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Page 6 - 7, Maple Leaf, 02 June 2004, Vol. 7 No. 20

page 6 - 7, La feuille d'érable, Le 02 juin 2004, Vol. 7 No. 20

Second World War parachutist’s D-Day story

Canadian Second World War veteran Jan de Vries, 80, of Pickering Ont. was 20 years old on D-Day when he and other members of the 1st Canadian Parachute Battalion were dropped over Normandy. He was part of C Company, the assault company that led the Battalion and Division into France by one half hour.

By Jan de Vries

June 6, 1944 — There was very little talking as we approached the French coast. We were bounced side to side as the pilot tried to avoid anti-aircraft fire. It seemed forever, but the green light finally came on at about 0010 hours. Number 1 closed his legs and was gone through the bathtub-sized hole in the aircraft, closely followed by number 2. I was Number 8 or 9. I dove out the hole worried about being at a distance from the other men in the stick.

I was looking for the ground when I landed in a field. It was very dark. I lay beside a hedge and listened hoping to hear men from my stick. I had no idea where I was. I could hear aircraft above and assumed they were coming from the coast so I headed in that direction. I walked on gravel and paved roads and moved quietly into a field, ditch, or hedge whenever I heard the sound of footsteps or talking. I knew they were German patrols, since our men would have been quiet.

As I made my way I tried to figure out what had gone wrong. Why was I alone in a place where I could not recognize any features we had studied in the transit camp?

Just before daylight I met three men from my platoon. We figured out roughly where we were and headed east. We came under fire a couple of times. Keeping low, we crossed a little stream and saw our first dead body. Late in the day we finally arrived at our high ground defence position, Le Mesnil crossroads, and reported to Company headquarters.

We found out that of the 120 men in C Company, only 35 had landed in the drop zone. The rest were scattered, like myself, or captured or killed. Some straggled in days later, if they had managed to evade the Germans. The 35 men blew two bridges and a signal terminal, captured a German bunker and strong point, and engaged a German headquarters. About half of those that took part in these actions were killed or wounded. When we learned of the battles that had taken place we cursed the pilot who had dropped us so far away.

My first order on arrival at our defence position was to locate where the Germans were. On my way I saw one of our snipers laying at the edge of a field. I went to step over him and saw he was dead. I bent low and moved faster. Further along I saw what appeared to be some kind of headquarters with Germans milling around. I hurriedly returned to our lines and reported the location of the Germans. The information must have quickly been sent to the Navy in the Channel, which was our initial artillery. It wasn’t much later that we heard the big Navy shells whistling overhead. On a later patrol I found that the house that the Germans had used as a headquarters was destroyed and there was no sign of German troops.

My D-Day was completed digging my slit trench in the dark in preparation for the German counterattacks and shelling that took place the next day.

Récit du jour J d’un parachutistede la Deuxième Guerre mondiale

L’ancien combattant canadien de la Deuxième Guerre mondiale, Jan de Vries, 80 ans, de Pickering, en Ontario, avait 20 ans le jour J, moment où lui et les autres membres du 1er Bataillon canadien de parachutistes ont été largués au-dessus de la Normandie. Il faisait partie de la Compagnie C, la compagnie d’assaut qui devançait d’une demi-heure l’arrivée du bataillon et de la division en France.

par Jan de Vries

Le 6 juin 1944 – À l’approche de la côte française, nous parlions peu. Nous étions ballottés d’un côté à l’autre de l’appareil alors que le pilote essayait d’éviter les tirs antiaériens. Le trajet semblait prendre une éternité, mais la lumière verte s’est finalement allumée vers 0 h 10. Le numéro 1 a alors ramené ses jambes ensemble et a sauté dans le trou de la taille d’une baignoire aménagée dans l’aéronef, suivi de près par le numéro 2. J’étais le numéro 8 ou 9. J’ai plongé dans le trou à mon tour, inquiet d’être très loin des autres membres du groupe de saut.

