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Maple Leaf


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Pages 14 - 16, Maple Leaf, 2 February 2005, Vol. 8 No. 5
pages 14 - 16, La feuille d'érable, le 2 février 2005, vol. 8 no 5

Fourth Dimension

By Charmion Chaplin-Thomas

February 7, 1944

On the right flank of the British-American beach-head at Anzio, a little south of Rome, 13 km of the 52-km front line has been held for a week by the 1 233 men of the 1st Special Service Force, an elite and highly secretive joint Canadian-American unit commanded by Brigadier-General Robert Frederick of the US Army.

The seaborne infantry assault at Anzio, called Operation SPLINTER, is the key element of General Mark Clark’s plan to break the deadlock at Monte Cassino and begin a great drive through the valley of the Liri River to Rome. The British 1st Infantry Division and the US 3rd Infantry Division under Major-General John Lucas hit the beach on January 22, landing 36 000 men and 3 200 vehicles in only 24 hours. Fortunately, there were almost no Germans in the area on January 22; unfortunately, MGen Lucas decided to secure the beach-head before venturing inland. His delay gave Generalfeldmarshall Albert Kesselring time to organize a highly effective defence under Generaloberst Eberhard von Mackensen and, despite a steady flood of reinforcements, the Allied army is now fighting desperately to prevent the Germans from sweeping it into the sea.

Despite two weeks of rest, the Special Service Force has yet to replace the 1 400 casualties lost in the struggle for Monte Cassino; of its three regiments, only the 3rd is up to strength, and the “Forcemen” are spread very thin—about one man to 10 metres of frontage. Their situation is not desperate, however: the Canale Mussolini on their right is a natural tank trap, and the only approach lies across perfectly flat fields that were once the Pontine Marshes. The opposition is the highly competent Hermann Göring Division. Colonel Tom Gilday, the Canadian officer in command of the 3rd Regiment, has his men lying low during the day and patrolling vigorously at night, terrorizing the Germans with silent killings on their perimeters and apparently random strikes on strong points. To heighten this effect, BGen Frederick has visiting cards printed for his troops to leave in the German lines; they bear the Special Service Force shoulder patch and a single line of text: “Das Dicke Ende Kommt Noch!”—“The Worst is yet to come!”

The Forcemen are highly talented reconnaissance patrolmen encouraged to use their imagination and take the initiative to get results, but even in this exalted company a certain Canadian soldier stands out: Sergeant Thomas George Prince is an Ojibwe from the Brokenhead Reserve near Scanterbury, Manitoba, a crack shot, skilled tracker and all-round raiding genius already famous for daring exploits.

Tonight, Sgt Prince intends to exploit the Canale Mussolini, which serves to defend the Germans from the Special Service Force just as much as it prevents an armoured assault on the beach-head. Taking a field telephone connected to regimental headquarters by 1 500 metres of line, Sgt Prince slips across the canal, paying out the telephone line as he goes, and makes his way to a deserted farmhouse about 200 metres from the German front. In the morning, the German tanks starts moving back and forth, shifting constantly to avoid the American artillery. Sgt Prince watches the action until he sees two tanks settle down, and then calls in a fire mission that destroys them both. All goes well until a mortar strike behind the farmhouse cuts the telephone line, but Sgt Prince is not dismayed; he puts on a civilian hat and coat he found in the house and heads outside with a hoe. Working the soil with the hoe, he searches patiently for the broken wire; when he spots it, he mimes a broken shoelace, crouches down and restores the connection. He continues hoeing the field for the benefit of watching Germans, and eventually heads back inside. Before nightfall, he calls in another fire mission and accounts for two more tanks.

For his tank-hunting exploit, Sgt Prince eventually receives the Military Medal from the British and the Silver Star from the Americans, both presented on the same occasion at Buckingham Palace by King George VI.

