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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Page 14 - 15, Maple Leaf, 10 November 2004, Vol. 7 No. 37

page 14 - 15, La feuille d'érable, Le 10 novembre 2004, Vol. 7 No. 37

Fourth Dimension

By Charmion Chaplin-Thomas

November 11, 1813

In the glutinous, black mud of John Crysler’s recently ploughed fields a few miles west of the village of Cornwall, Upper Canada, the 1 200 British regular soldiers, Canadian militiamen and Mohawk warriors of a corps d’observation led by Lieutenant-Colonel Joseph Morrison of the British Army prepare for battle after a miserable night of rain and sleet. The enemy—an army of about 4 000 hungry, tired, wet and ragged American regulars and militiamen trying to capture Montréal—is only a couple of miles downstream at Cook’s Point, occupying a tavern and several farms and eating everything in sight. LCol Morrison and his men have spent the last three days chasing the Americans downstream along the King’s Highway to Montréal, forcing them to counter-march to defend their rear and then deliberately falling back out of their reach. Today, the British-Canadian force is on LCol Morrison’s chosen battlefield, and the Americans are rising to the challenge.

The Americans, commanded by Major-General James Wilkinson of the US Army, have quite a different plan. Their objective is to march east to Montréal while the hundreds of flat-bottomed bateaux that brought them across the St. Lawrence—and are still loaded with their supplies and ammunition—make the dangerous run through the Long Sault and Mille Roches rapids. Brigadier-General John P. Boyd of the US Army, in command of the 1 800-strong rear guard at Cook’s Tavern, have but to fend off LCol Morrison’s force while keeping pace with the flotilla.

At 10 a.m., the Americans begin to move and the first phase of the British plan unfolds: an attack on the American bateaux by seven Royal Navy gunboats commanded by Captain William Mulcaster. The gunboats do little immediate damage, but they convince many of the civilian crews in the American flotilla that they would be better off elsewhere, and boats quickly start heading into the rapids or make for the American shore. A little later, LCol Morrison’s troops advance on the American rear guard.

The British-Canadian line extends from the St. Lawrence River, where the right flank is covered by the gunboats, across more than 700 yards of ploughed fields (now sopping muck) to a wooded swamp, where the left flank is covered by a company of Voltigeurs canadiens from Lower Canada and about 30 Mohawks from Tyendinaga. The centre, straddling the road to Montréal, is held by the 89th Regiment of Foot with one cannon and, a little to the right and in front, the 49th Foot and another gun with a Canadian militia crew. A skirmish line of Mohawks from Saint-Régis and more Voltigeurs canadiens is deployed ahead of the main force to attract the Americans’ attention and bring them within range of the regular soldiers’ deadly volley fire. As soon as the skirmishers start shooting, the Americans turn about to face them, and the fight is on.

The opening moves of the main battle are abortive—BGen Boyd tries to turn the British flank with an attack on the skirmishers by BGen Robert Swartwout and BGen Leonard Covington, while the American cavalry thwarts a British attempt to capture an American gun. The steady professionals of the 89th and 49th Regiments are more than a match for the much larger American force, however, and after several hours of hard fighting, the 89th Regiment takes the disputed gun despite a counter-attack by American dragoons. With their supplies and ammunition bound for Montréal on the bateaux, the Americans on shore finally run out of ammunition. BGen Covington’s brigade begins to fall back, and BGen Swartwout’s men quickly follow, leaving LCol Morrison in command of the field and very pleased with himself.

Having experienced such a humiliating defeat less than a month after MGen Wade Hampton’s similarly disastrous loss at Châteauguay, MGen Wilkinson summons a council of war to help him choose his next move. The unanimous conclusion is that “the attack on Montréal should be abandoned for the present season”, and that the American invasion force should withdraw from the Cornwall area and move into winter quarters at French Mills, New York. The threat to Montréal is over.

Quatrième dimension

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 11 novembre 1813

Dans la boue noire et visqueuse des champs fraîchement labourés de John Crysler, quelques milles à l’ouest du village de Cornwall, dans le Haut-Canada, les 1 200 soldats réguliers britanniques, miliciens canadiens et guerriers mohawks d’un corps d’observation dirigé par le Lieutenant-colonel Joseph Morrison de l’Armée britannique se préparent au combat après une nuit misérable de pluie et de grésil. Les ennemis – une armée de quelque 4 000 réguliers et miliciens américains affamés, fatigués, trempés et dépenaillés qui essaient de s’emparer de Montréal – ne sont qu’à peu de milles en aval, à Cook’s Point, où ils occupent une taverne et plusieurs fermes, mangeant tout ce qui leur tombe sous la dent. Le Lcol Morrison et ses hommes ont passé les trois derniers jours à pourchasser les Américains en aval, le long de la route King en direction de Montréal, les forçant à rebrousser chemin pour défendre leurs arrières, puis reculant délibérément hors de leur portée. Aujourd’hui, la force britanno-canadienne se trouve sur le terrain de bataille choisi par le Lcol Morrison, et les Américains se montrent à la hauteur.

