Skip first menu (access key: 1) Skip all menus (access key: 2) Go directly to top navigation bar (access key: M)
National Defence / Défense Nationale



Quick Search

Maple Leaf


HTML Version of Maple Leaf

This page contains both English and French articles.

If you require PDF versions of specific articles, please send your request to hamilton.ac@forces.gc.ca.

Volume 1 - Volume 2 - Volume 3 - Volume 4 - Volume 5 - Volume 6 - Volume 7 - Volume 8 - Volume 9


Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16, Maple Leaf, 6 April 2005, Vol. 8, No. 13
Pages 14-16, la Feuille d'érable, le 6 avril 2005, vol. 8 no 13

CFNA CO sees North transform

By Kristina Davis

The transition from Moscow to Yellowknife was not really much of a shock—but there is likely little that would be now for Colonel Normand Couturier.

Currently commanding officer of Canadian Forces Northern Area (CFNA), which includes Canada's three territories, he has seemingly seen and done it all in a career that spans nearly 38 years.

Col Couturier joined the Royal Canadian Air Force in 1967. As an airframe technician, he worked on CF-5s and T-33s with 434 Squadron at RCAF Station Cold Lake and later CF-5 and CF-101 aircraft at CFB Bagotville. In 1974, he taught technical courses at CFB Borden and was promoted to master corporal.

Later, he attended university part-time, and readily admits it was tough. That first year he took no time off, and says his classical education did little to prepare him for the rigours of a Bachelor of Science. A good wife, he says, got him through it.

In 1977, he was appointed officer cadet and after classification training as an aerospace engineering officer, he again taught at CFB Borden. A Master's degree at Carleton University soon followed; as did postings to, among others, Wright Patterson Air Force Base in Ohio, SHAPE in Belgium and Russia as the Canadian Defence attaché.

Of Russia, he tells stories which sound much like Tom Clancy novels. From expulsions to clandestine searches and telephone taps, he says it was hard to believe it was all happening. “You're living it,” he says, “But you think this cannot be real.”

Despite the challenges, and the workload, he was also cross-accredited to Armenia, Belarus, Kazakhstan, Kyrgyzstan, Tajikistan and Uzbekistan, he was recognized for his service.

In February 2003, he received the “Memorable Medal for the 10th anniversary of the Military Forces in the Republic of Tajikistan”. That was soon followed by the “200 Years of the Ministry of Defence Badge” from the Russian Minister of Defence for “rendering assistance to solve problems entrusted to the Armed Forces of the Russian Federation”.

Now in Yellowknife, he says there is a renewed interest in the North and CFNA is playing a significant role. He points to advances in technology and transportation, which make the North far more accessible and enticing. Plus with expanding industries, and valuable natural resources, like diamonds and oil, it is growing.

Tourism is also a big draw with visitors, many from Japan, trekking to the North. There is also an increase in cruise ship traffic with passengers seeking the beauty and tranquility of the Arctic. All this is slowly but surely transforming the North, says Col Couturier and, as a result, is changing the kinds of security concerns it faces.

What if, he asks, one of those large cruise ships, with 1 000 plus people onboard runs into trouble? Or an airliner crashes in a remote location? There are communities, he explains, which number less than 400 people. What if a ship had to be evacuated to a small town—essentially doubling its population overnight?

“Housing them. Feeding them. Treating casualties. In one community, there are only two nurses and no doctors. That's why the CF is thinking more about the Arctic,” he says.

To that end, the Canadian Rangers, and even the Junior Canadian Rangers play a significant role, with a presence in 65 communities across the North. And they regularly apply their skills with more than 170 exercises held annually.

CFNA itself numbers about 130 members, and exercises like the upcoming Arctic sovereignty patrol or NARWHAL, allows them to hone their skills in what can only be described as an unforgiving environment. Despite its challenges, many CF members develop a real love of the North and its people.

Col Couturier explains: “It's because of the stillness and purity of the air. You are so close to Mother Nature.” Coming from Moscow, a very polluted city, he says the difference in air quality is marked. And, he adds, there is wildlife everywhere. From caribou to foxes and coyotes, even in the city, there is just something about being so close to nature.