Quatrième dimension

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 7 février 1944

Sur le flanc droit de la tête de plage britanno-américaine à Anzio, situé légèrement au sud de Rome, 13 des 52 km de front sont tenus depuis une semaine par les 1 233 hommes de la 1re Force d’opérations spéciales. Cette unité mixte canado-américaine, qui se compose de militaires d’élite et est très secrète, est dirigée par le Brigadier-général Robert Frederick de l’Armée américaine.

L’assaut de l’infanterie mené par la mer à Anzio est surnommé l’opération SPLINTER. Cette opération est l’élément clé du plan du Général Mark Clark pour briser l’impasse du mont Cassino et s’enfoncer dans la vallée de la rivière Liri jusqu’à Rome. La 1re Division d’infanterie britannique et la 3e Division d’infanterie américaine, sous le commandement du Major-général John Lucas, arrivent à la plage le 22 janvier. En 24 heures, 36 000 hommes et 3 200 véhicules sont débarqués. Fort heureusement, il n’y a pratiquement pas d’Allemands dans les parages cette journée-là. Cependant, le Mgén Lucas décide d’assurer la sécurité de la tête de plage avant de s’aventurer à l’intérieur des terres. Ce délai permet au Generalfeldmarshall Albert Kesselring d’organiser une défense très efficace avec à sa tête le Generaloberst Eberhard von Mackensen. Malgré un flux constant de renforts, l’armée alliée doit lutter avec acharnement pour empêcher les Allemands de les repousser à la mer.

Malgré deux semaines de repos, la Force d’opérations spéciales n’a toujours par remplacé les 1 400 hommes perdus lors de la lutte pour le mont Cassino. Parmi ses trois régiments, seul le troisième possède des effectifs adéquats, et ses membres sont très dispersés, à raison d’environ un homme pour 10 mètres de front. Toutefois, leur situation n’est pas désespérée. Le canal Mussolini, à leur droite, constitue un piège à chars naturel, et le seul accès est par des champs parfaitement plats (autrefois les marais Pontine). Ils font face à la Division Hermann Göring qui est très efficace. L’officier canadien commandant le 3e Régiment, le Colonel Tom Gilday, ordonne aux soldats de demeurer à couvert le jour et de patrouiller avec énergie la nuit. Ils terrorisent les Allemands en tuant silencieusement des troupes sur leur périmètre et en attaquant apparemment au hasard les zones bien défendues. Afin d’intensifier cet effet, le Bgén Frederick fait imprimer des cartes de visite que les soldats laissent derrière eux. Sur la carte se trouvent l’insigne d’épaule de la Force d’opérations spéciales et une phrase : « Das Dicke Ende Kommt Noch! » (Le pire est à venir!).

Les membres de la Force d’opérations spéciales sont des patrouilleurs très doués pour la reconnaissance. Ils sont encouragés à utiliser leur imagination et à prendre l’initiative pour parvenir à leurs fins. Un Canadien se démarque au sein de cette talentueuse compagnie. En effet, le Sergent Thomas George Prince, un Ojibwe de la réserve Brokenhead (près de Scanterbury, au Manitoba), est un tireur hors pair, un traqueur habile, un génie toute catégorie pour les raids et déjà une célébrité grâce à ses exploits audacieux.

Une nuit, le Sgt Prince décide de tirer profit du canal Mussolini, qui sert tout autant à protéger les forces allemandes de la Force d’opérations spéciales qu’à empêcher les chars d’attaquer la tête de plage. Il prend un téléphone de campagne relié au quartier général régimentaire par une ligne de 1 500 mètres et traverse sans bruit le canal tout en déroulant la ligne téléphonique. Il s’arrête dans une ferme déserte située à environ 200 mètres du front ennemi. Le matin, les chars allemands avancent et reculent, se déplaçant constamment pour éviter les tirs de l’artillerie américaine. Le Sgt Prince observe la scène jusqu’à ce qu’il voit deux véhicules qui s’arrêtent. Il ordonne une mission de tir qui les détruit. Tout fonctionne bien jusqu’à ce qu’un tir de mortier derrière la ferme coupe la ligne. Le Sgt Prince ne se décourage pas; il se met un chapeau sur la tête, enfile un manteau de civil et sort, houe à la main. Alors qu’il travaille le sol de sa houe, il cherche patiemment le fil coupé. Lorsqu’il le trouve, il se penche, fait semblant d’attacher son lacet et rétablit la connexion. Pour dissiper les doutes des Allemands qui l’observent, il continue de labourer le sol et retourne plus tard à l’intérieur de la ferme. Avant que la nuit ne tombe, il ordonne une autre mission de tir qui détruit deux autres chars.

