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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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Pages 14 - 16, Maple Leaf, Maple Leaf, 12 January 2005, Vol. 8 No. 2

pages 14 - 16, La feuille d'érable, le 12 janvier 2005, vol. 8 no 2

Fourth Dimension

By Charmion Chaplin-Thomas

January 19, 1919

In Nijni Gora, a village upstream of Shenkursk on the Vaga River, Lieutenant Harry H. Mead of Company A, 339th Infantry Battalion, US Army, awakes to artillery rounds thumping in unpleasantly close to the log cabin he shares with his platoon. The temperature is -45o F, quite normal for sub-Arctic Russia, and the countryside lies under three feet of new snow. The shelling develops into an intense barrage so, when dawn finally arrives, Lt Mead takes his field glasses to the bank of the frozen Vaga, where he can observe the plain on the other side, all the way to the edge of the forest. At the tree-line he sees infantry wading slowly through the fresh powder. They are the assault companies of the Red Army, beginning the operation that will envelop Shenkursk, the forward position of the North Russia Expeditionary Force. Realizing that Nijni Gora is as good as lost, Lt Mead and his men slip away, heading for Shenkursk.

Shenkursk is a charming provincial city currently garrisoned by a multinational task force that comprises a section of the 68th Battery, Canadian Field Artillery, a large, well-equipped British-American hospital and a substantial White Russian force including artillery and Cossack cavalry, as well as Company A and Company C of the 339th Infantry Battalion. From its headquarters at Archangel, on the coast, the NREF is strung out in defensive positions along the railway and the Dvina and Vaga rivers. Under its British commanding officer, Major-General Sir Edmund Ironside, its mission is to recruit and train local men to fight the growing and increasingly successful Red Army of the Bolshevik revolutionary government. The Canadian contingent is the 16th Brigade, Canadian Field Artillery (Colonel C.H.L. Sharman), a remarkably successful unit, considering the harsh conditions, the futility of their mandate, and the soldiers’ intense desire to go home.

As the Soviet attack on Shenkursk and its neighbouring villages develops, the platoons of Company A fall back with their supporting Cossack cavalry toward the city, where the garrison commander is organizing a fighting retreat to the north. In the early hours of January 24, Lt Mead’s platoon passes through Bolshevik lines and arrives in Spasskoe, a town perched on a bluff above the river, where they meet Captain O.A. Mowat of the 68th Battery, just in from Shenkursk with a sleigh-load of shells and an 18-pounder gun. At 7 a.m., a Cossack reconnaissance patrol arrives with a report of thousands of Soviet troops moving toward Shenkursk, so Lt Mead and Capt Mowat climb into the belfry of the village church with their field glasses. For once, the Cossacks are not exaggerating: the roads heading into town are full of long columns of artillery and infantry and the plain below the bluff is swarming with Soviet soldiers.

Lt Mead’s company commander, Capt Otto Odjard, establishes a skirmish line on the edge of the bluff, and the Canadians dig in their 18-pounder across the road from the church. Bellowing at the top of his lungs, Capt Mowat acts as forward observer, directing their fire from the belfry. Oddly, the Soviet commander does not order an infantry assault; either he considers it unnecessary, or perhaps his soldiers would rather not charge the Canadians, who have a vicious reputation for mowing down infantry with shrapnel. The Americans dig in among the graves in the churchyard as Soviet shells strike closer and closer to their aiming point, the church tower, until an airburst right beside the belfry sends a hunk of shrapnel clanging off one of the bells. In the momentary silence that follows, Capt Mowat sings out, like the barker at a country fair, “One cigar!”, and the soldiers on the skirmish line collapse in giggles.

A few hours later, Capt Mowat is strolling across the road from the churchyard to the gun position when he is cut down by a Soviet shell. The gunners pack him into a sleigh for the four-mile trip to Shenkursk, and the American soldiers hear his voice again: “Tell the captain I couldn’t wait.” He is dead on arrival. Eventually Spasskoe, too, is abandoned to its fate, as is Shenkursk in its turn.

