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Page 14 - 15, Maple Leaf, 07 July 2004, Vol. 7 No. 25

page 14 - 15, La feuille d'érable, Le 07 juillet 2004, Vol. 7 No. 25

Fourth Dimension

By Charmion Chaplin-Thomas

July 8, 1944

On the narrow plain that lies between the Norman city of Caen and the beaches where the Allied Expeditionary Force landed on June 6, the invading British and Canadian armies are deployed parallel with the coast, where they were halted by the fierce German counter-offensive. Bombed frequently and constantly shelled by artillery, the infantry and armoured regiments of the 3rd Canadian Division wait in the bocage country northwest of Caen for General Sir Bernard Montgomery’s staff to decide what they will do next. The soldiers of the Highland Light Infantry of Canada (Lieutenant-Colonel Franklyn Griffiths in command), a rural battalion from Waterloo County, Ontario, spent June in the farming village of Villons-les-Buissons, where Sergeant Ken Bell of the Canadian Army Film and Photo Unit took their pictures in cheerful scenes with the local cows and chickens.

Today, however, the Normandy campaign resumes with Operation CHARNWOOD, a full-scale attack by three infantry divisions—including the Canadians, on the right flank—to punch through the heavily defended fringe of villages surrounding Caen and drive right into the city. For the Germans, Op CHARNWOOD began at 2200 hours last night with a massive raid by Bomber Command, RAF. Among the Canadians, the 9th Brigade has the first task: taking the villages of Buron (the HLI), Gruchy and Château-de-Louet (the Stormont, Dundas and Glengarry Highlanders) and Authie (the North Nova Scotia Highlanders).

For the assault on Buron, LCol Griffiths’ command is expanded to a battalion group by the addition of a squadron of tanks from the Fusiliers de Sherbrooke and a battery of British self-propelled guns. German defences and troop dispositions are well known, thanks to a prisoner- of-war taken on July 5. There are four companies of the 25th Panzer Grenadier Regiment, well dug in behind fields of anti-personnel mines, but the most significant obstacles facing the HLI is a V-shaped anti-tank ditch north of the village. The attack will be conducted as a Great War-style advance under a rolling artillery barrage, with B Company (Captain Vince Stark) and D Company (Major Harry Anderson) side by side in the lead, followed by C Company (Maj Raymond Hodgins) behind B and A Company (Maj David Durward) behind D.

At 0500 hours, the HLI wake up to artillery fire across the entire Corps front, and take to their slit trenches to escape the German counter-battery fire that erupts in response. The advance begins at 0730 hours, and goes well until the assault companies hit the anti-tank ditch, where all hell breaks loose. This is no mere ditch: five metres wide and four deep, it is a complex defence system of bays, bunkers and dug-outs fully manned by tough Panzer Grenadiers who never seem to give up, and supported by artillery and machine-guns, including Brens captured in earlier battles. Between them, the constant shelling, the machine-guns and the defenders of the anti-tank ditch account for about half the men of the assault companies, killed or wounded within the first two hours of fighting. During this intense phase of the battle, astounding things happen. By himself, Bren-gunner Private Mike Borodaiko of 10 Platoon, B Coy, cleans out six machine-gun positions one after the other. Sergeant Jimmy Kelly takes over 12 Platoon, and then proceeds to destroy two dug-outs with rifles and grenades. When the HLI begin to emerge from the ditch, the Germans bring down mortar fire on their own positions to stop them, but all four companies keep pushing until they are in the village. A strong counter-attack is halted by the British battery, which loses seven self-propelled guns but knocks out 14 Panzers. Meanwhile, the Sherbrookes hold off much of the opposing German armour and anti-tank artillery, although No. 1 Troop is caught in a minefield for hours. The last German defenders of the anti-tank ditch are extracted by the Sherbrookes’ flail tanks.

Despite their terrible losses, the Highland Light Infantry are proud of their first major action. Eleven soldiers are decorated for various acts of valour and inspired leadership, and Buron is eventually added to the regiment’s battle honours.

