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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 6-7, Maple Leaf, 13 April 2005, Vol. 8, No. 14
Pages 6-7, la Feuille d'érable, le 13 avril 2005, vol. 8 no 14

Work environment based on communication and relationship building

By Kate Litva

Police opened fire on a group of peaceful demonstrators in Sharpeville, South Africa on March 21, 1960, killing 69 and wounding 180. Subsequently, the UN declared this date the International Day for the Elimination of Racial Discrimination.

DND and CF members gathered at NDHQ, to hear keynote speaker Laraine Kaminsky discuss the issues of recognizing, preventing and stopping racism in the workplace.

Ms. Kaminsky, an executive vice president at Graybridge Malkam—a company that provides diversity training—originally hails from South Africa. "I actually was born, raised and educated in Cape Town, South Africa. So for me to speak today here, 45 years since Sharpeville, is indeed very meaningful. I was 12 years old at the time, at a very formative time, and heard many comments living in a racist society where people were mowed down, literally, because of the pass laws," she said.

Now an Ottawa resident, she says she came here, "not for the climate and not for the taxes, but to make a better life for my children, which is the journey that many of us (immigrants) proceed along."

And the number of immigrants like her continues to rise. In a recent report released by the Multiculturalism and Human Rights Program at the Department of Canadian Heritage, there are projections that by 2017—when Canada celebrates its 150th anniversary—roughly one out of every five people in Canada could be a member of a visible minority. The rapid growth is primarily attributed to sustained immigration, with a high proportion of visible minorities among the new arrivals, according to the report.

So the issue of diversity in the workplace cannot and must not be ignored. "Is this an individual responsibility or an organizational responsibility?" Ms. Kaminsky asked. "It's both. It cannot be just the organization, it has to be the individual as well."

Her idea of an inclusive work environment is built on establishing relationships and open communication.

After pointing out the barriers to inclusion, she offered some inspirational words. "I encourage all of you to be part of that change that you would like to see in your world, in your world of work,in your world as citizens of this country, because we know that the winds of change are blowing very strongly. We ourselves cannot change the winds, but we can adjust the sails and learn to be more skilful mariners."

Pour un milieu de travail fondé sur la communication et l'établissement de meilleures relations

par Kate Litva

Le 21 mars 1960, la police a ouvert le feu sur un groupe de manifestants pacifiques à Sharpeville, en Afrique du Sud. Il y a eu 69 morts et 180 blessés. Par la suite, l'ONU a fait du 21 mars la Journée internationale pour l'élimination de la discrimination raciale.

Plus de 100 membres du MDN et des FC se sont réunis au QGDN pour écouter la conférencière invitée Laraine Kaminsky parler de l'identification, de la prévention et de l'élimination du racisme en milieu de travail.

Mme Kaminsky, vice-présidente exécutive de Graybridge Malkam – une société qui offre des programmes de formation en matière de diversité – est originaire de l'Afrique du Sud. « En fait, je suis née, j'ai été élevée et j'ai fait mes études au Cap, en Afrique du Sud. Alors c'est une grande joie pour moi d'être ici aujourd'hui, 45 ans après les événements de Sharpeville. J'avais 12 ans à l'époque, et au cours de cette période décisive pour le développement de ma personnalité, j'ai entendu de nombreux commentaires racistes dans une société où les gens étaient littéralement massacrés à cause des lois sur la mobilité », a-t-elle déclaré.

Mme Kaminsky habite aujourd'hui à Ottawa. Elle est venue ici non pas pour le climat, ni pour les taxes, mais pour garantir une vie meilleure à ses enfants, comme c'est le cas de beaucoup d'immigrants.

En fait, le nombre d'immigrants comme elle continue d'augmenter. Un rapport publié récemment par la Direction du multiculturalisme et des programmes pour les droits de la personne, au ministère du Patrimoine canadien, prédit qu'en 2017 (lorsque le Canada célébrera son 150e anniversaire), près d'un Canadien sur cinq sera membre d'une minorité visible. D'après le rapport, cette croissance rapide est principalement attribuable à l'immigration soutenue : parmi les nouveaux arrivants, il y a une forte proportion de représentants des minorités visibles.

Par conséquent, la question de la diversité en milieu de travail ne peut pas et ne doit pas être négligée. « Est-ce une responsabilité individuelle ou une respon-sabilité de l'organisation? », a demandé Mme Kaminsky. « Les deux à la fois. La responsabilité ne peut pas être assumée entièrement par l'organisation, c'est également l'affaire de chaque individu. »

Son idée d'un milieu de travail propice à l'intégration est fondée sur une communication ouverte et l'établissement de meilleures relations.