J’essayais de voir le sol lorsque j’ai atterri dans un champ. Il faisait très noir. Je me suis tapi près d’une haie et suis resté à l’écoute, espérant entendre des membres de mon groupe. Je n’avais aucune idée de l’endroit où je me trouvais. J’entendais des aéronefs voler au-dessus et j’ai supposé qu’ils venaient de la côte, alors je suis parti dans cette direction. Je marchais sur des routes de gravier ou pavées et je me dissimulais furtivement dans un champ, un fossé ou derrière une haie quand j’entendais des bruits de pas ou des voix. Je savais qu’il s’agissait de patrouilles allemandes, étant donné que nos soldats auraient été silencieux.

À mesure que j’avançais, j’essayais de comprendre ce qui s’était passé. Pourquoi étais-je seul dans un endroit dont je ne reconnaissais aucune des caractéristiques que nous avions étudiées dans le camp de transition?

Tout juste avant le lever du jour, j’ai rencontré trois autres hommes de mon peloton. Nous avons déterminé approximativement notre position, puis nous nous sommes dirigés vers l’est. Nous avons essuyé des tirs ennemis à quelques reprises. Nous tenant au ras du sol, nous avons traversé un petit cours d’eau et avons vu notre premier cadavre. Vers la fin de la journée, nous sommes finalement arrivés à notre poste de défense situé sur un terrain surélevé, le carrefour Le Mesnil, et nous nous sommes présentés au quartier général de la compagnie.

Nous avons appris que parmi les 120 soldats de la Cie C, seulement 35 avaient atterri dans la zone de saut. Les autres avaient été soit dispersés, comme moi, soit capturés ou tués. Certains sont arrivés après plusieurs jours, s’ils avaient réussi à échapper aux Allemands. Les 35 hommes ont fait sauter deux ponts et une station de transmissions, ont capturé un bunker et un centre de résistance allemands et ont pris à partie un quartier général allemand. Près de la moitié de ceux qui ont participé à ces missions ont été tués ou blessés. Quand nous avons appris que ces batailles avaient eu lieu, nous avons maudit le pilote qui nous avait fait sauter si loin.

À mon arrivée au poste de défense, le premier ordre que j’ai reçu consistait à repérer la position des Allemands. Durant ma patrouille, j’ai vu l’un de nos tireurs d’élite qui gisait aux abords d’un champ. J’allais l’enjamber quand j’ai remarqué qu’il était mort. Je me suis baissé et je me suis déplacé plus vite. Un peu plus loin, j’ai vu ce qui semblait être un quartier général fourmillant d’Allemands. Je suis alors retourné à toute vitesse à nos lignes et j’ai signalé la position des Allemands. L’information doit avoir été transmise rapidement à la Marine dans la Manche, qui était notre premier barrage d’artillerie, car peu de temps après, nous avons entendu les gros obus de la Marine siffler au-dessus de nos têtes. Lors d’une patrouille subséquente, j’ai pu constater que la maison utilisée par les Allemands comme quartier général avait été détruite et qu’il n’y avait aucun signe de troupes allemandes.

Enfin, j’ai terminé mon jour J à creuser ma tranchée de tir dans la noirceur, de façon à être prêt pour la contre-attaque et les bombardements allemands du lendemain.

Connecting the past to the present

Like most veterans, I was too busy when I returned from the war to think much about it. I went to school, got a job, married, and raised a family. Over the years I had contact with a few Battalion veterans and in the 1970s I joined my wartime Battalion Association and took part in various reunions and gatherings. The years passed and to my surprise it was time for retirement and to take life easy.

That did not happen. Society discovered that veterans were dying and taking their history with them. I found myself wanting to do something about this sad situation. In 1995, I began a campaign to leave markers in Europe where the Battalion served, as well as in a number of communities in Canada so that the men we left behind were not forgotten. I joined and promoted veterans’ speaker groups and other organizations to promote a better understanding of Canadian participation and contribution to victory in the Second World War.