As for Col Couturier himself, he does not know what his next posting might be. He intended to retire after his time in Russia, but this Northern opportunity seemed too good to pass up.

He says he may actually retire after this, but adds, with a chuckle, “My wife does not believe me.”

Le commandant du SNFC, témoin de la transformation du Nord

par Kristina Davis

La transition de Moscou à Yellowknife n'a pas constitué un véritable choc, mais il y a probablement peu de choses maintenant qui produiraient cet effet au Colonel Normand Couturier.

Actuellement commandant du Secteur du Nord des Forces canadiennes (SNFC), lequel englobe les trois territoires du Canada, il en a vu des choses durant sa carrière qui s'est échelonnée sur près de 38 ans.

Le Col Couturier s'est enrôlé dans l'Aviation royale du Canada en 1967. En tant que technicien de cellules, il a travaillé sur des CF-5 et des T-33 avec le 434e Escadron à la Base de l'ARC Cold Lake, et plus tard sur des CF-5 et des CF-101 à la BFC Bagotville. En 1974, il a donné des cours techniques à la BFC Borden et a été promu au grade de caporal-chef.

Plus tard, il s'inscrit à l'université à temps partiel et avoue d'emblée que ce fut difficile. Il ne s'est accordé aucun congé durant sa première année d'études et affirme que son cours classique ne l'avait guère préparé pour les exigences du baccalauréat ès sciences. S'il a réussi, selon lui, c'est grâce à son épouse.

En 1977, il est nommé élève-officier. Après son entraînement de classification comme officier du génie aérospatial, il enseigne de nouveau à la BFC Borden. Une maîtrise de l'Université Carleton s'ensuit, tout comme des affectations à la base aérienne Wright Patterson, dans l'Ohio, au SHAPE, en Belgique, ainsi qu'en Russie en tant qu'Attaché de Défense du Canada.

De son séjour en Russie, il relate des incidents qui font penser aux romans de Tom Clancy. Qu'il s'agisse d'expulsions ou de recherches clandestines et d'écoute téléphonique, il affirme que c'était difficile de croire que tout cela se passait réellement. « On le vivait, mais on se disait que c'était impossible », raconte-t-il.

Malgré les défis et l'importance de sa charge de travail – il avait également des accréditations secondaires auprès de l'Arménie, du Bélarus, du Kazakhstan, du Kirghizistan, du Tadjikistan et de l'Ouzbékistan –, son service a été reconnu.

En février 2003, il a reçu la « Médaille commémorative du 10e anniversaire des forces militaires de la République du Tadjikistan ». Cette décoration a été suivie de peu par « l'Insigne du Bicentennaire du ministère de la Défense », décernée par le ministre de la Défense de la Russie parce qu'il a « aidé à résoudre des problèmes confiés aux forces armées de la Fédération de Russie ».

Actuellement affecté à Yellowknife, il affirme que l'on s'intéresse à nouveau au Nord et que le SNFC y joue un rôle de premier plan. Il mentionne les progrès réalisés aux chapitres de la technologie et des transports, lesquels ont rendu le Nord beaucoup plus accessible et attrayant. De plus, grâce aux industries qui prennent de l'expansion et aux ressources naturelles précieuses, comme les diamants et le pétrole, le Nord connaît toute une croissance.

Le tourisme constitue un autre secteur qui attire beaucoup de visiteurs, dont de nombreux Japonais qui viennent faire de la randonnée dans le Grand Nord. Il y a également une recrudescence du trafic de paquebots, les passagers ayant envie de connaître la beauté et la tranquillité de l'Arctique. Lentement mais sûrement, tous ces facteurs transforment le Nord, indique le Col Couturier et modifient en conséquence les inquiétudes en matière de sécurité.

Qu'est-ce qui se passerait, se demande-t-il, si un de ces immenses paquebots ayant plus de 1 000 passagers à bord se heurtait à des difficultés? Ou si un avion de ligne s'écrasait dans un lieu éloigné? Il y a des collectivités, explique-t-il, où la population est inférieure à 400 habitants. Que se passerait-il si les passagers d'un navire devaient être évacués vers une petite localité – doublant essentiellement sa population du jour au lendemain?

