours très prudent au Népal. La patrouille de la ville par des forces de sécurité armée est devenue courante. Nous avons même entendu à un moment des explosions de bombes dans la ville.

Malgré tout, nous avons découvert un peuple fier, doux et merveilleux. Nos stagiaires népalais étaient extrêmement respectueux, disciplinés et attentifs. Nous avons trouvé beaucoup d’exemples de la force de l’esprit humain et avons réalisé à quel point nous sommes bien au Canada.

Talk Back

In his Talk Back letter titled “The recruiting system is for everyone” (The Maple Leaf, Vol.7, No.9), Master Corporal Dwayne Lowe is quite correct in stating that “ethnic background doesn’t make a bit of difference” and that we should aim to recruit competent and qualified CF members to “get the job done”. Which is exactly the employment equity message. The purpose of the Employment Equity Act is to achieve equality in the workplace, so that no person is denied employment opportunities or benefits for reasons unrelated to ability. In 2002, the Governor-In-Council approved special regulations adapted to the CF’ unique role, thus recognizing its requirement for operational effectiveness. These clearly state that all CF applicants must still meet the existing entry-level admission requirements, including physical fitness and medical standards.

Also highlighted in the article is the unfortunate fact that designated group members “only make up a very small portion of the CF”. Current representation figures indicate that women make up 16.9 percent of the military, whereas Aboriginal peoples and visible minorities total 2.3 and 2.2 percent respectively. If our recruitment message is indeed directed to everyone in the same manner and offers everyone the same opportunities and access to the CF, then why are the numbers relatively low when compared to the rest of the Canadian population? This is the question the CF Employment System Review wishes to answer (see “Breaking down the barriers”, The Maple Leaf – Vol.7, No.6). Employment equity plays an important role in the CFs human resources and recruiting strategy in the face of changing Canadian demographics. Indeed, to take full advantage of the ethnic and cultural diversity of Canada's population, the CF seeks to be an inclusive work force, representative of society.

Contrary to the article’s assertion, the CF does not use recruitment, training or promotion quotas. However, the law does require employers to set reasonable and achievable representation targets for each designated group under the Act. These are long-term objectives used to measure the organization’s progress in attracting and retaining women, Aboriginal peoples and visible minorities in the CF.

The bottom line is that diversity remains a source of strength and creativity, and it plays a pivotal role in making the CF a modern, forward-looking organization, committed to providing a welcoming, fair and supportive work environment to all its members.

LCol Josée-Ann ParadisCF Employment Equity Officer

À vous la parole

Dans la section À vous la parole, dans sa lettre intitulée « Un système de recrutement pour tous » (La Feuille d’érable, vol. 7, no 9), le Caporal-chef Dwayne Lowe souligne avec raison que « l’appartenance ethnique n’a aucune importance », et que nous devrions recruter des gens compétents et qualifiés qui peuvent « faire le travail ». C’est exactement le message du programme d’équité en matière d’emploi. La Loi sur l’équité en matière d’emploi a pour but d’instaurer l’égalité des chances dans le monde du travail, de sorte que personne ne se voie refuser un emploi ou un avantage social pour des raisons autres que la compétence. En 2002, le gouverneur en conseil a approuvé des règlements spéciaux adaptés au rôle des FC, reconnaissant ainsi l’exigence d’efficacité opérationnelle. Ces règlements disent clairement que tous les candidats à un poste dans les FC doivent répondre aux exigences imposées à l’enrôlement, y compris les normes d’aptitude physique et les normes médicales.

L’article souligne également que malheureusement, les groupes désignés « sont peu représentés au sein des FC ». Les chiffres actuels indiquent que les femmes ne représentent que 16,9 % de l’effectif des FC, tandis que les Autochtones et les minorités visibles comptent pour 2,3 et 2,2 %, respectivement. Si le message de nos services de recrutement s’adresse à tout le monde de la même façon et offre à tout le monde les mêmes possibilités d’emploi et le même accès aux FC, alors pourquoi ces chiffres sont-ils aussi faibles par rapport au reste de la population canadienne? C’est la question à laquelle l’Examen des systèmes d’emploi des FC tentera de répondre (voir « À bas les obstacles », La Feuille d’érable, vol. 7, no 6). L’équité en matière d’emploi joue un rôle important dans la stratégie de recrutement et de ressources humaines des FC, dans le contexte de l’évolution de la démographie au Canada. En effet, pour profiter pleinement de la diversité ethnique et culturelle de la population canadienne, les FC tentent de se doter d’une force de travail intégrée et représentative de la société canadienne.