Quatrième dimension

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 8 juillet 1944

Sur l’étroite plaine sise entre la ville normande de Caen et les plages sur lesquelles a débarqué le 6 juin le Corps expéditionnaire allié, les armées canadiennes et britanniques sont déployées, parallèles à la côte où leur avancée a été stoppée par la féroce contre-offensive allemande. Sous le feu nourri des bombardements et des obus, les régiments d’infanterie et les régiments blindés de la 3e Division canadienne attendent dans le bocage au nord-ouest de Caen que l’état-major du Général Sir Bernard Montgomery décide de la stratégie à adopter. Les soldats du Highland Light Infantry of Canada (sous le commandement du Lieutenant-colonel Franklyn Griffiths), un bataillon rural du comté de Waterloo en Ontario, ont passé le mois de juin dans le petit village agricole de Villons-les-Buissons. Le Sergent Ken Bell de l’unité canadienne des films et de la photographie de l’Armée canadienne a pris des photos très gaies de certains d’entre eux parmi les vaches et les poules.

Aujourd’hui toutefois, la campagne de Normandie reprend de plus belle avec l’opération CHARNWOOD, une attaque à grande échelle de trois divisions d’infanterie, comprenant les Canadiens sur l’aile droite. Ceux-ci sont chargés de donner l’assaut aux villages entourant Caen, vaillamment défendus par les Allemands, et de pénétrer au cœur de la ville. Pour les Allemands, l’Op CHARNWOOD a commencé à 22 h la nuit dernière par un raid aérien massif du Bomber Command de la RAF. Chez les Canadiens, la 9e Brigade s’est vu confier la première tâche : elle doit prendre les villages de Buron [le Highland Light Infantry (HLI)], de Gruchy et de Château-de-Louet (les Stormont, Dundas and Glengarry Highlanders) et d’Authie (les North Nova Scotia Highlanders).

Pour donner l’assaut sur Buron, le commandement du Lcol Griffiths a été élargi au niveau de groupe-bataillon par l’ajout d’un escadron de chars des Fusiliers de Sherbrooke et d’une batterie de canons automoteurs britanniques. Grâce à la capture le 5 juillet d’un soldat allemand, les défenses allemandes et la disposition de leurs troupes sont bien connues. Il y a donc quatre compagnies du 25e régiment de grenadiers allemands qui sont bien retranchées derrière des champs de mines antipersonnel. L’obstacle le plus formidable auquel se mesure le HLI est un fossé antichar en forme de V creusé au nord du village. L’attaque sera menée comme une avancée Grande Guerre sous un barrage roulant d’artillerie avec à sa tête, côte à côte, la Compagnie B (Capitaine Vince Stark) et la Compagnie D (Major Harry Anderson). Ces deux compagnies seront suivies de la Compagnie C (Maj Raymond Hodgins) derrière la Compagnie B, et de la Compagnie A (Maj David Durward) talonnant la Compagnie D.

