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Navy, Maple Leaf, 08 December 2004, Vol. 7 No. 41

Marine , La feuille d'érable, Le 08 décembre 2004, Vol. 7 No. 41

An investment inour country

By Naomi Belleau

Nine Halifax-based warships participated in Combat Readiness Operations (CRO), an allied naval forces exercise involving 21 warships and aircraft, November 7 to 26, near the Virginia Capes naval operations areas.

While deployed, the Canadian Naval Task Group operated under the command of Commodore Tyrone Pile, commander of Canadian Fleet Atlantic, from the flagship HMCS ATHABASKAN.

“It’s an investment in our country,” stated Cmdre Pile of the large scale exercise involving Canada, the US and NATO Response Force Maritime (NRF(M)). “It’s an insurance policy for our way of life.”

The ships sailed in two groups: HMCS GLACE BAY, KINGSTON, MONCTON, SHAWINIGAN and GOOSE BAY left Halifax on November 1, while HMCS ATHABASKAN, TORONTO, ST. JOHN’S and HALIFAX departed on November 7.

“The primary focus of being out here is to regenerate capability in the Navy, to sustain that capability, to provide our sailors with an opportunity to train, to learn, and to become proficient at the skills that they are going to need in times of crisis,” explained Cmdre Pile.

During CRO the ships encountered a wide variety of scenarios that tested communications, information management, seamanship and tactical warfare skills. The exercise also stressed the ability of the Canadian Navy to integrate with coalition forces.

The situations encountered by sailors were realistic and involved life and death decisions. Sailors were tasked to refuel in the open ocean, which is a complex procedure. They were also required to test the communications systems in the midst of an attack. The boarding party was also put to the test when they were armed and sent to investigate a suspect ship.

Cmdre Pile stressed the fact that these operations are necessary in ensuring the safety of our country and that Canadians need to place a greater importance on coastal sovereignty and defence issues.

“World events can shift focus from one part of the world to the next, they can shift so suddenly that one day Canadians are relatively oblivious to what’s going on in another part of the world, to the next day where all of a sudden it affects what we do,” said Cmdre Pile. “We need to get engaged and deal with that.”

Un investissement pour notre pays

par Naomi Belleau

Du 7 au 26 novembre, les équipages de neuf navires de guerre basés à Halifax ont participé à des opérations de préparation au combat (OPC), un exercice des forces navales alliées mettant en cause 21 navires de guerre et aéronefs près des secteurs d’opérations navales de Virginia Capes.

Durant le déploiement, le Groupe opérationnel naval canadien était sous le commandement du Commodore Tyrone Pile, commandant de la Flotte canadienne de l’Atlantique, à partir du navire amiral NCSM ATHABASKAN.

« C’est un investissement important pour notre pays », a déclaré le Cmdre Pile au sujet de l’exercice de grande envergure auquel ont participé le Canada, les États-Unis et la Force de réaction de l’OTAN – Maritime. « C’est une police d’assurance pour notre style de vie. »

Les navires ont manœuvré en deux groupes : les NCSM GLACE BAY, KINGSTON, MONCTON, SHAWINIGAN et GOOSE BAY ont quitté Halifax le 1er novembre, tandis que les NCSM ATHABASKAN, TORONTO, ST. JOHN’S et HALIFAX sont partis le 7 novembre.

« Le but premier de notre présence ici consiste à mettre sur pied, pour la Marine, une capacité soutenable, à fournir à nos marins l’occasion de s’entraîner, d’apprendre et de perfectionner les compétences dont ils auront besoin en situation de crise », a expliqué le Cmdre Pile.

Durant les OPC, les navires ont été exposés à divers scénarios mettant à l’épreuve les compétences en communications, en gestion de l’information, en matelotage et en guerre tactique. L’exercice mettait aussi en valeur la capacité de la Marine canadienne de s’intégrer à des forces de coalition.