Today I continue to speak to students, Cadets, young soldiers, social groups and legions. My main objective is that the citizens and youth of Canada today learn and remember that freedom is not cheap. What would the 43 000 young Canadians we lost have contributed to Canada if they had lived?

The 60th anniversary signals the end of an era for me. I am grateful to be able to travel overseas and pay my respects to former comrades one last time. Most WWII veterans who fought in a war where 60 million persons died, are now 80 plus years of age. Their passing is accelerating rapidly and only the written word or voice on tape will be left to connect the past to the present. I wonder, should the need arise, will the Canadian population rise again to such a heroic scale of self-sacrifice?

Le passé et le présent réunis

Comme la majorité des anciens combattants, à mon retour de la guerre, j’étais trop occupé pour y penser. Je suis allé à l’école, j’ai trouvé un emploi, je me suis marié et j’ai élevé une famille. Au fil des ans, j’ai maintenu contact avec quelques anciens combattants de mon bataillon. Dans les années 1970, je me suis joint à l’association de mon bataillon de guerre et j’ai participé à diverses réunions et rencontres. Les années ont passé et, à ma grande surprise, il était temps de prendre ma retraite et de relaxer.

Ce n’est pas ce qui s’est produit. La société a découvert que les anciens combattants mouraient et emportaient avec eux leur histoire. Je voulais faire quelque chose pour améliorer cette triste réalité. En 1995, j’ai commencé une campagne pour installer, en Europe et dans un certain nombre de villes et villages au Canada, des jalons qui commémoreront le passage du Bataillon et les hommes qui n’en sont pas revenus. En outre, je me suis joint à des groupes de conférenciers et à d’autres organisations, constituées d’anciens combattants, pour sensibiliser les gens à la participation du Canada à la Seconde Guerre mondiale, ainsi qu’à sa contribution à la victoire.

Aujourd’hui, je continue de parler aux élèves, aux cadets, aux jeunes soldats, aux groupes sociaux et aux légions. Mon principal objectif est que les citoyens et les jeunes du Canada sachent que la liberté a un prix et qu’ils s’en souviennent. Comment les 43 000 jeunes canadiens morts à la guerre auraient-ils contribué à la société canadienne s’ils avaient survécu?

Le 60e anniversaire marque la fin d’une époque pour moi. Je suis reconnaissant de pouvoir voyager à l’étranger et honorer mes anciens camarades une dernière fois. La majorité des anciens combattants ayant servi pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a fait 60 millions de morts, ont maintenant 80 ans ou plus. Leur nombre diminue de plus en plus rapidement, et bientôt, seuls des écrits et des voix enregistrées lieront le passé au présent. Si le besoin s’en faisait sentir, je me demande si la population canadienne ferait encore une fois un sacrifice héroïque d’une telle ampleur?

West Nile virus: Be vigilant!

By Najwa Asmar

The West Nile virus (WNV), transmitted to people through mosquito bites, was first detected in Canada in 2001. It has since spread across much of the country. Though most people infected with WNV show no symptoms or do not become sick, some people become very ill and may develop life-threatening WNV-associated disease.

It is ultimately up to you to decide on how to protect yourself and your family from WNV. The most important thing you can do to reduce the risk of infection with WNV is to stop mosquitoes from biting (e.g. use repellents that contain DEET); you also can eliminate some mosquito breeding sites by reducing standing water (e.g. dumping bird baths).

“People need to take some responsibility for fighting WNV. This can be as simple as making yourself aware of the risk, and taking steps to prevent mosquito bites,” says Dr. Steve Schofield, senior advisor Pest Management/Entomology, Communicable Disease Control Program with Force Health Protection (FHP).

“Protecting yourself is important whether you are in your backyard, out for a walk in the country or on a military field exercise. It is also important when travelling, e.g. to areas of the United States where WNV is active,” he adds.

“Remember that it only takes one bite from a mosquito carrying WNV to infect you,” says Dr. Schofield.

