Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Air Force, Maple Leaf, 16 March 2005, Vol. 8, No. 11
Force aérienne, la Feuille d'érable, le 16 mars 2005, vol. 8 no 11

Air Force Support Capability delivers support to operations at home and abroad

WINNIPEG — In order to continue addressing the security needs of Canadians, both here at home and abroad, the Air Force is putting increased emphasis on becoming more expeditionary. The Air Force Support Capability (AFSC), is a part of that concept as it exits today.

"We may be good at being quick out the door, but what the Canadian Forces needs now is a sustainable expeditionary presence beyond ROTO 0." That is how Lieutenant-Colonel Russ Mann, project director for the AFSC project, sums up the challenge facing Canada's Air Force in describing an initiative that is “reinforcing a changing culture” in the Air Force.

The AFSC is about developing the right mix of deployable kit, personnel and training to support CF operations. The concept behind the AFSC is to have support personnel who belong to a deployable unit or Mission Support Unit (MSU) for a fixed period of time. The intent is that each MSU would have one or two deployable teams of logistics, airfield engineers and CIS personnel and be situated where the deployable aircraft are based. The concept would see units adopt deliberate and disciplined training along with a predictable window of deployment that will see the team deploy as a unit.

“I think the AFSC can make a very positive impact and help people deploy with confidence,” said LCol Mann. When the AFSC team examined how domestic and international operations are supported by the Air Force, it identified the need for a more strategic approach. “AF support personnel are often tasked in "ones" and "twos" and they are seeing new equipment in-theatre they have never seen before,” said LCol Mann.

“Additionally, our flying squadrons and the Army have shown us that there is better rear party support for families of deployed members when they deploy as a unit or a team,” he said. “The AFSC would apply this lesson to make ad hoc the exception, not the rule where our support personnel are concerned.”

The AFSC received ministerial approval in 2003, and began to evolve shortly after with the creation of six, Air Board-approved MSUs. The AFSC concept phase is now complete, and lessons learned on this project will be used to help define how the Air Force participates in integrated expeditionary force, as the CDS’s Action Team defines what capabilities, force generation and command and control elements are required to meet Canada’s defence needs.

La Capacité de soutien de la Force aérienne sur la scène nationale et internationale

WINNIPEG — Pour continuer de répondre aux besoins de sécurité des Canadiens, autant au pays qu’à l’étranger, la Force aérienne cherche à devenir une force plus expéditionnaire. La Capacité de soutien de la Force aérienne (CSFA) s’inscrit dans ce concept tel qu’il existe aujourd’hui.

« Nous sommes peut-être rapides à nous déployer, mais ce dont les Forces canadiennes ont besoin maintenant, c’est d’une présence expéditionnaire durable au-delà de la rotation 0. » Voilà comment le Lieutenant-colonel Russ Mann, directeur du projet de la CSFA, résume le défi qui se pose à la Force aérienne du Canada pour « renforcer la culture en évolution » de la Force aérienne.

La CSFA vise à mettre au point la combinaison appropriée d’équipement, d’effectifs et d’entraînement propices au déploiement qui soutiendra les opérations des FC. Le principe qui sous-tend la CSFA est de disposer de personnel de soutien relevant, durant une période donnée, d’une unité ou d’une unité de soutien de mission apte au déploiement. Il est prévu que chaque unité de soutien de mission sera dotée d’une ou de deux équipes déployables de logistique, du génie de l’air et de personnel CIS et qu’elle soit située à l’emplacement des aéronefs prêts à se déployer. Les unités adopteraient une forme d’entraînement délibéré et discipliné, ainsi qu’une période propice au déploiement prévisible permettant à leurs membres de se déployer en tant qu’unité.

« Je pense que la CSFA peut avoir un impact très favorable et rehausser la confiance des militaires qui sont envoyés en déploiement », a précisé le Lcol Mann. Lorsque l’équipe de la CSFA a examiné le soutien des opérations nationales et internationales par la Force aérienne, elle a relevé la nécessité d’une approche plus stratégique. « Le personnel de soutien de la FA est souvent affecté par groupes de un et de deux, et il voit sur le théâtre du nouvel équipement qu’il n’a jamais vu auparavant », a déclaré le Lcol Mann.