Les situations vécues par les marins étaient réalistes et nécessitaient des décisions de vie ou de mort. On a demandé aux marins de se ravitailler en pleine mer, ce qui est une manœuvre complexe. Ils devaient également tester les systèmes de communications au cours d’une attaque. L’équipe d’arraisonnement a elle aussi été mise à l’épreuve lorsque ses membres ont été armés et envoyés pour vérifier un navire suspect.

Le Cmdre Pile souligne que ces opérations sont essentielles pour assurer la sécurité de notre pays et que les Canadiens doivent accorder une plus grande importance aux questions de souveraineté et de défense côtières.

« Les événements mondiaux peuvent faire déplacer l’attention d’une partie à l’autre du monde si soudainement qu’une journée, les Canadiens sont relativement inconscients de ce qui se passe dans une autre partie du monde et le lendemain, ce qui s’y passe a tout à coup un effet sur ce qu’ils font », a indiqué le Cmdre Pile. « Nous devons alors nous impliquer et composer avec cette situation. »

Canadian Navy’s first female commanding officer wins award

By Virginia Beaton

The Women’s Executive Network has named Lieutenant-Commander Marta Mulkins, commander of HMCS KINGSTON, as a winner of a 2004 Canada’s Most Powerful Women: Top 100 award.

LCdr Mulkins has been selected in the trailblazer category for her achievements in the Navy. In July 2003, she became the first woman to command a Canadian Navy ship, the Maritime Coastal Defence Vessel (MCDV) HMCS KINGSTON.

“It was a big honour to be recognized with this award,” says LCdr Mulkins. The award came as a surprise to her, and says that she was not even aware she had been nominated. She learned about her success in a letter she received right before the Thanksgiving weekend, when KINGSTON returned from a fisheries patrol. It was the first piece of mail she saw when they got back.

Developed by the Women’s Executive Network, the Top 100 Awards program identifies women of achievement in many categories, including corporate executives, entrepreneurs and public sector leaders. Recipients in 2003 included Louise Arbour, then the Justice of the Supreme Court of Canada; Carole Taylor, chair of the Canadian Broadcasting Corporation, and Dr. Noni MacDonald, Dean of the Faculty of Medicine at Dalhousie University.

LCdr Mulkins is not certain how her name came before the committee, but she thinks that it may be connected to an article that the Toronto Star published in July 2004, when KINGSTON visited the city. “We got some publicity for that,” she recalls.

KINGSTON had a high profile during the summer of 2004 as a result of a deployment to Lake Ontario, where the MCDV participated in the search for some models of the Avro Arrow that were reputed to be sunk at the bottom of the lake.

When she took on the role as KINGSTON’s commanding officer in July 2003, LCdr Mulkins received leave from her civilian profession as a landscape artist with Public Works and Government Services Canada, where she works in urban design and landscape architecture.

Since that time, LCdr Mulkins and the ship’s company have had many taskings, she notes. “We were at sea for 190 days in 2003. In 2004 it wasn’t quite as many days, but we’ve still been very busy. It’s been an action-packed time.”

LCdr Mulkins was present for the award ceremony in Toronto on November 10. To do so, she was briefly absent from KINGSTON, which was at sea participating in a large-scale combat readiness exercise, taking place along the Atlantic Seaboard off Norfolk, Virginia.

Ms. Beaton is a reporter for the Trident Newspaper.

La première femme commandantde la Marine canadienne honorée

par Virginia Beaton

Le Women’s Executive Network a désigné le Capitaine de corvette Marta Mulkins, commandant du NCSM KINGSTON, comme l’une des 100 femmes les plus influentes au Canada en 2004.

Le Captc Mulkins a été choisie dans la catégorie des pionnières (Trailblazer) pour ses réalisations au sein de la Marine. En juillet 2003, elle est devenue la première femme à commander un vaisseau de la Marine canadienne, le navire de défense côtière NCSM KINGSTON.