À 5 h, le HLI est réveillé par le feu d’artillerie qui résonne sur tout le front occupé par le Corps. Les soldats se réfugient dans leurs tranchées de tir pour se soustraire au feu des contre-batteries allemandes qui ripostent. L’avancée commence à 7 h 30 et se poursuit jusqu’à ce que les compagnies d’assaut aient atteint le fossé antichar. C’est alors que tout se déchaîne. Ce n’est pas un petit fossé : cinq mètres de largeur sur quatre mètres de profondeur. Il s’agit plutôt d’un système de défense complexe composé de travées, de casemates et d’abris âprement défendus par d’increvables grenadiers allemands. Ils sont appuyés par l’artillerie et des mitrailleuses, y compris des fusils-mitrailleurs Bren enlevés aux Alliés dans des batailles précédentes. Pendant les deux premières heures du combat, environ la moitié des hommes des compagnies ayant donné l’assaut sont blessés ou tués par les défenseurs du fossé, sous l’assaut des bombardements incessants et du feu des mitrailleurs. Pendant cette phase intense de la bataille, des hauts faits d’armes se produisent. À lui seul, le Soldat Mike Borodaiko du 10e Peloton de la Compagnie B, armé de son fusil-mitrailleur Bren, vient à bout de six nids de mitrailleuses, les faisant tomber les uns après les autres. Le Sergent Jimmy Kelly prend les commandes du 12e Peloton et, à l’aide de fusils et de grenades, détruit deux abris. Lorsque les chars du HLI commencent à émerger du fossé, les Allemands dirigent le feu des mortiers sur leurs propres positions pour les arrêter. Les quatre compagnies n’en poursuivent pas moins vaillamment leur avancée jusque dans le village. La batterie britannique met en échec une solide contre-attaque, mais non sans perdre sept canons automoteurs. Elle réussit cependant à faucher 14 grenadiers allemands. Entre-temps, les Fusiliers de Sherbrooke tiennent en respect une grande part des blindés allemands et de l’artillerie antichar même si la troupe no 1 reste coincée dans un champ de mines pendant des heures. Ce sont les chars à fléaux du Régiment des Fusiliers de Sherbrooke qui ont raison des derniers défenseurs allemands du fossé antichar. Malgré les lourdes pertes, le Highland Light Infantry est fier de ses premiers faits d’armes. Onze soldats sont décorés pour divers actes de bravoure et pour leur leadership inspiré. Éventuellement Buron est ajouté au tableau des honneurs de guerre du régiment.

On the road to modernizing pension benefitsfor all CF members

By the Pension Modernization Project Team

Since Parliament approved changes to the Canadian Forces Superannuation Act (CFSA) late in 2003, member interest in how and when these new provisions will come into force—and in their pension plan, in general—has been running at an all-time high. The Canadian Forces Pension Modernization Project (CFPMP) has received hundreds of calls and e-mails about the new pension provisions.

“This shows us that the pension plan is very important to our members,” says Colonel Claude Rochette, Director General Compensation and Benefits. “But it’s also clear that very few members are aware of the steps we need to cover before the new provisions come into force.”

Col Rochette stresses that parliamentary approval of the changes set out in Bill C-37 was only the first step in the modernization of pension benefits for all CF members. There is much more to do.

“The changes approved by Parliament will modernize the CFSA to make it more comparable with other federal public sector plans and pension plans offered by other large Canadian employers,” he says. “These changes will also support CF human resource initiatives, make sure we can provide appropriate pension coverage for all Reserve Force members, and bring in new pension options for Regular Force members.”

Developing regulations—a major next step

Col Rochette adds that the changes provide the authority to develop regulations that will set out the detailed rules for the operation of the new pension arrangements. In addition, regulations will also detail the pension arrangements for Reserve Force members who will have pension coverage under the CFSA.

Treasury Board has overall responsibility for pension plans in the federal public sector and will have to approve the regulations. Col Rochette notes that consultations will, therefore, be held with Treasury Board Secretariat to ensure that the regulations are in line with overall government pension policy.

The detailed rules now being developed will cover matters such as buying back past service, eligibility criteria for Reserve Force plan membership, and the grandfathering of certain pension entitlements for Regular Force members.

Setting up administration systems—readiness to serve you

The CFPMP continues to work closely with the Director General Accounts Processing, Pay and Pensions (DGAPPP) so they can prepare for the new pension arrangements.

They have a difficult task ahead updating the pay and pension systems to support the new provisions. These systems have to be ready to confirm membership, deduct plan contributions from a member’s pay, establish eligibility to pension benefits, and calculate pension amounts according to the new provisions.

DGAPPP staff must also prepare themselves to serve new pension plan contributors from the Reserve Force, in addition to Regular Force members and annuitants who are already being served. This will involve developing communication tools and counselling services to help members understand their pension arrangements and make informed decisions about their pensions.

More information available to you—now

Col Rochette encourages members to monitor the CFPMP’s Web site for more details on the modernization process and provisions.