Sous le commandement du Major-général James Wilkinson de l’Armée des États-Unis, les Américains ont un plan bien différent. Ils ont pour objectif de marcher vers l’est, en direction de Montréal, tandis que les centaines d’embarcations à fond plat à bord desquelles ils ont franchi le fleuve Saint-Laurent – et où se trouvent encore leurs fournitures et leurs munitions – s’aventurent dans les rapides de Long-Sault et Mille Roches. Le Brigadier-général John P. Boyd de l’Armée américaine, qui commande l’arrière-garde de 1 800 hommes à la taverne de Cook’s Point, doit repousser les forces du Lcol Morrison, tout en suivant le rythme de la flottille.

À 10 h, les Américains se mettent en marche. La première phase du plan britannique est dévoilée : une attaque des bateaux américains lancée par sept chaloupes canonnières de la Marine royale commandées par le Capitaine William Mulcaster. Les chaloupes ne causent que peu de dommages immédiats, mais cela suffit à convaincre nombre des équipages civils de la flottille américaine qu’ils auraient intérêt à se trouver ailleurs, si bien que les embarcations mettent le cap sur les rapides ou le littoral américain. Un peu plus tard, les troupes du Lcol Morrison avancent vers l’arrière-garde américaine.

La ligne britanno-canadienne s’étend du fleuve Saint-Laurent, où le flanc droit est couvert par les chaloupes canonnières, sur plus de 700 verges de champs labourés (maintenant de la gadoue trempée), jusqu’à un boisé marécageux, où le flanc gauche est protégé par une compagnie de Voltigeurs canadiens du Bas-Canada et une trentaine de Mohawks de Tyendinaga. Le centre, à cheval sur la route de Montréal, est tenu par le 89e Régiment de fantassins équipé d’un canon et, légèrement sur la droite en avant, le 49e Régiment de fantassins et un autre canon avec une équipe de miliciens canadiens. Une ligne d’escarmouche formée de Mohawks de Saint-Régis et d’autres Voltigeurs canadiens est déployée à l’avant du gros des troupes pour attirer l’attention des Américains et les amener à portée des salves d’artillerie meurtrières des soldats de la force régulière. Dès que les tirailleurs commencent à faire feu, les Américains se tournent vers eux, et le combat s’engage.

Les premières manœuvres de la bataille principale avortent. Le Bgén Boyd essaie de faire tourner le flanc britannique en lançant le Bgén Robert Swartwout et le Bgén Leonard Covington à l’assaut des tirailleurs, tandis que la cavalerie américaine déjoue une tentative des Britanniques qui cherchent à s’emparer d’un canon. Les professionnels inébranlables des 89e et 49e Régiments font plus que le poids contre la force américaine bien plus nombreuse, mais après plusieurs heures de combat acharné, le 89e Régiment s’empare du canon convoité malgré une contre-attaque des dragons américains. Sans leurs fournitures et leurs munitions qui sont en route vers Montréal à bord des bateaux, les Américains à terre finissent par manquer de munitions. La brigade du Bgén Covington commence alors à se replier, suivie de près des hommes du Bgén Swartwout. Le Lcol Morrison se retrouve maître du champ et très fier de lui.

Après avoir subi une défaite aussi humiliante moins d’un mois après la perte catastrophique infligée au Mgén Wade Hampton à Châteauguay, le Mgén Wilkinson convoque un conseil de guerre pour l’aider à déterminer sa prochaine intervention. La conclusion est unanime : « Il faudrait renoncer à attaquer Montréal au cours de la présente saison », et la force d’invasion américaine devrait se retirer de la région de Cornwall pour aller s’installer dans les casernes d’hiver à French Mills, dans l’État de New York. Montréal n’est plus menacée.

Canadians in the Mediterranean

By LS Fabrice Mosseray

Because of the major contribution of Canadian ships in the Atlantic and the eclipse of the Italian campaign by the war in France and Holland, we tend to forget the role our Navy played in the operations, which threw the Mediterranean theatre into turmoil.