« C’est un grand honneur que d’être reconnue grâce à ce prix », a affirmé le Captc Mulkins. Ce fut une surprise pour elle, qui mentionne qu’elle n’était même pas au courant de sa mise en candidature. Elle a su qu’elle avait remporté ce prix par l’entremise d’une lettre reçue tout juste avant la fin de semaine de l’Action de grâce alors que le KINGSTON revenait d’une patrouille de surveillance des pêches. C’est la première enveloppe qu’elle a aperçue à son retour.

Créé par le Women’s Executive Network, le programme Top 100 Awards reconnaît des femmes qui ont réussi dans bien des catégories : les cadres d’entreprises, les femmes entrepreneurs et les chefs du secteur public. Parmi les lauréates de 2003, on note Louise Arbour, qui était alors juge à la Cour suprême du Canada, Carole Taylor, présidente de la CBC, et le Dr Noni MacDonald, doyenne de la faculté de médecine de l’Université Dalhousie.

Le Captc Mulkins ne sait pas avec certitude comment son nom a abouti devant le comité, mais elle croit que cela peut venir d’un article publié dans le Toronto Star, en juillet 2004, lorsque le KINGSTON a visité la ville. « Ça nous a fait une certaine publicité. »

À l’été 2004, le KINGSTON s’est fait remarquer lors d’un déploiement au lac Ontario, où l’équipage du navire a participé aux recherches de certains modèles d’aéronefs Avro Arrow qui auraient coulé au fond du lac.

Lorsqu’elle a assumé les fonctions de commandant du KINGSTON, en juillet 2003, le Captc Mulkins a obtenu un congé de son travail civil à Travaux publics et Services gouvernementaux Canada, où elle travaille en aménagement urbain et paysager.

Depuis, comme le souligne le Captc Mulkins, elle et l’équipage du navire ont été déployés à maintes reprises. « Nous avons été 190 jours en mer en 2003. En 2004, ce fut un peu moins, mais nous avons quand même été très occupés. L’année a été très mouvementée. »

Le Captc Mulkins était présente lors de la cérémonie de remise des prix qui s’est tenue à Toronto le 10 novembre. Pour l’occasion, elle s’est brièvement absentée du KINGSTON, qui était en mer dans le cadre d’un exercice de préparation au combat à grande échelle qui avait lieu sur la côte de l’Atlantique, au large de Norfolk (Virginie).

Mme Beaton est reporter au journal Trident.

Leadership development training weekend

By PO 2 Tim O’Brien

At 11:30 p.m. on October 1, a report of two overdue joggers arrived at HMCS SCOTIAN. Immediately, two search and rescue (SAR) teams deployed to Halifax’s south end to search Point Pleasant Park. With the effects of the front edge of a hurricane already being felt, time was of the essence as winds were scheduled to pick up to 270 km/h by 2 a.m.

This was the scenario presented to 48 naval Reservists earlier this fall. Based on experiences and lessons learned during Hurricane Juan last year, HMCS SCOTIAN jumped into the training year with its second annual Trade and Leadership Development Training Exercise. Conducted during the first weekend in October, this exercise was the culmination of planning started over the summer by Lieutenant(N) Kyle Penney, SCOTIAN’s deputy operations officer.

“Last year’s Leadership Exercise at Hartland Point focused on basic leadership techniques as taught during professional leadership qualification and officer basic training. We wanted to increase the intensity and realism this year, and expanded the exercise to include night operations and difficult terrain. We also wanted to incorporate obstacles encountered during last year’s storms,” explained Lt(N) Penney.

Designed to further the Naval Reserve’s mission statement to support the Regular Force, the crew of Kingston Class vessels, naval cooperation and guidance to shipping (NCAGS) and Port Security Units, the exercise developed individual leadership, trade skills and teamwork abilities for participating personnel. It was also an opportunity to enhance unit morale and cohesiveness. Other Naval Reserve divisions use similar scenario-based training in order to have all of their departments work together to achieve an objective that goes beyond the usual weekly trade-specific training.