Contrairement à ce qu’affirme l’article, les FC n’utilisent pas de quotas de recrutement, de formation ou de promotion. Les quotas sont des chiffres arbitraires qu’il faut atteindre sans tenir compte du mérite ou des qualifications. Le mérite et la compétence demeurent au centre de toutes les activités de recrutement des FC. Cependant, la loi oblige les FC à établir des objectifs raisonnables et réalisables en ce qui concerne la représentation de chacun des groupes désignés. Les objectifs de recrutement et de maintien en service sont actuellement de 28 % pour les femmes, 9 % pour les minorités visibles et 3 % pour les Autochtones. Il s’agit là d’objectifs à long terme qui servent à mesurer les progrès de l’organisation dans le recrutement et le maintien en service des membres des groupes désignés.

En fin de compte, la diversité demeure une source de dynamisme et de créativité, et elle contribue à faire des FC une organisation moderne et tournée vers l’avenir qui offre un milieu de travail accueillant, équitable et positif à tous ses membres.

Lcol Josée-Ann Paradis, officier d’équité en matière d’emploi des FC

FLASH

Air Cadets help local charity

Ordinarily, when Air Cadet squadrons fund raise it is to pay for facility rentals, flying and survival exercises. But if a squadron manages to raise extra funds it is how they donate that leftover money that really makes them shine.

The 742 National Capital Royal Canadian Air Cadet Squadron based out of Ottawa, is one of those squadrons that is no stranger to fundraising and manages to give back to their community. This year their contribution shone bright enough that the NHL’s Ottawa Senators, took notice.

Over the past 25 years, 742 Squadron has donated approximately $75 000 to community groups like the Children’s Hospital of Eastern Ontario, the Canadian Cancer Society, and the Heart and Stroke Foundation.

This year devout Ottawa Senators fan Cadet Captain Trent Krajaefski, suggested Roger’s House, the Senators’ charity of choice, as the recipient of the squadron’s $1 500 donation. Roger’s House is a program that provides paediatric palliative care while enhancing the comfort and quality of life for children and their families.

The Senators showed their appreciation of the squadron’s support by inviting Capt Krajaefski, Warrant Officer 2 Class David Eckold, Sergeant Rishi Patry, Corporal Daniel Dagenais and Leading Air Cadet Jeremy Maltais to a practice and photo shoot.

FLASH

Les Cadets de l’Air aident un organisme caritatif local

Habituellement, les escadrons des Cadets de l’Air organisent des campagnes de financement pour payer la location d’installations ainsi que pour effectuer des exercices de vol et de survie. Mais si un escadron réussit à amasser des fonds excédentaires, il peut se démarquer en les utilisant de façon spéciale.

L’Escadron 742 des Cadets de l’Aviation royale du Canada – Capitale nationale, situé à Ottawa, connaît bien les collectes de fonds et trouve le moyen d’en faire profiter la collectivité. Cette année, leur contribution était telle que les Sénateurs d’Ottawa de la LNH l’ont remarquée.

Au cours des 25 dernières années, l’Escadron 742 a fait don d’environ 75 000 $ à différents groupes communautaires comme celui de l’Hôpital pour enfants de l’est de l’Ontario, la Société canadienne du cancer et la Fondation des maladies du cœur. Cette année, le Cadet-capitaine Trent Krajaefski, un fan des Sénateurs, a suggéré que l’œuvre de charité qui profite du don de 1 500 $ de la part de l’Escadron soit la Maison de Roger, l’organisation caritative de prédilection des Sénateurs. La Maison de Roger fournit des soins pédiatriques palliatifs tout en améliorant le confort et la qualité de vie des enfants et de leur famille.

En guise de remerciement pour l’appui de l’Escadron, les Sénateurs ont invité le Capt Krajaefski, l’Adjudant de 2e classe David Eckold, le Sergent Rishi Patry, le Caporal Daniel Dagenais et le Cadet-aviateur de 1re classe Jeremy Maltais à une pratique et à une séance de photos.

CFB Greenwood reunion

CF members who were at CFB Greenwood between 1974 and 1980 are invited to attend a reunion celebration being held April 17-18, at Notre-Dame de l’Ile Perrot (near Montréal).

This is a unique chance to meet old friends after 30 years. For more details please contact Carole Ouellet at 514-620-7792 (evenings) or by e-mail at: carole_ouellet@chiron.com.

If you know anyone who was at Greenwood during this time please pass the reunion information on to them.

Réunion des anciens de la BFC Greenwood

Les membres des FC qui ont servi à la BFC Greenwood entre 1974 et 1980 sont invités à une célébration qui aura lieu les 17 et 18 avril à Notre-Dame-de-l’Île-Perrot (près de Montréal).

C’est là une occasion unique de revoir de vieux amis après 30 ans. Pour plus de détails, veuillez contacter Carole Ouellet au (514) 620-7792 (en soirée) ou par courriel : carole_ouellet@ chiron.com.

Si vous connaissez quelqu’un qui était basé à Greenwood à cette époque, prière de leur faire parvenir l’information sur cette réunion.

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