In 1942, the Royal Canadian Navy (RCN) agreed to dispatch to Gibraltar some of the ships it was using to protect its territorial waters. The corvettes HMC Ships: LOUISBURG, PRESCOTT, WOODSTOCK, WEYBURN, LUNENBURG, VILLE DE QUÉBEC, PORT-ARTHUR, BADDECK, ALBERNI, SUMMERSIDE, REGINA, CALGARY, KITCHENER, CAMROSE, MOOSE-JAW and ALGOMA were tasked with escorting convoys and lending a hand to the Allies. These ships and the RCN 55th, 66th, 80th and 81st Flotillas landing craft contributed to Operation TORCH, which involved landing troops in Algeria which, working with British forces moving east from Egypt, would trap the Italian and German armies in a pincer movement. And because the Luftwaffe and the Regia Aeronautica (the Italian Air Force) had numerous airfields in the area, the Canadians received additional anti-aircraft guns. As for the submarine threat, better conditions for detection and effective Allied air cover had eased it somewhat. Nonetheless, the German and Italian submarines continued to attack from all sides, because they were operating as individuals rather than in packs. It was then that RCN ships and landing craft joined the invasion fleet that attacked Casablanca, Oran and Algiers on November 8, 1942.

The Invasion of Sicily and Italy

Once the Germans and Italians were defeated in Tunisia in May 1943, our corvettes returned to the harsh conditions of the North Atlantic. The Allied strategists then envisioned a quick conquest of Italy, which would begin on July 9, 1943 with the invasion of Sicily. The Canadian landing craft flotillas remained in the Mediterranean and were incorporated into the invasion fleet of some 2 755 ships. In one month, they landed 41 000 men, 9 000 vehicles and 40 000 tonnes of supplies. On September 3, 1943, the Canadian sailors embarked their fellow ground troops and crossed the Strait of Messina supported by artillery and warships. When the Canadian soldiers advanced into Northern Italy, their landing craft maintained the supply lines linking Sicily and Italy and then headed for England to prepare for the Normandy landings.

France and Greece

In August 1944, HMC Ships PRINCE DAVID and PRINCE HENRY landed troops in Corsica and then participated in the Allied landings in the south of France (Provence) as part of Op DRAGON. The two transport ships were then directed to accompany the Greek government in exile to Pireus, the port of Athens, where the sailors were welcomed as liberators. Shuttling between Italy and Greece and working in mine-infested national waters, they convoyed prisoners of war, refugees, food supplies and medicine. When PRINCE DAVID was damaged by a mine on December 10, 1944, PRINCE HENRY managed, in a single week, to evacuate some 4 400 Greek refugees threatened by the civil war raging in that country. The Nazi and Fascist armies having been swept from the Mediterranean, and Canadian ships, their mission accomplished, said good-bye to the sea where galleys had done battle in ancient times.

LS Mosseray is a Reservist posted to HMCS CARLETON.

Les Canucks dans la Méditerranée

par le Mat 1 Fabrice Mosseray

Les navires canadiens s’étant distingués en grand nombre dans l’Atlantique et la campagne d’Italie ayant été éclipsée par celles de France et de Hollande, on oublie souvent que notre Marine a pris part aux opérations qui ont embrasé la Méditerranée.

En 1942, afin d’escorter des convois et de prêter main-forte aux Alliés qui vont débarquer en Afrique du Nord, la Marine canadienne accepte de prélever des navires affectés à la protection de ses eaux territoriales et dépêche ainsi à Gibraltar les corvettes LOUISBURG, PRESCOTT, WOODSTOCK, WEYBURN, LUNENBURG, VILLE DE QUÉBEC, PORT-ARTHUR, BADDECK, ALBERNI, SUMMERSIDE, REGINA, CALGARY, KITCHENER, CAMROSE, MOOSE-JAW et ALGOMA. Nos navires ainsi que les 55e, 66e, 80e et 81e flottilles de débarquement participent à l’opération TORCH qui consiste à prendre en étau depuis l’Algérie les forces italo-allemandes de concert avec les Britanniques qui les poursuivent depuis l’Égypte. Ils reçoivent alors des canons antiaériens supplémentaires car la Luftwaffe et la Regia Aeronautica (aviation italienne) disposent de nombreux aérodromes. Quant à la menace sous-marine, elle est amoindrie grâce aux conditions de détection plus propices et une efficace couverture aérienne alliée. Néanmoins, les sous-marins allemands et italiens attaquent de tous les côtés car ils opèrent individuellement plutôt qu’en meutes. Ainsi, les navires et les péniches de la Marine se joignent à la flotte d’invasion qui attaque, le 8 novembre 1942, Casablanca, Oran et Alger.

Invasion de la Sicile et de l’Italie

Une fois les Allemands et les Italiens vaincus en Tunisie en mai 1943, nos corvettes retournent affronter les dures conditions de l’Atlantique Nord. Les stratèges alliés prévoient alors une conquête rapide de l’Italie. Cette dernière doit s’amorcer le 9 juillet 1943 avec l’invasion de la Sicile. Les 55e, 66e, 80e et 81e flottilles canadiennes de chalands d’assaut restent en Méditerranée et sont intégrées à la flotte d’invasion qui compte 2 755 navires. En un mois, elles débarquent 41 000 hommes, 9 000 véhicules et 40 000 tonnes de ravitaillement. Le 3 septembre 1943, les matelots canadiens embarquent leurs camarades fantassins et franchissent le Détroit de Messine sous la protection de l’artillerie et des navires de guerre. Alors que les soldats canadiens avancent vers le nord du pays, nos chalands assurent le ravitaillement entre la Sicile et l’Italie puis mettent le cap sur l’Angleterre où se prépare le débarquement en Normandie.