“There’s no better time than the present to visit the Web site,” he explains. “We’re posting a new PowerPoint presentation that tells you more about the changes so that you understand pension modernization better. We’ll also be posting a whole new set of frequently asked questions—with answers—that we have received from members.”

“By early fall, you’ll see some more enhancements to the Web site. We’re working to make it easier for you to find things.”

All in all, pension modernization is in full swing and many people are engaged in the process. We expect that everything will be in place by the fall of 2005. Stay connected as future updates on CFPMP’s progress will be published as we reach various milestones.

For more information concerning the new CFSA provisions expected in 2005, visit: www.forces.gc.ca/dgcb/dpsp/ modernization_e.asp. Questions can be sent to cfpmp@forces.gc.ca.

Sur le chemin de la modernisation de la pension pour tous les membres des FC

par l’équipe du Projet de modernisation de la pension

Depuis que le Parlement a approuvé les changements à la Loi sur la pension de retraite des Forces canadiennes (LPRFC), à la fin de 2003, les militaires ont manifesté un intérêt jamais vu en ce qui concerne les modalités et le calendrier d’application des nouvelles dispositions, et à l’égard de leur régime de retraite en général. Les responsables du Projet de modernisation de la pension des Forces canadiennes (PMPFC) ont reçu des centaines d’appels et de courriels au sujet des récentes modifications.

« Nous pouvons constater que les militaires accordent énormément d’importance à leur régime de retraite », déclare le Colonel Claude Rochette, du Directeur général – Rémunération et avantages sociaux. « Mais il est également clair que très peu d’entre eux sont conscients des étapes à franchir avant l’entrée en vigueur de ces nouvelles dispositions. »

Le Col Rochette souligne que l’approbation des modifications énoncées dans le Projet de loi C-37 par le Parlement ne constitue que la première étape de la modernisation de la pension pour tous les membres des FC. Il y a encore beaucoup à faire.

« Grâce aux changements, la LPRFC sera modernisée et se rapprochera des autres régimes de la fonction publique fédérale et des régimes de retraite qu’offrent les grandes entreprises canadiennes », précise-t-il. « De plus, les modifications viendront appuyer les initiatives en matière de ressources humaines des FC, en nous permettant d’offrir une pension adéquate à tous les militaires de la Réserve et des options additionnelles aux membres de la Force régulière. »

Élaborer la réglementation, une prochaine étape cruciale

Le Col Rochette ajoute que les changements nous confèrent le pouvoir d’élaborer la réglementation qui servira à établir les règles détaillées pour l’application des nouveaux mécanismes de pension. La réglementation décrira aussi les mécanismes pour les réservistes, qui bénéficieront d’une pension en vertu de la LPRFC.

Le Conseil du Trésor, qui a l’entière responsabilité des régimes de pension dans la fonction publique, devra approuver la réglementation. C’est pourquoi, comme le mentionne le Col Rochette, nous consulterons le Secrétariat du Conseil du Trésor afin de nous assurer qu’elle est conforme à l’ensemble des politiques de pensions du gouvernement.

Les règles détaillées, actuellement en voie d’élaboration, couvriront des sujets tels que le rachat des années de service antérieures, les critères d’adhésion au régime de la Réserve et les acquis pour certains droits à pension dans le cas de la Force régulière.

Établir des systèmes administratifs et être prêts à vous servir

Le PMPFC poursuit son étroite collaboration avec les membres de la division du Directeur général — Traitement des comptes, solde et pensions (DGTCSP) afin d’être prêts à appliquer les nouveaux mécanismes.

En outre, ils ont la difficile tâche de mettre à jour les systèmes de rémunération et de pensions pour les rendre conformes aux récentes dispositions. Ces systèmes doivent être aptes à confirmer l’adhésion, à effectuer les déductions à la source, à établir l’admissibilité et à calculer le montant des pensions.