When should you protect yourself? Ideally, whenever mosquitoes are out and about. However, Dr. Schofield cautions “Just protecting yourself when a lot of mosquitoes are around is not the best approach. Because WNV takes a while to build up in mosquito populations each season, human infections usually do not occur until the summer (July through September), and protecting yourself in the spring may not do all that much to reduce the risk of infection with WNV. More important is protecting yourself and your family in the summer, even if not many mosquitoes are flying around!”

“This does not mean you should not be doing things in the spring—it is definitely important to get rid of mosquito breeding sites all season long. Also, protecting yourself from bites is appropriate anytime if mosquitoes are annoying you,” says Dr. Schofield.

He also cautioned “There are many things out there that are reputed to protect you from mosquitoes, like bug zappers, mosquito traps, predators like dragon flies, birds and bats. The bottom line is that the evidence for the usefulness of these things (even if they do catch some mosquitoes) for preventing mosquito bites is sketchy at best. It is best to stick to approaches that are tried and tested (and approved), like using DEET-containing repellents, when it comes to protecting yourself from WNV.”

Protect yourself!

Protection against WNV is not complicated. Two basic approaches are all it takes:

Don’t let them bite: When outdoors during mosquito season, wear appropriate light-coloured clothing (long-sleeved shirts, full length trousers, socks and closed-toe shoes) and apply a DEET-based insect repellent to exposed areas of the skin. Also prevent mosquitoes from entering your home by screening doors and windows. When you are away on field operations or camping, sleep in a structure that excludes mosquitoes (e.g. a tent) and/or use a bed net. Where possible, avoid areas and times when mosquitoes are active, like in shady areas out of the wind, especially from sundown thru sunrise.

Don’t let them breed: Because mosquito larvae develop in standing water, getting rid of it on a regular basis (every week) may help to reduce adult mosquito populations. So remember to empty (or screen) containers (birdbaths, rain barrels) regularly, fill small depressions that collect water, etc. If you see little wriggly things (in the shape of a comma) in standing water, they likely are mosquito larvae.

As in previous years, DND is working with federal, provincial and municipal partners to tackle WNV. Many good sources of information are available for WNV, including posters and brochures developed by FHP and that are available online or through local CFHS medical clinics.

You will find more information about WNV at the following Web site addresses: http://hr.ottawa-hull.mil.ca/health/ (click on Advisories and Warnings); www.hcsc.gc.ca/english/westnile/index.html.

Ms. Asmar is the communications officer for CFMG public affairs.

Le virus du Nil occidental : Soyez vigilants!

par Najwa Asmar

Le virus du Nil occidental (VNO), transmis aux humains par les piqûres de moustiques, a été détecté au Canada pour la première fois en 2001. Depuis, le virus s’est propagé un peu partout à travers le pays. Même si la majorité des personnes infectées par le VNO ne ressentent aucun malaise ou ne tombent pas vraiment malades, certaines infections peuvent provoquer des maladies graves, voire mortelles.

Prendre les mesures appropriées pour vous protéger et protéger votre famille contre le VNO est une décision que vous seul devriez prendre. Une des mesures les plus importantes consiste à empêcher les moustiques de vous piquer (par exemple, en utilisant des insectifuges à base de DEET). Vous pouvez également empêcher les moustiques de se reproduire en éliminant l’eau stagnante autour de vous (par exemple, en vous débarrassant de l’eau du bain d’oiseaux).

Selon le Dr Steve Schofield, conseiller principal, lutte antiparasitaire-entomologie du Programme de contrôle des maladies transmissibles, Protection de la santé de la Force (PSF), « il faut que chacun se rende compte de sa part de responsabilité dans la lutte contre le VNO. Cela peut être aussi simple que d’être conscient des risques et de faire le nécessaire pour prévenir les piqûres de moustiques ».

« La protection est aussi importante que vous soyez dans votre jardin en milieu urbain, sur le terrain durant un exercice militaire ou en promenade à la campagne. Il est tout aussi important de se protéger durant les voyages, surtout si vous visitez certains endroits des États-Unis où le virus est actif », ajoute-t-il.