During the day and a half of training, two teams of 20 personnel simulated support of domestic operations, experienced leadership opportunities beyond their usual trade and rank levels, and utilized a variety of military assets such as rigid hull inflatable boats (RHIBs), portable communication and first aid evacuation equipment. The practical training session followed two nights of lectures on subjects such as small party tasking, principles of leadership, map and compass work, various search methods, communications and casualty evacuation. The teams gathered at HMCS SCOTIAN, established a base of operations, constructed a make-shift barracks and drew individual equipment. Team leaders were briefed on their missions and were left to plan and execute.

To allow for broader experience, leadership positions were rotated by the directing staff, whose jobs included: monitoring progress, acting as safety numbers, and debriefing individuals on completion of their missions. The first missions finished at 3 a.m. and all members returned to the unit for a few hours of rest before their 6 a.m. start time the next morning.

Awaking to a simulated power failure, individuals were provided with several challenges. Not the least of which was how the cooks would prepare breakfast for almost 50 people.

Redeployment to McNab’s Island by RHIB followed, as did the most challenging portion of the exercise: searching the forested island for two simulated helicopter crash sites and erecting temporary shelters for the casualties. The island was an ideal training environment because its 462 hectares included overgrown roads and coastal gunnery emplacements, as well as nearly impassable storm-damaged thickets. These conditions made it difficult to manoeuvre and slowed search efforts. By early afternoon, both sites had been located, casualties treated and evacuated and all parties were ready to return to the unit.

Waiting for the return of the boats, several junior members noted this was the most fun and challenging event they had experienced in their careers. Others remarked that the challenging nature of the terrain raised the difficulty and danger levels to a degree of realism rarely encountered in Reserve training.

In all, the success of this year’s training weekend can be attributed to the hard work and innovative spirit of all SCOTIANs. Captain(N) Craig Walkington, commanding officer of the unit, said he was proud of all who participated and was very pleased all training outcomes were met.

Plans have already begun for a third serial, which may occur as early as spring 2005. Judging from reactions to this event, participation in the next leadership training weekend will be higher than ever.

PO 2 O’Brien is with HMCS SCOTIAN.

Une fin de semaine d’entraînement consacrée au leadership

par le M 2 Tim O’Brien

À 23 h 30, le 1er octobre, un rapport concernant deux joggeurs portés disparus arrive au NCSM SCOTIAN. Deux équipes de recherche et sauvetage (SAR) sont immédiatement dépêchées dans le sud de Halifax pour passer au crible le parc Point Pleasant. Les signes précurseurs de l’approche d’un ouragan étant déjà manifestes, le temps presse, surtout que l’on prévoit des rafales pouvant atteindre 270 km/h avant 14 h.

C’était le scénario qu’on a présenté plus tôt cet automne à 48 membres de la Réserve navale. Fort des leçons retenues et de l’expérience acquise l’an dernier lors de l’ouragan Juan, les membres du NCSM SCOTIAN ont entamé leur année d’entraînement avec le deuxième exercice annuel portant sur le perfectionnement professionnel et le leadership. Tenu durant la première fin de semaine d’octobre, cet exercice était le point culminant d’une planification entamée au cours de l’été par le Lieutenant de vaisseau Kyle Penney, officier des opérations adjoint du NCSM SCOTIAN.

« L’an dernier, l’exercice du leadership qui s’est déroulé à Hartland Point portait surtout sur les techniques de base du leadership enseignées dans le cadre du cours de qualification élémentaire en leadership et de l’instruction élémentaire des officiers. Cette année, nous voulions rendre l’exercice plus intense et plus réel en y incluant des missions de nuit, des terrains difficiles et des obstacles semblables à ceux auxquels nous nous étions heurtés durant la tempête de l’an dernier », a expliqué le Ltv Penney.