Quatrième dimension

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 19 janvier 1919

À Nijni Gora, un village en amont de Chenkoursk sur la rivière Vagaï, le Lieutenant Harry H. Mead de la Compagnie A du 339e Bataillon d’infanterie de l’Armée de terre américaine se réveille au son des projectiles d’artillerie qui tombent lourdement et désagréablement à proximité de la cabane en bois rond qu’il partage avec son peloton. La température est de -45 oF, ce qui est tout à fait normal pour la zone subarctique de la Russie, et les champs sont couverts de trois pieds de neige fraîche. Le pilonnage augmente et se transforme en un intense barrage. Lorsque l’aube paraît enfin, le Lt Mead se rend alors sur la berge de la Vagaï gelée, où il peut observer, à l’aide de ses jumelles de campagne, la plaine qui s’étend de l’autre côté de la rivière jusqu’à la lisière de la forêt. À la limite des arbres, il aperçoit des compagnies d’infanterie se frayer lentement un chemin dans la neige poudreuse. Il s’agit de compagnies d’assaut de l’Armée rouge qui entament l’opération qui encerclera Chenkoursk, la position avancée du Corps expéditionnaire du Nord de la Russie (CENR). Constatant que Nijni Gora est pour ainsi dire perdu, le Lt Mead et ses hommes se retirent en direction de Chenkoursk.

Chenkoursk est une charmante ville de province où est installée une force opérationnelle multinationale qui comprend une partie de la 68e Batterie de l’artillerie canadienne de campagne, un large hôpital britanico-américain bien équipé, une importante force biélorusse, notamment des fantassins et des cavaliers cosaques, ainsi que les compagnies A et C du 339e Bataillon d’infanterie. À partir de son quartier général à Arkhangelsk, sur la côte, le CENR a établi des postes défensifs le long du chemin de fer et des rivières Dvina et Vagaï. Le CENR, qui est sous le commandement d’un officier britannique, le Major-général Sir Edmund Ironside, a pour mission de recruter et d’entraîner des personnes de la région afin qu’ils combattent l’Armée rouge du gouvernement révolutionnaire bolchevique, armée dont la taille s’accroît et qui a de plus en plus de succès. La 16e Brigade de l’artillerie canadienne de campagne (Colonel C.H.L. Sharman) constitue le contingent du Canada. Il s’agit d’une unité qui connaît un succès remarquable, compte tenu des conditions difficiles, de la futilité de son mandat et du désir intense de ses soldats de retourner au pays.

À mesure que s’intensifie l’attaque des Soviétiques menée contre Chenkoursk et les villages voisins, les pelotons de la Compagnie A se retirent auprès de la cavalerie cosaque de soutien, en direction de la ville, où le commandant de la garnison organise une retraite combattante vers le nord. Aux premières heures du 24 janvier, le peloton du Lt Mead traverse les lignes bolcheviques et arrive à Spasskoe, une ville perchée sur une falaise surplombant la rivière. Il y rencontre le Capitaine O.A. Mowat de la 68e Batterie, qui vient d’arriver de Chenkoursk avec un traîneau chargé d’obus et un canon de 18 livres. À 7 h, une patrouille de reconnaissance cosaque arrive et rapporte que des milliers de troupes soviétiques se dirigent vers Chenkoursk. Le Lt Mead et le Capt Mowat montent dans le clocher de l’église du village en apportant leurs jumelles de campagne. Pour une fois, les Cosaques n’exagèrent pas : les routes menant à la ville sont effectivement remplies de longues colonnes d’artillerie et d’infanterie, et la plaine au pied de falaise grouille de soldats soviétiques.