« Rappelez-vous qu’il suffit d’une seule piqûre d’un moustique porteur du virus pour que vous soyez infecté à votre tour », affirme le Dr Schofield.

Quand doit-on prendre ces mesures de protection? Idéalement, il faudrait le faire tant qu’il y a des moustiques. Cependant, selon le Dr Schofield, « il ne faudrait pas se contenter de se protéger quand il y a un grand nombre de moustiques. En effet, il faut du temps chaque saison pour que le virus se propage parmi les moustiques, et la transmission du virus aux humains ne commence habituellement qu’en été (de juillet à septembre). Si vous vous contentez de prendre des mesures de protection au printemps, vous ne réduirez pas les risques d’infection. Il est bien plus important de vous protéger et de protéger les membres de votre famille en été, même quand le nombre de moustiques est plus réduit ».

« Cela ne veut pas dire qu’il n’y a rien à faire au printemps », ajoute-t-il. « Il est absolument important de se débarrasser des endroits utilisés par les moustiques pour se reproduire, et cela tout au long de la saison. Quant à la protection contre les piqûres de moustiques, elle est recommandée dès que vous notez la présence de moustiques gênants. »

Le Dr Schofield émet également une mise en garde : « on parle d’un tas de choses qui sont censées protéger contre les piqûres de moustiques, comme les bug zappers et les pièges à moustiques. Certains prédateurs tels que les libellules, les oiseaux ou les chauves-souris, sont également réputés efficaces contre les moustiques. Il est important de savoir que l’efficacité de ces éléments dans la prévention des piqûres reste hypothétique. Il est préférable d’adopter les mesures autorisées qui ont déjà été testées et qui ont donné leurs preuves, tel que l’utilisation d’insectifuges à base de DEET ».

Protégez-vous!

Une protection efficace contre le VNO n’est pas une démarche compliquée. Il suffit de retenir deux principes simples :

Empêchez les moustiques de vous piquer : Lorsque vous vous trouvez à l’extérieur durant la saison des moustiques, couvrez-vous avec des vêtements appropriés de couleur claire (pantalons longs, chemises à manches longues, chaussettes et chaussures couvrant les orteils). Mettez un insectifuge à base de DEET sur les parties exposées de la peau. Grillagez les portes et les fenêtres de votre habitation pour empêcher les moustiques d’y entrer. Durant une opération sur le terrain ou si vous campez, dormez à l’abri dans une tente ou sous une moustiquaire. Essayez d’éviter les endroits ombragés et à l’abri du vent où les moustiques pullulent. Évitez de sortir aux heures de la journée où certaines espèces de moustiques sont particulièrement actives, tôt le matin ou à la tombée de la nuit.

Empêchez les moustiques de se reproduire : Débarrassez-vous régulièrement (une fois par semaine) de l’eau stagnante qui est l’un des endroits préférés pour la reproduction des moustiques et la croissance des larves. N’oubliez pas de vider (ou de couvrir) toutes sortes de contenants (bain d’oiseaux, barils pour recueillir l’eau de pluie) et comblez les petites dépressions dans le sol où l’eau peut s’accumuler. Si vous notez la présence de corps minuscules qui gigotent à la surface de l’eau, il s’agit probablement de larves de moustiques.

À l’instar des années précédentes, le MDN collaborera avec les partenaires fédéraux, provinciaux et municipaux pour faire face au VNO. Plusieurs sources d’information concernant le virus, y compris des affiches et des brochures produites par l’équipe de la PSF, sont disponibles dans les cliniques des Services de santé des Forces canadiennes.

Pour en savoir davantage sur le VNO, consultez les sites Web suivants : http://hr.ottawa- hull.mil.ca/sante/ (cliquez sur Avis et mises en garde) et www.hc-sc.gc.ca/francais/ virus_nil/index.html.

Mme Asmar est agente des communications aux Affaires publiques du GMFC.

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