Après avoir souligné les obstacles à l'intégration, elle a prononcé des paroles inspirantes : « Je vous encourage à participer à l'instauration des changements auxquels vous aspirez en tant que citoyens de ce pays, que ce soit dans votre milieu de travail ou dans votre milieu de vie, car nous savons tous que le vent du changement souffle très fort. Nous ne pouvons pas faire dévier le vent, mais nous pouvons ajuster les voiles et apprendre à mieux naviguer. »

Blackhawk helicopter training

By LCol Jim Kile

Helicopter medical evacuations (MEDEVACs) save lives, as Task Force Kabul (TFK) has seen first hand. Recently, on two separate occasions, the speed of helicopter MEDEVACs prevented a possible death of one Canadian soldier and reduced significant long-term disability in another.

As a result of this need for helicopter MEDEVACs in Afghanistan, an American aircrew landed at Camp Julien with a fully configured Blackhawk MEDEVAC helicopter to conduct familiarization training with the members of the TFK Health Service Support Company (HSS Coy) on March 14.

The Blackhawk MEDEVAC helicopter is a state-of-the-art rotary wing air ambulance used extensively by the US military throughout Afghanistan. The Blackhawk is well-suited for the Afghan terrain. Its range allows full coverage of the Kabul area of operations and it comes fully staffed and equipped to handle all major medical emergencies.

Each Blackhawk has one flight nurse and one paramedic. It can be configured to transport up to six stretchers depending on several factors including the medical need, the altitude and environmental temperature. Every helicopter carries its own oxygen generator, an electro-cardiogram machine, pulsoxygmeters (to measure oxygen in the blood) and a defibrillator with external pacing capability.

The Canadians were educated on the helicopter's capabilities and had the opportunity to load and unload stretchers under simulated conditions. It was quickly noted that Canadian stretchers were too long for the US helicopter's cabin. This slight discrepancy was rectified with a saw and gun tape and a display of Canadian ingenuity. Other than this one point, it was pointed out that both countries' medical evacuation systems are fully compatible.

"This kind of training is crucial in order for us (HSS) to continue to provide first rate medical service to the Task Force,"said Major Dave Doyle, deputy commander HSS Coy.

LCol Kile is the Task Force surgeon and CO of HSS Coy.

Formation à bord de Blackhawk

par le Lcol Jim Kile

Les évacuations sanitaires par hélicoptère sauvent des vies, comme ont pu le constater directement des membres de la Force opérationnelle à Kaboul (FO Kaboul). À deux reprises au cours des dernières semaines, la rapidité des évacuations sanitaires par hélicoptère a probablement évité dans un cas le décès d'un soldat canadien, et dans l'autre cas, réduit sensiblement la durée d'une invalidité prolongée.

Le 14 mars dernier, le besoin d'évacuation sanitaire par hélicoptère en Afghanistan a débouché sur l'atterrissage, au Camp Julien, d'un hélicoptère Blackhawk configuré pour les évacuations; cet équipage avait pour mission de donner une formation initiale aux membres de la Compagnie des services de soutien de santé (Cie SSS) de la FO Kaboul.

L'hélicoptère Blackhawk en question est une ambulance aérienne à voilure tournante à la fine pointe, largement utilisée en Afghanistan par l'armée des États-Unis. Le Blackhawk convient bien au terrain afghan. Son rayon d'action lui permet de couvrir intégralement la zone d'opérations de Kaboul. Il est livré complètement outillé pour l'intervention dans tous les cas d'urgences médicales majeures.

Chaque Blackhawk a à son bord un infirmier navigant et un ambulancier paramédical. Il peut être configuré pour transporter jusqu'à six civières en fonction de plusieurs facteurs, dont les besoins médicaux, l'altitude et la température ambiante. Chaque hélicoptère est doté de son propre générateur d'oxygène, d'un électrocardiographe, d'oxyhémographes (pour mesurer le taux d'oxygène dans le sang) et d'un défibrillateur assorti d'une capacité de stimulation cardiaque temporaire.

