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Air Force, Maple Leaf, 24 November 2004, Vol. 7 No. 39

Force aérienne, La feuille d'érable, Le 24 novembre 2004, Vol. 7 No. 39

Children of late fighter pilot receive bursary from US Marine Corps

By Capt Mary Lee

17 WING WINNIPEG — Deanne Nichols struggled to get out the words, as she stood before a small group of local Winnipeg media reporters interested to hear her story.

It is a story of courage wrought with many tears. A story that began with the tragic loss of her husband, Captain Derek Nichols, a CF fighter pilot killed when the F/A-18 Hornet he was piloting crashed on return home to Marine Corps Air Station (MCAS) Beaufort, South Carolina, June 28. A story that has now ended this past month with some degree of happiness and a sense of closure for Ms. Nichols and her sons, Bryce and Logan.

On November 3, Ms. Nichols was presented with two bursaries in the sum of $16 000 US for her boys’ education from the United States Marine Corps, where Capt Nichols spent the last three years serving on an exchange posting. Through the Marine Corps Law Enforcement Foundation, funds were raised from public donations to help Ms. Nichols get on with her life, and set the boys up financially for a strong educational future. This foundation was, in fact, developed to provide assistance to children of Marines or Federal law enforcement personnel who were killed on duty. The assistance has also been extended to foreign exchange personnel, like Capt Nichols, killed while serving with the Marine Corps.

“It’s nice to have that comfort in knowing my boys, who are so young, will have some security,” commented Ms. Nichols in a crowd gathered at the Military Family Resource Centre where the private presentation was held for her family and some colleagues from the fighter community here at 1 Canadian Air Division head-quarters.

Lieutenant-Colonel Mark Wise, Capt Nichols’ commanding officer at MCAS Beaufort, made the trip from South Carolina to personally present Ms. Nichols with the generous contribution —a gesture that evidently comforted Ms. Nichols since she had left the US following the accident to take up residence temporarily with her parents in Winnipeg.

“The military family both here and below the border have been so good to me through all this,” said Ms. Nichols. “Today has given me closure.”

Les enfants d’un pilote de chasse décédé reçoivent des boursesdu US Marine Corps

par le Capt Mary Lee

17e ESCADRE WINNIPEG — C’est avec beaucoup d’émotion que Deanne Nichols s’est adressée au petit groupe de journalistes de Winnipeg intéressés à connaître son histoire.

C’est une histoire de courage où beaucoup de larmes ont coulé. Une histoire qui débute avec le décès tragique de son mari, le Capitaine Derek Nichols, pilote de chasse des FC tué lorsque le F/A-18 Hornet qu’il pilotait s’est écrasé au retour à la Marine Corps Air Station (MCAS) Beaufort en Caroline du sud le 28 juin. Une tragédie qui cependant s’est terminée le mois dernier sur une note un peu moins triste pour Mme Nichols et ses fils, Bryce et Logan.

En effet, le 3 novembre, le United States Marine Corps – dans lequel le Capt Nichols avait servi ces trois dernières années comme stagiaire – a remis à Mme Nichols deux bourses d’études de 16 000 $ US pour ses fils. Ces fonds ont été recueillis sous l’égide de la Marine Corps Law Enforcement Foundation pour aider Mme Nichols et donner à ses fils l’occasion de poursuivre de solides études dans l’avenir. En fait, cette fondation a pour but de venir en aide aux enfants des Marines ou au personnel du Federal Law Enforcement qui perdent la vie en service. Cette aide a été étendue aux stagiaires étrangers affectés auprès du Marine Corps qui, comme le Capt Nichols, sont morts en service.

« C’est réconfortant de savoir que mes fils – ils sont si jeunes – jouissent d’une certaine sécurité financière », a affirmé Mme Nichols devant une foule réunie au Centre de ressources pour les familles des militaires du quartier général de la 1re Division aérienne du Canada où avait lieu une présentation intime organisée par la communauté des pilotes de chasse à l’intention de la famille et d’un certain nombre de collègues du disparu.

Le Lieutenant-colonel Mark Wise, commandant du Capt Nichols à la MCAS Beaufort, est venu de la Caroline du Sud pour remettre personnel- lement à Mme Nichols la généreuse contribution – geste qui a évidemment apporté réconfort à Mme Nichols qui, depuis son retour des États-Unis, a élu temporairement domicile chez ses parents à Winnipeg.