« Il faudrait les héberger. Les nourrir. Soigner les blessés. Dans une collectivité, il n'y a que deux infirmières et aucun médecin. C'est pourquoi les FC s'intéressent de plus en plus à l'Arctique », précise-t-il.

À cette fin, les Rangers canadiens et même les Rangers juniors canadiens jouent un rôle indispensable, grâce à leur présence dans 65 collectivités réparties dans le Grand Nord. Ils mettent régulièrement en pratique leurs compétences grâce à plus de 170 exercices organisés chaque année.

Le SNFC en tant que tel compte quelque 130 membres. Ainsi, des exercices comme la prochaine patrouille d'affirmation de la souveraineté dans l'Arctique ou le NARWHAL leur permettent de perfectionner leurs compétences dans ce qui ne peut être décrit autrement que comme un environnement inhospitalier. De nombreux membres des FC développent une véritable affection pour le Nord et pour ses habitants, en dépit des nombreuses exigences de la vie dans cette région.

Le Col Couturier s'explique : « C'est en raison de l'immobilité et de la pureté de l'air. On se sent si près de Dame Nature ». Lorsqu'on arrive de Moscou, une ville très polluée, il indique que la différence dans la qualité de l'air est frappante. Il ajoute que la faune est omniprésente. Qu'il s'agisse des caribous, des renards ou des coyotes, même en ville, le fait de se retrouver si près de la nature, c'est quelque chose!

Quant au Col Couturier, il ignore toujours en quoi consistera sa prochaine affectation. Il avait l'intention de prendre sa retraite après sa période de service en Russie, mais cette possibilité d'emploi dans le Grand Nord était irrésistible. Il affirme qu'il pourrait effectivement prendre sa retraite cette fois, mais ajoute en riant « ma femme ne me croit pas ».

NARWHAL is back

By Capt Joanna Labonte

Despite being almost two years away, Exercise NARWHAL 07 will kick-off this fall with a three-phased approach.

Phase 1, which consists of a tabletop exercise in Yellowknife at the Canadian Forces Northern Area Headquarters (CFNA HQ), will include other government departments who could potentially be involved in domestic operations in the North.

Phase 2 will take shape as a command post exercise involving NDHQ, the Joint Operations Group and CFNA. This portion will test the standard operating procedures and linkages between the three parties.

Finally, in the spring of 2007, Ex NARWHAL will be in full force with a field training exercise involving all three elements of the CF and other government departments. It is antici-pated this portion of the exercise will take place near Inuvik, where a NORAD forward operating location exists.

“Because of its location, many domestic operation scenarios can be developed and exercised to ensure CFNA and the CF are ready and capable of conducting such future operations in the Arctic,” explains Colonel Norm Couturier, commander of CFNA.

Ex NARWHAL may also be combined with Northern Edge 07, an annual US military exercise involving NORTHCOM from Alaska.

Capt Labonte is the PAO with CFNA.

L'exercice NARWHAL est de retour

par le Capt Joanna Labonte

Même s'il aura lieu dans environ deux ans, l'exercice NARWHAL 07, dont la préparation commencera cet automne, comportera trois étapes.

L'étape 1 consistera en une simulation d'exercice sur maquette à Yellowknife, au quartier général du Secteur du Nord des Forces canadiennes (SNFC), à laquelle participera d'autres ministères qui pourraient prendre part à des opérations nationales dans le Nord.

L'étape 2 se présentera sous forme d'exercice de poste de commandement auquel participeront le QGDN, le Groupe des opérations interarmées et le SNFC. Elle mettra à l'essai les instructions permanentes d'opération et les liens entre les trois groupes participants.

Finalement, au printemps de 2007, l'Ex NARWHAL battra son plein grâce à un exercice d'entraînement en campagne auquel participeront les trois armées des FC et d'autres ministères. On prévoit que cette étape se tiendra près d'Inuvik, où le NORAD possède un emplacement avancé d'opérations.