Les Canadiens ont reçu une formation sur les capacités de l'hélicoptère et ont eu l'occasion de simuler des chargements et des déchargements. On a vite remarqué que les civières canadiennes étaient trop longues pour la cabine de l'hélicoptère américain. Le léger écart observé a été corrigé avec une scie, du chatterton et une bonne dose d'ingéniosité canadienne. Sur tous les autres points, les systèmes d'évacuation sanitaire des deux pays se sont avérés parfaitement compatibles.

« Si nous voulons continuer d'offrir des soins de santé de premier ordre à la Force opérationnelle, il est crucial que nous puissions avoir accès à ce type de formation », a déclaré le Major Dave Doyle, commandant adjoint de la Cie SSS.

Le Lcol Kile est chirurgien au sein de la Force opérationnelle et commandant de la Cie SSS.

Task Force Kabul raises money for CHEO

By Capt Mark Gough

CAMP JULIEN — When the Ottawa radio station, The BEAR, announced it was going to hold its second annual "Have a Heart for CHEO" (the Children's Hospital of Eastern Ontario) Radiothon, one soldier 10 000 km away on Operation ATHENA knew what he had to do.

Warrant Officer Jim Merritt, chief cook for Task Force Kabul (TFK), decided to continue a tradition he started for the BEAR's first annual fundraiser—canvas the other deployed military and civilian personnel for contributions to this worthwhile cause.

In March 2004, WO Merritt was deployed to Velika Kladusa in the Former Republic of Yugoslavia on ROTO 13 of Op PALLADIUM. When word got out amongst the soldiers about the radiothon many of them said it was a great idea. "A lot of people talked about it, I felt it needed to get done," said WO Merritt. "So I took the bull by the horns and got it done."

When it was advertised the radio station was doing the same thing this year, WO Merritt knew that TFK would support the drive for donations, it just needed to be organized. He quickly obtained the backing of the chain of command and approached all the units at Camp Julien with the idea of donating to CHEO. As a result, the military and civilian personnel of TFK raised over $4 000.

When asked how the fundraising was going, WO Merritt responded that as soon as people found out it was for CHEO they did not hesitate to contribute. "Being stationed here in Afghanistan, half a world away from the Ottawa Valley serves as a great reminder of how good life is in Canada," he said. "Some of the soldiers of Camp Julien have family or friends that had to use the excellent services and assistance from the doctors and staff at CHEO."

Capt Gough is a PAO with TFK.

La Force opérationnelle à Kaboul recueille des fonds pour le CHEO

par le Capt Mark Gough

CAMP JULIEN — Quand la station radiophonique The BEAR d'Ottawa a annoncé la tenue de son deuxième radiothon annuel « Have a Heart for CHEO » (Centre hospitalier pour enfants de l'Est de l'Ontario), un soldat qui se trouvait à 10 000 km de là, dans le cadre de l'opération ATHENA, a tout de suite su ce qu'il devait faire.

L'Adjudant Jim Merritt, chef cuisinier de la Force opérationnelle à Kaboul (FO Kaboul), a décidé de poursuivre une tradition qu'il avait lancée à l'occasion du premier radiothon annuel de la station The BEAR, soit faire appel à la générosité des autres militaires et employés civils déployés et solliciter leurs contributions à cette noble cause.

En effet, en mars 2004, l'Adj Merritt était en affectation à Velika Kladusa, en ex-Yougoslavie, dans le cadre de la rotation 13 de l'Op PALLADIUM. Lorsque les soldats ont entendu parler du radiothon, nombre d'entre eux ont applaudi cette initiative. « Beaucoup de gens en parlaient et je pensais qu'il fallait le faire », a indiqué l'Adj Merritt. « Alors, j'ai pris le taureau par les cornes et j'ai fait en sorte que cela se concrétise. »

Quand la station de radio a annoncé son intention de relancer le projet cette année, l'Adj Merritt n'a pas douté une seconde que la FO Kaboul appuierait de nouveau la collecte de dons. Il suffisait de l'organiser. Il s'est alors empressé d'obtenir le soutien de la chaîne de commandement et a abordé toutes les unités du Camp Julien en leur demandant de faire des dons au CHEO. C'est ainsi qu'on est parvenu à recueillir plus de 4 000 $ auprès des militaires et des employés civils de la FO Kaboul.

Lorsqu'on lui a demandé comment se déroulait la collecte de fonds, l'Adj Merritt a répondu que dès que les gens apprenaient que l'argent était destiné au CHEO, ils n'hésitaient pas à faire un don. « Le fait de se trouver ici, en Afghanistan, à l'autre bout du monde, nous amène à prendre conscience de la qualité de vie que nous avons au Canada », a ajouté l'Adj Merritt.