« En plus, nos escadrons de vol et l’Armée de terre nous ont montré qu’il existe un meilleur soutien arrière pour les familles des militaires déployés lorsqu’ils sont affectés en tant qu’unité ou qu’équipe », a-t-il ajouté. « La CSFA mettrait cette leçon en pratique pour faire de l’exception la règle en ce qui concerne notre personnel de soutien. »

La CSFA a reçu l’approbation ministérielle en 2003 et a commencé à enclencher le processus peu de temps après avec la création de six unités de soutien de mission approuvées par la Commission de l’air. Maintenant que la conception de la CSFA est achevée, les leçons retenues du projet serviront à définir comment la Force aérienne participera à une force expéditionnaire intégrée, à mesure que l’Équipe d’action du CEMD définira les éléments de capacités, de mise sur pied des forces et de commandement et de contrôle permettant de répondre aux besoins de défense du Canada.

Calling all DEW line alumni

North American Air Defence Modernization and North Warning System reunion

March 17, 2005 will mark the 20th anniversary of the Quebec Summit between Prime Minister Brian Mulroney and President Ronald Reagan.

On that occasion the two leaders signed the North American Air Defence Modernization (NAADM) memorandum of understanding, which provided for the replacement of the DEW line by the North Warning System (NWS) and the construction of forward operating locations in the North for fighter aircraft.

The men and women in Canada and the US who worked together to establish and operate these defence capabilities can be justifiably proud of their accomplishments. The NWS continues to be a vital element for NORAD and contributes to Canada’s sovereignty.

To observe this anniversary a NAADM/NWS reunion event is planned for May 13–15, in Ottawa. Organizers are hoping to attract many of the pioneers, from both sides of the border, who helped to plan, design, build, deploy, and operate these systems from the earliest days. The participants will include serving and retired members of the CF and USAF, government officials from both countries, as well as representatives of the many Canadian and US companies who have played a significant role in the development and sustainment of these systems.

Further information is available on the Web site http://lswilson.ca/nws20.htm.

Invitation lancée à tous les anciens du réseau DEW

Réunion de ceux qui sont intervenus dans la modernisation du Système de défense aérienne de l’Amérique du Nord et la création du Système d’alerte du Nord

Le 17 mars prochain marquera le 20e anniversaire du Sommet de Québec où se sont réunis le premier ministre Brian Mulroney et le président Ronald Reagan.

Ce jour-là, les deux hommes d’État ont signé le protocole d’entente sur le Projet de modernisation du Système de défense aérienne de l’Amérique du Nord (NAADM) qui prévoyait le remplacement du réseau DEW par le Système d’alerte du Nord (NWS) et l’installation d’emplacements d’opérations avancés dans le Nord pour les avions de chasse.

Les personnes du Canada et des États-Unis qui ont collaboré à l’établissement et à la mise en œuvre de ces capacités de défense peuvent s’enorgueillir de leurs accomplissements. Le NWS est toujours un élément essentiel du NORAD et il contribue à assurer la souveraineté du Canada.

Pour souligner cet anniversaire du NAADM et du NWS, une réunion est prévue du 13 au 15 mai, à Ottawa. Les organisateurs espèrent attirer de nombreux pionniers, des deux côtés de la frontière, qui ont aidé à planifier, concevoir, ériger, déployer et exploiter ces systèmes depuis les premiers jours. Il y aura, parmi les participants, des membres actifs et d’anciens membres des FC et de l’USAF, des représentants des deux gouvernements, ainsi que des représentants des sociétés canadiennes et américaines qui ont joué un rôle capital dans la mise au point et le maintien en puissance de ces systèmes.

Pour de plus amples renseignements, consultez le site Web http://lswilson.ca/nws20.htm.

Sea King 401 returns to 12 Wing

By Capt Dave Devenney

12 Wing Shearwater has received what can only be described as one of the most realistic simulators for CH-124 Sea King helicopter technicians to practice their trade.