« En raison de son emplacement géographique, de nombreux scénarios d'opérations nationales pourront être élaborés et mis en pratique afin de s'assurer que le SNFC et les FC sont prêts et capables de mener de telles opérations futures dans l'Arctique », a expliqué le Colonel Norm Couturier, commandant du SNFC.

L'Ex NARWHAL pourrait être conjugué à l'Ex NORTHERN EDGE 07, exercice annuel de l'Armée américaine auquel participe l'US NORTHCOM de l'Alaska.

Le Capt Labonte est OAP au sein du SNFC.

Experiencing life in Kabul

By Capt Mark Gough

CAMP JULIEN — Travelling halfway around the world so he could experience what life is like for the 900 CF members deployed on Operation ATHENA, was the senior military officer responsible for CF personnel issues.

Vice-Admiral Greg Jarvis, Assistant Deputy Minister (Human Resources- Military), (ADM(HR-Mil)), visited CF personnel in Afghanistan, March 8-10. “The purpose of the visit was to give VAdm Jarvis and his group a chance to experience first-hand what our soldiers, sailors and air personnel are going through here in Kabul and Camp Mirage,” said Colonel Walter Semianiw, commander of TFK. “This visit will help them better understand our role here in Afghanistan and appreciate the tempo and conditions our people face every day.”

This was VAdm Jarvis' first opportunity to visit an overseas operation since taking over as ADM(HR-Mil) in January 2004. “It has been an outstanding experience,” he said. “It was very important for me to come to TFK so I can put into context the conditions our personnel are living in… because no matter what we do, wherever, it's all about people.”

One of the many responsibilities of the ADM(HR-Mil) is to provide personnel services that support the morale, spiritual, physical well-being and quality of life of CF members at home and overseas. For this reason, VAdm Jarvis spent a great deal of time visiting with and talking to the members of the Health Service Support Company, the TFK padres and the civilian employees of the Canadian Forces Personnel Support Agency.

VAdm Jarvis was accompanied by Chief Warrant Officer Camille Tkacz, Command Chief Warrant Officer for ADM(HR-Mil); Shirley Siegel, ADM(HR-Civ); and Hélène Laurendeau, Assistant Secretary Labour Relations and Compensation Operations for the Treasury Board Secretariat.VAdm Jarvis explained it was equally important to bring Ms. Seigel and Ms. Laurendeau because of the significant roles they play with respect to the CF and DND in terms of human resources policies and the funding of the military.

“It was important to bring Mme Laurendeau so she could see for herself what CF personnel have to go through during overseas operations and relate these conditions back to the Treasury Board,” said VAdm Jarvis. “It's important to have Ms. Seigel with us because everything we do is a team effort [military and civilian].”

“It was great to come on this visit to Operation ATHENA because this is what we support back in Ottawa,” said Ms. Seigel. “It has been an invigorating experience.”

At the end of their five-day trip, VAdm Jarvis and his group left with a better understanding of life for CF personnel helping to provide a safe and secure environment so the Afghans can continue rebuilding their country.

Capt Gough is a PAO with TFK.

C'est comment la vie à Kaboul?

par le Capt Mark Gough

CAMP JULIEN — L'officier supérieur chargé des questions en matière de ressources humaines des FC a voyagé à l'autre bout du monde pour vivre l'expérience des 900 membres des FC déployés dans le cadre de l'opération ATHENA.

Du 8 au 10 mars, le Vice-amiral Greg Jarvis, sous-ministre adjoint (Ressources humaines – Militaires) [SMA(RH-Mil)], a visité le personnel des FC en Afghanistan. « La visite avait pour objet de permettre au Vam Jarvis et à son groupe d'observer de première main ce que vivent les soldats, les marins et les membres de la Force aérienne à Kaboul et au Camp Mirage », a déclaré le Colonel Walter Semianiw, commandant de la Force opérationnelle à Kaboul. « Cette visite les aidera à mieux comprendre notre rôle en Afghanistan et à être conscients de la cadence et des conditions auxquelles font face nos gens chaque jour. »