En France et en Grèce

En août 1944, les PRINCE DAVID et PRINCE HENRY débarquent en Corse et dans le sud de la France en vue du débarquement des Alliés en Provence (Op DRAGON). Les deux transports reçoivent la mission de mener le gouvernement grec en exil au Pirée, le port d’Athènes, où les marins sont accueillis en libérateurs. Manœuvrant entre l’Italie et la Grèce ainsi que dans les eaux nationales infestées de mines, ils convoient des prisonniers de guerre, des réfugiés, des vivres et des médicaments. Le PRINCE DAVID étant endommagé par une mine le 10 décembre 1944, le PRINCE HENRY évacue seul en une semaine plus de 4 400 réfugiés menacés par la guerre civile qui éclate dans le pays. Les armées nazies et fascistes ayant été balayées de la Méditerranée, nos navires, leur mission terminée, laissent derrière eux cette mer où s’affrontaient jadis les galères de l’Antiquité.

Le Mat 1 Mosseray est réserviste et est affecté au NCSM CARLETON.

International symposium on transformation

By Lane Anker

Transformation is a necessity, not an option, for DND/CF. At an upcoming symposium in Ottawa, November 30-December 2, transforming military capabilities to meet the security challenges of the 21st century will be a focus.

“The nexus of international terrorism and proliferation of weapons of mass destruction provides for a worrisome scenario in the post-9/11 world. Regional and interstate tensions also continue to serve as international security challenges with potential consequences for Canada's well-being,” says Lieutenant-Colonel Dean Black, a member of the Defence analysis team within the Director General Strategic Planning division.

A key defence concept that is emerging in transformation Concept Development and Experimentation is network-enabled operations (NEOps). “NEOps is recognized as a vital component of the current transformation drive that is occurring in armed forces around the world,” says Dr. John Bovenkamp, senior strategic planner, DRDC.

NEOps is the key topic at the VCDS, DCDS and ADM(S&T) co-sponsored symposium in Ottawa. Entitled “NEOps: Responding to the New Security Environment”, the symposium will include several presentations by expert national and international speakers, panel discussions, and workshops.

Information from the conference will be incorporated into a DND/CF working paper that will eventually become a concept paper to be published in Spring 2005. “In a nutshell, the NEOps symposium is designed to expose a large number of people to the details of this concept and will help generate the way ahead for how this concept will be incorporated into DND/CF transformation,” says Dr. Bovenkamp.

More information can be found on DNet at www.forces.gc.ca.

Symposium international sur la transformation

par Lane Anker

Pour le MDN et les FC, la transformation s’avère une nécessité et non une option. Un symposium qui se tiendra bientôt à Ottawa, du 30 novembre au 2 décembre, portera sur la transformation des capacités militaires en vue de relever les défis que pose la sécurité du XXIe siècle.

« Le lien entre le terrorisme international et la prolifération des armes de destruction massive laisse entrevoir un scénario inquiétant dans le monde de l’après 11 septembre. Les tensions régionales et interétatiques qui bouleversent la sécurité internationale pourraient avoir des conséquences sur le bien-être des Canadiens », a déclaré le Lieutenant-colonel Dean Black, membre de l’équipe du Directeur général – Planification stratégique.

Les opérations réseaucentriques (NEOps) constituent l’un des concepts clés de défense émergeant de l’élaboration et de l’expérimentation du concept de transformation. « Les opérations réseaucentriques se révèlent l’une des composantes essentielles du mouvement actuel de transformation qui touche les forces armées du monde entier », a souligné M. John Bovenkamp, planificateur stratégique principal à RDDC.

Le symposium d’Ottawa, coparrainé par le VCEMD, le SCEMD et le SMA(S&T), traitera principalement des opérations réseaucentriques. S’intitulant « NEOps : s’adapter au nouvel environnement de sécurité », le symposium comportera plusieurs exposés présentés par des experts nationaux et internationaux, des débats de spécialistes ainsi que des ateliers.

Les renseignements recueillis au cours de la conférence serviront à un document de travail du MDN et des FC, qui deviendra par la suite un document de conception dont la publication est prévue au printemps de 2005. « En bref, le symposium sur les NEOps a pour but de permettre à un grand nombre de personnes de connaître les détails de ce concept et de voir comment il sera possible de l’intégrer à la transformation du MDN et des FC », a ajouté M. Bovenkamp.

Pour obtenir de plus amples renseignements, consultez le site Web de la Défense (www.forces.gc.ca).

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