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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Army, Maple Leaf, 6 April 2005, Vol. 8, No. 13
Armée, la Feuille d'érable, le 6 avril 2005, vol. 8 no 13

Americans and Canadians combine strengths during Ex SBT V

By Lt Ed Stewart

FORT PICKETT, Virginia — The land around Fort Pickett, is no stranger to soldiers. The British and French armies passed through during the Seven Years War (1756-1763). Union and Confederate armies fought several campaigns in the area during the American Civil War.

No battles have been fought there since the 1860s, but from January 18-27, another foreign army descended on Fort Pickett as the soldiers of 36 Canadian Brigade Group arrived to conduct Exercise SOUTHBOUND TROOPER V.

Ex SBT V is infantry-heavy but also includes medical, engineering and CIMIC elements and is supported by the US Army, Air Force and Navy. The scope includes Military Operations Other Than War (MOOTW) and the focus is on airmobile operations, three-block war scenarios and live fire ranges.

Ex SBT V is the largest run-through of this exercise with over 300 Canadians, centred around a five platoon company, plus various attachments and detachments.

The infantry consisted of The Princess Louise Fusiliers, The West Nova Scotia Regiment, 1st Battalion, The Nova Scotia Highlanders (North) and 2nd Battalion, The Nova Scotia Highlanders (Cape Breton).

Support came from the 45th Field Engineer Squadron, 22 Field Ambulance, 33 (Halifax) Service Battalion, The Prince Edward Island Regiment (RCAC), a full platoon of CIMIC from Land Force Atlantic Area and many others.

All five platoons had several stands to be worked through. Rappelling off a tower, rappelling off a US Army UH-60 Blackhawk, urban operations, live fire ranges by day and night, fighting patrols, a demolition range and a company air assault were all undertaken.

Helicopters from the US Navy and Army moved the troops, and American staff ran the rappelling portion of the exercise and a dedicated platoon from Fort Lee, Virginia, provided an enemy force.

Ex SBT V included several simultaneous exercises. The CIMIC platoon did several assessments of the adjacent town of Blackstone. The sappers of 45 Fd Engr Sqn supported a US Army dive team on a bridge RECCE.

Each day one platoon was detached for a fighting patrol on approved private land and the scenario always involved civilian issues in keeping with the concept of the three-block war.

Ex SBT V also demonstrated that creativity is what makes an excellent exercise. Fort Pickett is much smaller compared to the more well-known US bases, but the planning staff used every asset to make the exercise both realistic and relevant.

US personnel on the ground almost matched the Canadians in numbers. Many of their units were using Ex SBT V to complete their own training objectives and, in a lot of cases, already had their own deployment orders for overseas. It became a perfect example of allies supporting one another.

Lt Stewart is the PAO for 36 CBG.

Des Américains et des Canadiens unissent leurs forces pendant l'Ex SBT V

par le Lt Ed Stewart

FORT PICKETT (Virginie) — L'histoire militaire de la région de Fort Pickett ne date pas d'hier. Les armées britannique et française ont traversé Fort Pickett pendant la guerre de Sept Ans de 1756 à 1763. Les armées de l'Union et de la Confédération ont mené plusieurs campagnes dans la région pendant la guerre de Sécession.

Aucune bataille n'y a été livrée depuis les années 1860, mais du 18 au 27 janvier, une autre armée étrangère est arrivée à Fort Pickett quand les soldats du 36e Groupe-brigade du Canada y sont arrivés pour entreprendre l'exercice SOUTHBOUND TROOPER V.

L'Ex SBT V s'adresse principalement aux fantassins, mais il comprend également des éléments médicaux, techniques et de coopération civilo-militaire (COCIM) et est appuyé par l'Armée, la Force aérienne et la Marine des États-Unis. Il porte sur les opérations militaires autres que celles de guerre (MOOTW) et comprend des opérations aéromobiles, des scénarios sur les trois volets de la guerre et des exercices de tir réel.

L'Ex SBT V est la plus vaste répétition de l'exercice : plus de 300 Canadiens répartis dans une compagnie de 5 pelotons, en plus de divers attachements et détachements, y ont participé.

L'infanterie était formée des Princess Louise Fusiliers, du West Nova Scotia Regiment, du 1er Bataillon, The Nova Scotia Highlanders (North) et du 2e Bataillon, The Nova Scotia Highlanders (Cape Breton).

Ces soldats étaient appuyés par le 45e Escadron du génie (45 EG), la 22e Ambulance de campagne, le 33e Bataillon des services, le Prince Edward Island Regiment (RCAC), un peloton complet de COCIM du Secteur de l'Atlantique de la Force terrestre et bien d'autres.

Les cinq pelotons ont été appelés à effectuer plusieurs tâches : descente en rappel d'une tour, descente en rappel d'un UH-60 Blackhawk de l'Armée américaine, opérations urbaines, tirs réels de jour et de nuit en champ de tir, patrouilles de combat, entraînement à la destruction dans un champ de tir et assaut aérien de compagnie.

Des hélicoptères de la Marine et de l'Armée des États-Unis ont déplacé les soldats, du personnel américain a géré les descentes en rappel et un peloton spécialisé de Fort Lee, en Virginie, a tenu le rôle des forces ennemies.