Pour ses exploits de « chasse », le Sgt Prince reçoit la Médaille militaire des Britanniques et la Silver Star des Américains. Les deux décorations lui sont remises au palais de Buckingham par le roi George VI.

Glad to be back helping out the locals

By Capt John Price

OLUVIL, Sri Lanka — Corporal Ryan Dissanayake has returned to the land of his birth to find it savaged by a tsunami. Cpl Dissanayake left the city of Colombo when he was 10, and has come back to Sri Lanka as a vehicle technician with the CF Disaster Assistance Response Team (DART).

“I never thought I’d be here in uniform,” says Cpl Dissanayake, who makes his home in Toronto. “I was just here on vacation last year.”

As Cpl Dissanayake walks past a battered blackboard, a lesson on English capitalization still chalked on it, he listens to a former student recount the events of December 26. Water surged more than 15 metres high damaging everything in its path; 700 students that would have been studying any other day of the week were spared only because it was a school holiday.

Cpl Dissanayake nods, his jaw tenses as he listens to the first-hand recounts of the disaster. Other soldiers can only communicate through whatever English the locals speak or with the help of an interpreter, but Cpl Dissanayake is fluent in Sinhala, and the people flock to his side to tell him their stories.

“If someone is having trouble talking with the locals I go help them out,” he says. “Some of the guys like to learn the basic language, I teach them some words.”

Soldiers are breaking up cement chunks, tearing away loose shingles, and carting the rubble away in an all-terrain vehicle’s trailer. Whatever can be salvaged is put aside; the rest is dumped in a nearby swamp in the hopes it will help prevent it from becoming a mosquito breeding ground.

Although Cpl Dissanayke’s relatives in Sri Lanka were safe on the other coast, his family was deeply moved by the disaster. “My mom saw stuff on TV that made her upset and she was very happy for me to come here and help out.”

“It’s good to be back and helping out the locals,” he says, with a wide grin as he prepares to load the last of the refuse for transport. “It’s a great feeling.”

Cpl Dissanayake has helped haul garbage and bricks out of the rubble-filled school. “They haven’t gone to school since the tsunami. I told them ‘maybe you guys can go to school next week.’ They were happy.”

Not far from where the soldiers are finishing up, two halves of what was once a pale blue fishing boat are separated by the width a palm tree. The school is almost ready to be used again, but the community is a long way away from prosperity.

Capt Price is with Combat Camera.

Heureux d'être de retour pour aider la population locale

par le Capt John Price

OLUVIL (Sri Lanka) — Le Caporal Ryan Dissanayake est retourné dans son pays natal et l’a trouvé dévasté par un tsunami. Le Cpl Dissanayake avait quitté la ville de Colombo à l’âge de 10 ans et il est revenu au Sri Lanka en tant que technicien de véhicules au sein de l’Équipe d’intervention en cas de catastrophe (DART) des FC.

« Je ne pensais jamais venir ici en uniforme », a déclaré le Cpl Dissanayake, qui habite maintenant à Toronto. « Je me trouvais justement en vacances ici l’an dernier. »

Tandis que le Cpl Dissanayake passe près d’un tableau noir fracassé, où une leçon sur l’emploi de la majuscule en anglais est encore visible, il écoute un ancien élève raconter les événements survenus le 26 décembre. L’eau est montée à une hauteur de plus de 15 mètres, endommageant tout sur son passage; les 700 élèves qui auraient été là en train d’étudier à un autre moment de la semaine ont été épargnés grâce au congé scolaire.