Le commandant de la compagnie du Lt Mead, le Capt Otto Odjard, établit une ligne d’escarmouche sur le bord de la falaise, et les Canadiens installent leur canon de 18 livres vis-à-vis de l’église, de l’autre côté de la route. Le Capt Mowat, qui crie à pleins poumons, joue le rôle d’observateur avancé et dirige le feu à partir du clocher. Curieusement, le commandant soviétique n’ordonne pas d’assaut d’infanterie. Peut-être qu’il trouve cela inutile ou que ses soldats préfèrent ne pas attaquer les Canadiens qui ont la réputation de faucher vicieusement les fantassins à l’aide de shrapnels. Les Américains creusent entre les pierres tombales du cimetière tandis que les obus des Soviétiques tombent de plus en plus près de leur point de visée, la tour de l’église, et ce, jusqu’à ce qu’une explosion aérienne tout près du clocher lance un fragment de shrapnel qui frappe bruyamment l’une des cloches. Après le moment de silence qui suit, le Capt Mowat crie très fort comme l’aboyeur d’une foire agricole : « Un cigare! », et les soldats sur la ligne d’escarmouche se tordent de rire.

Quelques heures plus tard, le Capt Mowat, qui se dirige sans se presser de la cours de l’église vers la position du canon, se fait abattre par un obus soviétique en traversant la route. Les canonniers le place sur un traîneau pour le voyage de quatre milles jusqu’à Chenkoursk, et les soldats américains entendent sa voix encore une fois : « Dites au capitaine que je ne pouvais pas attendre. ». Il est mort à son arrivée. Ultimement, Spasskoe aussi est abandonnée à son sort, tout comme le sera Chenkoursk à son tour.

A hidden treasure—Your MFRC employment assistance co-ordinator

By CWO Laurie Kozun

As part of the Air Force Retention Office, my team and I often find that when we begin to delve into any one area that affects the career decisions of Air Force members, we need to educate ourselves fully on current policy and practice. Such was the case when we began to focus on the impact frequent moves have on the careers of military spouses, or more to the point, what kind of assistance is out there for them. It was easy enough to find the policy: a basic model of services is contained in the Director Military Family Services publication entitled MFSP: Parameter for Practice. This publication provides a list of services that the Employment Assistance (EA) co-ordinators will use to build a program.

In a location such as the National Capital Region, where job and learning opportunities are plentiful, the work of the EA co-ordinator may seem simple. But it does have its challenges. Rob Degagne, MFRC Ottawa, lists assistance with résumé writing and one-on-one support as the most frequently used services. Mr. Degagne is facilitating one of the more successful approaches to a job search: networking, bringing together employers and successful job seekers with those still looking to establish contacts, learn from others and fuel the motivation.

Recertification of credentials lost when crossing inter-provincial borders is a huge frustration. Careers in education and health are notorious for this. Manon Lachance, MFRC Trenton, has been able to provide her clients assistance in recapturing their professional standing.

John Chabih of the Winnipeg MFRC, has established numerous connections in the Winnipeg area, and has been able to augment his basic program with some creative partnerships such as active liaison with local employers, and reduced rates at nearby learning institutions. Mr. Chabih has a passion for the service he provides, which is evident when speaking of the lobbying he has done to change the Employment Insurance (EI) Regulations as applied to military spouses. “Those in prison have their EI benefits frozen,” says Mr. Chabih, “yet military spouses who must spend time in Europe do not.”

At the Greenwood MFRC, Kathy Bruens finds the limited employment opportunities in the Annapolis Valley means she must often help spouses “reinvent themselves”. Helping someone define their interests and abilities, then developing a career plan, which could include upgrading their education or just polishing comm- unication skills, can help their client stay motivated and ready, should an opportunity arise.

Caterina Perry of the Cold Lake MFRC, also deals with the challenge of limited employment opportunities. She has put in place numerous initiatives to both increase awareness of the services she provides, and to improve the available resources: such as presentations at the local community college, and instructors brought in from Edmonton. She has initiated volunteer opportunities, which often lead to paid positions. Ms. Perry stresses the confidence building and motivating aspect of building a persons self-presentation.