Il s'agit de la première visite du Vam Jarvis dans le cadre d'une opération à l'étranger depuis qu'il a assumé la fonction de SMA(RH-Mil) en janvier 2004. « L'expérience a été enrichissante », a-t-il affirmé. « Il était très important pour moi de venir observer la vie de la FO Kaboul, afin de mettre en contexte les conditions de vie de notre personnel… car peu importe l'opération ou le lieu, les gens passent avant tout. »

Une des nombreuses responsabilités du SMA(RH-Mil) consiste à fournir des services au personnel pour soutenir le bien-être moral, spirituel et physique ainsi que la qualité de vie des membres des FC, au pays comme à l'étranger. C'est pour cette raison que le Vam Jarvis a consacré beaucoup de temps à parler avec les membres de la Compagnie de soutien des services de santé, les aumôniers de la FO Kaboul et les employés civils de l'Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes.

Le Vam Jarvis était accompagné de l'Adjudant-chef Camille Tkacz, adjudant-chef du Commandement du SMA(RH-Mil), de Shirley Siegel, SMA(RH-Civ), et d'Hélène Laurendeau, secrétaire adjointe, Relations de travail et opérations de rémunération, au Secrétariat du Conseil du Trésor.

Le Vam Jarvis a expliqué qu'il était tout aussi important d'emmener Mme Siegel et Mme Laurendeau en raison des rôles primordiaux qu'elles jouent au sein des FC et du MDN, surtout en ce qui concerne les politiques des ressources humaines et le financement militaire.

« Il était important que Mme Laurendeau vienne ici afin qu'elle puisse elle-même constater ce que le personnel des FC doit vivre pendant des opérations à l'étranger et qu'elle puisse rendre compte de ces conditions de vie au Conseil du Trésor », a précisé le Vam Jarvis. « Il est aussi important que Mme Siegel soit là parce que tout ce que nous accomplissons est le fruit d'un travail d'équipe [militaires et civils]. »

« Cette visite dans le cadre de l'opération ATHENA était extraordinaire, car tous les efforts que nous déployons à Ottawa visent à appuyer cette opération », a affirmé Mme Siegel. « Cette expérience a été stimulante. »

À la fin de leur voyage d'une durée de cinq jours, le Vam Jarvis et son groupe sont repartis en comprenant mieux les conditions de vie du personnel des FC, qui aide à créer un milieu sécuritaire pour que les Afghans puissent rebâtir leur pays.

Le Capt Gough est OAP au sein de la FO Kaboul.

HSS Coy shows off its capabilities

By Capt Danielle Garon

The Health Service Support Company (HSS Coy) of Task Force Kabul (TFK) held an open house of their facilities at Camp Julien on March 2.

HSS Coy's role within TFK is to provide essential medical and dental services to all military and civilian personnel living at Camp Julien, including those from other nations.

The goal of the open house was to offer these people an opportunity to visit the Role Two Plus field hospital and gain a better understanding of its capabilities. “Role Two Plus” simply means that the hospital is staffed with a surgeon, an anaesthetist, operating room staff, critical care nurses, as well as a laboratory technician and an X-ray technician.

Aside from tours of the hospital's various departments, including the operating room, there was also a health promotion aspect to the open house.

In the bunker behind the hospital, visitors had an opportunity to have their blood pressures, heart rates, and oxygen levels checked, as well as testing their blood sugar levels. Literature was also made available on various topics from smoking cessation to managing cholesterol and high blood pressure.

To add to the health promotion theme, members of the Canadian Forces Personnel Support Agency (CFPSA) joined members of HSS where they offered information and advice on various nutritional supplements.

“Those from the Task Force that visited our lines were given a first hand opportunity to see the high standard of our treatment capability both in terms of state-of-the art equipment and a highly motivated, as well as skilled medical staff,” said Lieutenant-Colonel Jim Kile, Task Force Surgeon and commanding officer of the HSS Coy. “It was an extremely worthwhile endeavour for all.”