Le Cpl Dissanayake hoche la tête, sa mâchoire se contracte pendant qu’il écoute les récits de la catastrophe. Les autres militaires peuvent communiquer seulement au moyen du peu d’anglais parlé par la population locale ou à l’aide d’un interprète, mais comme le Cpl Dissanayake s’exprime couramment en singhalais, les gens s’attroupent autour de lui pour raconter leurs histoires.

« Si quelqu’un a de la difficulté à parler avec les gens du pays, je vais l’aider », a-t-il indiqué. « Certains militaires aiment apprendre le langage courant, alors je leur enseigne quelques rudiments. »

Les militaires brisent des fragments de béton, enlèvent des bardeaux à moitié arrachés et transportent des débris au moyen d’un véhicule tout terrain muni d’une remorque. Tout ce qui peut être récupéré est mis de côté, et le reste est jeté dans un marécage tout près, dans l’espoir que cela l’empêchera de devenir un site de reproduction des moustiques.

Même si les membres de la famille du Cpl Dissanayke au Sri Lanka étaient en sécurité sur la côte opposée, sa famille a été très touchée par la catastrophe. « Ma mère a vu des images à la télévision qui l’ont bouleversée. Elle était donc très contente que je vienne donner un coup de main ici. »

« Je suis content d’être ici et de prêter main-forte aux gens du pays », a-t-il affirmé avec un grand sourire, alors qu’il se prépare à charger les derniers rebuts à déplacer. « C’est un sentiment extraordinaire. »

Le Cpl Dissanayake a participé au transport des déchets et des briques à sortir de l’école remplie de débris. « Ils ne sont pas allés à l’école depuis le tsunami. Je leur ai dit : "vous pourrez peut-être aller à l’école la semaine prochaine." Ils étaient contents. »

Non loin de l’endroit où les militaires terminent leurs tâches se trouvent les deux moitiés d’un bateau de pêche bleu pâle qui a été sectionné par un palmier. L’école est presque prête à être utilisée de nouveau, mais la collectivité semble bien loin du jour où elle connaîtra la prospérité.

Le Capt Price travaille au sein de la Section de caméra de combat.

Pulling you into training combat

The second season of The Outdoor Life Network’s hit Canadian television series: “Truth, Duty, Valour!” is now on the air. The popular series profiles the young men and women of the Canadian Army, Navy and Air Force, as they train and compete to be the best in their chosen professions!

The show is produced by Colin McKeown, a retired CF member. It is filmed at locations across the county where CF members are stationed and training with the support of the CF which has provided access to its members for the film crew.

“Truth, Duty, Valour!” pulls you from your living room into the very heart of training combat missions. Feel the adrenaline rush as we fly with fighter jets in air-to-air combat and fall with soldiers making their first parachute jump. From intense combat training to highly competitive physical fitness challenges, “Truth, Duty, Valour!” follows the military as it prepares for possible deployment to hot spots throughout the world.

New episodes this year include diving with Army combat divers, as they covertly breech enemy fortifications and clear beach heads ahead of attacking forces, learning to drive the Army’s newest armoured vehicles, and discovering what type of pilot you have to be to fly a Hercules aircraft into the combat zone of Afghanistan.

“The Canadian Forces operational tempo has never been higher than during the last 10 years,” said Mr. McKeown. “Since the early 1990s the military has been called upon to conduct both peacekeeping and peacemaking operations, humanitarian work, maritime interdiction operations, disaster relief, and war.”