Le personnel du DGTCSP doit par ailleurs être en mesure de servir, outre les militaires de la Force régulière et les rentiers, les nouveaux cotisants au régime de pension de la Réserve. Il devra donc se doter de nouveaux outils de communication et de services de consultation pour aider les militaires à saisir les mécanismes de pension et à prendre des décisions éclairées à ce sujet.

D’autres renseignements à votre disposition, dès maintenant

Le Col Rochette invite les militaires à surveiller le site Web du PMPFC pour en savoir plus sur le processus et les dispositions de la modernisation.

« C’est le meilleur moment pour visiter le site », explique-t-il. « Nous sommes en train d’y ajouter une présentation PowerPoint qui vous en dira davantage sur les modifications afin que vous puissiez mieux comprendre la modernisation de la pension. De plus, nous y affichons une série complètement nouvelle de questions fréquemment posées — avec réponses — qui nous viennent des militaires. »

« D’ici le début de l’automne, vous constaterez d’autres améliorations au site Web. Nous travaillons à en faciliter la consultation. »

Somme toute, la modernisation de la pension bat son plein, et de nombreuses personnes participent au processus. Nous prévoyons que tout sera en place d’ici l’automne 2005. Suivez les prochaines mises à jour concernant l’évolution du PMPFC qui seront publiées à chaque étape importante.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les nouvelles dispositions de la LPRFC, dont l’entrée en vigueur est prévue en 2005, visitez le www.forces.gc.ca/dgcb/dpsp/ modernization_f.asp. Vous pouvez transmettre vos questions à cfpmp@forces.gc.ca.

FLASH - A vision for a modern-day veteran’s charter

The government recently unveiled plans to improve the programs and services to help today’s veterans reintegrate into civilian life upon completion of duty. The changes will be the most fundamental reform of veteran’s programs since the Second World War.

The need for a new approach has been the topic of many reports in recent years. The most comprehensive report was released earlier this spring by the Veterans Affairs Canada-Canadian Forces Advisory Council (VAC-CFAC).

The paper is entitled Honouring Canada’s Commitment: “Opportunity with Security” for Canadian Forces Veterans and Their Families in the 21st Century. The paper documents the issues facing Canada’s modern-day veterans. It will form the basis for consultations between the government and key stakeholders over the summer. New legislation is expected to be tabled this calendar year.

Issues include: health benefits, disability awards, wellness programs, rehabilitation services, vocational training and education, job placement, and case management.

The VAC-CFAC discussion paper and related documents are available on the VAC Web site at www.vac-acc.gc.ca.

FLASH - Vision concernant une charte des anciens combattants de l’ère moderne

Le gouvernement a récemment dévoilé des plans ayant pour but d’améliorer les programmes et les services visant à aider les anciens combattants d’aujourd’huià réintégrer la vie civile à la fin de leur période de service. Les changements prévus constitueront la plus importante réforme des programmes des anciens combattants depuis la Seconde Guerre mondiale.

Le besoin d’une nouvelle approche a fait l’objet de nombreux rapports au cours des dernières années. Le rapport le plus exhaustif a été publié plus tôt au printemps par le Conseil consultatif sur les Forces canadiennes d’Anciens Combattants Canada (CCFC d’ACC). Il s’intitule Respecter l’engagement du Canada : offrir « possibilités et sécurité » aux anciens combattants des Forces canadiennes et à leurs familles au XXIe siècle.

Le rapport, qui met en évidence les problèmes auxquels sont confrontés les anciens combattants de l’ère moderne, constituera la base des consultations entre le gouvernement et les intervenants clés au cours de l’été. On s’attend à ce qu’un projet de loi soit déposé au cours de la présente année civile.

Les enjeux sont les suivants : indemnités de maladie, primes d’invalidité, programmes de mieux-être, services de réadaptation, formation professionnelle et éducation, placement et gestion de cas.

Le document de travail ainsi que d’autres documents connexes du CCFC d’ACC sont disponibles sur le site Web d’ACC à l’adresse www.vac-acc.gc.ca.

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