Sea King 401, which crashed onto the deck of HMCS IROQUOIS on February 27, 2003, has been rebuilt and will be used as a realistic training simulator. The aircraft will allow a cadre of personnel to be trained on the aircraft, streamlining operations and supporting the maritime helicopter community into the future.

“Working on mock-up test benches is good,” said Warrant Officer Dave Alex, 12 Air Maintenance Squadron, “but they cannot replace the real thing.”

It took almost six months to rebuild the aircraft, which will now be the centrepiece for training technicians at the wing. Operational Sea King’s were previously used which meant that flight operations and training were conducted simultaneously.

“This opportunity was one not to be wasted and it has turned out to be a great thing for us,” said WO Alex.

Aircraft 401 had an unusual journey before returning to 12 Wing. Typically, when an aircraft requires servicing by a civilian contractor, the ones which are not airworthy, are towed at night to Halifax International Airport along the main Halifax highway. After repairs, aircraft are typically flown back to Shearwater. For aircraft 401, it had the unusual journey of being towed from the airport to Shearwater, a rare trip indeed for an aircraft that will spend its remaining life being taken apart and put back together.

The Sea King is due to be replaced with the CH-148 Cyclone. The Government of Canada announced in November 2003, the signing of two separate but interrelated contracts with Sikorsky International Operations Inc. for the Maritime Helicopter Project. The first contract, covers the acquisition of 28 fully integrated, certified and qualified helicopters with their mission systems installed. The second contract is for the 20-year in-service support for the helicopters, and includes the construction of a training facility, as well as a simulation and training suite.

Retour du Sea King no 401 à la 12e Escadre

par le Capt Dave Devenney

Les techniciens qui s’occupent de l’hélicoptère CH-124 Sea King de la 12e Escadre Shearwater ont reçu l’un des simulateurs le plus réaliste qui soit pour s’exercer à l’exécution de leurs tâches.

En effet, le Sea King no 401, qui s’est écrasé sur le pont du NCSM IROQUOIS le 27 février 2003, a été reconstruit et converti en un simulateur des plus réalistes. Grâce à cet appareil, un groupe de personnes peut recevoir la formation relative à cet aéronef, ce qui permet de rationaliser les opérations et de soutenir ceux qui travailleront avec l’hélicoptère maritime au cours des années à venir.

« C’est bien d’utiliser des modèles de banc d’essai, mais cela ne vaut pas un véritable appareil », a précisé l’Adjudant Dave Alex, du 12e Escadron de maintenance (Air).

Il a fallu presque six mois pour reconstruire l’hélicoptère, qui sera dorénavant le pilier de la formation offerte aux techniciens de l’escadre. On utilisait auparavant des Sea King opérationnels et les opérations de vol et la formation se déroulaient donc simultanément.

« Nous ne pouvions laisser passer cette chance et nous en profitons pleinement », a ajouté l’Adj Alex.

L’aéronef no 401 a fait un voyage inhabituel avant de revenir à la 12e Escadre. Normalement, quand un aéronef qui n’est pas en état de voler doit subir des travaux d’entretien chez un entrepreneur civil, il est remorqué pendant la nuit jusqu’à l’Aéroport international de Halifax par la route principale menant à Halifax. Une fois réparé, l’aéronef retourne à Shearwater par la voie des airs. L’appareil no 401, quant à lui, a dû être remorqué à partir de l’aéroport jusqu’à Shearwater, chose plutôt rare pour un aéronef destiné à être démonté et remonté pendant le reste de son existence.

Le Sea King sera remplacé par le CH-148 Cyclone. En novembre 2003, le gouvernement du Canada a annoncé la signature de deux contrats distincts mais interdépendants avec la société Sikorsky International Operations Inc. pour l’exécution du Projet de l’hélicoptère maritime. Le premier contrat concerne l’acquisition de 28 hélicoptères intégrés, certifiés et homologués dotés de systèmes de mission. Le deuxième contrat comporte 20 années de soutien en service pour ces hélicoptères et comprend la construction d’un établissement de formation, ainsi que d’une suite de simulation et d’entraînement.

This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)