« La communauté militaire tant ici qu’aux États-Unis m’a apporté un grand réconfort dans cette épreuve », a indiqué Mme Nichols. « Maintenant je peux vivre mon deuil. »

Search for missing fisherman ends on Vancouver Island

By Capt Cheryl Robinson

19 WING COMOX — A Buffalo aircraft and Cormorant helicopter from 442 Transport and Rescue Squadron participated in the search for a missing fisherman off the west coast of Vancouver Island, near Cape Beale in mid-November. Despite almost 24 hours of intense searching by search and rescue crews along the coastline, the fate of the fisherman remains unknown.

The Joint Rescue Coordination Centre launched the 442 (T&R) Sqn Buffalo and Cormorant on November 7, following a distress call from the fisherman that came in at approximately 6:30 p.m. The fisherman radioed that he had run aground on a rock and his vessel was taking on water. The Buffalo and Cormorant joined Coast Guard vessels and an American Coast Guard helicopter in the search.

“Sunday night was dark, with poor visibility,” said Capt Hayward Keats, Buffalo pilot. “We could not descend due to low-ceiling and heavy rains, so we stayed at altitude above the clouds and dropped flares to provide illumination for the Coast Guard vessels and the Cormorant to search the coastline and waters around the wreckage.”

The fisherman was not located and the search continued Monday, November 8, where crews were again hampered by bad weather.

“We were flying in low-ceilings with rain,” said Capt Bob Evans, Buffalo pilot “However, we were able to conduct a thorough search of the primary search area, which consisted of flying 500 feet above water, up and down the shoreline and surrounding area. All search and rescue assets worked closely together to search the area.”

“Due to the poor weather conditions that had previously hampered searchers Sunday night and early Monday morning, we were tasked to complete a search of the area near where the vessel had sunk, including the surrounding islands,” said Capt Grant Blair, Cormorant aircraft commander. “Weather conditions during our search had improved from earlier, which allowed us to complete a thorough search of the area. Unfortunately we were unable to locate the missing person.”

Multiple resources continued the search, as Coast Guard vessels and divers searched the water, and RCMP with tracking dog and Parks Canada personnel conducted a ground search in the area until last light. The case is now being handled by the RCMP as a missing persons case.

La recherche d’un pêcheur disparu se termine sur l’île de Vancouver

par le Capt Cheryl Robinson

19e ESCADRE COMOX — Un aéronef Buffalo et un hélicoptère Cormorant du 442e Escadron de transport et de sauvetage (442 ETS) ont pris part aux recherches d’un pêcheur disparu au large de la côte ouest de l’île de Vancouver, près de Cap Beale à la mi-novembre. Malgré presque 24 heures d’intenses recherches menées par les équipes de recherche et de sauvetage le long de la côte, le pêcheur n’a pu être retrouvé.

C’est à la suite d’un appel de détresse reçu d’un pêcheur vers 18 h 30, le 7 novembre, que le Centre conjoint de coordination des opérations de sauvetage a envoyé le Buffalo et le Cormorant du 442 ETS. Dans son message radio, le pêcheur disait qu’il s’était échoué sur un rocher et que son navire prenait l’eau. Le Buffalo et le Cormorant ont donc prêté main-forte aux navires de la Garde côtière et à un hélicoptère de la Garde côtière américaine.

« Dans la nuit de dimanche le ciel était couvert et la visibilité mauvaise », a précisé le Capitaine Hayward Keats, pilote du Buffalo. « Nous ne pouvions pas descendre, car le plafond était bas et il pleuvait intensément. Nous sommes donc restés au-dessus des nuages et nous avons lancé des fusées éclairantes pour aider les navires de la Garde côtière et le Cormorant à chercher le long de la côte et dans les eaux où le bateau s’est échoué. »

Le pêcheur n’ayant pas été retrouvé, on a poursuivi les recherches le lundi 8 novembre, mais le mauvais temps persistait.

« Nous volions par plafond bas et il pleuvait », a précisé le Capt Bob Evans, pilote du Buffalo. « Toutefois, nous avons pu mener des recherches méthodiques dans le premier secteur de recherches; nous volions alors à 500 pieds d’altitude au-dessus de l’eau le long de la côte et du secteur avoisinant. Toutes les ressources de recherche et sauvetage ont ratissé le secteur en étroite collaboration. »

« En raison des piètres conditions météorologiques qui avaient nui aux chercheurs dans la nuit de dimanche et tôt le lundi matin, nous avions reçu pour tâche de mener des recherches dans le secteur près de l’endroit où le bateau avait coulé, y compris les îles avoisi-nantes », a indiqué le Capt Grant Blair, commandant du Cormorant. « Les conditions météorologiques s’étant améliorées pendant nos recherches, nous avons pu passer le secteur au peigne fin sans réussir, malheureusement, à localiser le disparu. »

De nombreuses ressources ont poursuivi les recherches jusqu’aux dernières lueurs. Les navires de la Garde côtière et les plongeurs ont scruté les eaux alors que la GRC accompagnée de chiens de piste et le personnel de Parcs Canada menaient des recherches au sol. Sans résultat. Il s’agit maintenant d’un cas de personne disparue pris en charge par la GRC.