The star of the open house was without a doubt, SimMan®, a state-of-the-art medical training mannequin. Petty Officer, 2nd Class Dan Williams had set up SimMan on a stretcher in the back of the bunker and visitors were quickly taught the principles of intubation, catheterization, nasogastric tube placement, as well as how to start an intravenous. Everyone was impressed with SimMan and eagerly attempted at least one of these medical skills.

“I hope to never end up on this stretcher, but if I was to, it is reassuring to know that you train with what's best on the market,” said Corporal Dan Shouinard, TFK photographer.

The HSS Coy Open House was a success. Everyone who attended was offered a glimpse of TFK's medical and dental capabilities and in the end, they left reassured that if something were to happen to them while in Kabul they would be in good hands.

Capt Garon is a critical care nurse working in the HSS Coy.

Avec la Cie SSS, vous serez en bonnes mains

par le Capt Danielle Garon

Le 2 mars dernier, la Compagnie de soutien des services de santé (Cie SSS) de la Force opérationnelle à Kaboul (FO Kaboul) a tenu une journée portes ouvertes à ses installations du Camp Julien.

Le rôle de la Cie SSS au sein de la FO Kaboul est de fournir des services médicaux et dentaires essentiels à tous les militaires et employés civils qui habitent au Camp Julien, y compris ceux des autres pays.

Cette journée portes ouvertes avait pour objet de permettre aux gens de visiter l'hôpital de campagne à deux vocations et d'avoir une meilleure idée de ses capacités. Cela signifie simplement que l'hôpital est composé d'un chirurgien, d'un anesthésiste, de personnel de salle d'opération, d'infirmières en soins intensifs ainsi que d'un technicien de laboratoire et d'un technicien en radiologie.

En plus d'une visite des divers services de l'hôpital, y compris la salle d'opération, la journée portes ouvertes comportait également un volet sur la promotion de la santé.

Dans le bunker à l'arrière de l'hôpital, les visiteurs avaient la possibilité de faire vérifier leur tension artérielle, leur fréquence cardiaque ainsi que leur taux d'oxygène et de glycémie. On offrait également de la documentation sur toute une gamme de sujets, qu'il s'agisse du renoncement au tabac ou des façons de contrôler le cholestérol et l'hypertension.

Des membres du personnel de l'Agence de soutien du personnel des Forces cana-diennes (ASPFC) se sont joints aux membres de la Cie SSS pour parler du thème de la promotion de la santé en offrant de l'information et des conseils sur un grand nombre d'additifs nutritionnels.« Les membres de la Force opérationnelle qui ont visité nos services ont observé de première main le haut niveau de nos capacités de traitement en ce qui concerne l'équipement de pointe et le personnel médical qualifié et très motivé », a déclaré le Lieutenant-colonel Jim Kile, médecin-chef de la Force opérationnelle et commandant de la Cie SSS. « L'activité a été une expérience très enrichissante pour tous les participants. »

Sans aucun doute, la vedette des portes ouvertes a été SimMan®, un mannequin dernier cri pour la formation médicale. Le Maître de 2e classe Dan Williams avait installé le SimMan sur une civière dans le fond du bunker, et on a enseigné rapidement aux visiteurs les principes de l'intubation, du cathétérisme ainsi que de la mise en place d'une sonde nasogastrique et d'un dispositif intraveineux. Tous étaient très impressionnés par le mannequin SimMan et ont essayé avec empressement une de ces techniques médicales.

« J'espère ne jamais avoir à me trouver sur cette civière, mais si ça devait arriver, il est rassurant de savoir que le personnel médical s'exerce avec les meilleurs outils sur le marché », a affirmé le Caporal Dan Shouinard, photographe de la FO Kaboul.

La journée portes ouvertes de la Cie SSS a remporté un vif succès. Tous les participants ont pu avoir un aperçu des capacités médicales et dentaires de la FO Kaboul et sont partis rassurés en sachant que s'il leur arrive quelque chose lors de leur séjour à Kaboul, ils seront en bonnes mains.

Le Capt Garon est infirmière en soins intensifs au sein de la Cie SSS.

This website is maintained by
Assistant Deputy Minister (Public Affairs) / ADM (PA)