Conçu afin de promouvoir l’énoncé de mission de la Réserve navale, qui consiste à appuyer la Force régulière, l’équipage des navires de classe Kingston, la coopération et orientation navales pour la navigation commerciale (NCAGS) et les unités de sécurité portuaire, l’exercice a permis aux participants de perfectionner leurs compétences en leadership, leurs compétences professionnelles ainsi que leur capacité de travailler en équipe. Il a également renforcé le moral et la cohésion au sein de l’unité. D’autres divisions de la Réserve navale ont recours au même genre d’entraînement fondé sur des scénarios pour pousser tous leurs services à collaborer à l’atteinte d’un objectif qui ne s’inscrit pas dans l’entraînement hebdomadaire habituel propre à un groupe professionnel.

Pendant l’entraînement d’un jour et demi, deux équipes de 20 personnes ont soutenu des opérations nationales simulées, ont eu l’occasion d’exercer un leadership au-delà de leur groupe professionnel et de leur grade et ont utilisé divers biens militaires comme les canots pneumatiques à coque rigide, l’équipement de communication portatif et le nécessaire d’évacuation et de premiers soins. L’entraînement pratique a eu lieu après deux cours en soirée qui portaient sur des sujets tels les missions en petites équipes, les principes du leadership, les exercices avec carte et compas, les diverses méthodes de recherche, la communication et l’évacuation des victimes. Les équipes se sont réunies à bord du NCSM SCOTIAN, ont établi une base d’opérations, ont construit des casernes de fortune et ont obtenu leur équipement personnel. On a mis les chefs d’équipe au courant de leurs missions et on leur a demandé d’élaborer un plan et de le mettre à exécution.

Afin de permettre aux participants d’acquérir une expérience plus vaste, l’état-major de l’exercice a fait en sorte que ces derniers se succèdent aux postes de leadership et exécutent les fonctions qui s’y rattachaient comme la surveillance de l’évolution de la mission, l’assurance de la sécurité et la présentation de comptes rendus au terme des missions. Les premières missions ont pris fin à 3 h, et tous les militaires sont retournés à leur unité pour dormir quelques heures avant le début d’une nouvelle journée d’entraînement, à 6 h.

Les participants ont été tirés de leur sommeil le lendemain matin par une panne de courant simulée. Ils devaient relever plusieurs défis de taille dont la préparation d’un petit déjeuner pour 50 personnes.

Les équipes ont été ensuite redéployées à l’île McNabs à bord des canots pneumatiques. Il s’agissait de l’étape la plus difficile de l’exercice. Il fallait fouiller la forêt de l’île à la recherche de deux écrasements d’hélicoptères simulés et construire des abris temporaires pour les victimes. Endroit idéal pour cet entraînement, l’île compte une superficie de 462 hectares et comprend des terrains en friche, des emplacements côtiers pour les exercices de tir au canon ainsi que des fourrés presque infranchissables que la tempête a endommagés. Ces conditions compliquaient le travail des équipes et ralentissaient les recherches. Au début de l’après-midi, les deux sites avaient été trouvés, les victimes soignées et évacuées, et tous les militaires étaient prêts à regagner leur unité.

En attendant le retour des canots, plusieurs militaires subalternes ont remarqué que, de tous les exercices auxquels ils avaient participé durant leur carrière, celui-là était le plus amusant et le plus stimulant. D’autres ont souligné qu’en raison des terrains difficiles, la complexité et le danger ont atteint un niveau de réalisme rarement vu dans l’entraînement des réservistes.

Somme toute, le succès de la fin de semaine de formation de cette année peut être attribué au travail acharné et à l’esprit innovateur de tous les membres du NCSM SCOTIAN. Le Capitaine de vaisseau Craig Walkington, commandant de l’unité, est fier de tous ceux qui ont participé et très heureux de voir que tous les objectifs de l’entraînement ont été atteints.

On prévoit déjà mettre au point une troisième série, qui pourrait débuter dès le printemps 2005. À en juger par les réactions suscitées par cet exercice, la participation à la prochaine fin de semaine d’entraînement en leadership atteindra un niveau sans précédent.

Le M 2 O’Brien travaille à bord du NCSM SCOTIAN.

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