“Canadian military personnel have been involved in operations around the world in countries such as Afghanistan, Rwanda, the Balkans, East Timor, Somalia, Macedonia, Sierra Leone, Kuwait, Haiti and Kosovo. At home they have been heavily involved in dealing with natural disasters such as river flooding in Manitoba and Quebec, assisting in forest firefighting in British Columbia, and ice storms in central Canada. Their heroic work in search and rescue missions is of legendary proportions. They have served Canada proudly and with distinction. “Truth, Duty, Valour!” is about the hard work, achievements and sacrifices of our Canadian military,” said Mr. McKeown.

This is a 13-part series broadcast on the Outdoor Life Network across Canada Wednesday evenings and Sunday afternoons. Check our Web site at www.truthdutyvalour.ca and local listings for times in your area.

En plein cœur de l'entraînement au combat

La deuxième saison de la série télévisée à succès produite au Canada par la chaîne Outdoor Life Network et intitulée, « Truth, Duty, Valour! » est présentement en ondes. La populaire série met en vedette des jeunes hommes et femmes de l’Armée, de la Marine et de la Force aérienne du Canada alors qu’ils s’entraînent et rivalisent pour être les meilleurs dans la profession qu’ils ont choisie!

Colin McKeown, un militaire des FC à la retraite, produit l’émission. Cette dernière est tournée dans différents emplacements, sur l’ensemble du territoire canadien, là où des membres des FC sont cantonnés et s’entraînent. Les FC ont apporté leur appui à l’équipe de tournage en lui permettant de filmer leurs membres.

Grâce à « Truth, Duty, Valour! », vous pourrez, dans votre salon, vous retrouver en plein cœur de l’entraînement aux missions de combat. Vous ressentirez une décharge d’adrénaline lorsque nous pilotons des chasseurs durant les combats air-air, et vous descendrez avec les soldats qui exécutent leur premier saut en parachute. De l’intensif entraînement au combat, aux rudes compétitions de conditionnement physique, « Truth, Duty, Valour! » suit les militaires alors qu’ils se préparent en vue d’éventuels déploiements dans des points chauds du globe.

Dans les nouveaux épisodes, vous plongerez avec des nageurs de combat de l’Armée qui pratiquent secrètement une brèche dans des fortifications ennemies et qui quittent la tête de plage bien avant l’arrivée des forces d’attaque, vous apprendrez à conduire les plus récents véhicules blindés de l’Armée et vous découvrirez quelles sont les qualités requises pour piloter un aéronef Hercules jusqu’à la zone de combat, en Afghanistan.

« Jamais le rythme des opérations des Forces canadiennes n’a été aussi intense que durant les 10 dernières années », a expliqué M. McKeown. « Depuis le début des années 1990, les militaires ont mené des opérations de maintien et de rétablissement de la paix, des travaux humanitaires, des opérations maritimes d’interdiction et de secours aux sinistrés ainsi que des guerres. »

« Le personnel militaire canadien a participé à des opérations partout dans le monde, dans des pays comme l’Afghanistan, le Rwanda, le Timor-Oriental, la Somalie, la Macédoine, la Sierra Leone, le Koweït, Haïti ainsi que dans les régions des Balkans et au Kosovo. Au pays, il a largement contribué aux efforts déployés pour faire face aux catastrophes naturelles. Les militaires étaient présents lors des débâcles au Québec et au Manitoba, ils ont assisté les pompiers durant les feux de forêt en Colombie-Britannique et ils sont intervenus pendant la tempête de verglas dans le centre du Canada. L’héroïsme dont ils font preuve pendant les missions de recherche et de sauvetage est légendaire. Ils ont servi le Canada avec fierté et distinction. "Truth, Duty, Valour!" nous montre le travail acharné, les réalisations et les sacrifices des militaires canadiens », a ajouté M. McKeown.

Il s’agit d’une série en 13 épisodes diffusée sur la chaîne Outdoor Life Network, partout au Canada, les mercredis soirs et les dimanches après-midi. Consultez notre site Web, à www.truthdutyvalour.ca et les horaires de télévision pour connaître l’heure de diffusion dans votre région.

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