Un trésor caché : le coordonnateur de l’aide à l’emploi de votre CRFM

par l’Adjuc Laurie Kozun

Comme membres du Bureau chargé du maintien en poste du personnel de la Force aérienne, mon équipe et moi-même nous rendons souvent compte, quand nous fouillons n’importe lequel des aspects touchant les décisions professionnelles des militaires de la Force aérienne, qu’il faut nous renseigner en profondeur sur les politiques et pratiques en vigueur. Tel a été le cas lorsque nous avons entrepris de nous pencher sur les conséquences des déménagements fréquents sur la carrière des conjoints et, plus précisément, sur l’aide dont ils disposent. Il a été assez simple de trouver la politique : une publication du Directeur – Services aux familles des militaires intitulée Paramètres de pratique qui présente un modèle de base pour la prestation des services. La publication fournit une liste des services qu’utilisent les coordonnateurs de l’aide à l’emploi (AE) pour élaborer leur programme.

Dans une région comme celle de la capitale nationale, qui regorge de possibilités d’emploi et d’apprentissage, le travail des coordonnateurs de l’AE peut sembler facile. Pourtant, il comporte tout de même des défis. Rob Degagne, du CRFM Ottawa, souligne que l’aide à la rédaction de curriculum vitae et le soutien individuel constituent les services les plus fréquemment demandés. M. Degagne favorise l’une des méthodes les plus efficaces de la recherche d’emploi, soit le réseautage, grâce auquel les chercheurs d’emploi, qui tentent d’établir des contacts, d’apprendre des autres et de se motiver, peuvent entrer en communication avec des employeurs et d’autres chercheurs d’emploi ayant obtenu du succès.

Le fait de traverser une frontière interprovinciale se solde souvent par l’obligation de se procurer de nouvelles accréditations, les titres de compétences n’étant plus reconnus, ce qui provoque une énorme frustration. Les carrières dans les domaines de l’éducation et de la santé sont tristement célèbres à cet égard. Manon Lachance, du CRFM Trenton, a pu aider ses clients à retrouver leur statut professionnel.

John Chabih, du CRFM Winnipeg, a établi un grand nombre de liens dans la région de Winnipeg. Il a amélioré son programme de base grâce à l’instauration de partenariats imaginatifs, dont ceux avec des employeurs locaux, et à l’obtention de frais réduits dans des établissements d’enseignement voisins. M. Chabih se passionne aussi pour les services qu’il offre, ce qui est évident lorsqu’il parle des démarches qu’il a effectuées pour faire changer la partie du Règlement sur l’assurance-emploi qui s’applique aux conjoints des militaires. « Alors que les prisonniers voient leurs prestations d’assurance-emploi gelées, les conjoints des militaires qui se trouvent en Europe ne jouissent pas du même privilège », a déclaré M. Chabih.

Selon Kathy Bruens, du CRFM Greenwood, le nombre limité de possibilités d’emploi dans la vallée de l’Annapolis signifie qu’elle doit souvent amener les conjoints à « se réinventer ». Elles les aident à définir leurs intérêts et leurs aptitudes, à élaborer un plan de carrière, qui pourrait mener à une augmentation de la scolarisation ou tout simplement au raffinement des compétences en communications, et à demeurer motivés et prêts, au cas où une occasion se présenterait.

Caterina Perry, du CRFM Cold Lake, fait également face à la rareté des emplois à pourvoir. Elle a instauré de nombreuses initiatives pour faire connaître ses services et améliorer les ressources offertes. Par exemple, elle a présenté des exposés au collège communautaire de la localité et invité des formateurs d’Edmonton. Par ailleurs, elle a mis sur pied un programme d’emplois bénévoles qui mènent souvent à des postes rémunérés. Mme Perry insiste sur l’importance que les gens doivent accorder au renforcement de la confiance en soi et à la motivation pour être en mesure de se présenter efficacement.

Joint Task Force 2 recruiting now

Are you highly motivated, physically fit, team orientated and looking for a challenge? The CF counter-terrorist unit, Joint Task Force 2 (JTF 2), is looking for service members with these qualities to join their team. Once again this year JTF 2 recruiters will be visiting bases across the country as part of their annual recruiting campaign.