« Certains soldats du Camp Julien ont de la famille ou des amis dans la vallée de l'Outaouais qui ont eu recours aux excellents services des médecins et du personnel du CHEO. »

Le Capt Gough est OAP au sein de la FO Kaboul.

Talk Back

New night vision goggles

Air Force Editor,

I am currently serving in Germany and The Maple Leaf does help me keep abreast of news in the CF.

The article entitled "Contract awarded for new night vision goggles" page 13 (Vol 8. No. 10) caught my attention.

When the article mentioned the other five CF aircraft fleets: CH-146, CP-140, CH-149, CC-130 and CC-150, I had to do a double take. Did I miss the disbanding of the CH-124 Sea King fleet? That would be a news article!

While I now have a desk job outside Canada, I am keenly interested in the fate of the people involved in Sea King operations with whom I have worked since 1976. I certainly hope that the report of the sudden death of the Sea King fleet was an exaggeration (my apologies to Mark Twain). I suggest that you please print a correction to the list of CF aircraft fleets and an indication if the Sea King fleet is involved in this ONV program. More importantly, I suggest an apology to all those involved in Sea King operations as this is not the first time that the Sea King fleet and its personnel have been overlooked in The Maple Leaf Air Force articles.

LCol Michael L. Muzzerall

Director-Standards Evaluation and Training

NATO School, Germany

Response from the Air Force:

The Omnibus Night Vision Imaging System (NVIS) project is planned to advance soon to implement modifications to the aircraft fleets listed in the article. Due to some test and evaluation challenges, modifications to the CH-146 Sea King fleet are currently pending and in due course a cost/value decision on implementation will be made.

If you would like to send your comments, letters or concerns e-mail us at mapleleaf@dnews.ca or write to:

The Maple Leaf
ADM (PA)/DMCS
101 Colonel By Drive, Ottawa ON K1A 0K2

Nouvelles lunettes de vision nocturne

À l'attention de la rédactrice de la Force aérienne,

Je suis actuellement en affectation en Allemagne et la lecture de La Feuille d'érable me garde au courant des dernières nouvelles concernant les FC.

L'article intitulé « Attribution du contrat pour de nouvelles lunettes de vision nocturne » à la page 13 (vol. 8, no 10) a attiré mon attention.

À la lecture du paragraphe mentionnant les cinq autres flottes d'aéronefs des FC : CH-146, CP-140, CH-149, CC-130 et CC-150, j'ai dû m'arrêter et relire. Ai-je raté le démantèlement de la flotte de CH-124 Sea King? Ce serait vraiment toute une nouvelle!

J'exécute actuellement un travail de bureau à l'étranger, mais le sort des personnes affectées aux opérations du Sea King, avec lesquelles j'ai travaillé depuis 1976 m'intéresse énormément. J'espère de tout cœur que l'annonce de la « mort subite » de la flotte de Sea King a été grandement exagérée (mes excuses à Mark Twain). Je vous prie de bien vouloir publier un rectificatif à la liste des flottes d'aéronefs des FC et indiquer si la flotte de Sea King est visée par ce programme de LVN. De plus, je pense qu'il est encore plus important que vous présentiez vos excuses à tous ceux qui participent aux opérations des Sea King, car ce n'est pas la première fois que cette flotte et son personnel sont oubliés dans les articles sur la Force aérienne publiés dans La Feuille d'érable.

Lcol Michael L. Muzzerall

Directeur – Normes, évaluation et instruction, École de l'OTAN, Allemagne

Réponse de la Force aérienne :

Il est prévu que le projet global du Système d'imagerie de vision nocturne (SIVN) se poursuivra bientôt pour mettre en œuvre les modifications apportées aux flottes d'aéronefs énumérées dans cet article. En raison de certains problèmes qui se sont manifestés lors des essais et de l'évaluation, les modifications à la flotte de CH-146 Sea King sont actuellement suspendues et une décision relative au coût et à la valeur de cette mise en œuvre sera prise en temps opportun.

Voici l'adresse pour nous écrire, nous faire part de vos commentaires ou de vos préoccupations :

La Feuille d'érable
SMA (AP)/DMSC
101, promenade Colonel By, Ottawa ON K1A 0K2
Courriel : mapleleaf@dnews.ca

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