Row, row, row your heart

By Holly Bridges and Capt Claude Caron

8 WING TRENTON — Lieutenant-Colonel Bob Blair knows a thing or two about fitness.

In fact, the senior staff officer of the Contingency Capability Centre at 8 Wing Trenton, has just received the Bronze Seal to the second level of the Canadian Forces Physical Fitness Award for Aerobic Excellence. The 56-year-old logistics officer has now accumulated 20 000 points—the aerobic equivalent of jogging 20 000 kilometres!

“For me, fitness is a way of life,” says LCol Blair. “I have lived my whole life playing sports—basketball, hockey, cross-country skiing, skating, walking, aerobics. Right now, I’m really into stationary rowing.”

At a time when the Chief of the Air Staff, Lieutenant-General Ken Pennie, is encouraging a higher level of physical fitness among Air Force personnel to make them more expeditionary and deployable, LCol Blair knows his achievements may set an example for those members who need that extra push.

“If members see a senior guy working out they might find it motivating. We can all inspire each other.”

This past September, the Air Board Executive Committee identified the need to examine the current Air Force physical fitness program with the aim of ensuring that it will help meet future commitments and challenges.

“I know the Air Force has had some challenges over the past couple of years on overseas deployments with some members being sent back because they were too out of shape to handle the austere environments. I think the Air Force is asking itself, ‘Is the express test good enough to test people for overseas deployments’ or do we need something more like the battle fitness test that the Army has?”

Regardless of what the future holds for the fitness level of Air Force personnel, LCol Blair plans to keep on trucking, or rowing, as the case may be!

“For me, fitness and a clear mind go hand in hand.”

Ramer, c’est bon pour la santé!

par Holly Bridges et le Capt Claude Caron

8e ESCADRE TRENTON — Le Lieutenant-colonel Bob Blair en sait long sur le conditionnement physique.

En effet, cet officier supérieur d’état-major du Centre de gestion de l’élément de contingence, à la 8e Escadre Trenton, vient de recevoir le sceau de bronze niveau II du Certificat d’excellence en aptitude physique des Forces canadiennes. Cet officier de la logistique âgé de 56 ans a accumulé 20 000 points jusqu’à présent, soit l’équivalent aérobique d’une course à pied de 20 000 km!

« Pour moi, le conditionnement physique est un mode de vie », a expliqué le Lcol Blair. « J’ai toujours pratiqué des sports comme le basket-ball, le hockey, le ski de fond, le patin, la marche et les exercices aérobiques. En ce moment, j’aime bien l’aviron stationnaire. »

À un moment où le chef d’état-major de la Force aérienne, le Lieutenant-général Ken Pennie, encourage une meilleure condition physique chez les membres de la Force aérienne pour qu’ils soient davantage mobiles et déployables, le Lcol Blair sait que ses réalisations peuvent donner l’exemple aux militaires qui ont besoin d’un incitatif.

« Si les militaires voient un homme plus âgé en train de s’entraîner, ils y trouveront peut-être une source de motivation. Nous pouvons tous nous inspirer les uns les autres. »

En septembre dernier, le Comité exécutif de la Force aérienne a déterminé qu’il fallait examiner le programme actuel de conditionnement physique de la Force aérienne pour s’assurer qu’il permet de respecter les engagements et de relever les défis à venir.

« Je sais que la Force aérienne a dû affronter quelques défis au cours des dernières années lorsque des militaires participant à des déploiements à l’étranger ont été renvoyés parce qu’ils n’étaient pas assez en forme pour composer avec les milieux austères. Je crois que la Force aérienne se demande si le test express est assez bon pour évaluer des militaires en vue d’un déploiement à l’étranger ou si elle a besoin d’un programme comme le test d’aptitude physique au combat que l’Armée utilise. »

Peu importe ce que sera le niveau de conditionnement physique du personnel de la Force aérienne, le Lcol Blair prévoit continuer à maintenir son rythme, que ce soit en marchant ou en ramant!

« Selon moi, la condition physique et un esprit sain vont de pair. »

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