JTF 2 is the CF unit responsible for counter-terrorist and special operations, and any other task in response to a potential national security threat. The unit’s role demands continuous, intensive training, a high level of operational readiness and the ability to deploy anywhere in the world on short notice to accomplish missions and tasks.

JTF 2 offers a wide variety of employment opportunities for military personnel. The unit comprises two categories of personnel: Category A: special operations assaulters, are directly employable in the tactical aspects of a unit mission; Category B: special operations coxswains, specialists and support personnel who provide combat support to operations and perform support service functions. Following the government’s decision in 2001 to expand the capability of JTF 2, there is a demand to recruit new personnel for each category.

As a member of JTF 2 you will be part of a world-class Special Operations Force where training is realistic and demanding. Members learn and hone their skills relative to specialized tactics, weapons, explosives and equipment. Missions and tasks are relevant to the current geo-political situation.

JTF 2 needs mature, responsible, dedicated, physically and mentally fit professional people of high integrity, who are ready to push themselves to the limit.

How to apply

Members from the Regular Force with two years of service, and members of the Reserve Force with three years of service and are fully MOC qualified can apply through their chain of command, by completing the application form for JTF 2 service. Applicants must successfully complete the physical fitness test for their category of employment at the unit.

Every member of the CF has a right to apply for service with JTF 2 provided they meet the minimum eligibility criteria.

Applicants for category A positions are screened, interviewed and tested for cognitive ability at their base personnel selection office. Suitable candidates for this category are invited to attend a seven-day selection process (10 for officers) at the unit. A pre-selection training program is available at any base PSP office. Applicants are strongly encouraged to prepare for the process using this package.

Special operation coxswains applicants are also invited to undergo a selection process. Specialists and support personnel applicants who apply are selected based on their trade skills, job performance, qualification and personal profile. Suitable candidates are invited to the unit for an employment interview, as well as a psychological evaluation.

Base briefings

JTF 2 recruiting staff will be conducting information briefings at bases across Canada. The schedule for the first half of these briefings is below. Information on the second half of the recruiting campaign will be published in a later article. All interested members of the CF and their spouses are invited to attend the information briefings. For security reasons, CF members will be required to show their CF identification cards at the door.

For more information on the unit and this year’s recruiting campaign check out the JTF 2 Web site at www.forces.gc.ca/dcds/units/jtf2/default_e.asp or http://dcds.mil.ca/units/jtf2/default_e.asp (DND intranet). CF members may also call the JTF 2 information line at 1-800-959-9188. During base visits recruiting staff can be contacted by pager 1-888-501-8276.

Campagne de recrutement de la Force opérationnelle interarmées 2

Vous débordez d’enthousiasme, êtes en bonne forme physique, aimez travailler en équipe et aspirez à relever un défi? La Force opérationnelle interarmées 2 (FOI 2), unité antiterroriste des FC, a justement besoin de militaires qui répondent à un tel profil. Cette année encore, les recruteurs de la FOI 2 visiteront des bases partout au pays dans le cadre de leur campagne annuelle de recrutement.

La FOI 2 est l’unité des FC chargée des opérations antiterroristes et spéciales ainsi que de toute autre intervention en cas de menace possible à la sécurité nationale. Le mandat de cette unité exige que ses membres s’entraînent de façon continue et intensive, maintiennent un niveau élevé de préparation opérationnelle et puissent être déployés n’importe où dans le monde à bref préavis pour accomplir des missions et des tâches précises.

Les militaires peuvent occuper une vaste gamme de postes au sein de la FOI 2. L’unité regroupe deux catégories de personnel : A et B. La catégorie A englobe les membres de la force d’intervention spéciale qui participent directement aux aspects tactiques d’une mission. Quant à la catégorie B, elle comprend des capitaines d’armes pour opérations spéciales, des spécialistes et du personnel qui assurent le soutien au combat nécessaire aux opérations en plus de fournir d’autres services de soutien. Le gouvernement fédéral ayant décidé en 2001 d’accroître la capacité de la FOI 2, l’unité a besoin de recruter du nouveau personnel dans chacune des catégories.