Plusieurs exercices se sont déroulés simultanément. Le peloton de COCIM a réalisé plusieurs évaluations de la ville avoisinante de Blackstone. Les sapeurs du 45 EG ont appuyé une équipe de plongeurs de l'Armée américaine lors d'une opération de reconnaissance sur un pont.

Chaque jour, un peloton était détaché en patrouille de combat sur un terrain privé approuvé. Le scénario mettait toujours en cause des enjeux civils correspondant au concept des trois volets de la guerre.

L'Ex SBT V a démontré que la créativité est le fondement d'un excellent exercice. Fort Pickett est beaucoup plus petit que les bases américaines mieux connues, mais le personnel de planification a pleinement tiré profit de toutes les ressources disponibles pour faire en sorte que l'exercice soit réaliste et pertinent.

Les militaires américains à terre étaient presque aussi nombreux que les Canadiens. Nombre de leurs unités participaient à l'Ex SBT V pour terminer leur propre entraînement et, dans nombre de cas, avaient déjà reçu leurs ordres de déploiement à l'étranger. L'exercice s'est avéré un exemple parfait d'alliés s'appuyant mutuellement.

Le Lt Stewart est OAP au sein du 36 GBC.

1 RCR conducts rehearsal of situational awareness system for Army Council

By Pte Garry Decker

PETAWAWA, Ontario — The 1st Battalion, Royal Canadian Regiment (1 RCR) conducted the first of several rehearsals on the situational awareness system (SAS), on February 16, with the intent to demonstrate the subunit capability to the Army Council.

SAS is made up of a radio, control indicator, and a GPS. This system can be adapted to most vehicles in the CF. The SAS sends positional data over the IRIS radio system and displays it on computer screens so that commanders and subunit commanders can see where their friendly forces are.

“The system works! The system is good!” said Master Corporal Daniel Curbelo, 1 RCR. “The rehearsal is close to reality, we won't lie to make people happy. We will show exactly what is good and what is bad about the system.”

Lieutenant-General Marc Caron, Chief of the Land Staff (CLS) along with the Army Council attended the SAS demonstration at 2 Canadian Mechanized Brigade Group, Petawawa on February 23.

“We are setting up for a static demonstration in the building and a mobile demonstration of the SAS to demonstrate where we are with the system, so the Army Council can make the decisions on how to field it,” said Warrant Officer Stephen McNabb, 1 RCR.

Approximately 40 operators and vehicle crews from 1 RCR set up a display of vehicles, PowerPoint presen-tations and SAS modules. The aim of this rehearsal was to show the SAS as one of the components of the Land Force Command and Control Information System.

“The initial trials done have shown flaws in some of the systems, but SAS has passed field validation which was done last fall,” said Captain Bob Rogers, intelligence officer, 1 RCR.

The CLS and the Army Council reviewed all the research and trial information gathered at the rehearsals, and came to a decision on how to advance with the system.

Pte Decker is a reporter with Army News.

Le 1 RCR met à l'essai le système de connaissance de la situation pour le Conseil de l'Armée

par le Sdt Garry Decker

PETAWAWA (Ontario) – Le 16 février dernier, le 1er Bataillon, The Royal Canadian Regiment (1 RCR), a effectué la première de plusieurs mises à l'essai du système de connaissance de la situation (SCS) en vue de démontrer les capacités de la sous-unité au Conseil de l'Armée.

Le SCS est formé d'une radio, d'un indicateur de commandes et d'un système de positionnement global. Il peut être adapté à la majorité des véhicules des FC. Ce système transmet des données de localisation au moyen du système radio IRIS et les affiche sur des écrans d'ordinateur pour indiquer aux commandants et aux commandants de sous-unités où se trouvent leurs forces amies.

« Le système fonctionne! Il est bon! », a affirmé le Caporal-chef Daniel Curbelo, du 1 RCR. « La mise à l'essai est assez réaliste. Nous refusons de mentir pour plaire aux gens. Nous allons montrer exactement les aspects du système qui fonctionnent bien et ceux qui fonctionnent moins bien. »

Le 23 février, le Lieutenant-général Marc Caron, chef d'état-major de l'Armée de terre (CEMAT), et les membres du Conseil de l'Armée ont assisté à la démonstration du SCS aux installations du 2e Groupe-brigade mécanisé du Canada, à Petawawa.

« Nous nous préparons à effectuer une démonstration statique dans le bâtiment, ainsi qu'une démonstration mobile du SCS. Nous voulons montrer où nous en sommes relativement au SCS pour permettre au Conseil de l'Armée de prendre des décisions sur la façon de le mettre en service », a expliqué l'Adjudant Stephen McNabb, du 1 RCR.

Environ 40 opérateurs et membres d'équipage de véhicules du 1 RCR ont organisé une exposition. En vedette : véhicules, présentations PowerPoint et modules du SCS. La mise à l'essai avait pour but de montrer le SCS en tant que composante du Système d'information de commandement et de contrôle de la Force terrestre.

« Les essais initiaux ont permis de déceler des failles dans certains des systèmes, mais le SCS a réussi la validation en campagne effectuée l'automne dernier », a ajouté le Capitaine Bob Rogers, officier du renseignement au sein du 1 RCR.

Le CEMAT et le Conseil de l'Armée ont examiné toutes les données de recherche et d'essais recueillies pendant les mises à l'essai et ont pris une décision sur la façon de procéder.

Le Sdt Decker est reporter pour les Nouvelles de l'Armée.

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