Les heureux élus se joindront à une force d’opérations spéciales de calibre international. L’entraînement est réaliste et exigeant. Il consiste à acquérir et à perfectionner des compétences spécia-lisées en matière de tactiques, d’armement, d’explosifs et d’équipement. Les missions et les tâches confiées à l’unité varient selon la conjoncture géo-politique.

La FOI 2 recherche des personnes mûres, responsables, engagées, professionnelles, en santé de corps et d’esprit, hautement intègres et prêtes à s’engager à fond.

Candidatures

Les membres de la Force régulière qui comptent deux années de service et les réservistes qui comptent trois années de service détenant toutes les qualifications voulues dans leur GPM peuvent poser leur candidature par l’entremise de leur chaîne de commandement, au moyen du formulaire approprié. Les candidats doivent réussir le test d’aptitude physique prescrit pour leur catégorie d’emploi à l’unité.

Tout membre des FC peut poser sa candidature pour servir dans la FOI 2, pour autant qu’il réponde aux critères d’admission de base.

Pour les candidats de la catégorie A, on procède à la présélection, aux entrevues et à l’évaluation de la capacité cognitive au bureau de sélection du personnel de la base. Les candidats admissibles sont invités à participer à un processus de sélection d’une durée de sept jours (dix jours dans le cas des officiers) à l’unité. Ils peuvent se procurer un programme de préparation à la présélection au bureau PSP de leur base, et on les encourage fortement à s’en prévaloir.

Les candidats aux postes de capitaine d’armes pour opérations spéciales font eux aussi l’objet d’un processus de sélection. En ce qui a trait aux spécialistes et au personnel de soutien, ils sont choisis en fonction de leurs compétences professionnelles, leur rendement au travail, leurs qualifications et leurs qualités personnelles. Les candidats retenus sont invités à l’unité pour une entrevue d’emploi et une évaluation psychologique.

Séances d’information dans les bases

L’équipe de recrutement de la FOI 2 tiendra des séances d’information dans les bases à l’échelle du pays. Le calendrier pour la première moitié de ces séances d’information figure ci-dessous et celui pour la deuxième moitié sera publié à une date ultérieure. Tous les militaires intéressés et leur conjoint ou conjointe y sont invités. Pour des raisons de sécurité, les militaires devront présenter leur carte d’identité militaire à l’entrée.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur la FOI 2 et la campagne de recrutement, veuillez visiter le site Web de l’unité aux adresses suivantes : http://www.forces.gc.ca/dcds/units/jtf2/default_f.asp ou http://dcds.mil.ca/units/jtf2/default_f.asp (intranet du MDN). Les militaires peuvent également téléphoner à la ligne d’information de la FOI 2, au 1 800 959-9188. Pendant les visites dans les bases, vous pouvez joindre l’équipe de recrutement de la FOI 2 au numéro de téléavertisseur 1 888 501-8276.

Base Date Time/Heure Location / Lieu

Région de Toronto area

January 26 janvier

2100 hrs

Moss Park Armoury

Comox

February 4 février

0930 hrs

Bldg 22 Room 235

Esquimalt

February 9 février

0930 and 1830 hrs

Bldg N-92
Rutherford Theatre

Edmonton

March 7 mars

0930 and 1830 hrs

LTF Theatre

Cold Lake

March 9 mars

0930 hrs

MFRC
Bldg 674

Valcartier

March 17 mars

0930 and 1830 hrs

Academy 534
Theatre 271

Bagotville

March 21 mars

0930 hrs

Bldg 60 Rm 320
Room 320

Saint-Jean

March 24 mars

0930 hrs English
1300 hrs Français

Mega Auditorium

NCR/RCN Ottawa

March 29 mars

0930 hrs English
1300 hrs Français

NDHQ

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